[Défi] Concours "amateurs" de fics!

[dragibus]

Bien sûr !
Mais attention, date limite de dépôt des participations vendredi

[Runown]

On pourra étendre à Dimanche au pire.

[Mew_33]

Bon, je vais tenter d'écrire un p'tit truc alors x) (Un thème apocalyptique aurait mieux convenu mébon )

[Mew_33]

Je me désiste, j'ai écris quelques pages et ça ne me plait pas vraiment, je participerai au prochain

[Srithanio]

Problème d'écriture. Je laisse la première place à quelqu'un d'autre.
(Si quelqu'un pouvait me percer les chevilles siouplait, je passe plus par les portes.)

[Runown]

Allez les gens, courage ! (2 participations recues !)

[Khimeira]

(Si quelqu'un pouvait me percer les chevilles siouplait, je passe plus par les portes.)

Je dois avoir une perceuse quelque part. Au pire, un couteau ça passe non?

Je voudrais bien écrire, mais quand on a pas d'idées de scénar...

[Runown]

J-1

[Solyx]

Quand l'on a pas d'idée sur le sujet, écrire c'est chaud .

[Runown]

Vous voulez plus de temps ?

[dragibus]

Attention, chaque fois qu'on a accordé plus de temps, le défi s'est éternisé et on n'a pas eu plus de participations au final : la contrainte temps est excellente pour booster les neurones

[Srithanio]

Pas de temps en plus : limite de temps, limite de temps. On participera à la prochaine.
Sans compter que je doute qu'on ait plus de temps pour écrire en cette période de fêtes.

[Kydra]

Bon, bah sinon, deux participants, c'est bien aussi...

[Srithanio]

Jurés, au boulot !
(et on veut bien voir les textes, soit dit en passant.)

[Serkat]

Désolé, j'ai pas eu le temps de le finir
Je verrais au prochain défi

[Kydra]

Voilà, voilà, j'arrive !

Participation de Jiriano :
Texte :

Spoiler :

Ce jour-ci allait être merveilleux, sans aucun doute un des plus beaux de l'année. Ce matin-là, Evoli s'était réveillée de bonne heure, impatiente de découvrir ce qui l'attendait. Car aujourd'hui, c'était son anniversaire !

La petite renarde était toute joyeuse et, à peine sur pattes, commençait déjà à sautiller dans tous les sens, boule de poils déchaînée. Dans ce sursaut d'énergie, elle avait tiré ses parents de leur sommeil. Ce fut tout d'abord sa mère, une jolie Mentali qui se leva. Les yeux encore à demi clos et sa fourrure en bataille, signe du Pokémon pas encore très réveillé, elle réprimanda tout d'abord sa fille pour la manière brusque dont elle avait fait preuve pour la réveiller avant de se rappeler l'importance de ce jour et d'aller secouer doucement son mari.

***

Evoli courait. Elle ne savait pas où aller, elle déambulait là où ses maigres pattes la portaient. Cela devait bien faire une bonne heure qu'elle était dans cette situation, mais peu importait. Elle s'était promis d'écouter sa mère, et c'est ce qu'elle ferait. Courir. Sans s'arrêter. Jamais. Elle savait qu'il était là, la traquant impitoyablement pour une raison qu'elle ignorait. Elle ne pouvait pas se permettre de ralentir la cadence, où il la rattraperait en moins de temps qu'il ne faudrait pour le dire.

***

- Hmm, qu'est-ce qu'il y a ? grogna le père d'Evoli, un Noctali plutôt bien conservé pour son âge.

- C'est l'anniversaire de la petite, lui murmura sa femme.

- Ah oui c'est vrai.... Bon anniversaire chérie.

- Merci papa ! Sourit sa fille.

Mais tout anniversaire digne de ce nom se doit d'être accompagné d’un magnifique gâteau. Evoli partit donc dans la petite cuisine en compagnie de sa mère, tandis que son père se réveillait tranquillement.

- Tu veux quoi comme gâteau, ma puce ? demanda la Mentali.

