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la piraterie n'est jamais finie
de SeaMyuu

                   


2016 note concernant les mps et commentaires :
ineffable tête en l'air, mon temps de réponse est estimé à "il ne faut plus attendre au risque d'encore y être dans vingts piges"

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aujourd'hui, quatre galeries qui n'ont pas encore assez de créations (2-3 pour certaines) pour sortir des tréfonds de la "liste des galeries sans étoiles", mais avec déjà un contenu qui me fait dire que j'en veux plus. ce côté de l'espace membre est l'un de mes préférés, parce qu'on y trouve de petites pépites en fouillant, alors j'y passe quelquefois en espérant tomber sur quelque chose de nouveau... c'est du coup l'occasion de vous présenter des travaux qui méritent le coup d'oeil malgré leur manque de visibilité !
dans l'ordre : AliceLidell et ses coussins cousus main que je trouve TROP CHOUETTES, YannweaponX qui a posté ses participations au retrodex (il faut savoir qu'il est plus axé dessin normalement, dans lequel il excelle. le pixel art était nouveau pour lui !), Sinoka et ses aquarelles toute douces, et enfin Akaranei qui est plus versée dans le digital avec ses Phyllali du love.

j'ai pas un talent fou pour aguicher les foules malheureusement, alors je vous encourage plutôt à cliquer sur les petites vignettes pour voir leurs travaux !
ils parleront d'eux-même bien mieux que je ne le fais
Article ajouté le Vendredi 02 Juin 2017 à 15h55 |
13 commentaires
j'adore les beaux jours



? c'est inspirant ! ?
Article ajouté le Vendredi 19 Mai 2017 à 23h46 |
6 commentaires
dessin de perspective - explications


Pour ceux intéressés, cet album photo Facebook
de l'artiste chinois BOSS翎 regroupe des schémas
hyper instructifs (et simples à comprendre !) sur comment penser et dessiner la perspective.
Un peu un must have quand on sait comme il est compliqué de l'appréhender.





le spoiler qui suit ne concerne vraiment personne d'autre que moi, il regroupe une partie des outils / techniques que je connais / ai testées
L'information suivante est susceptible de révéler quelque chose d'important et de gâcher une surprise
✓ papier (grammage, utilisation pour un support spécifique). je le mets juste ici pour m'en souvenir
✓ perroquet
✓ réglet / règle
✓ té
pinceaux
tables lumineuses
planche à découper (aussi indispensable comme support de dessin)

✓ crayons de couleur
✓ crayons graphite (HB, 2B...)
crayons conté
mine de plomb

✓ feutres alcool
✓ feutres
feutre pinceau
marqueur

aérographe
plume

✓ stylo bille
✓ feutre calibré

sanguine
craie
pastels secs
✓ pastels gras (à l'huile)
pastels tendres
✓ fusain

✓ liquide de réserve aka drawing gum

✓ estompes
✓ coton tige
✓ mouchoir
✓ buvard

gomme
gomme mie de pain

acrylique
✓ aquarelle (+ godets)
peinture à l'huile (+ thérébentine)
gouache
✓ encre de chine (lavis)
pigments
encres
sépia
tempéra

enluminures
lynogravure
✓ gravure sur cuir

peinture sur verre
mosaïque
vitraux
✓ maquettes (balsa, carton plume, bois, gris, cutter, scalpel, colle)

modelage, figurines et moules (latex, résine, silicone)

terre / plâtre :
✓ céramique (cuit) (email, argile)
✓ poterie ( + ébauchoirs, mirettes, éponge)
modelage (fimo, polymere, velvet)
✓ plâtre (poudre, bandes, pelle)
sculpture

pierre :
cisailles
rifloirs
spatule

bois :
pyrogravure
✓ gravure, sculpture (ciseau à bois, gouges)

métal :
gravure, modelage (pince, décapeur, stylo d'impression, pâte à polir)

✓ laine à carder
laine
✓ feutrine
✓ aiguilles
Article ajouté le Mercredi 10 Mai 2017 à 17h58 |
3 commentaires
Méthodologie de dissertation
05. 2017 remis en tête si des gens sont susceptibles d'être intéressés , c'est la période

