Vos créations littéraires et critiques.

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Manu
Légende Pokébipienne
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Re: Vos créations littéraires et critiques.

Message par Manu » mer. 13 janv. 2010, 02:49

Je m'y mais aussi je vous propose mon premier chapitre de Lükas Luz un roman que j'écris pour moi voici le 1er chapitre ^^ :
Spoiler :
LUKAS LUZ ET LA GUERRE DE GNEPAES


CHAPITRE 1 :


Le soleil tomba sur Gnépaès, mais le rythme des battements de cœur de Fernando s’accentuer . Il devait récupérer son fils avant que le dernier rayon de lumière trépasse et que la pénombre désintègre tous ses espoirs de revoir son enfant vivant . Il accentua la vitesse de ses pas mais la peur de perdre ce qu’il chérissait le plus ne lui permettait pas d’aller plus vite. Une larme coula le long de sa joue droite , ses yeux noirs était humide venant faire contraste avec les traits virils de son visage . Ses cheveux bruns mi long volaient dans le vent . Il semblait fébrile malgré sa carrure athlétique .

Il regarda derrière lui , vu Raul toujours derrière fermant la formation de poursuite . Raul , un jeune homme n'ayant que de jeune son physique . Ses cheveux blonds coiffaient en bataille ne bougé pas comme si le vent ne pouvait contre la force de la jeunesse. Ses yeux verts scrutaient l’horizon . Il avait le teint pâle lui qui pourtant était toujours enthousiaste et insouciant paraissait être préoccupé . Le plus jeune capitaine de l’Académie , Fernando le considérait comme son frère c’est pour cela qui lui avait fait confiance pour cette mission malgré son âge ce «gamin» était un redoutable combattant et surtout d’une confiance inébranlable . Fernando n’en était que plus angoisser par l'attitude de ce dernier .

Il devait aller plus vite et il était plus rassuré quand il aperçu ses deux amis de toujours ses deux coéquipier devant lui ouvrant le chemin sur la forêt d’Ecliside . John le plus costaud semblait être lui aussi conscient de la difficulté de la mission et surtout de la gravité de cet enlèvement . Cela se voyait dans ses yeux quand il se retourna une pointe d’angoisse trahissait sa rigidité habituelle . Lui qui pourtant avait vécu des situations bien plus dramatique ; car ce géant au crane rasé et aux yeux gris comme l’acier ne craignait pas la douleur vu le nombre de cicatrices qui parcouraient son corps et cette cicatrice en plein milieu de sa joue gauche. Cela fit rappeler à Fernando le moment où elle avait était faite. Il se souvint de ce jour …

C’était il y à dix ans durant une mission banale . Leur groupe qui devait escorter un haut dignitaire du pouvoir de Gnépaès fut prit dans une embuscade tendu par des Laporisien . Ils combattirent avec beaucoup de courage mais les ennemis étaient plus nombreux et quand Fernando et John crurent que leur heure arrivèrent Ulysse se réveilla . Un grand blond , svelte , les cheveux coiffait en arrière , avec des yeux bleus , l’archétype du séducteur était derrière cette tête angélique un des plus fort quand il s’agissait d’utiliser la magie reconnu de partout dans Gnépaès . Ce jour là Ulysse les sauva tout en gardant cet air calme qui le caractérisa . Il terrassa les ennemies aucun ne lui pu résister . C’est-ce jours précis que la légende des Invincibles de Gnépaès naquit . Ulysse lui était calme comme d’habitude , impassible comme si rien ne pouvait altérer sa figure angélique . Cela redonna du courage à Fernando et lui permit d’accélérer encore plus le rythme .

