Essais aux fanfics

[Srithanio]

Ben, écoute, en tant qu'auteur de fanfic pokemon, je me sens trop moche pour pouvoir commenter ta nouvelle. J'ai pas le niveau mental sans doute...
(Ceci est un soupçon d'ironie destiné à souligner que ton intro manque singulièrement de tact)

Si tu veux des critiques sur tes nouvelles hors fanfic', je t'encourage à aller sur d'autres forums, comme le Monde de l'Ecriture. Ici, c'est pas franchement le crédo.

[Angela-0206]

J'me demande si j'l'ai pas déjà posté ce début...

Différences et Ressemblances.

Spoiler :

Chapitre 1 : Danky

Bonjour ! Je m’appelle Danky ! Je suis un LIMAGMA ! Je vis au mont Evil, à Lyra. Mes parents m’ont appelé Danky, parce que… euh… j’en sais trop rien !
Bon, en fin bref, je suis Danky, LIMAGMA de 10 ans, et j’aime la chaleur, comme tous les LIMAGMA à ma connaissance. J’ai une petite sœur, Naiya, et mes parents sont deux VOLCARPOD, Tseï et Mahramy. On est très soudés, chez nous ! Alors, quand l’un est malade, les autres l’aident à guérir. On fait tout notre possible. Et c’est comme ça qu’on a sauvé ma sœur des tas de fois !!!

Mais moi, personne n’a pu me sauver !
Je vais vous raconter mon histoire…

* * *

C’était pendant un jour chaud. Tout le monde était sur les rochers, y compris moi. Je suis allé poser mon corps ardent, et sans faire attention, sur un RACAILLOU !

Il a utilisé l’attaque Damoclès, et j’ai décollé du sol ! Et du volcan, aussi ! Et je suis allé tomber dans un désert. On peut dire ça comme ça, parce qu’il n’y avait rien. Rien de chez rien ! Et moi, j’étais paumé là, tout seul. Bravo, le RACAILLOU ! Comment je vais rentrer chez moi ? Hein ? Allez, dis-le ! Tu sais pas ? T’avais qu’à y réfléchir avant de m’envoyer ici ! Non, on peut plus retourner en arrière ! Ah, bah, non ! Compris ? Alors tais-toi, et laisse-moi raconter !

J’explorais le désert, et là, j’ai vu une feuille bouger. C’était pas vraiment une feuille, plutôt un autre Pokémon. Je lui ai dit :

« Hé, le Pokémon ! T’es qui ?
-Je… Je suis… Je suis Daylos… Et… Et toi ?
-Je suis Danky. T’es quoi comme Pokémon ?
-Un… Un… Un GRAINIPIOT… Et… Et toi ?
-Je suis un LIMAGMA. T’as pas à avoir peur, j’te brûlerai pas !
-T’es… Sûr ?
-Oui, ne t’en fais pas !
-Comment tu peux … Me… Me le prouver ?
-… Je ne sais pas… En te câlinant, peut-être ?
-Je… Ne sais pas…
-Bon, je m’en vais…
-Attends… Me laisse pas toute seule !
-Si tu veux, viens ! »

Le petit GRAINIPIOT m’a suivit, mais il gardait ses distances. Je me demandais pourquoi. Un GRAINIPIOT, ici, c’est louche. J’allais poser une question, lorsque Daylos tomba dans une marre. J’ai eu tellement peur, que j’ai fait un bond de trois mètres. Enfin, façon de parler. Comme Daylos ne remontait pas, je paniquais encore plus. Soudain, un PTITARD sortit de l’eau avec, dans ses bras, le petit gland. Il me demanda :

« Qui c’est qui s’amuse à faire tomber des Pokémon Plante dans ma marre ?
-C’est elle qui est tombée !ai-je dit. T’es qui toi ?
-J’suis Dalyn, dit le PTITARD en se gonflant. J’vis ici, avec mes parents.
-T’es un garçon, hein ?
-Non, sans blague ! Ça ne se voit pas ?
-Si, si…
-Bon, alors, t’as pas répondu à ma question, c’est toi qu’a fait tomber l’Pokémon dans l’eau ?
-Non, elle est tombée toute seule !
-Ouais, t’as d’la chance ! Elle s’réveille ! Bon, j’y vais, à plus !

Et le PTITARD replongea dans l’eau.


-Il est gentil, hein ? demanda Daylos. Il est gentil !
-Oui, il est très gentil ! »

Je lui dis d’aller se reposer, et je suis allé chercher des baies, pour manger. J’ai juste trouvé des baies Sistrus, bien enfouies ! C’est vraiment un désert ! Je ne m’en plain pas trop, mais il fait vraiment chaud, et Dalyn verra sa marre s’évaporer, et Daylos va se dessécher. Je suis allé chercher des baies au près de l’eau. Des baies pour Daylos, et d’autres pour moi. Je suis retourné la voir. Elle était en train de dormir. La feignasse ! Je lui ai donné les baies que j’ai trouvées. Elle les a mangées, sans rien dire !