- Je veux le plus gros et le meilleur gâteau du monde ! S'enthousiasma Evoli.

***

Un rugissement retentit, plus puissant que jamais, tel le prédateur se rapprochant inexorablement de sa proie, qui ne pouvait rien faire d'autre que courir aussi loin que ses pattes le pouvaient. Evoli courait. La fatigue lui était totalement étrangère, elle pourrait courir ainsi pendant des heures, et même des jours s'il le fallait, si tant est qu'elle ne se ferait pas rattraper avant.

***

Le gâteau d'Evoli était magnifique, comme elle l'avait demandé. Etaient empilées successivement, une couche de chocolat, puis de vanille et enfin de framboise, le tout étant agrémenté de fraises disposées un peu partout sur la pâtisserie, bien ordonné tel qu'Evoli l'avait souhaité.

- Il est trop beau ton gâteau maman ! Dis, je peux en goûter un bout, hein, dis ?!

- Patience, mon ange. Attends au moins ce midi.

Et sur ce, elle partit se laver afin d'être belle pour sa fête.

***

Les broussailles commençaient à laisser place à la lande aux herbes courtes et taillée au ras du sol. Cela n'était pas bon pour Evoli car désormais, il pourrait la voir de loin, ce qui faciliterait sa poursuite et entraînerait inévitablement sa fin. Mais, à son plus grand étonnement, rien ne l'avait suivi. Finalement, il s'était résigné, ayant probablement compris qu'elle était invincible à la course.

Hélas, ce qui était sûr, c'était qu'Evoli était bel et bien perdue au milieu de nulle part. Mais désormais, elle n'errait plus au gré de ses pattes. Non, désormais, elle savait où aller.

***

Ça y est, il était midi. L'heure pour Evoli de souffler ses bougies et de découvrir ce que contenait les paquets cadeaux de ses parents. Le repas terminé, la dégustation du gâteau se fit dans la bonne humeur, tout le monde étant subjugué par l'excellent goût du gâteau. Une fois la dégustation terminée et leurs estomacs repus, ce fut l'heure de découvrir les surprises que lui avaient fait ses parents.

Rien qu'à voir l'emballage, elle se doutait que ça allait être merveilleux. Le papier était multicolore, orné de multiples dessins enfantins, tout ce qu'elle adorait. Son père eut une envie pressante au plus mauvais moment et dut s'éclipser pendant que la petite renarde ouvrait son paquet.

Au fur et à mesure qu'Evoli déchirait l'emballage, la forme de l'objet lui apparut. Elle s'interrogea tout d'abord en observant la forme ronde et plate de son cadeau. Quand, finalement, il fut totalement à découvert, elle n'avait toujours pas la moindre idée de ce qu'il pouvait s'agir.

- Maman, c'est quoi ?

- C'est une CT, chérie. Elles te servent à apprendre des capacités. Celle-là contient Abri. Regarde, je vais t'apprendre à t'en servir.

- Ouais, trop bien !

C'est ce moment qu'il choisit pour débarquer.

***

Même si Evoli savait où se rendre, ça ne l'empêchait pas de courir. C'est ce que sa mère lui avait dit, et elle avait promis de le faire. La lande balayée par les vents n'aidait pas vraiment la petite renarde à avancer, mais elle n'avait pas le choix. Elle devait courir sans s'arrêter. Peut-être qu'il reviendrait, elle devait rester sur ses gardes.

Cela devait faire plusieurs heures qu'elle errait dans ce coin perdu, mais elle approchait de son but. Elle y serait bientôt, elle le sentait. Et là, tous ses problèmes seront réglés.

***

Un cri déchira l'air joyeux d'Evoli lorsque sa mère lui apprenait l'attaque Abri. C'était celui de son père. Et il ne semblait pas très heureux. Quelques minutes passèrent dans l'angoisse le plus totale, Evoli et sa mère terrifiées, attendant un signe du Noctali. Il revint vers sa famille en rampant, tout son corps parsemé d'une couleur rouge écarlate.

