Un message très sérieux...
Posté : lun. 11 avr. 2016, 18:18
Salut les cons... Non, pas "salut les cons" en fait. Cela peut vous paraître étrange ou surprenant, mais si je publie ici, ce n'est pas pour faire une blague vaseuse, provoquer un membre ou faire une bêtise qui m'attirera des avertissements. Je vais être honnête avec vous : ce que je fais est purement égoïste, car je suis ici pour me confier à vous.
Tout d'abord, je sais parfaitement qu'ouvrir un topic sans autorisation de la modération peut entraîner un lock. Mais à vrai dire, lockez si vous le souhaitez, je n'attends pas de réponses particulières (ce qui ne vous empêche pas de me répondre si cela vous semble utile).
Voilà, je ne vais pas y aller par quatre chemins, en ce moment je vais mal. Très mal. Les gens ne comprennent très souvent pas pourquoi, ce qui est totalement acceptable puisque moi-même ne comprends pas tout ce qui se passe dans ma tête. Il faut dire que plusieurs critères chez moi facilitent la déprime, comme ma surdouance intellectuelle, mon âge (quatorze ans) qui n'est pas un des plus joyeux car il entraîne le début de l'adolescence, ou encore ma sensibilité émotionnelle véritablement poussée à l'extrême.
Tout d'abord, j'aimerais que l'on se mette d'accord sur un point : lorsque je dis que je suis surdoué, ce n'est pas de la vantardise : d'une part parce que j'ai un Quotient Intellectuel de 151 et que par conséquent je le suis vraiment, d'autre part parce que c'est loin de n'apporter que des avantages, croyez-moi. Ma sensibilité émotionnelle (qui selon ma psychologue est liée à ma précocité) est un parfait exemple des énormes désavantages entraînés par les gros QI (surtout lorsqu'on est un garçon adolescent et que les stéréotypes t'interdisent de pleurer et d'être nul en sport). Quant à mon âge, ça peut paraître superficiel mais mes hormones rajoutent bien de l'huile sur le feu.
Ces trois principaux problèmes psychologiques entraînent beaucoup d'erreurs et d'imperfections de ma part.
Commençons par parler de mon attitude sur Pokébip, tiens, puisque ça vous concerne directement. Mon admiration pour certains membres comme les BDM que je fais sans arrêt ou mes posts inutiles sont juste un signe de détresse. Un signe qui dit que j'ai besoin d'attention, qu'aucune de mes connaissances IRL ne me comprend vraiment, y compris mes parents, mes meilleurs amis (quoique je commence à me demander s'ils le sont véritablement) ou même ma psychologue ; sauf que ce n'est qu'aujourd'hui que j'ai les organes génitaux de vous le dire directement et clairement. Car voyez-vous, ma confiance en moi et mon amour-propre sont presque inexistants, alors j'ai besoin que d'autres personnes m'apprécient car je ne sais pas m'apprécier moi-même. Vous comprenez ?
J'essaie de faire des efforts sur ça, car j'ai une attitude semblable IRL, mais cela ne m'entraîne que du malheur supplémentaire.
Le pire, c'est qu'étant donné qu'en partie à cause de ça, je traverse une phase de déprime, je suis vraiment très malheureux et parfois aussi très en colère. Alors cette colère, plutôt que de l'expulser directement, j'arrive par je-ne-sais-quel moyen à la convertir en énergie, énergie que je dépense dans l'humour et dans une bonne humeur postiche.
Ce n'est pas pour me justifier hein, c'est juste pour que vous soyez au courant.
Mon émotivité entraîne également un autre problème : je ne peux pas supporter l'idée que quelqu'un pense du mal de moi, car j'ai peur que cela provoque un total rejet de moi-même : si en plus de moi-même quelqu'un d'autre pense que je ne sers à rien, alors qui en pensera le contraire ? D'autant plus que parfois, je ne sais même plus si les gens qui ne m'apprécient pas ont raison ou non.
D'ailleurs on rejoint un autre souci : je culpabilise pour tout, pour un rien, pour n'importe quoi. C'est pour vous dire, il arrive même que je m'auto-persuade que j'ai tort alors qu'il est évident que j'ai raison : c'est un bel exemple de relever par exemple ma discussion avec ma professeure d'Art Visuel, qui pensait que je n'avais pas fait mon devoir par fainéantise, alors qu'en vérité je m'étais tout simplement mal informé et n'avais jamais appris qu'il y avait devoir. Evidemment vous pouvez me dire que j'étais en tort, mais le problème est que l'on m'accusait du mauvais tort, le tout avec l'ensemble de la classe qui me disait "d'arrêter avec ma mauvaise foi". Et puis là, j'ai baissé la tête et je me suis faussement rendu compte que oui, je savais qu'il y avait devoir mais que je m'en foutais, ce qui n'était même pas la réalité des faits ! C'est pas possible d'être un nul pareil !
Tout cela entraîne également une énorme baisse de résultats scolaires qui m'attriste encore plus : vous voyez bien le cercle vicieux ? Parce des cercles vicieux, j'en ai énormément dans ma tête.