Elle m’a dit :

« C’est trop bon ! Encore ! Encore !
-Nan, y en a plus !
-J’en veux encore ! Encore ! Encore ! »

Et elle a piqué une crise d’enfant gâté. J’en ai marre ! Qu’est-ce qu’il y a de plus énervant que la pluie pour un type Feu ? Les gamins ou gamines qui chialent ! C’est vrai, c’est nul.

Je lui ai dit, quand elle s’est calmée :

« Au fait, tu vis où ?
-Dans la Forêt Grise. Et toi ?
-Moi, j’étais au Volcan Evil.
-Et t’as quel âge ?
-Moi, j’ai dix ans ! Et toi ?
-J’en ai que neuf… C’est nul.
-C’est déjà grand !j’lui ai dit.
-Nan, j’suis toute petite, je suis la plus petite GRAINIPIOT de la forêt…
-Ah bon ?
-Oui… ajouta-t-elle en pleurant.
-Mais c’est bien, ça ! Tu seras le plus jeune PIFEUIL de la forêt, après !
-Tu crois ?
-Mais oui ! C’est bien, ça, la célébrité ! Rien de mieux que ça !
-Pff… Je suis trop petite pour évoluer. On évolue qu’à 14 ans chez nous. Et chez vous ?
-Euh… J’en sais rien… Je crois que c’est à 38 ans… Mais j’en sais rien…
-Tu vois, tu seras le plus vieux des LIMAGMA, toi ! dit Daylos en rigolant. Danky-le-vieux-LIMAGMA !
-Et toi, tu seras Daylos-la-petite-GRAINIPIOT !ai-je dit pour la taquiner.
-Ouais, la petite ! »

Et on continuait à se taquiner. Quand le soleil était haut, dans le ciel, le PTITARD, est apparu. Il pleurait. On lui a demandé ce qu’il y avait, et il a répondu :

« Ma marre ! Elle est partie ! Elle s’est évaporée ! Ouiiiiiin !!!!!!!! »

On a tenté de le consoler. Daylos restait avec lui, et moi, je suis allé chercher des baies. On avait vraiment faim ! Mais bon, tant qu’on est rassasiés, c’est bon !

Donc je suis allé chercher des baies. Et j’ai aussi pris des herbes médicinales.

Spoiler :

Chapitre 2 : Daylos

Hum... Euh... Salut... Moi... Moi, mon nom, c’est... C’est Daylos. Je... Suis... Très timide... Et je vis dans une forêt. La forêt Grise. On l’appelle comme ça... Parce que la nuit, tout est noir ou gris... Voilà... Hum... Moi, je m’appelle Daylos, parce que ma grande tante s’appelait comme ça, et sa grande tante aussi, et la grande tante de sa grande tante aussi... Et ce depuis loooongtemps...
Avant de vous raconter cette histoire, je vais vous parler de moi. Je suis un GRAINIPIOT, j’ai neuf ans, et j’adoore les baies Sistrus. C’est le tout premier aliment que j’ai mangé. Je suis la plus jeune des GRAINIPIOT de ma forêt. Mes parents sont des PIFEUIL. Mon père s’appelle Forest, et ma mère Foliage. Respectivement “Forêt” et “Feuillage”. Mes grands-parents, je les connais pas. Ils ont été capturés tous les deux. Avant que mon œuf éclose. Mais ma mère me raconte pleins d’histoire sur eux, et je pense qu’un jour je les verrais...
A côté de ma forêt se trouve un Désert. Et encore à côté, il y a l’Océan. Si on traverse le Désert, on tombe sur une énoooorme montagne. Le Mont Evil. En réalité, c’est un Volcan. Aucun membre de notre famille n’a rencontré un des habitants, et n’y est allé. Et personne n’est pressé que ça arrive. On raconte que des monstres y vivent. Ils ont un gardien protecteur nommé GROUDON. Ceux de l’Océan ont KYOGRE. Mais nous, on n’a personne. Alors maman veut pas que j’aille n’importe où.

Cette histoire, elle est bizarre. Je ne sais plus comment ça a commencé, ni comment ça s’est terminé. Mais une chose est sûre. Je ne me lasserai jamais de voir mes amis...

* * *

C’était un jour de canicule... Maman m’empêchait de sortir de la forêt. Elle me disait :
’’ Si tu vas au soleil, ses rayons te brûleront et tu mourras !’’
Evidemment, je la croyais. Mais qu’est-ce qui a bien pu me faire sortir ? Qui a pu me détacher de ma branche ? Qui ? Quand ? Pourquoi ? Comment ?
Ok, ça fait trop de questions...

Je dormais paisiblement, accrochée à ma branche, ayant écouté ma mère me dire que le soleil allait me réduire en cendres et patati, et patata... Et là, le noir total. DARKRAI ? Ok, ma vanne est pourrie... Je ne sais plus. Tout ce que je sais, c’est que j’ai lâché ma branche, et que je suis sortie de la forêt. J’entendais maman dire :
« Qu’est-ce qui t’a prit de sortir ? Si un quelconque Pokémon Feu était passé sur ta petite tête vide ? On t’aurait perdue ! »

Et voilà. J’t’ai désobéi ! Na ! Tu l’as bien bouffée, celle-là !

Un coup de vent et pouf, j’m’en allais ! Ouf !