- Mon dieu ! Chéri ! Que t'est-il arrivé ? S'inquiéta la Mentali, sans remarquer l'immense silhouette qui se trouvait derrière elle.

- Chérie, Evoli... fuyez, fit le père d'Evoli, avant d'expirer, ses yeux virant au blanc et regardant dans le vide.

Malheureusement pour elle, sa femme n'eut pas le temps d'exécuter ses dernières volontés. Un griffe d'une taille proportionnelle à celle de la silhouette s'abattit sur elle, lui déchirant le dos. Elle poussa le même cri de douleur que son mari, avant de retomber au sol, juste à côté de celui-ci.

Mais l'étrange agresseur n'en avait pas fini. Il restait encore une petite boule de poils, recroquevillée sur elle-même. Il s'en approcha, arma ses griffes tranchantes et les planta dans le corps de sa victime. Enfin, il essaya. Car entre-temps, un dôme protecteur s'était déployé, protégeant ainsi Evoli.

Abri. Evoli venait d'utiliser Abri. Cela venait sans aucun doute possible de la sauver d'une mort certaine. Mais cette attaque ne fonctionnait hélas pas deux fois consécutives, et la mère de la petite renarde le savait. Aussi, elle donna ses ultimes ordres à sa fille :

- Cours, Evoli. Cours, ne t'arrêtes pas, cours aussi vite que tu le peux, fit-elle d'une voix encore assurée malgré qu'elle rejoignit son mari chez Giratina peu après avoir prononcé ces paroles.

Evoli était terrorisée, et ne posa pas de questions avant de s'enfuir en courant, l'assassin de ses parents sur les talons.

***

Ça y est, Evoli était arrivée. Les embruns de la mer parvenaient à ses narines tout autant que le vent décoiffait son pelage déjà bien ébouriffé. L'océan devait être agité, à en entendre les sons qui lui parvenaient. Mais elle n'était pas venue ici pour contempler la mer. Il lui restait une tâche à accomplir.

- Papa, maman, j'arrive.

Et elle se laissa tomber de la falaise

Avis de Kydra :

Spoiler :

Respect du thème/originalité : 3/5
Le thème est respecté, puisque tout le récit tourne autour du père et de la mère de notre personnage principal. Sans compter que la chute renforce encore ce lien avec le thème. Là donc, rien qui ne justifie de perdre des points.
Par contre, c'est sur l'originalité que le bas blesse. On a un texte assez classique... un orphelin détruit, qui finit par se donner la mort. Je ne vais pas dire que c'est cousu de fil blanc, parce que tu ne mets pas spécialement de vrais indices sur la fin, mais si j'avais du donner la première issue qui me venait à l'esprit sous la torture, ca aurait été celle-là. J'ai donc été déçue que la chute ne soit finalement pas tant une chute que ca sur le plan scénaristique, mais simplement une chute physique...

Cohérence/construction du récit : 2/5
Le souvenir entremêlé du présent est un peu malvenu dans ce contexte, à mon avis. On n'a aucun mal à comprendre à chaque fois de quelle période il s'agit, là, tout va bien. C'est même assez clair, le passé sonne comme un requiem, on y voit bien la petite musique triste et mélancolique s'il s'agissait d'un film. Sauf que je trouve que cela vient trop tot au début : cela nous met la puce à l'oreille pour un dénouement tragique, ce qui arrive sans aucune surprise. Puis, ce genre d'exercice, à mon avis, requiert qu'on puisse tracer un parallèle, ou que du moins, il y ait un lien clair entre ce qui est passé et présent. Je n'ai rien trouvé de tel, et pour moi, ca a donc été dommage de mélanger les deux "époques".

Style : 4/5
Bon style. C'est français, c'est soigné, y a pas à râler. Je veux dire, on lit bien, on comprend ce qui se passe.
Ce qui justifie le 4, c'est juste que ce n'est pas non plus transcendant, car je ne me suis pas sentie spécialement touchée par le style en particulier. C'est agréable, mais il manque peut-être une petite touche qui ferait qu'on s'accroche vraiment aux personnages et aux événements. Cette petite touche, je pense que c'est un grain de description ajoutée à des sentiments plus forts.