Il lui restait plus qu’une heure avant le coucher du soleil et il voyait apparaitre les flanc verdoyant de la montagne Yna , ainsi que ses grottes dans une des quelles Nahash avait établie sa planque . Le soleil commençait à se cacher derrière l'immense masse de rocailleuse . Les chênes d'Ecliside lui faisait face la pénombre s'était déjà installé dans le bosquet . Son cœur se mit à palpiter rien qu’en pensant à ce que Nahash était en train de faire à son fils il devait agir au plus vite . Car Nahash était avide de pouvoir et après son coup d’état raté il n’en était pas moins dangereux mais voir encore plus la déroute ne fit qu’agrandir son sentiment de haine . Il devait faire vite mais le risques d’embuscade qu’il pouvait rencontrer dans les bois et la fatigue qu’il accumulé de son combat avec Nahash et ses soldats ne lui permettait pas d’aller plus vite.
Il devait traverser la forêt avant de se diriger vers le repaire de Nahash . Ils arrivèrent à l’aurai de la chênaie quant une flèche manqua d’un millimètre l’oreille droite d’Ulysse qui d’un coup s’arrêta et forma autours d’eux un bouclier de protection , avant qu’un nombre incomptable de flèche s’abattirent sur le bouclier sans succès . Il fallait bien plus que des flèches pour transpercer un bouclier de comme celui-ci . Ils se mirent en formation de combat et Fernando se concentra pour chercher la moindre présence de magie , malgré la difficulté qu’il avait pour réunir toute son attention sur ce qu’il devait faire et il vit clairement où étaient ses ennemis . Ils étaient cachés dans la forêt derrière de grands chêne d’autre étaient caché dans une clairière à proximité des autres il devait être une quarantaine dans la clairière et une dizaine qui étaient cachés derrière les arbres. Fernando fit signe au groupe de se rapprocher. Ulysse prit la parole calmement:
_ Fer prend le bouclier en charge s’il te plait mes réserves commencent à s’épuiser , tu es le seule à avoir une quantité presque infinie de magie . Dit-il avec un air amusé .
Fernando prit le contrôle du bouclier et la parole au même moment :
_ Ils sont environs cinquante mais malgré que le bouclier peut arrêter de simple projectiles si ils se mettent à nous attaquer le bouclier ne pourra pas les arrêter… en parlant de ça une dizaine de soldats sont sur le point d’arrivé. Tout le monde en formation de combat !
_ C’est partit je vais bien m’amusé. S'exclama John tout en sortant ses couteaux de lancés.

Ils arrivèrent , sur le groupe , attaquèrent de front , mais ils ne bronchèrent pas jusqu’au moment où le premier soldat franchis la barrière . C’est Raul qui s’en occupa en lui mettant un coup de poing en pleins dans le diaphragme il tomba net au sol . Deux autres entra eux aussi dans les champs protecteur et John les poignarda entre les deux clavicules avec ses couteaux et la plaqua au sol d’un coup fort les deux en même temps, tandis que d’autre entra Ulysse lui prit deux autres soldats par le cou et les lança de toutes ses forces à terre . Les cinq autres voulurent piéger le groupe en passant par derrière , mais Fernando avec un coup de pied au sol en fit tomber deux qu’il frappa sur le haut de la tête d’un coup vif ils s’évanouirent d’un seul coup . Les trois autres se jetèrent sur lui leurs armes en mains mais Fernando esquiva tous les coups avec une facilité déconcertante . Raul lui utilisa un de ses couteaux de lancés et le planta dans les deux mains fermé d’un soldat voulant utilisé une technique il cria de douleur avant que Raul lui mit un coup semblable à celui de Fernando mais sur la nuque il tombât par terre d’un seule coup . L’autre soldat prit de panique essaya de s’échapper mais plus rapide que lui John lança un couteau en plein dans la cuisse se qu’il le fit tomber dans sa course juste avant le bouclier John fit le même geste que ses deux autres coéquipiers pour mettre hors d'état de nuire son opposant , lui aussi s'endormît .
Fernando réunit le groupe et dit:
_ J’ai un plan…
voilà j'atend les critiques et demain moi aussi je donnerai mon avis sur vos écrits ;)
Spoiler :
(00:29:26) +Haldar: bah, je ramone pas Kid hein
(00:29:27) +Manu: coquine
(00:29:29) Cristal.: stop le hardcore là
(00:29:34) +Haldar: j'suis sûr qu il est full of shit
(00:29:38) +Manu: xd
Merci Kuja pour ce kit ^^

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Grim
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Re: Vos créations littéraires et critiques.