Revenons à nos moutons. Donc, par je-ne-sais-quel-hasard-bien-hasardeux, je me suis retrouvée coincée entre deux pierres, une feuille sur la tête.
Et par un autre hasard, un LIMAGMA passait par là. Il me remarqua et s’approcha.

« Hé, le Pokémon ! T’es qui ?
-Je… Je suis… Je suis Daylos… Et… Et toi ?
-Je suis Danky. T’es quoi comme Pokémon ?
-Un… Un… Un GRAINIPIOT… Et… Et toi ?
-Je suis un LIMAGMA. T’as pas à avoir peur, j’te brûlerai pas !
-T’es… Sûr ?
-Oui, ne t’en fais pas !
-Comment tu peux … Me… Me le prouver ?
-… Je ne sais pas… En te câlinant, peut-être ?
-Je… Ne sais pas…
-Bon, je m’en vais…
-Attends… Me laisse pas toute seule !
-Si tu veux, viens ! »

Et vous connaissez la suite. On a fait une longue route pour retrouver nos maisons. Lui voulait aller vers l’Ouest, mais moi vers l’Est. Pis, moi, avec mon humour de RACAILLOU fraîchement trempé dans l’huile de baies Oran, j’arrangeais rien. C’est pour dire si c’était pas ennuyeux à mourir ! Mais bon, on continuait à marcher. Enfin, lui, il rampait, et moi, je sautillais. Et pis on est tombés sur une oasis à côté de l’Océan. Et j’ai voulu voir dedans. Et j’suis tombée. J’ai voulu appeler Danky, mais il n’a pas eu de réflexe trop rapide et j’suis quand même tombée. J’ai bu la tasse, et là, une masse m’a attrapée et m’a remontée. Puis quand j’ai rouvert les yeux, j’ai vu que c’était un PTITARD.
« Ouais, t’as d’la chance ! Elle s’réveille ! Bon, j’y vais, à plus !

J’me suis demandée pourquoi il avait dit ça. Mais j’ai pas demandé à Danky.

-Il est gentil, hein ? lui ai-je dit. Il est gentil !
-Oui, il est très gentil !

Danky m’a conseillé de me rendormir, pendant qu’il allait chercher à manger. C’est ce que j’ai fait. Je me suis assoupie...

Plus tard, il est revenu. J’ai mangé. Mes baies préférées ! Miam ! J’ai crié :

- C’est trop bon ! Encore ! Encore !
-Nan, y en a plus !
-J’en veux encore ! Encore ! Encore !

J’pensais que Danky, ça lui plaisait pas, parce qu’il a tiré une de ces têtes !
J’me suis calmée, et après, il m’a demandé :

- Au fait, tu vis où ?
-Dans la Forêt Grise. Et toi ?
-Moi, j’étais au Volcan Evil.
-Et t’as quel âge ?
-Moi, j’ai dix ans ! Et toi ?
-J’en ai que neuf… C’est nul.
-C’est déjà grand !qu’il m’a dit.
-Nan, j’suis toute petite, je suis la plus petite GRAINIPIOT de la forêt…
-Ah bon ?
-Oui…

Je me suis mise à pleurer.

-Mais c’est bien, ça ! Tu seras le plus jeune PIFEUIL de la forêt, après !
-Tu crois ?
-Mais oui ! C’est bien, ça, la célébrité ! Rien de mieux que ça !

Je crois qu’il essayait de me consoler.

-Pff… Je suis trop petite pour évoluer. On évolue qu’à 14 ans chez nous. Et chez vous ?
-Euh… J’en sais rien… Je crois que c’est à 38 ans… Mais j’en sais rien…
-Tu vois, tu seras le plus vieux des LIMAGMA, toi !ai-je dit en rigolant. Danky-le-vieux-LIMAGMA !
-Et toi, tu seras Daylos-la-petite-GRAINIPIOT !
-Ouais, la petite ! »

Et on continuait à se taquiner. Le soleil tapait fort dans nos dos. Et là, le PTITARD (Danky m’avait dit qu’il s’appelait Dalyn) est apparu. Il pleurait.

« Ma marre ! Elle est partie ! Elle s’est évaporée ! Ouiiiiiin !!!!!!!! »

Danky a grommelé. Il a dit qu’il allait chercher d’autres baies. Moi, je suis restée avec Dalyn.
On a parlé, parlé, parlé...

* * *

C’est comme ça qu’on s’est rencontrés tous les trois.

Spoiler :

Chapitre 3 : Dalyn

En cours... * sort*

Ou sinon, j'ai ça : A.
J'me suis pas foulée pour le titre, mais lisez l'histoire.

Tout ce que j'ai écrit jusqu'à présent ce résume en-dessous.

