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Magical Girl de Flageolaid



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» Auteur : Flageolaid - Voir le profil
» Créé le 16/10/2017 à 20:38
» Dernière mise à jour le 16/10/2017 à 20:38

» Mots-clés :   Aventure   Présence de personnages du jeu vidéo   Région inventée   Unys

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Extras
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Dans un pathétique effort pour offrir du contenu supplémentaire aux lecteurs, quoi de mieux que de livrer les secrets de fabrication de l’histoire ? (J'ai mis les musiques et les fics citées en lien)

J’ignore si les autres auteurs de fanfics ont ce problème eux aussi, mais pour ma part, je galère dès lors qu’il s’agit de donner des noms à mes personnages. A croire que j’aime me mettre des bâtons dans la roue, j’ai inséré une véritable cohorte de personnages secondaires et il n’a pas toujours été simple de les nommer.
C’est pourquoi, je vous propose l’explication inutile, donc indispensable, des noms de tous les personnages de cette histoire. Les personnages issus du jeu vidéo ne sont pas pris en compte.
Voici la liste exhaustive par ordre d’apparition :


- Helen Magus (Introduction) : illustre personnage qui donne son nom au collège que fréquente Lymnesine, je me suis basé sur Helen Magnus, la protagoniste de la série Sanctuary.

- Alison Heartlove (chapitre 1) : vendue comme la protagoniste au premier chapitre, je cherchais pour ce personnage oubliable un nom en anglais qui sente la guimauve, facile à traduire, pourquoi le pas accoler cœur et amour ? Aucune des Alison que je connais ne possèdent une personnalité sombre et torturée, donc je me suis dis que ce prénom était parfait pour le personnage.

- Nimue Meredith (chapitre 1) : la petite prodige qui réussit l'examen avec les honneurs devait avoir Meredith comme prénom, j’ai finalement changé d’avis pour une des nombreuses appellations de la Dame du Lac. Puisqu'elle appartient à une famille de mages réputés, il fallait que son prénom évoque quelque chose de légendaire.

- Lymnesine « Lymnie » Hesperides (chapitre 1) : j’ai passé beaucoup de temps à réfléchir sur ce nom-là, normal puisqu’il s’agit de l’héroïne de cette histoire. J’ai cherché en partant de Mélusine, qui évoquait dans mon esprit une sorcière plutôt espiègle. J’avais déjà créé un personnage féminin du même acabit, nommé Ludivine, ce qui a sans doute influencé pour la première lettre et, en amateur de sonorité bizarre, j’ai rapidement opté pour ce « mn » qui a dû en rebuter plus d’un. D'ailleurs, on n'est pas obligé de prononcer le m. Quant au patronyme, c’est une référence aux douze travaux d’Héraclès, la dixième tâche étant de rapporter les pommes d’or du jardin des Hespérides. Mais je n’aime pas les accents sur les noms de famille. Tout au long de la rédaction de cette fic, j'ai dû me faire violence pour ne pas abuser dans l'emploi de son surnom. Concernant le dessin, les couleurs sont mal passées, Lymnie est métisse, mais cela ne se voit pas trop au niveau du teint. De même, elle ne donne pas l'impression d'avoir quinze ans et onze mois.

- Sonia Heartlove (chapitre 1) : ancienne binôme de Lymnesine, je voulais que son prénom contienne les mêmes lettres que celui de sa sœur, Alison. Si on oublie le L, j’ai tout bon.

- Urvan (chapitre 1) : après vérification sur Serenes Forest, il s'agit bien du nom d'une arme de Fire Emblem : Radiant Dawn, mais ce n'est qu'un hasard, son nom m'est venu au pif.

Les sept suivants forment le jury de l'examen :
- Eglantine Pastel (chapitre 1) : professeure de magie au nom récupéré d’un de mes projets inaboutis, il en exalte une certaine fadeur fort appréciée pour un personnage aussi secondaire.

- Bianca Nirvana (chapitre 1) : petite référence à la chanson Rape Me de Nirvana, puisque le personnage en question est un Gardevoir. Je suis ignoble.