Message par Grim » mar. 19 janv. 2010, 10:40

Plusieurs petites écrits maladroits que je n'avais commencé à écrire, mais que j'ai jamais vraiment eu le courage de continuer :/

Un début d'histoire médiéval fantastique
Spoiler :
"C'est'y la première fois que vous voyagez par chez nous m'amzel?
_En effet, c'est la première fois que je viens dans le Béarn, avoua la jeune femme.
_Hé bé! Chui sur que vous allez aimé vot' périple a Sauveterre, on a un proverbe qui dit: A Saubatèrre, boune tèrre, boune gént!
_C'est ce que j'ai remarqué, fit-elle en gloussant, les gens d'ici ont de meilleurs mines que dans ma province natale. Ca doit être le charme de la région.
_La région est formidable c'est certains mais il faut remercier tout particulièrement l' bon vicompte plus que la région m'amzel, il a botter les fesses aux malandrins et a renforcer la sécurité des routes. Du coup ya tout un tas de marchands et d'artisans qui ont débarqués , mêmes deux banquiers qu'on dit qui vennaient de loin ! C'est dire l'importance qu'à pris Sauveterre, ah ca oui m'amzel, le bon seigneur a jetté sur not' cité un regard tout bienveillant , ça pour sûr !
_Voilà qui me reconforte de savoir que ma destination est sûre, a vrai dire je me voyais mal guerroyer.
_Ha, vos agresseurs auraient bien du mal à dégainer, en vous voyant il tomberaient immédiatement sous votre charme et votre monture vous auriez déjà mis trois lieu de distance entre eux et vous avant qu'ils reprennent leur esprit. Si je puis me permettre m'amzel !"
L'image d'une telle scène lui arracha un franc rire, illuminant ainsi son jolie minois. L'homme était litéralement éblouï par une telle vision, de sa vie il n'avais jamais vu une telle beauté , quand la cavalière s'étais approché de lui pour lui demandé la direction de Sauveterre-de-Béarn, il avais cru tout simplement à quelques visions et s'était démandé si il n'avais pas un peu forcé sur la bouteille la veille.
Mais il n'en était rien, la jeune blonde était aussi réelle que son étalon dégageai une odeur pestilentielle, il avait l'air propre et soigné quand on l'observais pourtant; un cuir sombre et une crinière impeccablement brossé, des yeux qui pétillait de malice. Pourtant, il trainait inexplicablement une abominable odeur de charnier qui tenait l'homme à distance, il n'osait pas le signaler à la demoiselle au risque de l'offusquer mais ce n'était pas quelque chose de soutenable pour le commun des mortels.
Elle le remercia pour lui avoir indiquer le chemin puis se pencha vers l'oreille de sa monture et chuchota quelque chose que le badaud n'entendis pas. Celle-ci héni et se mis à galoper à vive-allure, la femme se retourna et fis un geste d'adieu au paysan avec un large sourire.
_Dieu vous garde m'amzelle !
Bien que hors du champs de vision depuis un moment, l'homme restait à contempler avec un air idiot la direction où elle était partit. C'est alors qu'il vit une nuée d'oiseaux aux plumages sombres qui volaient dans la même direction. L'envolée de corbeaux était un présage de sinistres évenements, il se dépécha de rentrer dans sa ferme d'autant plus que le crépuscule était déjà tomber et que la nuit ne tarderais pas. Il n'avais pas envie d'avoir à faire à quelques créatures de l'obscurité, qui sait quels diableries pouvaient se cacher la journée et profiter que les mortels s'assoupissent pour commettre des actes malfaisants?

Elle arriva à Sauveterre au petit matin, le pont levi qui permettait l'accès à la cité n'était pas encore abaissé mais déjà une large foule s'étais formée devant le pont. Il y avait essentiellement des marchands, mais aussi des voyageurs et gens qui venaient se réfugiés derrière les remparts de Sauveterre. Quelques personnes la dévisagèrent à son arrivée mais personne ne lui adressa la parole, en dehors des murailles c'était chacun pour soi.
La guerre ne tuait pas uniquement sur les champs de batailles, certains villages avaient été dépouillés par les militaires et si ce n'était les soldats (des deux camps d'ailleurs), c'étaient les brigands qui les délestaient de leurs derniers biens, voir de leurs femmes, leurs enfants ou encore de leurs vies.
La jeune femme descendit de scelle, attrapa son palefroi par les rennes et se méla à la foule impatiente