Spoiler :

C’était ma vie… Jusqu’à ce qu’Ils arrivent…

A. Je suis A. Je ne sais rien d’autre. Je ne sais que mon nom et celui de mes compères. Le Clan ALPHA. Je suis A. Mon premier chef et son sous-chef sont ! et ?. Le Clan ALPHA est composé de 28 membres, en comptant nos chefs. 28 membres... Moi, A, B, C, D, E, F, G , H , I , J , K , L , M , N , O , P , Q , R , S , T , U , V , W , X , Y, Z, ! et ? . Et la reproduction est interdite ! Si l’on trouvait le moindre rejeton d’ALPHA, il était exilé. Notre maison est les ruines qui portent notre nom ; notre forme est notre nom ; et les choses uniformes passent tous les jours ici, chez nous. Nous sommes ce qu’ils appellent des ‘’ZARBI’’. Une fois, l’un d’eux, pendant une semaine, a fait des remarques philosophiques.
« Les ZARBI peuvent créer une nouvelle réalité.
Seuls, rien ne se passe. Mais ensemble, une force les unit.
Il existe 28 formes de ZARBI dont 26 correspondent aux lettres de l’alphabet. Quelles sont les deux autres ?
De nombreux messages habitent les ruines où nous les avons découverts. Elles se nomment maintenant les ruines d’Alpha. »

Nous avons NOTRE lieu sacré. Pourquoi ils le polluent ? Ils ne lévitent même pas ! Ils n’ont aucun respect pour MON Clan et MES camarades. Je ne peux y croire ! Notre Sanctuaire ! Relevé par des créatures toutes aussi bizarres que celles qui ne lévitent pas. Les Créatures Non-Lévitantes, les CNL. Et les choses qu’ils nomment Pokémon. Ils les tiennent dans des sphères rouges et blanches. Mon Clan les craint plus que tout, et nous ne pouvons lutter contre eux. Les chefs ne peuvent rivaliser contre une désertion des lieux. Mais notre réintroduction en un lieu plus calme ? Où ? Quand ? Je ne le sais...

L’heure n’étant pas à ces questions, j’allais dans la grande salle où nous vivions ensemble. Z était là. B venait d’arriver. ? et ! étaient déjà là depuis belle lurette. Une réunion se préparait. J’arrivai seul, comme d’habitude. Un peu plus tard, on était tous installés dans l’ordre ALPHAbétique. J’étais le premier dans un sens, mais le dernier dans l’autre. On se moquait de moi car j’étais le plus jeune.

Je n’aurai jamais cru que je serais une légende pour eux...

Même s’ils l’avaient su, ils ne m’auraient pas respecté lus que ça pour autant.

? commença :
« Mes chers congénères ! Ceci est une période de révolte ! Les Humains nous attaquent de toutes parts ! Il faut riposter ! Nous DEVONS contre-attaquer !

Des murmures de protestation traversèrent le Hall Mystérieux. ! poursuivit :

- L’un de nous doit se sacrifier. Il doit nous sauver. Au péril de sa vie. Avec son courage pour seul allié...

Sa phrase resta en suspens... Sa voix, aussi froide et sèche que d’habitude, m’effrayait encore plus. Pourtant, impulsivement, je le coupai.

- Pourquoi Nous ? Pourquoi pas Vous ?!

La réponse que j’espérais n’était malheureusement pas celle qu’il me donna.
- Nous devons assurer la fuite au cas où cet ‘’ Elu ‘’ ne pouvait pas nous protéger.
- Ne serait-ce pas vous qui devrait le faire ? Après tout, votre tâche est de nous protéger !
- Cher J. Ton insolence n’est que trop dérangeante. Encore une remarque comme celle-ci, et tu seras condamné à l’exil !

Un frisson glacial me parcouru le dos. L’exil était le pire des châtiments. V avait failli y passer, mais ? l’avait laissé parmi nous. Notre survie dépend de chacun.

- Et comment saurons-nous qui est l’Elu ?
- Seul le temps nous le dira.

J’espérai intérieurement que cet Elu ne serait pas Z. Il était trop arrogant. Je voulais que ça soit moi, l’Elu. Ma vie était trop monotone. Il manquait le piment. ? ajouta :

- La Réunion est terminée. Vous pouvez vaquer à vos habitudes. »

Je m’empressai d’aller voir D. C’était mon meilleur ami. Mon nique confident. On n’a jamais été séparés l’un de l’autre. On se parla de nos envies d’être l’Elu.

Les jours passèrent...

Les Humains avaient construit un édifice proche du Hall Mystérieux, et il n’y avait plus qu’une personne qui observait notre territoire. Mais, moi, chaque jour, je me sentais plus fort. L’Elu allait être choisi...

! annonça solennellement :
« L'Elu va être nommé, aujourd’hui, en ce lieu. Je ne sais qui il est. Mais je sais qu’il nous sauvera.
- Et nous savons pertinemment qu’il est jeune, robuste, intelligent, rusé et souple.

Les dires de ? m’excitaient. Cela correspondait presque à mon profil ! J’en étais sûr ! !

- Vous allez vous fixer à cette pierre tour à tour. Elle vous analysera et choisira celui qui nous sauvera. »

Nous obéîmes. Cela commença avec Z[/.b]. Puis, ce fut le tour d’Y. Et nous passâmes encore dans l’ordre inverse de l’ALPHAbet. Quand ce fut le mien, ? et ! me lorgnèrent. J’avais quoi ? Je leur demandai, mais pas de réponse. Leurs yeux étaient grand ouverts (façon de parler). Puis je vis. La lumière. J’étais l’Elu. Mes jours étaient comptés, j’allais mourir.

