On peut réserver? Si c'est le cas je réserve, et prochain thème :
Pourquoi les sacs poubelles représentent-ils un si grand danger pour les humains?
EDIT: @Artémis: Wut, fais pas d'Edits Moniak (Oui, je sais jeu de mots à la con) à ma palce toi
EDIT 2:
~La petite émission des grandes questions débiles~
Ah… l’utilisation des insultes répétées par les jeunes, voilà un sujet qui me plaît. En effet, ensemble nous allons découvrir pourquoi votre kévin de voisin insulte de tous les noms son ordi qui buge, pourquoi un employé oppressé va-t-il chez lui traiter son employeur de tous les noms après une journée d’hypocrisie et de faux sourires à son tortionnaire au bureau, ou pourquoi vous allez me traiter d’un qualificatif peu glorieux, je vous laisse deviner lequel, quand j’aurais achevé mon reportage débile. Je vous préviens, nous allons faire de spectaculaires bonds dans le temps, tels Chrono et ses compagnons avec l’Ibis, alors, admirez !
Tout commence à la Préhistoire, dans une caverne habitée par un jeune Cro-Magnon nommé Groumpf, qui venait de vivre une très mauvaise journée. En effet, le mammouth qu’il chassait n’était pas tombé dans son piège, mais celui du voisin. Le jeune Groumpf, très contrarié, décida de tuer celui qui avait pris le mammouth dans son piège (qui était en fait son vrai père, vu que les scénarios invraisemblables existaient déjà à la Préhistoire, inventés par un certain DimourgfniouK), mais cela ne le contenta pas plus. Groumpf décida alors de manger la viande du mammouth, mais elle n’était vraiment pas bonne. Il lança alors une exclamation que les historiens traduisirent plus tard par « Putain ». Mais, en réalité, cette exclamation (« Grouaroumpf ») fut traduite ainsi uniquement car l’historien chargé de sa traduction venait de renverser son café sur sa cravate, et avait crié « Putain ». Ses collègues un peu nunuches crurent qu’il venait de découvrir la traduction, mais peut-être Groumpf voulait-il tout simplement dire « C’est pas vrai maman, encore du mammouth surgelé ce soir ?», « Ils sont venus pour te chercher, Barbara » ou encore « I’m not a number, I’m a free man ». Toujours est-il que les membres de sa tribu, n’appréciant guère que l’on invente des nouveaux mots, poussèrent le mammouth avarié sur le pauvre Groumpf dont il ne reste plus qu’un morceau de foie, enfoui à deux kilomètres de profondeur sous un fossile de mammouth et désormais disponible dans les steaks hachés du magasin d’en face.
Ensuite, sous l’époque romaine, un centurion nommé Julius Caius Lucius Caesar Tiberius Antonius Debilus eut une idée géniale. En effet, il se dit que si son jeune fils Lucius Julius Antonius Tiberius Caius Caesar Debilus (oui, comme les hommes des cavernes, les romains n’avaient pas trop d’inspiration pour les prénoms) prononçait une insulte, cela lui conférerait le pouvoir absolu. Mais la bataille d’Alésia éclata entre-temps, et, alors que le père devait partir faire cette bataille tandis que son fils restait à la maison avec sa mère, celui-ci prit un énorme cor et cria « Vercingétorix cassum toi povere cunnus ! » Mais ce que le fils avait oublié, c’était sa mère, en fait une femme de l’an 2012 à l’époque de qui les insultes existaient et qui avait été chargée d’infiltrer les romains car ils représentaient un danger pour la survie des fourmis cavernicoles Pringlesovores et myopes, ce qui allait déclencher la véritable fin du monde de décembre 2012, personne ne savait pourquoi, qui s’était prise d’affection pour le centurion malgré son nom débile, qui mit une fessée à son fils et lui demanda de s’exiler en chez les Illyriens (en gros l’actuelle Hongrie), et c’est ainsi que, depuis plus de deux millénaires, la polémique de « la fessée doit-elle être interdite » tourmente le monde entier. Mais les descendants du centurion Debilus conservèrent cette tradition par-delà les années : en effet, en 2008, le plus vieux descendant du centurion, un certain homme politique, lors d’un certain salon de l’Agriculture, perpétua la tradition en répondant à un homme dans le public. Les historiens comprennent maintenant pourquoi cet homme politique épousa une certaine femme d’origine italienne, et que le prénom de sa fille venait de son glorieux ancêtre centurion.