Syntaxe/orthographe : 5/5
Je ne vais pas me plaindre, je n'ai pas vu de fautes majeure, ni d'erreur de Français. Bon, dans le récit, on a parfois tendance à être pris par autre chose que par les erreurs, même quand ce n'est pas la première lecture, mais je peux assurer que rien ne m'a sauté aux yeux.

Note finale : 14/20 soit 3.5/5




Participation de dragibus :

Texte :

Spoiler :

J'ai entamé, il y a pas mal de temps déjà, une série intitulée Les récrés du Ptiravi inspirée des Récrés du petit Nicolas de Sempé & Goscinny. Je vous en propose donc un nouvel épisode, sur le thème de « Père et Mère », choisi par Domino.
NB: pour ceux que ça intéresse, ils peuvent retrouver les épisodes précédents sur mon espace fanfics [mode pub off].


Aujourd'hui, ça devait être un grand jour, un jour avec un grand G, parce moi et mes copains on s'était donné rencard à la récré pour discuter de nos Pokéhoms. Ben voui, y a une nouvelle version qui est sortie vendredi et on a passé tout le week-end à jouer dessus, et là, on voulait comparer qui c'est qui en était le plus loin. Moi j'étais sûre que c'était moi qui avais le plus de Badges : j'en ai cinq. Et pleins de nouveaux Pokéhoms.
Mais je suis déçue... Beaucoup déçue...

Même que j'ai passé tout le week-end sur ma console, même que ma maman s'est fâchée parce que je voulais pas la lâcher pendant le repas (la console, hein, pas ma mère). Faut dire que j'étais en plein dans un combat super very important, je pouvais pas sauvegarder ! Vraiment pas ! Mais maman Leveinard, elle comprend pas ça... « Tu te rends compte que tu passes des heures à JOUER ! Et tes devoirs ? Tu y penses à tes devoirs hein ? Ptiravi, mon chéri, tu n'es pas raisonnable ! »
Pfff, elle me fait doucement rigoler avec les devoirs, ma mère, parce que la maîtresse, Madame Gardevoir, je suis sûre qu'elle a aussi passé son week-end à jouer à Pokéhom et qu'elle a même pas corrigé nos cahiers. Alors pouet-pouet hein...

A la récré de dix heures, on était tous drôlement excités. Tu parles, un nouveau jeu Pokéhom, c'est un événement ! Déjà la version avant était super, mais celle-là, j'ai adoré encore plus !
On est allés dans les toilettes, pour être tranquilles, dans les toutes nouvelles toilettes que la mairie a refaites pendant les grandes vacances. Ce qui est chouette, c'est pas les jolies couleurs vives, le nouveau carrelage tout blanc qui glisse drôlement bien quand il est mouillé ou les nouveaux lavabos avec les supers robinets hygiéniques où qu'on a pas besoin de se servir des mains pour les allumer, non, ce qui est chouette, c'est le petit recoin que les ouvriers ont oublié de refermer et où on peut se cacher sans que les maîtresses nous voient.

Et là, on a sorti nos consoles. Y avait Goinfrex, avec sa DS toute barbouillée de gras, Manzaï, avec sa toute nouvelle 3DS XXXXL Super Grand Format que son papa lui a payé soi-disant parce qu'il avait eu des bonnes notes, mais que moi je sais bien que c'est pas comme ça qu'il l'a eue : il a juste chouiné un peu, fait couler des fausses larmes de Crocrodil, et hop ! Y avait aussi les jumeaux Posipi et Negapi qui se disputent la même console, même qu'elle a du scotch tout partout à force qu'ils tirent chacun dessus, et aussi Parecool, qui a une DS spéciale où les dialogues défilent tout lentement et où on peut pas courir vite, sinon il arrive pas à suivre.