J'ai forcément oublié des choses, mais pour l'instant je m'arrête sur ça.
Bonne soirée à tous, en espérant que votre état moral est meilleur que le mien.
Tout d'abord, je sais parfaitement qu'ouvrir un topic sans autorisation de la modération peut entraîner un lock. Mais à vrai dire, lockez si vous le souhaitez, je n'attends pas de réponses particulières (ce qui ne vous empêche pas de me répondre si cela vous semble utile).
Voilà, je ne vais pas y aller par quatre chemins, en ce moment je vais mal. Très mal. Les gens ne comprennent très souvent pas pourquoi, ce qui est totalement acceptable puisque moi-même ne comprends pas tout ce qui se passe dans ma tête. Il faut dire que plusieurs critères chez moi facilitent la déprime, comme ma surdouance intellectuelle, mon âge (quatorze ans) qui n'est pas un des plus joyeux car il entraîne le début de l'adolescence, ou encore ma sensibilité émotionnelle véritablement poussée à l'extrême.
Tout d'abord, j'aimerais que l'on se mette d'accord sur un point : lorsque je dis que je suis surdoué, ce n'est pas de la vantardise : d'une part parce que j'ai un Quotient Intellectuel de 151 et que par conséquent je le suis vraiment, d'autre part parce que c'est loin de n'apporter que des avantages, croyez-moi. Ma sensibilité émotionnelle (qui selon ma psychologue est liée à ma précocité) est un parfait exemple des énormes désavantages entraînés par les gros QI (surtout lorsqu'on est un garçon adolescent et que les stéréotypes t'interdisent de pleurer et d'être nul en sport). Quant à mon âge, ça peut paraître superficiel mais mes hormones rajoutent bien de l'huile sur le feu.
Ces trois principaux problèmes psychologiques entraînent beaucoup d'erreurs et d'imperfections de ma part.
Commençons par parler de mon attitude sur Pokébip, tiens, puisque ça vous concerne directement. Mon admiration pour certains membres comme les BDM que je fais sans arrêt ou mes posts inutiles sont juste un signe de détresse. Un signe qui dit que j'ai besoin d'attention, qu'aucune de mes connaissances IRL ne me comprend vraiment, y compris mes parents, mes meilleurs amis (quoique je commence à me demander s'ils le sont véritablement) ou même ma psychologue ; sauf que ce n'est qu'aujourd'hui que j'ai les organes génitaux de vous le dire directement et clairement. Car voyez-vous, ma confiance en moi et mon amour-propre sont presque inexistants, alors j'ai besoin que d'autres personnes m'apprécient car je ne sais pas m'apprécier moi-même. Vous comprenez ?
J'essaie de faire des efforts sur ça, car j'ai une attitude semblable IRL, mais cela ne m'entraîne que du malheur supplémentaire.
Le pire, c'est qu'étant donné qu'en partie à cause de ça, je traverse une phase de déprime, je suis vraiment très malheureux et parfois aussi très en colère. Alors cette colère, plutôt que de l'expulser directement, j'arrive par je-ne-sais-quel moyen à la convertir en énergie, énergie que je dépense dans l'humour et dans une bonne humeur postiche.
Ce n'est pas pour me justifier hein, c'est juste pour que vous soyez au courant.
Mon émotivité entraîne également un autre problème : je ne peux pas supporter l'idée que quelqu'un pense du mal de moi, car j'ai peur que cela provoque un total rejet de moi-même : si en plus de moi-même quelqu'un d'autre pense que je ne sers à rien, alors qui en pensera le contraire ? D'autant plus que parfois, je ne sais même plus si les gens qui ne m'apprécient pas ont raison ou non.
D'ailleurs on rejoint un autre souci : je culpabilise pour tout, pour un rien, pour n'importe quoi. C'est pour vous dire, il arrive même que je m'auto-persuade que j'ai tort alors qu'il est évident que j'ai raison : c'est un bel exemple de relever par exemple ma discussion avec ma professeure d'Art Visuel, qui pensait que je n'avais pas fait mon devoir par fainéantise, alors qu'en vérité je m'étais tout simplement mal informé et n'avais jamais appris qu'il y avait devoir. Evidemment vous pouvez me dire que j'étais en tort, mais le problème est que l'on m'accusait du mauvais tort, le tout avec l'ensemble de la classe qui me disait "d'arrêter avec ma mauvaise foi". Et puis là, j'ai baissé la tête et je me suis faussement rendu compte que oui, je savais qu'il y avait devoir mais que je m'en foutais, ce qui n'était même pas la réalité des faits ! C'est pas possible d'être un nul pareil !
Tout cela entraîne également une énorme baisse de résultats scolaires qui m'attriste encore plus : vous voyez bien le cercle vicieux ? Parce des cercles vicieux, j'en ai énormément dans ma tête.
J'ai forcément oublié des choses, mais pour l'instant je m'arrête sur ça.
Bonne soirée à tous, en espérant que votre état moral est meilleur que le mien.