Un vague paragraphe introductif
Spoiler :
On a beau dire, l'été est la meilleure des saisons ! D'accord on crève de chaud et c'est la période de l'année où l'on regrette le plus de pas avoir investi dans un climatiseur pour sa voiture et que dormir la nuit sans ventilateur est juste impossible, sans parler des mouches et des moustiques qui font leurs grands retours … Hormis ça bien entendu, c'est que du bonheur : les randonnés à la montagne , les promenades sous le soleil de l'après midi , les plages et leurs faunes estival peu vêtus, les bains des foules dans les galeries marchandes, les embouteillages sur les autoroutes et les piques-niques qui finissent le plus souvent en guerre ouverte contre la populace fourmis. Vive l'été !
Du coup on comprend que certains fuient leurs villes, trop suffocantes, pour profiter de la fraicheur de la Côte d'Azur. Le résultat? Les villes revivent. Ce n'est plus seulement les vieux qui traînent leurs carcasses sur les trottoirs de Nice, mais bel est bien des masses de touristes (souvent compactes, au déplaisir des promeneurs) qui déambulent, de la Prom' jusqu'à la gare. De la blonde allemande anémique aux paparazzis nippons, c'est un véritable défilé ethnique qui s'empare des zones piétonnes.

Un texte qui se mord la queue
Spoiler :
Quand j'étais môme je croyais à un tas de choses.
Au père noël bien sur, ce gentil bonhomme grassouillet à la barbe blanche et au manteau rouge qui venait tapé l'incruste en passant par des cheminées plus ou moins étroites dont son embonpoint s'accommodait facilement pour poser des cadeaux aux emballages multicolores sous un arbre décoré en échange de quelques biscuits et des sourires ravies que les bambins affichaient en découvrant leurs cadeaux le lendemain matin.
A la petite souris aussi, un satané rongeur qui s'était mis en tête de monnayé les dents que les gosses perdaient en grandissant, étrangement de l'autre coté du continent cette même souris devenait une fée qui faisait de la sous traitance pour les dentistes.
Y'avais aussi ce gros lapin qui venait au début du printemps pour planquer des œufs en chocolats dans le jardin; me demander pas comment un lapin ou des cloches, oui parce qu'on parlais de cloches parfois qui remplaçaient le lapin, pouvaient pondre des œufs (et de chocolat de surcroits) parce que j'en sais foutrement rien, mais ce que je sais: ça fondait dans la bouche et on en redemandait.
On croyait aussi dur comme fer aux espèces de morales farfelues divulguer à la fin des contes, grâce à ça je savait qu'il ne fallait pas apporter de galette et de petit pot de beurre aux personnes âgées quand on portait des vêtements rouges sous peines de se faire harcelé par un loup bipède au tendance sexuelle plus que douteuse envers la gente infantile et d'habiter dans des maisons en brique parce que le même loup ou son cousin ne pouvait pas souffler assez fort pour casser les mures contrairement aux maisons en pailles, les maisons en pains d'épices avaient un sort similaire. J'ai toujours soupçonné que ce genre de contes à la noix avaient été inventé par un promoteur immobilier ayant des tendances suspicieuses inconscientes pour les enfants et les cochons. Le conte du petit Poucet montrait l'exemple en matière humanitaire: mieux valait jeter des cailloux que de la bouffe.
C'est sympa de faire prendre conscience aux gosses que les pays voisins ne jouissez pas des mêmes richesses que nous autres et que chaque jour des milliers jeunes succombaient à la famine, ça l'aurait été encore plus si ces mêmes moralistes avaient bouger le petit doigt au lieu de s'inviter mutuellement dans des restaurants chics pour « expérimenter » la gastronomie moléculaire et autres arts culinaires.
Je croyais aussi à l'existence d'un dieu, même sans savoir son rôle précisément puisqu'à l'école on nous apprenait que la Terre s'était formé suite à un choc de météores il y a quelques milliards d'années de cela et que la vie y été apparu et bien plus tard un singe vaguement humanoïde à cédé sa place à l'Homme d'aujourd'hui.
Naturellement je croyais aussi à l'existence des extra terrestres, je ne les imaginaient pas verts parce que cette couleur me faisait horreur, mais blancs avec des grands yeux noirs comme dans les films que regardaient papa sur son écran géant et je pensais vraiment qu'ils venaient nous visiter à bord de leurs appareils volants loufoques en forme de vaisselle. A l'école les autres enfants disaient que les extra terrestres de toute façon ça n'existait pas, mais tel les grands scientifiques de l'époque je répondais fièrement que « Dans ce grand espace qu'est notre univers, il y a toute les chances qu'existe d'autres formes de vies intelligentes ».