- Fulbert Cassoulaid (chapitre 1) : le nom du sous-directeur n’est pas sans rappeler mon pseudo et puis j’aime bien les prénoms désuets. Il n'a pas un rôle tellement important dans cette histoire, mais comme Lymnie et lui ont un lourd passif, son nom revient assez fréquemment.

- Marilyn Magus (chapitre 1) : il me fallait un prénom en MAR- pour coller avec le surnom de MagMar, donné à la directrice. Ce n'est dit nulle part, mais il s'agit d'une descendante d'Helen Magus, la fondatrice du collège.

- Clarisse Morgenstern (chapitre 1) : professeure de combat Pokémon qui porte le nom allemand donné à une masse d’arme médiévale hérissée de pointes. Classe, non ?

- Loulou McNerd (chapitre 1) : parfois le manque d’inspiration favorise l’apparition de pépites comme celle-là. Je réutiliserai sûrement le nom de cette prof de culture gé un jour.

- Hyoshounologostrololo Tyounosvolglovofolfor (chapitre 1) : je me suis assuré que le nom était prononçable avant de l’écrire, je cherchais quelque chose de long et rigolo pour ce professeur de divination. Essayez de le dire à voix haute !


- Bubul (chapitre 1) : il fallait un nom gentil et mignon pour le compagnon d’Alison, qui est de type eau par ailleurs.

- Oméga (chapitre 1) : la dernière lettre de l’alphabet grec pour le dernier des Ho-Oh au plumage doré. Et oui, l'erreur sur le mot faim dans le récit de Nimue est voulue.

- Gottfried « Gott » (chapitre 2) : dans le jeu, mon Fouinar se nomme Gothfried, mais le correcteur orthographique n’appréciait pas trop. J'adore écrire ce genre de personnage surabusé et plein de vices, qui a tout fait, tout vu. Je me suis bien éclaté avec lui !

- Brènedane (chapitre 2) : nul ne sait qui est ce personnage cité dans le récit du rêve de Lymnie, sans doute faut-il voir une influence Beverly Hills ou Melrose Place dans le choix de son prénom.

- Mayene (chapitre 2) : je me souviens plus pourquoi j’ai choisi ce nom pour la mère de Lymnesine. Je sais que j'ai mis du temps avant d'en trouver un qui me satisfasse, et je me suis rendu compte un mois après qu’un département français s’appelait Mayenne. C’est honteux de connaître les noms/types/moyens d’évolution de plus de 800 bestioles virtuelles et de ne pas être foutu de mémoriser les 101 départements français.

- Chrystosmus « Chrys » (chapitre 2) : ce Galeking au verbe pompeux porte l’un des nombreux prénoms de Mozart, une façon pour moi de souligner sa sensibilité artistique. Par contre, j’aime beaucoup moins son diminutif qui rappelle un personnage du jeu.

- Ewart (chapitre 2) : il s’agit du second prénom de l’inventeur du close combat, William E. Fairbairn. Des fois, on peut aller loin pour trouver un nom… En écrivant ses lignes de dialogues, il est vite apparu que j'avais des lacunes en japonais des animes.

- Casus Belli l’Effronté (chapitre 3) : « un événement pouvant entraîner la guerre » en latin, sans doute une réminiscence de mes cours d’Histoire antique. J’aime beaucoup ce méchant, j’ai l’impression de partager des points communs avec lui. Il aurait pu avoir un physique très différent, si RysMakarena ne l’avait pas trouvé « classe quand même » lors de sa première apparition. Pendant la rédaction du chapitre 31, j'ai découvert qu'il existait un magazine intitulé Casus Belli, spécialisé dans les jeux de rôles et jeux de guerre.

- le Roy (chapitre 3) : j'ai préféré le mot écrit en vieux français, histoire de donner une saveur médiévale à cette histoire qui ne l'est pas beaucoup.

- Sath Auros (chapitre 4) : dire que dans n'importe quel shônen, il ferait un héros stylé, j'en ai fait un personnage fade et antipathique. Je cherchais un nom de famille qui évoque l’or (comme ça, sans raison) et au final, j’ai obtenu un truc ressemblant à Saturos, l’antagoniste du premier Golden Sun (Salamandar en VF).