MÉTHODOLOGIE DE DISSERTATION
niveau lycée / bases

Le bac approche (dez dez de vous le rappeler...) et avec lui les révisions, le "c'est pas grave il reste trois mois", les gens qui font des fiches et les sacro-saintes dissertations. J'ai beau les aimer de tout mon cœur, on peut s'le dire : c'est pas foooorcément ce qu'il y a de plus inné et de mieux enseigné malgré leur importance majeure, même en post-bac. Et c'est dommage parce que même sur le fond, c'est un excellent outil pour cultiver son esprit critique ou le former ! Un peu à la manière des maths (mais BON je suis disons-le LÉGÈREMENT moins à l'aise avec les chiffres) qui offre une technique, une logique en plus de son contenu pur.
Pour ceux qui en auraient besoin j'avais donc rédigé une petite méthodo, alors autant qu'elle serve ! c'est très perfectible, n'hésitez pas à reprendre ou demander si besoin est. Elle est particulièrement orientée philosophie / sciences éco pour la forme mais s'adapte également pour l'histoire, la géographie, la littérature... Les principes de l'introduction et de la conclusion sont les mêmes, il est simplement à noter que pour le premier par exemple, le développement ne se présentera pas sous forme d'argumentaire (pour la dissert de majeure) avec sauts de ligne et compagnie mais simplement de la rédaction de faits articulés autour de 2-3 grandes parties adaptées au sujet.

LES BASES DE LA DISSERTATION - NIVEAU ATTENDU AU BAC
On retrouve trois parties majeures dans toutes les dissertations : l'introduction, le corps (développement), et la conclusion. Qu'il s'agisse d'un sujet qui demande thèse – antithèse – synthèse ou pas, il faut respecter ce schéma. C'est parti pour un petit tour d'horizon des trois ! mais avant toute chose
/!\ jamais, never ever, niet, kaput, peanut, zéro JE dans une dissertation. Même si évidemment vous argumentez à coup d'idées personnelles (ou non d'ailleurs !), de connaissances qui sont les vôtres, jamais de première personne pour exposer un argument. Jamais de « je pense » ou « je trouve que », même pas de « à mon avis ».

L'INTRODUCTION & sa composition

dans l'ordre :

l'accroche : introduit la dissertation. Il peut s'agir d'un fait , d'une citation, mais surtout en rapport avec le sujet. Il faut être capable de l'y rattacher. Du moment qu'on démontre le lien c'est bon, mais pas besoin de faire quelque chose de trop compliqué.
Attention : ne pas utiliser de généralisation (« depuis la nuit des temps » « tout [insérer une catégorie lambda de gens] a toujours [cliché]... » / rien de trop alambiqué donc / pas de hs (faire une accroche évidente qui ne demande pas trop d'explications aide)

- l'analyse des termes du sujet : grosso merdo, quand on rédige, c'est donner leur définition. C'est l'étape la plus importante, on identifie les mots clés de la question donnée pour soi (on souligne les mots les plus importants de l'énoncés pour bien les mettre au clair), on se pose quelques minutes en se demandant qu'est-ce qu'ils veulent dire, de toutes les manières possibles, on les décortique (les double sens donc, comme dans le cas très parlant de pouvoir : la possibilité mais aussi le pouvoir qui assied de l'autorité sur autrui). La question de l’étymologie est également très importante.
Cette étape permet d'établir un lien entre eux / de rendre la compréhension du sujet fluide
« Si truc signifie... et que machin suppose que... alors on peut dire que... »

l'introduction du sujet : directement liée à la définition des termes. On va montrer qu'il y a quelque chose à résoudre. Ne surtout pas simplement recopier la question donnée ou en faire une paraphrase, c'est BA-NNI. On prend le sujet et puis on se le pose sous la forme interrogative pour trouver quel intérêt il peut avoir
« Robin et son implication dans les aventures de Batman » Quelle est l'implication de Robin dans ces aventures ? Joue-t-il réellement un rôle ? Lequel ? Qu'apporte-t-il à l'intrigue ? Comment se positionne-t-il par rapport à Batman ? (60cm en dessous.) C'est de là qu'on dégage une problématique, qui pourra répondre à l'ensemble de ces questions. Il ne faut pas oublier que le lecteur est censé ne rien connaître du sujet.

l'annonce du plan : Si possible, pas trop scolairement ("dans une première partie blablabla"), que l'annonce soit fluide et logique. Le plan est un fil conducteur qui répond à la problématique. Il existe plusieurs façons d'organiser une dissert, et donc de construire son plan, mais la plus utilisée et courante reste malgré tout la construction dialectique. petit zoom sur la bête.

EXEMPLE : LE PLAN DE DISSERTATION THÈSE-ANTITHÈSE-SYNTHÈSE (PLAN DIALECTIQUE)
(UTILISÉ OBLIGATOIREMENT S'IL Y A UNE THÈSE A DISCUTER)

problématique : le travail est-il toujours un facteur d'intégration sociale ? (bonjour ES !) (la dissert est reprise d'un sujet de concours de culture générale sciences po il me semble, vous pouvez éventuellement trouver le corrigé sur internet pour le contenu de chaque partie)

plan :
OUI : il peut être facteur d'intégration sociale encore aujourd'hui (on peut aussi commencer par répondre à la négative à la question)
MAIS, il ne l'est pas toujours (ce n'est PAS l'exact opposé de ce qu'on a pu dire au début, mais une nuance. Pas de réponse totalement tranchée en dissertation les cocos, même si votre avis personnel l'est. En fait, il faut plutôt confronter, comparer, mais pas opposer. C'est mettre en relation les deux qui est intéressant. Il a deux façons de présenter les choses qui aident beaucoup dans ce cas : l'interronégatif et le concessif. Petite parenthèse sur ces deux copains.