[illapa]

Voilà le début de ma fic. Je pensais en faire un OS, mais je me demande si finalement, je ne vais pas en faire une fic à chapitres assez courte.
Enfin bref, vos réactions sont les bienvenues, dites-moi si vous voyez des fautes, si le temps des verbes concorde, si y a assez de verbes de dialogues, si y a des points à développer bref, soyez critiques !

Spoiler :

Il s'appelle Siléas. Siléas Ysalea.
Tout petit déjà, on lui contait les mythologies pokémon avant d'éteindre la lumière en lui souhaitant bonne nuit. Plongé dans le monde des rêves, il chevauchait le vent avec Suicune, explorait les glaces éternelles des plus hautes montagnes avec Artikodin, découvrait les profondeurs abyssales de l'océan avec Manaphy, admirait l'éclat du soleil aux côtés de Ho-oh, dansait dans le monde des rêves avec Cresselia, traversait le temps avec Celebi...

Aussi, quand il avait été en âge d'aller explorer le monde, il avait décrété qu'il serait un explorateur, et qu'il rencontrerait des pokémons de légende. Qu'il deviendrait connu, et écrirait des livres narrant ses extraordinaires aventures, avec de superbes illustrations.
Pour son 17eme anniversaire, sa famille lui avait donc offert un carnet de voyage pour qu'il puisse y consigner ses tribulations, ainsi qu'une pokéball contenant un pokémon qui l'accompagnerait et le protégerait. Ils y avaient réfléchi longuement, puis ils avaient demandé à l'oncle du garçon, un dresseur ayant des kilomètres d'expérience, d'aller lui capturer la bestiole idéale.
Ce dernier était revenu avec un pokémon réputé comme archaïque, un pokémon qu'on disait « des temps anciens ».
Le jour J, le jeune homme s'enthousiasma sur son petit cahier bleu aux pages vierges, jubila devant le stylo rouge avec tube à encre rechargeable, s'extasia devant la fameuse pokéball, et s'émerveilla devant son nouveau compagnon.
Puis, il prit son stylo, qu'il débouchonna d'un geste concentré et méthodique, et écrivit avec soin dans son petit carnet :

Mois X, Jour X.
Aujourd'hui, pour mes 17 ans, moi, Siléas Ysalea, ait reçu mon premier journal d'explorateur, ainsi que mon premier pokémon. Et, comment vous dire ? Il est magnifique ! Ou plutôt, « elle » est magnifique !
Quand je l'ai sortie de sa pokéball et que je l'ai vue, j'ai tout de suite su que je l'aimais déjà, et que je l'aimerai toute ma vie. Elle se tenait là, devant moi, majestueuse, en battant gracieusement des ailes... Là, flottant au milieu du salon, ses couleurs irisées semblaient rayonner sous la caresse des rayons du soleil qui filtraient à travers le rideau...
On s'est regardé un moment, puis je l'ai prise dans mes bras. Je lui ai dit que je l'aimais déjà, et elle m'a répondu :
-Cryptéro ! Cryptéro !
Oh, ma cryptéro, ma belle cryptéro, toi et moi allons vivre de grandes choses ! Je le lui ai dit. Elle a fermé ses trois yeux d'un air ravi, en répétant :
-Cryptéro, cryptéro !

Il fallait que je lui trouve un joli nom. Ça a été un terrible dilemme de le lui trouver.
Il fallait un nom aussi ancien que ce pokémon du passé.
Un nom aussi brillant que la lumière qui envahit mon cœur lorsque je la vis.
Un nom aussi coloré qu'elle et que les aventures que nous allions vivre ensemble...
Mon oncle me suggéra alors de lui donner un nom d'étoile, pour qu'elle soit la lumière qui me guide dans les ténèbres de l'inconnu, que son spectre lumineux colore ma vie d'innombrables expériences, pour que son nom soit aussi éternel que notre amitié...
Mes parents et mon oncle se mirent alors à faire des suggestions des noms d'étoiles qu'ils connaissaient.

Polaire ? Non, ça fait glaçon.
Vega ? Non, ça fait punk.
Orion ? Non, ça fait trop courant.
Deneb ? Non, ça fait d'ahuri.
Gomeisa ? Non, ça fait chewing-gum.
Dhur ? Non, ça fait pas un nom facile.
Zosma ? Non, ça fait figure géométrique.
Alshaïn ? Non, ça fait maladie.
Elnath ? Non, ça fait poupée.
Altaïr ? Non, ça fait voleur.
Ed Asich ? Non, ça fait lessive.
Sirius ? Non, ça fait clébard.
Tegmine ? Non, pas un nom de maladie, j'ai dit !
Etamin ? Non, ça fait fleur.
Antarès ? Non, ça fait sombre taré.
Regulus ? Non, ça fait friandise.
Lesath ? Non, ça fait éternuement.
Algorab ? Non, ça fait nom de bateau.
Agena ? Non, ça fait maux de gorge.
Alrischa ? Non, ça fait prétentieux.
Yildun ? Non, ça fait mafieux.