- Beldar Meredith alias ??? alias le Mystérieux Mec Masqué (chapitre 4) : un cousin de Nimue, j’ai puisé dans les mythes d’Europe du nord pour son prénom, qui n’est que la déformation de Balder, dieu de la beauté et du soleil chez les Vikings. Je suis curieux de savoir comment chacun a lu les trois points d'interrogation.

- Drago Malfeu (chapitre 4) : Dracaufeu dont le nom est basé sur Drago Malfoy, le merdeux de la saga Harry Potter.

- Scott Vielker alias Meowthian Manhunter (chapitre 5) : peut-être parce que je relisais Scott Pilgrim à ce moment-là, le nom est basé sur Jérôme Kerviel, trader tristement célèbre, quant à l’alias il s’agit d’une parodie de Martian Manhunter, un super-héros peu connu du grand public. À la base, j'avais ébauché ce personnage pour Epic Fail, il devait être la version alternative du Miaouss de la Team Rocket.

- MetalGreyman (chapitre 5) : super-héros inconnu (et probablement badass) calqué sur MetalGreymon, un de mes Digimon favoris.

- Jerry McGuiness alias Crobatman (chapitre 5) : parodie de Terry McGinnis, le héros de Batman Beyond, jusque dans son costume et son véhicule. Par contre, il a hérité du sens de l’humour de Bruce Wayne.

- Goldeen Lantern (chapitre 5) : parodie de Green Lantern, avec un soupçon d’Aquaman et le physique de Powergirl. Chacun ses fantasmes.

- Marvelscale (chapitre 5) : il s’agit du talent Ecaille Spéciale en anglais. Les superhéros parodiés provenant de DC Comics, il fallait bien que leur ennemi ait quelque chose de Marvel, non ?

- MissingNo (chapitre 5) : je n’ai rien inventé, c’est le nom d’un bug des jeux de la première génération, mais je préfère le préciser.

- Bonifacio (chapitre 6) : le nom de ce Smogo, puis Smogogo, puis Smogogogo est une référence au sketch du cours d’Italien d’Elie Kakou.

- Sofia Querilane alias Silverwind (chapitre 7) : je m'en veux d'avoir raté l'évolution de Sofia. Je n'ai jamais eu d'idée vraiment précise sur elle, si bien qu'à la fin, elle s'efface dans le rôle de la chiante de service pour que Lymnie puisse briller. Son prénom vient d’un personnage de Golden Sun (encore) et l’alias, c’était uniquement pour justifier le nom du chapitre 10.

- Mark (chapitre 7) : ce nom s’est imposé de lui-même, sans autre explication. Pourtant, dans mes notes, le Farfaduvet devait être une fille et s’appeler Aliénor.

- Sori-Yuma Beutioumyne (chapitre 7) : jeune magicienne fumant en secret, son nom est une allusion à une pub pour Schweppes « Sorry Uma, but you mean sex, right ? ». Quant à la question du pourquoi cette référence à la con, je crains qu’elle ne reste sans réponse.

- Magnolia Magus (chapitre 7) : puisque sa grand-tante est surnommée MagMar et que le ridicule ne tue pas, j’ai recherché une prénom en MAG- afin de pouvoir l’appeler MagMag, ce qui est débile et qui n’apparaît pas dans l’histoire.

- Luc Nalp (chapitre 7) : plan cul à l’envers, il y en a quelques uns qui sévissent sur Facebook apparemment (j'étais tellement fier d'avoir trouvé ce nom tout seul que j'ai vérifié sur Internet combien de milliers d'individus avaient eu l'idée avant moi).

- Jean-Bobby (chapitre 8) : parfois, le manque d’inspiration mène à la paresse et à des noms pourris comme celui-ci.

- Etherion Hesperides (chapitre 8) : pris dans l’ordre de naissance les premières lettres des enfants Hesperides forment le mot CIEL. Pour les garçons, j’ai inventé des prénoms évoquant le ciel, ici l’éther. Aucun lien avec la fondation de la 7G.