Déjà, quand j'ai dit tout fièrement que j'avais cinq Badges, les copains ont rigolé. Ils ont tous fini la Ligue. Sauf Parecool, mais lui, il dit que c'est normal vu qu'il peut pas courir. Posipi et Negapi ont même attrapé tous les légendaires, mais moi je dis que c'est de la triche, c'est sûr que à deux ça va plus vite ! Les jumeaux ont pas aimé que je dise qu'ils avaient triché et ils ont voulu me taper, mais Goinfrex m'a protégé en agitant une énorme tartine de confiture de Baies devant leur nez. Manzaï, lui, il est arrivé à la Maternité Pokéhom, Route 3. Et c'est là que j'ai été déçue, parce que moi, j'ai pas pu tester cette nouveauté.

« Dans cette nouvelle version, on peut reproduire les Pokéhoms, qu'il nous a expliqué avec son air de monsieur-je-sais-tout qui m'énerve. Il faut d'abord réserver une chambre à la Maternité, puis faire passer un Test de Compatibilité - test qui nous permet aussi de gagner des Chococoeurs - au mâle et à la femelle qu'on veut voir se reproduire. Si le test indique une compatibilité d'au moins 50%, on les laisse pendant un temps déterminé dans la chambre. Pour savoir combien de temps on doit les laisser seuls, il faut aller voir le Gardien des Chambres : s'il nous dit que nos Pokéhoms s'aiment beaucoup, c'est gagné. Mais s'il nous dit qu'ils ne s'entendent pas du tout, c'est mort... »

« Mais pourquoi il faut un mâle et une femelle, que j'ai demandé, quelle drôle d'idée ? » Faut dire que chez nous, pas besoin forcément d'un mâle et d'une femelle, juste des Pokémon faisant partie du même groupe d'oeufs.
- C'est parce que les Pokéhoms ne font pas des petits dans des oeufs, qu'il a dit Manzaï avec sa grande bouche moche en cul de Poussifeu. Ils font des BÉBÉS, des mini-homs tout ronds, tout nus , tout roses, et qui viennent au monde sans coquille.
- Et tout fripés et qui chialent tout le temps, un peu comme toi, a ajouté Posipi.
- Maieuuuh ! T'as pas le droit de... »
Là encore Goinfrex est intervenu avant que ça se gâte. Avec un énorme Lavacookie cette fois.

« Ah bon ? que j'ai rajouté. C'est pas cool je trouve, ça veut dire qu'on va galérer si on veut avoir des Bébés. Il faudra trouver à chaque fois un Pokéhom mâle et un Pokéhom femelle de l'espèce qu'on veut. J'suis dèg...
- D'autant plus, qu'il a dit Goinfrex la bouche pleine, que certains mâles ne se trouvent que dans la version Blanche et certaines femelles que dans la version Noire ! Ils abusent un peu chez Nindento, c'est juste pour nous obliger à acheter les deux jeux, pffff... » Et là, on a juste eu le temps de s'écarter pour ne pas être arrosés par une pluie humide de miettes de Vieux Gâteau.

Mais on a pas pu continuer à taper la discut' parce que ça a sonné et on est allés se mettre en rang. N'empêche que ça m'intrigue cette histoire, y a plusieurs trucs que je comprends pas. Déjà, d'où il sort le Bébé s'il ne vient pas d'un œuf ? Et pourquoi deux mâles ou deux femelles pourraient pas avoir des Bébés ensemble. Faudra que je demande à ma maman. A maman Leuphorie, parce qu'elle connaît mieux ces choses-là que maman Leveinard.

Avis de Kydra :

Spoiler :

Respect du thème/originalité : 5/5
Quoi de plus actuel ?
Tu nous as déjà sorti des histoires comme celles-ci et on avait apprécié... Celle-ci, on l'appréciera tout autant, sur un sujet qui colle on ne peut plus à la contrainte, en la prenant à rebrousse poil. C'est ce qui fait toute l'originalité de cette participation, et qui fait qu'elle a amplement attiré mon attention !

