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Agent secret de TORTANKMASTER



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Informations

» Auteur : TORTANKMASTER - Voir le profil
» Créé le 19/08/2009 à 21:01
» Dernière mise à jour le 24/04/2010 à 12:40

» Mots-clés :   Action   Hoenn

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Chapitre 8 : Arrivée du SSH( Service Secret Honnin)
Retour dans la tête de Morgan

Mes sœurs revinrent après qu'on discutât sur l'attaque des sbires de la Team Hurricane. Tout en parlant je remarquai qu'n mon nous séparait voire un gouffre impressionnant nous séparait, elle parlait d'eux comme s'ils fussent de la bouse de pokémon et qu'ils n'eussent aucun coeur ni sentiment aussi pour elle ils ne méritaient quasiment pas de vivre, et pourtant nuls n'est enlevé de fautes et nuls n'est parfait. Que dire ? Ils ont tous droit à une chance de se racheter. Cette chose au fond de ses yeux indubitablement je devrais l'affronter dans le futur. Qu'est-ce que je devrais affronter ? Quelle est cette chose ?

- Morgan t'es là ? S'enquit Inaya.

Retournant dans la réalité je vis mes sœurs assises sur une chaise.
Mes soeurs étaient venues nous revoir pour nous dire ce qu'elles feraient, Amandine avait dit qu'elles allassent rechercher Brice Rochard pour avoir un pokénav et l'inviter à voyager avec elles. Ce Brice était un ami de longue date car nos parents voyaient souvent Pierre Rochard c'était une personne de l'âge de nos parents et qui avait abandonné la vie de dresseur afin de se concentrer sur une vie calme reposant sur l'activité commerciale de ses produits mondialement connus.
Ensuite elles repartirent laissant derrière elle un parfum de fraise et de framboise.