- la Reyne Abigail (chapitre 8) : j'ai mis un y au Roy, je devais bien en faire de même avec la Reyne, non ?

- Everett Lokoms (chapitre 8) : mais que venait foutre ce petit bourgeois sans importance dans cette histoire de fou ?! Aucune idée. Ma sœur me parlait d’un auteur anglais dont le prénom était Everett. Quant au nom, c’était pour placer un exécrable jeu de mots quelques chapitres plus tard (qui m'a bien fait rigoler...).

- Kintaro (chapitre 8) : il fallait forcément un personnage avec un nom japonais pour que la parodie soit complète, vu que je critique la culture manga et japanimation. Kintaro signifie le fils doré, si je ne dis pas de bêtises, ce qui est suffisamment cool pour un Wizard.

- Zalgor (chapitre 8) : ce Wizard est librement inspiré de Zelos, du jeu Tales of Symphonia. Parmi les clichés masculins, je me devais d'avoir un dragueur beau gosse. Sauf qu'on ne le voit pas trop en action,

- Aliénor (chapitre 9) : basé sur Aliénor d’Aquitaine pour une raison qui m’échappe totalement. En relisant mes notes, je me suis rendu compte que la Goupelin devait être un mec et s’appeler Taliesin, nom d’un barde rattaché à la légende arthurienne.

- Flashcannon (chapitre 9) : parodie de Flash, le nom est la traduction de Luminocanon en anglais.

- Remigio « Ray » Toreno (chapitre 9) : qu'est-ce que je me suis éclaté avec le vieux mafioso ! Concernant son nom, Ray c'était pour faire la blague de Ray casa dont je suis très fier, et Toreno par rapport au personnage de Torneo dans Black Cat, qui m’a inspiré pour son physique avec le Saint-Père de Lastman.

- Gino, Vincenzo, Arnaldo et Matteo (chapitre 9) : des prénoms italiens, c’est tout.

- Pamelo et Jessico (chapitre 11) : ces deux sbires nous prouvent qu'il est plus facile de féminiser un prénom masculin (en usant d’un suffixe comme –a, –ine, –ette, –elle…) que l’inverse. En partant de cette réflexion, j’ai trouvé les noms des side-kicks de Casus Belli.

- Marielle Lambda (chapitre 12) : j’ai découvert le prénom Marielle trois jours auparavant, et le patronyme témoigne de l’importance du personnage dans l’histoire.

- Peswar Hesperides (chapitre 12) : puisqu’il est le père de quatre enfants, je me suis mis en tête de chercher un nom évoquant ce chiffre. Grâce au Wiktionnaire, j’ai trouvé Peswar, qui signifie quatre en cornique (une langue celte disparue). Il y avait aussi Peder en breton, mais cela aurait pu choquer les plus jeunes.

- Papa Bravo et Charlie Tango (chapitre 12) : depuis que je suis gosse, quand un avion communique avec la tour de contrôle dans un film, je ne sais pas pourquoi, ça me fait marrer. Et comme le chapitre 12 est loin d’être le plus drôle de la fic, j’ai voulu me rattraper vers la fin avec ce gag.

- Irmès Hesperides « le Magistrat » (chapitre 13) : pris dans l’ordre de naissance les premières lettres des enfants Hesperides forment le mot CIEL. Pour les garçons, j’ai inventé des prénoms évoquant le ciel, ici cela rappelle Hermès qui n’est pas le dieu du ciel, mais est souvent représenté avec des sandales ailées. Pour ce qui est de son titre, j’aime bien quand le héros n’est nommé que par sa fonction (par exemple le Révérend dans Pale Rider).

- Eoin, Joanne, Neil et Terence « les Tortanks Ninjas » (chapitre 13) : vous n’êtes pas sans savoir que les noms des Tortues Ninjas sont tirés de peintres italiens de la Renaissance, j’ai voulu actualiser le principe pour la parodie. On a donc Eoin Colfer (auteur d’Artemis Fowl), Joanne Rowling (Harry Potter), Neil Gaiman (Stardust, entre autres) et Terence Pratchett (le Disque-Monde).