Mais l’histoire des insultes ne s’arrête pas là. Au Moyen-Âge, un seigneur français du Lyonnais, le baron Salanculhest De Mairdes, lors d’une partie de chasse, découvrit que les lapins qu’il chassait faisaient des bruits étranges. De retour de la chasse, il fit part de cette étrange aventure au plus grand savant du coin, un paysan de Pouilly-sous-Charlieu (et ce nom existe vraiment, hein), qui, après trois jours d’intense réflexion, décréta que les lapins communiquaient peut-être entre eux et qu’ils disaient le nom du baron. Comme le vieux baron avait Alzheimer (maladie nommée à l’époque maladie de « Sacrévindiou je m’souviens plus d’rin »), le savant le lui rappela. Mais celui-ci, croyant qu’on l’insultait, fit exécuter le pauvre savant et écrivit un traité philosophique,
De la vulgarité des animaux face aux roys de ce monde. Lorsqu’il acheva son lourd ouvrage de dix pages (parce que les livres se vendaient au kilogramme à l’époque, vu le poids du papier d’antan), il pensa au lapin grossier, puis à son nom, et il se mit à avoir tant de pensées contradictoires concernant son nom atroce que son cerveau explosa et que les quelques lambeaux de cervelles subsistants réagirent avec le papier lourd, l’encre quasiment solide et la plume premier prix achetée à Auxchents, le supermarché médiéval, pour former un gigantesque trou noir désormais appelé Saint-Etienne où tous les jeunes auraient un langage de charretier à cause d’une force maléfique. Et le Traité du pauvre baron ne fut jamais cité dans les cours de philo, avant qu’en 2012, un habitant du trou noir, le jeune DimoniaK, étrangement insensible au pouvoir maléfique de ce sombre champ de grossièreté, n’écrive un Philol dessus.
Plus tard encore, au XIXème siècle, un savant vivant en Suisse originaire de ce même trou noir stéphanois, le docteur Victor von Dimonstein, ainsi que tout le monde sait, créa un monstre atroce nommé monstre de Dimonstein. Le truc, c’était qu’en plus de tuer les humains, ce monstre-là en violait certains. C’est ainsi qu’une femme suisse enfanta un jour d’une sorte de mini-monstre de Dimonstein, qui, à cause de son créateur stéphanois, était d’une vulgarité atroce. La femme mourut sur le coup ainsi que les médecins en entendant les grossièretés que le petit monstre prononçait, et on tua les monstres de Dimonstein Senior et Junior tandis que leur créateur revenait dans son trou noir. Plus tard, de passage en France, un certain groupe allemand entendit l’histoire et en fit
une chanson géniale qui allait être parodiée dans
un LoL…
Enfin, dans les années 60, le psychologue Stanley Milgram voulut faire
une expérience. Il passa donc des petites annonces dans le journal, et deux personnes y répondirent. Mais il était loin de se douter que l’un d’eux était un touriste limite psychopathe. Le touriste fut donc choisi comme sujet (l’élève étant en réalité un complice) et commença à infliger 450 V d’un seul coup. Milgram, comprenant qu’il avait affaire à un détraqué, voulut le maîtriser, mais il le repoussa et alla vers l’élève avant de l’électrocuter avec son bâton électrique. Le pauvre élève fut complètement carbonisé, mais Milgram prit son courage à deux mains et envoya un jet d’eau sur l’homme qui mourut. Son fils arriva alors, cria « Par le pouvoir de la vulgarité ! » et se fit sauter.Le pauvre Milgram, après avoir survécu par miracle à l’explosion, fut arrêté et condamné à la peine capitale.
Ainsi s’achève cette édition de Philol, la petite émission des grandes questions débiles. Je vous dis donc au revoir, et à la semaine prochaine !
-Pardon Dimo, mais…
-Oui, qu’est-ce qu’il y a Artémis ?
-En fait y’aura pas de semaine prochaine. On a plus de budget, et je pourrais pas faire plus durer le concours.
-Oh, putain de merde…
-Dimo…
-Oui ?
-Arrête ces sujets de Philol, ils te montent à la tête.
-C’est pas ma faute, ils vont tous nous avoir avec leurs grossièretés, tu entends ? TOUS !!
Alors que Dimo était emmené par les flics sous le regard embué de larmes d’Artémis, il lança un dernière fois à celui-ci :
-Artémis, dis-leur ! Le Soleil Vert, c’est des hommes !
-Euh Dimo, tu t’es pas gourré de disque ?
-Ah, pardon ! Dis-leur, fais passer à tous ces pauvres gens, dis-leur que la vulgarité c’est la MOOOOORT !