  • (la problématique est ici un truc du genre "L'architecture n'est-elle qu'esthétique")

    Interronégatif (quel mot fourbe) : « n'est-il pas judicieux de se demander si l'architecture n'a pas seulement une fonction esthétique ? N'a-t-elle pas aussi un profil spontané et utile ? » en est un exemple. On tourne la problématique à l'inverse, en se disant "oui, mais alors non ! est-ce que ce ne serait pas pas ça ?" En général l'interronégatif attends une réponse positive, dans le sens OUI tu as raison de remettre en question ce qui t'es initialement présenté. Comme dans la seconde partie de la phrase qui apporte ici la justification possible (qu'on viendra du coup argumenter plus tard !) au pourquoi de ce questionnement -> en gros, attendez parce que je connais autre chose, donc ça veut dire qu'il n'existerait pas que ce qu'on me présente ?

    Concessif (accorder qqchose à quelqu'un pour introduire une autre idée) : « si l'on ne peut nier la fonction esthétique de l'architecture, il importe en revanche de souligner son caractère parfois spontané et purement utile... »)


- AINSI/DONC/EN FAIT : l'intégration sociale doit se faire par une discipline souple mais régulée du travail (on « conclut » en apportant une solution à ce qu'on a pu dire plus haut) Chaque idée que l'on va défendre représente une réponse au problème. Généralement, il y a une escalade dans la complexité. On commence par le plus évident, et on va vers des réponses un peu plus poussées au sujet. Pour la première partie c'est souvent l'opinion générale qu'on reprend, ou une qui paraît évidente. « Les dictatures, cool ou pas cool ? » « non, pas cool » et puis on développe, « moins de libertés, c'est pas très gentil, kim jung II a instauré la terreur avec sa touffe gominée pour tous ».

Il existe aussi les plans analytiques, avec des approfondissement successifs. On envisage tous les aspects d'une problématique sans les confronter. En général, ça donne quelque chose comme : 1. analyse de la problématique 2. pourquoi ? Quelles causes ? 3. les conséquences et solutions.
Les plans chronologiques aussi peuvent être utiles, en particulier en HISTOIRE, comme par exemple si le sujet situe dans une période précise. On découpe en fonction des événements/périodes majeurs.

Le plan ne donne pas d'exemples, c'est le taf du développement. Que les idées et grands axes de celles-ci.

LE DÉVELOPPEMENT & sa composition

Chacune des parties est composée d'arguments auxquels on essaie au maximum d'attacher des exemples. En tous cas c'est un gros plus, sachant que ce qui peut être illustré prend un tout autre poids (aussi relatif que cela puisse au final être). En structurant, on fait pareil que pour les idées : on part de l'argument le plus simple et on finit avec le plus tordu ou celui qui demande le plus de développement.
Ne pas oublier : que c'est une suite logique d'idée qui forment un raisonnement. Donc des mots de liaison qui font se suivre chaque argument, c'est mieux ! Le langage doit accompagner la réflexion, c'est crucial dans une dissert.

On peut commencer d'entrée le paragraphe par l'idée générale, de façon claire (et on fait suivre par le raisonnement qui a amené à cette déduction). Ça évite de se perdre, et le lecteur sait de quoi il va être question (et puis c'est plus simple à gérer). Ne pas oublier de développer après, afin d'amener le propos et d'expliquer comment on en est arrivés là !
Quand on donne l'exemple juste après, il faut bien évidemment mettre en relation l'argument et l'exemple. Il est possible de mélanger les deux.

L'idéal on va dire, est d'environ trois arguments par partie du développement (donc 9 au total), mais privilégiez surtout la qualité

Encore une fois, cette présentation est particulièrement valable pour ce qui est de la philosophie, mais l'idée d'un développement logique est valable pour absolument toutes les matières.

LA CONCLUSION & sa composition

A éviter de bâcler si possible (même si tout le monde le fait). Une bonne conclusion, on peut la faire sans avoir rédigé avant (avec quand même le plan et ses arguments en tête), parce qu'elle reprend les conclusions de chaque grande partie. On fait particulier vers général, à l'inverse de l'introduction, et on donne les principaux axes qui ont fait qu'on en est arrivé à telle position en partant de la problématique.
On PEUT fermer avec une ouverture. On évite quand c'est pas indispensable/qu'on a une vague idée bateau. Si ça n'apporte rien, ni à l'élargissement de la problématique, ni à ce qui a pu être dit, et que ça n'a pas vraiment de rapport, c'est bof (et en plus c'est ce sur quoi reste le correcteur en dernier, apparemment, donc pas de folies). Faire pour faire, sans vraiment maîtriser, ça peut être se tirer une balle dans le pied.