- Lucius Malfaux (chapitre 14) : Insécateur dont le nom est basé sur Lucius Malfoy, le père du merdeux de la saga Harry Potter. Je voulais qu'il y ait une certaine cohérence dans les noms des Pokémon de Sath.

- Casqueps (chapitre 14) : le Kabuto désigne le heaume traditionnel des samouraïs. Donc si on traduit Kabuto par Casque, alors Kabutops donne Casqueps. C’est logique.

- Pudi le sage (chapitre 14) : j'ai été drôlement surpris par la popularité du personnage lors de la publication du chapitre Casse-brique, c'est pourquoi je l'ai inséré (artificiellement) à la fin. Son nom vient de l’acteur Danny Pudi, interprète d’Ahmed dans la série Community, un personnage abusant de l’humour méta.

- Moi (chapitre 14) : le narrateur omniscient et impersonnel possédant une sacrée personnalité (la mienne ?), je devais souvent me retenir de placer des « je » dans mon récit à la troisième personne. Aussi, pour verser dans le self-insert, je me suis dit que ce serait sympa un personnage comme Moi. Et puis c’était marrant de lire certains commentaires sur Moi.

- Sire Iglutsoa (chapitre 15) : légendaire chevalier beau gosse, basé sur le pseudo d’un trublion de Pokébip qui avait posté cette semaine-là sur son blog un « article » à mourir de rire.

- Capitaine Sulfurax (chapitre 15) : il me semble que j'ai trouvé le nom avant de me pencher sur le personnage, ce n'est qu'un jeu de mot basé sur l'oiseau légendaire. Quitte à créer un officier agressif et craint, autant que ce ne soit pas un Pokémon totalement évolué. Malgré ses 90 cm, ce Galifeu est terrifiant !

- Inspecteur Metamorph (chapitre 15) : après une allusion au détective Pikachu et le personnage de GDE dans mes précédentes fics, c'est au tour de Metamorph de résoudre des enquêtes !

- Bonnet et Casquette (chapitre 16) : deux gosses qui rappellent le chapitre 1 d'Un sbire à Alola, c'est moche de voir son originalité s'étioler ainsi.

- Fiat Lux le « Procrastinophobe » ou le « Ieuv Chelou » (chapitre 16) : « que la lumière soit » en latin. Étant un ancien ultimage de l’hiver, je me suis senti obligé de me tourner vers les citations latines comme pour Casus Belli. Le titre du blog de Lief97 m’a inspiré son premier surnom.

- Blanche Fragile (chapitre 16) : je suis déçu de ne pas avoir pensé à ce nom bien plus tôt, il m'est venu alors que je me rendais sur mon lieu de travail. A réutiliser.

- Caporal Suleyman (Chapitre 17) : j’aime beaucoup la graphie de ce prénom, on dirait un nom de super-héros. Mais en lisant Solomon Kane, je me suis rendu compte qu'il s'agissait d'une déformation de Salomon. Depuis, ce prénom me fait moins d'effet.

- Kévin (Chapitre 18) : déformation de Kelvin, admin de la Team Magma, mais également personnage de la fanfic Flammes Contraires, que vous pouvez lire, mais pas commenter. Dans le même passage, il est fait allusion trois autres fics que pouvez lire et commenter : Rester Maître du Jeu, La Quête des Élus et Rien n'est blanc ou noir (qui s'appelle à présent Sans ét(h)iquette – je préférais l'ancien titre).

- Lockpin Vorpal (Chapitre 18) : allusion au lapin vorpal du film Sacré Graal.

- Getup (Chapitre 18) : quand j’étais gosse (donc stupide) j’avais l’impression que James Brown disait « Galopa » au lieu de « Get Up ». J'espère vous avoir mangé le cerveau avec cette anecdote.

- Mamadou Bonnefortune (Chapitre 19) : je voulais casser le cliché du grand mage à la longue barbe blanche, je me suis donc tourné vers d'autres horizons, mais j'ai l'impression que ça fait cliché malgré tout...