Après divers essais, j'ai fini par chercher dans une encyclopédie, et j'ai trouvé la perle des noms d'étoile pour mon soleil à moi : Mira Ceti.
Je l'ai donc annoncé à ma cryptéro. Elle a eu l'air contente. Et c'est ainsi que débutèrent les formidables aventures de Siléas Ysalea et Mira Ceti !

*** ***

Une semaine plus tard, Siléas était fin prêt à quitter sa ville natale d'Arabelle, à la recherche de mythes et de légendes. Il avait bien réfléchi à sa première destination. Unys ne manquait pas de lieux chargés d'Histoire.
Cependant, son choix se porta sur le château enfoui près de la route 4. Parce que c'était le lieu où on trouvait des cryptéros, d'après les dires de son oncle, même si ce dernier avait avoué avoir acheté cette pokémon à un dresseur qui vendait des œufs qu'il faisait éclore sur demande. Néanmoins, Siléas avait décidé de venir voir de ses yeux l'endroit où on pouvait croiser ces pokémons anciens. Un tel lieu ne pouvait qu'être lié au passé. Et qui disait passé disait mystères, et qui disait mystères disaient légendes et mythes.

Le jour du départ, tous ses proches se réunirent pour lui souhaiter bon voyage. Ils organisèrent une fête, préparèrent un gâteau géant dont la simple vue faisait monter en flèche le taux de cholestérol, et chacun y alla de son conseil :
-Ne bois pas l'eau si elle sent bizarre !
-Oui, maman, je sais qu'il ne faut pas boire d'eau croupie !
-Ne dors pas dans des grottes, surtout si elles sont habitées par des Polagriffes.
-Oui papa, je sais que je dois être prudent.
-Si tu veux manger des baies, évite les tomatos, elles arrachent. Ou alors fais-le à côté d'un centre pokémon ou d'un hôpital.
-Heu... D'accord tonton, j'y penserai.
-Fais bien tes lacets surtout ! Et ne tombe pas dans un trou !
-Oui pépé !
-Et méfies-toi des malosses avec des sourcils oranges.
-Mémé, il n'y a pas de malosse dans la région.
-Et alors ? C'est pas une raison ! Méfies-t-en quand même !
-Oui mémé...
-Penses à m'envoyer des cartes postales !
-Bien sûr, je ne peux pas oublier mon meilleur ami ! Et puis, dans un an, ce sera à ton tour de partir en voyage ! Tu me rejoindras !

Il eut même droit à une surenchère de recommandations de la part de sa mère. Mais après tout, que peut-on espérer d'autre de la part d'une mère avant un grand voyage vers des contrées lointaines et inconnues ?
-Tu feras bien cuire ton poisson avant de le manger, hein ?
-Oui maman, ca fait cinq ans que tu me force à faire la cuisine tous les week-end, je sais faire maintenant...
-On est jamais assez préparé... Tu penseras bien à te brosser les dents, hein ?
-Oui !
-Tu as bien pris assez de caleçons propres ?
-Maman ! Pas devant tout le monde !
-Alors, tu en as assez ?
-Ouiii !
-Tu as bien pensé à tout ?
-Oui ! J'ai revérifié mon sac trois fois avec la liste que j'avais faite ! J'ai tout !

Alors ils le regardèrent s'éloigner, aux côté de sa cryptéro. Marshall, son meilleur ami, l'accompagna un moment.
-Tu laisses Mira voler en liberté ?
-Oui. Mon oncle dit que c'est mieux pour favoriser le lien entre un pokémon et son dresseur. Et puis, j'aime bien la voir voler. Elle est belle.
-Héhéhé, c'est vrai que t'as été gâté avec elle. Tu feras bien attention, hein ?
-Oui !
-Ne confond pas la menthe avec des orties !
-Bien sûr que non.
-Et ne confond pas la farine avec du ciment !
-Tu me prends pour un idiot ? Qui serait assez bête pour prendre du ciment pour de la farine ?
-Ben...Chais pas. L'autre jour à la télé, ils ont dit qu'il y avait un type, il faisait des travaux dans sa cuisine et du coup...
-Il devait avoir l'estomac solide.
-Il était déjà raide quand ils l'ont trouvé.
-C'est charmant comme départ. Tu n'as rien de mieux à me raconter ?
-Ben... C'est que je sais pas trop quoi dire. Ce me fait tout drôle de te voir partir. Tu feras attention hein ?
-Oui !
-Tu m'enverras des cartes postales ?
-Oui.
-Tu me ramènera des souvenirs ?
-Tu te moques de moi ! Tu fêtes tes 17 ans l'an prochain et tu vas voyager aussi, alors tu n'auras qu'a me rejoindre et aller acheter tes souvenirs toi-même !
-Oui, oui, c'est vrai, mais... En attendant... Enfin. Prends bien soin de toi et de Mira Ceti.
Puis il se tourna vers la cryptéro, et déclara d'un ton solennel :
-Et toi, je te confies mon ami, protège-le bien, hein !
Mira déclara avec enthousiasme :
-Cryptéro, cry !
Satisfait de cette réponse, Marshall retourna vers la ville en courant.