En grandissant, il apparaît clair que toutes ces histoires étaient des conneries pour amuser les gosses et stimuler leurs imaginations et finalement on laissent ces croyances et ces rêves de gamins de côtés pour s'occuper d'autres choses plus importantes et plus « raisonnables »: trouver un ou une partenaire stable , acheter son domicile et travailler le restant de sa vie pour le rembourser afin d'élever des enfants qui vont reproduire les mêmes choses que leurs parents et ainsi de suite, assurant la pérennité de l'espèce humaine... ou sa dégénérescence.
Mais quand une de ces croyances enfantines refait surface en vous faisant l'effet d'un coup de poing dans la figure, vous tomber de haut, de très haut même. Et vous vous rendez compte que votre vie jusqu'à présent n'était qu'une farce, une putain de farce.

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Re: Vos créations littéraires et critiques.

Message par raikoudo » jeu. 05 août 2010, 01:20

J'ai bien aimé vos texte, voici un de moi;


Comme chaque matins depuis 11 ans, Annaëlle se réveillait en sursaut. Encore étourdie de ce réveil brutal malgrès l'habitude, elle se leva en titubant de son lit, avant de jeter un oeil au réveil; 5H48. Elle avait encore une demie-heure devant elle avant de commencer à se préparer pour le lycée.
Comme elle n'avait rien à faire pour tuer le temps, elle espéra se rendormir, en vain. Elle tourna la tête vers la fenêtre pour voir à travers les stores un ciel gris et maussade. Comme tous les jours depuis la fête du solstice d'hiver, de cette année maudite.
Annaëlle se souvenait très bien de ce jour iréel, si bizzare. Mais elle n'avait que quatre ans, à l'époque. Elle se dit en rigolant interieurement que c'est depuis ce jour que le cauchemard avait commencé. Et rien ne pourrait faire revenir le Soleil...

Alors, avez-vous aimé?
Image
Ne ratez pas la sortie du nouvel harry potter !!!

raikoudo
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Re: Vos créations littéraires et critiques.

Message par raikoudo » lun. 16 août 2010, 00:51

Sinon, une petit poème;

Un ange descent du ciel,
Une etre à l'âme rebelle
D'un geste il déploit ses ailes
Etonnement noires mais pourtant si belles.

Il déposa un pas léger à terre
Provoquant une douce lumière,
Balaya toute trace de haine et de colère
Créant un sentiment éphémère.

Il jeta un regard
à ce monde si noir
Et il ferma les yeux,
D'un air malheureux.

Voyant tous ces humains mentir,
Voyant toutes ces personnes se trahir,
Il décida d'en finir
Alors posat une main de cire

Sur cette affreuse planète,
Il prononça un mot qu'on a depuis longtemps bannit,
Un sentiment incomprit
Avant de la faire disparaitre.

Cet ange à la chevelure ébène,
À la peau si blême,
Possèdant une bouche couleur miel,
Et des pouvoirs surnaturels,

Cet ange est maudit
De ne plus pouvoir aimer
Maudit pour avoir trompé,
Ainsi qu'avoir trahit.

Cet ange,
C'est le mensonge

Le message livré,
C'était aimer

Un sentiment depuis longtemps oublié...

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Chione
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Re: Vos créations littéraires et critiques.

Message par Chione » jeu. 19 janv. 2012, 19:08

Torpeur


Ô meurs, nuit blasphématrice et bien trop tragique,
Du deuil du jour que tu m'imposes, ô ! Cruelle !
Tu t'oses à m'enlacer d'un souri sadique
Mes larmes sont le courroux de tes noires ailes

Tu me pousses dans le plus grand opprobre. Las !
Résignée et faible, voilà ma condition.
La pluie des étoiles te transperce en masse !
Une revanche que je m'octroie par cent fois.

La pluie n'aura de cesse à tomber, glaciale
En l'attente d'un jour qui ne fut pas martial.
Crépuscule d'une guerree qui nous perdra.

Diurne rossignol contre nocturne hibou.
La bise glacée souffle sur ma triste joue.
Le Soleil est trépassé et ne reviendra



Voilà un de mes derniers, l'actuel en cours est mis en pause, je suis en panne de tercet (et quels indignes sonnets que je fais là, mauvaises rimes :( )
Fille de Borée, je suis la déesse de la Neige selon Apollodore.

Flocon Turquoise aux reflets verts et rouges tournoyant sur soi-même, guettant les malédictions.

Verrouillé