- Worcestershire (Chapitre 19) : je ne sais pas prononcer ce mot.

- Akuma Natata/Nokiss (Chapitre 19) : plantureuse succube dont le nom vient des paroles de la chanson Lollipop candy BAD girl de Tommy heavenly6 (vers 3:48) et d'une phrase célèbre du Roi Lion.

- Sergent Hibiscus (Chapitre 20) : je cherchais un nom de fleur pour coller avec les paroles que chante Lymnie (and flowers lean toward the sun).

- Will Bikild (Chapitre 20) : déformation de Will Be Killed, c'est une façon de prévenir les lecteurs de ne pas s'attacher au personnage, il ne va pas vivre longtemps.

- Le Chambellan (Chapitre 21) : il faut vraiment que je l'explique, celui-là ?

- C.O. (Chapitre 22) : mystérieuses initiales inscrites sur le journal de Gottfried. Il s'agit tout simplement de mes initiales, une façon comme une autre de signer Magical Girl.

Le chapitre 22 contient plusieurs parodies de bipiens actifs en 2017 (je précise pour ceux qui liront cette fic plus tard), dans l'ordre : Voleon, Crowley, LunElf, baltazara, Clafoutis, Mentalira, Skyzoguy-Pokephilosophe, Suroh, Kazumari, Eliii, RysMakarena et Gestalt + la référence subliminale à Lief97.

- le capitaine Jean-Luc Picassaut (Chapitre 22) : capitaine du Trowlley n'aimant pas beaucoup les IA, il s'agit d'une parodie de Jean-Luc Picard de la saga Star Trek, qui nous offre un Français comme capitaine de l'Enterprise.

- le commandant Harlock (Chapitre 22) : odieusement recopié du vrai nom d'Albator, ce personnage qui surclasse de loin tous vos héros d'animés préférés.

- le Xerneomorphe (Chapitre 22) : croisement entre Xerneas et la bestiole de la saga Alien, ce monstre de type Fée adore se planquer dans des pâtisseries pour vous sauter ensuite à la gorge.

- Darth Stantler (Chapitre 22) : pour ceux qui l'ignorent, une controverse menée tout en finesse m'oppose à Mentalira depuis la rédaction de l'introduction de notre recueil de souvenirs, La boîte à madeleines. Je soutiens – à tort ou à raison, je m'en fous – que Castorno est plus charismatique que Cerfrousse, ce qui fait enrager mon estimée collègue (car Cerfrousse est son top 3 du cœur). Pour la convaincre de son égarement, j'ai décidé de lui présenter un Cerfrousse tellement stylé, qu'elle serait obligée d'admettre que le Pokémon de base souffre d'un cruel manque de... absolument tout ce qu'on pourrait attendre de lui. Notez bien que ce long paragraphe sur ce personnage insignifiant dans l'intrigue n'a pour but que de relancer les hostilités (après un échange virulent d'une trentaine de messages, je l'accuserai perfidement de polluer l'espace commentaire de ma fic, mais chut, ne lui dites pas !). Sinon, c'est juste un mix entre Darth Vader et Cerfrousse.

- Samantha Birette dit « la Sbirette » (Chapitre 23) : équivalent sbire de la Schtroumpfette, elle me permet de me moquer des mauvais fansubs.

- Caelemen Hesperides (Chapitre 23) : pris dans l’ordre de naissance les premières lettres des enfants Hesperides forment le mot CIEL. Pour les garçons, j’ai inventé des prénoms évoquant le ciel, ici cela s'inspire du mot caelum qui signifie ciel en latin.

- Ève (Chapitre 23) : oh, j'ai galéré à lui trouver un nom à cette Mistigrix ! En désespoir de cause, je me suis arrêté devant ma bibliothèque, j'ai vu mes tomes de Black Cat et je suis parti sur le nom de la petite blondinette (meilleur perso féminin de shônen).

- le capitaine Sid Yeuleuveu (Chapitre 24) : si Dieu le veux, je crois que tout est dit.