Cohérence/construction du récit : 4/5
Le texte est court, c'est peut-être un petit reproche. Il y a dedans un catalogue de petites choses qui n'apportent pas directement la pierre à l'édifice de la fin. A mon avis, c'est à la fois une bonne et une mauvaise chose. C'est à dire que les détails sur le jeu sont intéressants, mais finalement pas si importants ni vraiment originaux, s'ils avaient été vraiment marquants, ca aurait été sans doute un plus (les Badges sont peut-être un peu trop récurrents et le sauvetage de Goinfrex un peu réchauffé à la troisième fois...). Au départ, j'ai cru que l'histoire de la maîtresse qui joue aux Pokéhoms étaient plus ou moins la pièce maîtresse (ha ha ha -_-) du récit. En fait, non, et là, je ne peux que m'en réjouir... Alors, je ne sais pas si c'est parce que le débat m'a intéressé personnellement que la chute a eu tant l'effet escompté sur moi, en tout cas, je n'ai pas pu m'empêcher de l'apprécier et de trouver qu'elle a sublimé tout le reste du récit.

Style : 5/5
Le style est parfaitement adapté à ce qu'on en attend concernant la teneur du récit. On y retrouve tous les tics de langage des enfants, cela nous permet vraiment de nous immerger dans le texte. J'ai vraiment apprécié !

Syntaxe/orthographe : 5/5
Est-ce que j'ai vu une erreur ? Non... Du moins, pas d'erreur involontaire, à moins qu'elles ne se soient bien dissimulées dans les imperfections glissées à dessein. Donc, pour moi, pas de soucis là dessus.

Note finale : 19/20 soit 4.75/5

[Khimeira]

Avis de Kydra :

Spoiler :

Respect du thème/originalité : 5/5
Quoi de plus actuel ?
Tu nous as déjà sorti des histoires comme celles-ci et on avait apprécié... Celle-ci, on l'appréciera tout autant, sur un sujet qui colle on ne peut plus à la contrainte, en la prenant à rebrousse poil. C'est ce qui fait toute l'originalité de cette participation, et qui fait qu'elle a amplement attiré mon attention !

Cohérence/construction du récit : 4/5
Le texte est court, c'est peut-être un petit reproche. Il y a dedans un catalogue de petites choses qui n'apportent pas directement la pierre à l'édifice de la fin. A mon avis, c'est à la fois une bonne et une mauvaise chose. C'est à dire que les détails sur le jeu sont intéressants, mais finalement pas si importants ni vraiment originaux, s'ils avaient été vraiment marquants, ca aurait été sans doute un plus (les Badges sont peut-être un peu trop récurrents et le sauvetage de Goinfrex un peu réchauffé à la troisième fois...). Au départ, j'ai cru que l'histoire de la maîtresse qui joue aux Pokéhoms étaient plus ou moins la pièce maîtresse (ha ha ha -_-) du récit. En fait, non, et là, je ne peux que m'en réjouir... Alors, je ne sais pas si c'est parce que le débat m'a intéressé personnellement que la chute a eu tant l'effet escompté sur moi, en tout cas, je n'ai pas pu m'empêcher de l'apprécier et de trouver qu'elle a sublimé tout le reste du récit.

Style : 5/5
Le style est parfaitement adapté à ce qu'on en attend concernant la teneur du récit. On y retrouve tous les tics de langage des enfants, cela nous permet vraiment de nous immerger dans le texte. J'ai vraiment apprécié !

Syntaxe/orthographe : 5/5
Est-ce que j'ai vu une erreur ? Non... Du moins, pas d'erreur involontaire, à moins qu'elles ne se soient bien dissimulées dans les imperfections glissées à dessein. Donc, pour moi, pas de soucis là dessus.

Note finale : 18/20 soit 4.5/5

Ai-je la berlue, ou compte-je 19?

[Kydra]

Je ne sais plus compter, c'est bien connu
Je corrige

[Runown]

J'essaie de vous faire ça demain :3

Edit du 26 : Finalement, ce sera pour demain, pas le temps aujourd'hui sry

[Srithanio]

Mon p'tit Ruru, c'est pas sérieux tout ça ! Allez, viiiite, dis nous qui sera le meilleur conteur, qu'on passe à un autre concours !