Note pour la présentation : saut de ligne entre intro/dvlpmnt/conclu, entre chaque partie, et retour à la ligne à chaque argument. On peut aussi le faire entre argument/exemple si on tiens vraiment à aérer.

tldr ;; les 3 D - développer, déduire, dépasser

AJOUTS PAR COMMENTAIRE
Flageolaid : Pour les dissertations en Histoire, l'usage du futur est également à proscrire.

Gestalt : Une formulation dont je raffole pour les annonces de plan, que ce soit dans les explications de texte ou les dissertations, c'est "la réflexion s'articulera en trois mouvements/autour de trois axes". Si vous les mettez, vous me rendrez heureux, et vos profs/correcteurs également par la même occasion.

Gestalt : D'autant plus que les compositions en Histoire ne suivent pas exactement le plan thèse-antithèse-foutaise, et que beaucoup tombent dans le piège du récit. Un conte de faits sans position critique, c'est à dire de donner des dates et des événements sans les analyser. Mon professeur d'Histoire en prépa (paix à son âme) me disait qu'il fallait presque aller devant sa disserte sans avoir appris son cours, car on sombre dans la tentation de sortir toutes les infos qu'on connaît dessus.

Dr#Reshini : Par pitié, si vous tombez sur une problématique du style : "Les enjeux de la Chine et des Etats-Unis dans la mondialajsjjs", ne faites pas 1)La Chine, 2)Les Etats-Unis. - EFFECTIVEMENT ECOUTEZ CET HOMME. il faut comparer et pas opposer les deux, donc trouver des parties qui abordent les conditions de chacun des pays sur des problématiques communes !!!
Article ajouté le Dimanche 12 Mars 2017 à 15h11 |
56 commentaires
lumière des projecteurs qui réchauffent mon coeur
aujourd'hui deux jolies galeries qui n'ont pas (encore) d'étoiles mais méritent des commentaires parce qu'elles sont COOLS.

Galerie de ZIV
&
Galerie d'ASTRALE

voilà je m'en vais
(allez-y elles valent le détour)
Article ajouté le Jeudi 20 Avril 2017 à 16h10 |
8 commentaires
l'heure est venue de ROCKER


Nigel de Cadmium © Léporidze (dessin de moé)
Son univers est riche et vaut vraiment le détour, allez donc jeter un oeil ! Et pour ceux qui sont familiers avec sa très jolie galerie, il fait partie du groupe de Wilfredo, la touffasse blonde qui porte des chemises dix fois plus kitsh que les plus kitsh de tes fringues.
Article ajouté le Mercredi 11 Janvier 2017 à 16h05 |
12 commentaires
Un artiste - Thus I’ll extirpate using my teeth and nails








GAETANO CELLINI
PEINTRE, SCULPTEUR, AMI DE RODIN (dont le nom parle peut-être plus), MAESTRO DE L’ALLÉGORIE DE MARBRE,
L'UN DE MES GRANDS AMOURS
1873 -1937 - italien - art figuratif
Article ajouté le Dimanche 08 Janvier 2017 à 12h46 |
0 commentaire
Un artiste - l'exception somptueuse








MASAAKI YUASA
ANIMATEUR, STORY-BOARDEUR, REALISATEUR, L'UN DES PAPAS DE CRAYON SHIN-CHAN,
GENIE CONTEMPORAIN DE L'ANIMATION, MAGICIEN DE LA COULEUR ET DU DYNAMISME
1965 - japonais - free form style, unique et novateur en particulier dans l'industrie animée japonaise
Article ajouté le Mercredi 04 Janvier 2017 à 13h49 |
7 commentaires
Un artiste - escapade couchée sur un canvas






CASPAR DAVID FRIEDRICH
PEINTRE, PAYSAGISTE, AMOUREUX DE LA SYMBOLIQUE DANS SES NOMBREUSES TOILES A L'HUILE,
FIGURE MAJEURE DU ROMANTISME ALLEMAND MORT APHASIQUE DANS L’INDIFFÉRENCE GÉNÉRALE
1774 - 1840 - allemand - romantisme
Article ajouté le Vendredi 30 Décembre 2016 à 16h17 |
1 commentaire
Un artiste - "the greatest cartoonist you've never heard of"






ERNESTO "El Chango" GARCIA CABRAL
CARICATURISTE, ILLUSTRATEUR, LUTTEUR GRÉCO-ROMAIN, AFICIONADO DU TANGO, PIONNIER DU CINOCHE MUET
1890 - 1968 - mexicain - art déco, art nouveau
Article ajouté le Mardi 27 Décembre 2016 à 20h37 |
2 commentaires