- Bufkin (Chapitre 24) : le second du capitaine porte le nom de mon personnage favori du comics Fables. Je vous jure, je l'adore !

- Oliver Queer (Chapitre 27) : traître de la JLU inspiré de Green Arrow, qui offre des dialogues délicieux à écrire à Ray Toreno.

- O'Tackle alias Okutank Tackle (Chapitre 28) : je ne me suis basé sur aucun super-vilain pour celui-là, pourtant je suppose qu'il y avait de matière. J'ai eu bien moins d'inspiration pour les noms de la fin de cette histoire. Je suis parti du nom japonais de Octillery, Okutank, en y ajoutant ce qu'il fallait pour évoquer le mot tentacle.

- Vesper (Chapitre 28) : Magical Girl quasiment anonyme qui tire son nom de Vesper Lynd, je venais de finir de lire Casino Royale en écrivant ce passage.

- Stella, Claire, Candice, Eily, Héléna, Lizz, Julie, Connie et Lætitia (Chapitre 28) : il n'y a pas de copyright sur les fanfics, donc on peut voler ce qu'on veut chez les collègues, surtout des prénoms. Ces filles viennent des fics suivantes : GREAT WARS, Sans ét(h)iquette, La couleur de la lumière, Errare humanun est, Codélia Network, La quête des élus, La légendaire quête du cookie au miel d'Apireine, Partners in crime et La Pokéball grise. Le fait que leurs auteurs figurent parmi le lectorat de Magical Girl est purement fortuit.

- le docteur Von Noctuh (Chapitre 29) : le psy de Casus Belli est un autre exemple de ce manque d'inspiration, il porte le nom allemand de Noarfang.

- McKenzie (Chapitre 30) : j'étais carrément en panne d'inspiration pour cet archimage et j'avais passé la journée à siffloter Eleanor Rigby, je me suis donc tourné vers Father McKenzie, un des deux personnages de cette chanson. Lors de la rédaction du chapitre 30, j'ai découvert une version chantée par Ray Charles que j'ai adoré et écouté en boucle. Ce n'est pas une bonne idée d'écouter une chanson triste en écrivant une fic à vocation humoristique.

- Bahamut et Behemott (Chapitre 31) : les deux Pokémons de Casus Belli tirent leurs noms de monstres mythiques.

- Mrs Bidule (Chapitre 33) : parodie d'une folle furieuse sévissant sur Pokébip, capable de tenir un rythme de publication d'un chapitre par jour durant 24 jours !!!!!





Je ne sais pas d’où m’est venu ce délire de faire chanter Lymnesine (peut-être de ma sœur ?), d’autant que ce n’est pas forcément drôle de lire des paroles de chanson mal traduites en français. En plus, comble de l’originalité, j’avais déjà traduit un extrait de chanson dans Un sbire à Alola.
Bref, voici la liste des titres chantés par la magicienne et quelques explications :

- Live And Let Die, de Paul McCartney (chapitre 3) : Lymnie vient d’enterrer un mec, j’ai cru que c’était dans l’ambiance. Je cherchais une chanson assez connue avec un rapport à la mort. D'ailleurs, j'ai eu l'occasion de lire Vivre et laisser mourir, de Ian Flemming, tandis que j'écrivais cette fic.

- Gotta Catch’Em All, de Tamara Loeffler et John Siegler (chapitre 4) : la seule référence musicale partagée par tous les fans de Pokémon. Je me suis sentis obligé de la mettre afin de faire comprendre à tous que les chansons de Lymnesine existaient pour de vrai.

- Right Here, Right Now, de Fatboy Slim (chapitre 6) : à l’instar de Around The World de Daft Punk, cité dans le même chapitre, cela fait partie des chansons que l’on écoute surtout pour la profondeur des paroles (en vrai pour leur clip).

- Tubthumping, de Chumbawamba (chapitre 9) : une chanson qui parle de murge, du moins de ce que j'en ai compris, ça colle parfaitement avec cette soirée de débauche que vit Lymnesine à se bourrer la gueule avec son frère.