Mois X, Jour X.
Ca y est ! C'est enfin le jour du départ pour le futur grand explorateur Siléas ! Quels mystères vais-je découvrir ? Réussirais-je à les élucider ? Quels pokémon de légende vais-je rencontrer ?
Ma première destination sera le Château Enfoui près de la route 4, un lieu usé par le temps et le sable. Le temps et le sable... Ils sont intimement liés, j'en suis convaincu, pour quelle autre raison utiliserait-on des « sable-iers » pour mesurer le temps ? Voilà un premier mystère qu'il faudra résoudre lorsque je serai au Château Enfoui dans le désert Délassant !

Ma famille et mon meilleur ami Marshall sont venus me saluer. C'était très émouvant. Chacun avait un conseil à me donner. « N'oublie pas que parfois, les anciennes ruines se cachent sous l'eau ! » « N'oublie pas qu'on ne trouve pas que des polagriffes enragés au fond des grottes ! », « N'oublie pas de gouter aux spécialités locales quand tu voyages ! » «La spéléologie c'est intéressant aussi ! » « Si tu trouves un malosse avec des sourcils oranges, capture-le, c'est rare ! » « Ramènes-nous des souvenirs et fais-toi en plein ! ».
Avec une mention spéciale pour ma chère et tendre mère, qui transpirait alors l'amour et l'inquiétude...
-Tu as pensé à prendre la lampe pour explorer les endroits sombres ? Et la corde pour les trous ? Tu as un mousqueton de rechange ? Tu as assez de sandwichs ?

Ma chère mère, et vous tous, ma famille et mes amis, vous aller me manquer... Mais l'aventure m'appelle, mon destin n'attend que d'être réalisé ! Mon oncle, et toi Marshall mon ami, je vous attends au détour du chemin, et ensemble nous partagerons des expériences uniques !
Alors, à bientôt...
Et c'est ainsi que je suis parti, seulement accompagné de ma rayonnante Mira Ceti, vers l'ouest en direction du soleil couchant et d'aventures extraordinaires.

*** ***

Siléas entama donc son périple sur la route 2, qui partait à l'ouest d'Arabelle et rejoignait Ogoesse. C'est sur cette route qu'il fit ses débuts d'explorateur. Il y avait en effet, sur le bord du chemin, un immense trou, à côté duquel se tenait un immense rocher : peut-être un ancien puits, que les anciens bouchaient et débouchaient avec le rocher pour préserver l'eau de la lumière et éviter que les enfants ne tombent dedans. Peut-être était-ce une cavité naturelle que les spéléologues débouchaient lorsqu'ils descendaient et rebouchaient pour que personne ne tombe dedans. Mais peut-être n'était-ce qu'un terrier de pokémon ?
Quoiqu'il en soit, c'était l'endroit rêvé pour un jeune Siléas en mal de découvertes sensationnelles.

Il prit donc sa corde dans son sac, une longue corde d'escalade rose qu'il avait soigneusement choisie dans un magasin spécialisé, arrima un bout à un arbre proche, s'attacha solidement, mis sa lampe torche en place, et commença à descendre le trou en rappel, mettant à profit ses séances de sport pour lesquelles il s'était entrainé des années durant en vue de ce jour.
Il se rendit vite compte que le trou était moins profond qu'il ne l'imaginait, pas plus de 5 ou 6 mètres. Il était juste étroit, ce qui ne permettait pas à la lumière d'aller jusqu'au fond.
Il resta donc un moment planté dans la terre molle, dépité. Mira Ceti l'avait rejoint au fond du trou , voletait juste au dessus de lui, et déclara d'un ton encourageant :
-Cryptéro, Cry ! Cry ! Ptéro !
-Il n'y a rien au fond du trou. Quelqu'un a déjà dû passer et prendre ce qu'il y avait d'intéressant...
-Cry ?
-Ca explique pourquoi le trou n'était pas bouché par le rocher. Oui, c'est sûrement ça !
-Cryy... Ro !
Siléas soupira. Il regarda une dernière fois tout autour de lui, d'un air désolé, dans un ultime espoir de trouver une immense grotte à explorer. C'est ainsi que son faisceau de lampe et son regard tombèrent sur un objet brillant qui dépassait du sol.
Un petit objet pas plus gros que la taille d'un dé à coudre, pointu, et qui brillait sous le jeu de lumière de la lampe torche.
Siléas avait enfin trouvé son premier trésor...