Au matin l'infirmière arriva avec un plateau, elle revint avec un deuxième plateau et glissa d'un clin d'œil :
- Pour ta copine.
L'intéressée se réveilla tendrement. Sa main lâcha la mienne.
- Salut, la réveillai-je mais elle se contenta d'un grommellement, je savais à quel point elle avait la tête dans la brume le matin.
Elle déposa un baisé rapide sur mon dos, ses jambes touchèrent les miennes. Je me retournai et déposai mes lèvres sur les siennes. Le goût de l'amour remonta .Elle planta son regard dans le mien quelques minutes puis rompit le silence :
- On déjeune et qu'est-ce qu'on va faire après ?
- Je ne sais pas à toi de le savoir. Quoique... On ira se laver l'un près l'autre et puis on visitera la ville en amoureux.
- Ça me plaît, dit-elle avec une voix joyeuse, parfois je me demandai si elle était bipolaire.
Je saisis la télécommande et mis la deux. C'était les informations.
- Espèce de vieux.
Elle arracha la télécommande de mes mains et elle mit la six. Une série pour fille.
- Espèce de... Raaah je vais me laver.
- Eh ouais ! Le feuilleton Sacha et Ondine est trop beau, en plus ce n'est pas pour les vieux.
Elle mit le coussin à l'envers et se mit en travers du lit.
- Me matte pas pervers. Va à la douche.
On passa les deux premières heures de l'aurore à nous préparer. On partit du Centre pour rendre les clés. Dehors je découvris un immeuble de sept étages qui était juste le Centre Pokémon. Elle me prit la main et me regarda tendrement comme si elle allait me faire un proposition que je n'accepterai pas. Soudain je remarquai la présence de la foule nous évitant. Elle était dense, variée, compacte, ils affluaient tous vers les banques, Centre Commercial, l'hôtel, le marché... En bas étaient des gens plus variés, elle me tira par là. C'était des petits magasins ou des appartements de classe moyenne se dressaient sous le regard des grands immeubles menaçants. Elle me ramena à la réalité me montrant une boutique de fille, elle fit les yeux doux.
- Si tu veux... Lâchai-je en soupirant.
- Je dois acheter des affaires personnelles.
Elle me laissa en plan. Je m'assis sur une chaise à côté d'un arbre. Je pouvais voir les gens vaquer à leurs affaires, parfois un agent traînait observant les magasins ou les passants. A travers cette foule et ce tohu-bohu je vis un magasin de bijou. Je me levai et me dirigeai vers lui.
Une idée me vint et j'allai l'appliquée.
J'inspectai la marchandise quand passa le vendeur qui s'enquit de mon besoin.
- Je chercherai une gourmette pour ma petite-copine.
- Teint de peau ? Cheveux ?
- Elle a le teint mielleux et les cheveux noirs.
- Bien, l'or lui sierra à merveille. Il ira avec sa peau et il la valorisera avec ses cheveux. Voilà.
Il tendit une gourmette en or avec un prénom qui n'était pas le sien. Il y avait d'abord une petite plaque de quelques centimètres sur laquelle était gravé Amandine en italique et noir. La plaque était relié par des chaînes ou quelque chose comme ça qui était encore fin.
- Son prénom ?
- Inaya.
- Peu courant cpendant magnifique. Attendez devant le guichet pour payer.
Il re-déposa le modèle puis il partit derrière le guichet, tandis que moi je me plaçai devant.
Le vendeur revint avec la bonne gourmette avec le bon prénom.
- C'est parfait.
- Ceci coûtera cinq mille pokeuros.
Je saisis ma carte et fis tout ce qu'il fallait pour payer. Le vendeur me remercia en se pliant à demi tout en disant une formule de politesse ; je la lui renvoyai tout aussi respectueux.
Dans la rue se trouvait Inaya attendant mon retour sur le pied de guerre, les yeux à demi-clos scrutant la foule tenant à la main une poche rose avec une plume rose agrafée aux deux ouvertures elle-même fermées.
- Qu'est-ce que t'es parti aller faire ? Lança-t-elle brusquement, je la sentais tendue.
Je lui tendis la boite dans laquelle était la gourmette. Elle la prit, me regarda circonspecte comme si elle était un piège, et l'ouvrit dévoilant le bijou. Ces yeux brillaient intensément. Elle se jeta dans mes bras et murmura : je t'aime. Je lui mis la gourmette et elle la regarda avec plaisir, puis releva la tête et m'embrassa. Ses yeux étaient remplis de bonheur, joie et amour. Bref, de quoi combler le plaisir de la vie et faire disparaître les moments orageux d'une vie.
- Inaya ! Morgan !
On se sépara à contrecœur. Mes sœurs et Brice arrivèrent sur le trottoir d'en face tenant des sacs et surtout Birce chargé comme une mule.
Brice était comme d'habitude. Il avait un regard bleue azur intelligent et vif. Ses cheveux cachés par l'habituel bonnet donné par mon père. Et pour finir la dernière tenue de dresseur Scorpio. Cette tenue était la plus chère bien que pour un Rochard rien n'est chers.
- Salut Morgan. Bonjour, mademoiselle , je me présente, Brice Rochard fils de Pierre Rochard directeur de l'entreprise mondiale Devon. Et vous belle demoiselle qu'elle est votre prénom ?
- Je te présente Inaya, Brice, soupirai-je enervé par ces mimiques de riche qui l'obligeaient à lui faire une sorte de révérence et à lui faire la bise sur la main.
Elle le regarda de haut ce qui terrifia Brice et lui faire perdre contenance devant elle, cela ne lui était jamais arrivé. Quand je la regardai-je compris le pourquoi, elle était froide comme la mort et semblait presque sur le point de se battre avec lui.
- J'aimerais savoir comment Morgan peut avoir une petite-amie ?
Son ton était autoritaire, ça c'était une manie qui se perdrait avec Amandine puisqu'elle même était autoritaire.
- Ça te regarde Brice-qui-se-croit-tout-permi.
Il s'empourpra en remarquant le regard assassin d'Amandine. Elle était la seule personne qui avait autorité sur lui.
- Vous comptez faire quoi cette après-midi ? S'enquit Amandine.
- Visite de la ville. Pourquoi ?
- Il y a un concours à quinze heures aujourd'hui. Je compte y participer ainsi qu'Alexandre, donc j'ai pensé à toi Inaya ? Veux-tu y participer ?
- Je ne sais pas. Je verrai avec Morgan.
La réponse m'arracha un sourire car je la connaissais.
- En tout cas si tu veux y participer va t'inscrire au guichet il est pas loin du magasin des fleuristes. Aussi Morgan tu dois appeler Maman, elle m'a presque gueulée dessus quand je lui ai expliqué ce qui t'était arrivé. Promis tu l'appelles ? Demanda-t-elle tendue et me laissant aucune marge de manœuvre afin de m'esquiver.
- Promis.
Quand tout ce petit monde partirent Inaya poussa un soupir.
- Pourquoi l'ai-je mis en colère ?
- Tu aurais du dire oui tout simplement. Un je ne sais pas l'énerve.
- Et ce Brice me plaît guère, c'est bien un fils de riche.
- Une fois que mes sœurs le purgeront de ses manies il sera un vrai clown et gentil, presque naïf.
- Ca promet deux folles et un clown, ça donne quoi ?Marmona-t-elle pour elle-même de sorte que je l'entendis presque pas.

On passa un moment a parlé avec ma mère. Elle était au courant pour moi et Inaya, donc elle dût se présenter puis elles enchaînèrent un discussion sur moi. Ensuite avec ma mère on parla de nos voyages. Quand je raccrochai fatigué d 'avoir autant appelé je me demandai si c'était réellement ma mère ou pas tellement qu'elle avait changé. Elle avait l'air plus vieille, en plus elle tenait plus vraiment soin d'elle. Son visage avait pris des rides et, notamment, se trouvait des poches sous ses yeux montrant une certaine fatigue inexplicable.
- Ta mère m'invite à manger. Elle est sympa.
- Bien sûr, confirmai-je souriant
Je lui pris la main et on descendit.
En bas était personne, même le comptoir était vide.
- Trop silencieux il y a un problème… Les Rattata sont dans la cage… Dit-elle égnamitaquement.
Soudain arriva un Kadabra qui nous hypnotisa sans qu'on puisse faire quelque chose.
Dès qu'on entrait dans son rayon on ne quittait plus des yeux les yeux de Kadabra qui étaient bleutés. Je sentis mes jambes se dérobaient et on commença notre chute vers le sol.