- We are, de Kitadani Hiroshi (chapitre 12) : premier opening de One Piece, il fallait bien que j’ajoute un peu de J-Music pour faire plaisir aux otakus. Mais j'ai limité les chansons japonaises à une seule, car je n'aime pas me fier à d'autres pour les traductions (merci au site Nautiljon, au passage). J'ai ressenti comme un élan de nostalgie en regardant le générique.

- Battlecry, de Nujabes feat. Shing 02 (chapitre 15) : opening de Samurai Champloo (dans le même chapitre, Ewart sort les paroles de l’ending, Shiki no Uta), c’est une chanson qui résume bien l’état d’esprit de Lymnie quand elle se bat. Et puis, cela me permet de faire un peu de pub pour un des meilleurs animés de tous les temps (également une des meilleurs VF).

- Just a Girl, de No Doubt (chapitre 17) : j'ai choisi cette chanson pour plusieurs raisons, d'une part parce que j'aime les années 90, malgré tout ce que cette décennie a produit de merdique, cela reste celle de mon enfance. D'autre part, parce qu'au tout début de Magical Girl, j'ai passé deux heures instructives à lire les posts du site Paie ta fac, ce qui m'a permis d'avoir un décevant aperçu des relations hommes/femmes dans le milieu universitaire, mais que l'on peut étendre à tous les domaines, en particulier dans la contre-culture geek/otaku. Si les Wizards sont aussi pénibles et misogynes, c'est qu'ils reflètent certains aspects contestables de cette contre-culture, qui s'effacent, certes, mais encore trop lentement.

- Quicksand, d'Incubus (chapitre 20) : je ne vais pas le cacher, j'adore cette chanson. Plus je l'écoute et plus je l'aime. Mon frère et ma sœur la trouvent anxiogène, mais pour moi elle tout simplement géniale ! C'est pourquoi j'ai voulu l'ajouter à la liste des airs chantés par Lymnesine d'une façon un peu différente des autres.

- Ironman, de Black Sabbath (chapitre 22) : je cherchais une chanson qui fasse SF car Lymnesine se trouve à bord d'un vaisseau spatial à ce moment-là. En plus, je trouve que cette chanson est une mine d'or, on pourrait en faire un film, une série, une bd, que sais-je ? À la place, c'est devenu le générique de la trilogie Ironman... Notez par ailleurs que Lymnie chante la version de The Cardigans, qui est plus mélodieuse.

- Enjoy the Silence, de Depeche Mode (chapitre 25) : le choix de cette chanson m'a paru pertinent dans la mesure où Lymnie vient de subir le sort de Silence. À ce moment-là de la rédaction de Magical Girl, je me souviens que mon idée d'origine est de faire chanter des airs connus à mon héroïne et je tente de me rattraper avec du Depeche Mode.

- Speech Coma, de Blood Red Shoes (chapitre 25b) : je n'allais pas quand même remettre Enjoy the Silence, il fallait quelques différences entre Encore et le vrai chapitre 25. Je trouve que cette chanson ferait un bon générique de série, pas vous ?

- Army of Me, de Björk (chapitre 26) : ici, je n'avais pas le choix, c'est la musique de la scène des samouraïs. Pas que ce fut une contrainte, bien au contraire, j'aime bien cette chanson.

- Troublemaker, de Weezer (chapitre 30) : en regardant le début des paroles de cette chanson, j'ai immédiatement pensé à Lymnesine. Je devais avoir dépassé la vingtaine de chapitres à ce moment-là, plusieurs détails sur la magicienne avait été dévoilés, comme son rapport bizarre à la littérature (who needs stupid books ?) ou ses rêves prémonitoires (studying the lessons in my dreams). En plus, cette chanson réussit l'exploit de faire rimer bitch et kids ! Lymnie fredonne également Ooh La de The Kooks, plus tôt dans le chapitre.

- She's Not There, de The Zombies (chapitre 32) : si vous ne devez retenir qu'une seule chanson, c'est celle-ci. Au fait, j'ai triché avec les paroles, les verbes devraient être au passé.