Mois X, Jour X.
Ca y est ! Le premier défi du grand explorateur Siléas est prêt à être réalisé ! Trou de la route 2, me voilà ! Que vais-je découvrir au fond de cette sombre cavité ? Un objet mystérieux ? Un fossile de pokémon ? Une source d'eau plus pure qu'un flocon de neige ?
Il est temps de mettre à contribution mes cours d'escalade ! Je vais aller explorer le fond de cette antre !
Après m'être solidement attaché, et après avoir préparé ma lampe, je me retrouvai en train de descendre... Un mètre... deux mètres... Cinq mètres... Dix mètres... Autour de moi, les parois de la caverne s'étaient élargies considérablement ; mon faisceau de lumière n'atteignait même plus le bout et se perdait dans le noir. Jusqu'à où devais-je descendre ? Aurais-je eu assez de corde ?
Et enfin, je sentis mes pieds toucher le sol. Un sol mou, je décidais donc de rester attaché pour ne pas risquer de m'enfoncer trop ni de me perdre. A mes côtés, ma sublime Mira Ceti eut l'air impressionnée. Elle paraissait si fragile, seule tache colorée au milieu de cette immensité dévorante d'obscurité...
Et tout à coup, j'aperçus un scintillement du coin de l'œil... Le rayon de ma lampe torche me révèla un petit objet pointu, pas plus gros qu'un dé à coudre, qui scintillait comme s'il m'appelait...
Prudemment, je m'approchai pour examiner cet étrange objet. J'essayai de le prendre, mais il ne vint pas, il sembla alors qu'une partie plus grosse était coincée sous la terre...
Je me mis alors à creuser frénétiquement, j'avais enfin mon premier trésor d'explorateur ! Mes fouilles me révélèrent que l'objet en question n'était que le coin d'une partie métallique plus grande. Mes doigts finirent par toucher du bois...
Plus motivé que jamais, je creusai sous les encouragements de Mira, et enfin, je finis par déterrer mon trésor...

Une pelle.

Une simple pelle. Rongée par la rouille, et dont le manche en bois commençait à pourrir sous l'humidité du sol. Une pelle tout bête qu'un ouvrier avait perdu là, lorsque les Arabellois avaient décider de forer un nouveau puis. Ils avaient creusé, puis un géologue avait trouvé une nouvelle source plus proche de la ville, plus accessible. Alors ils avaient laissé tombé ce trou, en se disant que les pokémon ou les intempéries se chargeraient de le reboucher ou de l'aménager en terrier...

Une pelle ! Une vielle pelle moisie !
Cet objet avait dû forcément appartenir à quelqu'un... La rouille sur sa partie métallique témoignait de son ancienneté et de son histoire. Qu'était-il arrivé à l'homme qui la maniait ? Pourquoi avait-elle été abandonnée subitement là ? La solitude de cette pelle reflètait sans doute une histoire tragique, ayant provoquée la fuite soudaine de son propriétaire.
Une pelle... Combien de sols avait-elle rencontré ? Combien de trésor avait-elle déterré ?
En tout cas, pour moi, c'était un trésor inestimable ! Cet objet recelait une histoire et un potentiel narratif fabuleux !
Le futur grand explorateur Siléas ne pouvait rêver mieux comme premier trésor !
Bienvenue dans l'équipe, respectable pelle ! Toi, Mira Ceti et moi, allions encore exhumer de grandes choses et de sombres mystères !

*** ***

[Maurice Hauriou]

Voilà une sorte de petite correction

Spoiler :

Aussi, quand il avait été en âge d'aller explorer le monde, il avait décrété qu'il serait un explorateur, et qu'il rencontrerait des pokémons de légende.Faute de ponctuation/ Syntaxe, reformule à ton aise. Qu'il deviendrait connu, et écrirait des livres narrant ses extraordinaires aventures, avec de superbes illustrations.

Pour son 17ème anniversaire, sa famille lui avait (lui a donc, plus de logique au niveau du temps, mais cela marche aussi avec de l'imparfait donc offert un carnet de voyage pour qu'il puisse y consigner ses tribulations, ainsi qu'une pokéball contenant un pokémon qui l'accompagnerait et le protégerait.

Ce dernier était revenu avec un pokémon réputé comme archaïque(Hum, je ne suis pas sûr que l'on puisse qualifier un pokémon d'archaïque, un pokémon qu'on que l'on disait baptisait « des temps anciens ».

Un nom aussi brillant que la lumière qui envahit mon cœur lorsque je la vois.

Dhur ? Non, ça fait pas un nom facile.

Euh ce n'est vraiment pas beau, c'est mal dit.

même si ce dernier avait avoué, avoir achetée cette pokémon

Je ne crois pas que cela se dit "cette pokémon".

-Et méfies-toi des malosses avec des sourcils oranges.

Fail, Malosse ne possède pas de sourcils.

Quoiqu'il en soit, c'était l'endroit rêvé pour un jeune Siléas en mal besoin ? de découvertes sensationnelles.

Barbarisme, ce n'est pas une vraie expression.

-CaCela explique pourquoi le trou n'était pas bouché par le rocher. Oui, c'est sûrement ça !

Siléas soupira. Il regarda une dernière fois tout autour de lui, d'un air désolé, dans un ultime espoir de trouver une immense grotte à explorer.

Euh, wut, je suis plus là, son espoir n'est pas de trouver une grotte à explorer à ce moment-là, mais plutôt de trouver un trésor.

Mois X, Jour X.
Ca y est ! Le premier défi du grand explorateur Siléas est prêt à être réalisé ! Trou de la route 2, me voilà ! Que vais-je découvrir au fond de cette sombre cavité ? Un objet mystérieux ? Un fossile de pokémon ? Une source d'eau plus pure qu'un flocon de neige ?
Il est temps de mettre à contribution mes cours d'escalade ! Je vais aller explorer le fond de cette antre !
Après m'être solidement attaché, et après avoir préparé ma lampe, je me retrouvai en train de descendre... Un mètre... deux mètres... Cinq mètres... Dix mètres... Autour de moi, les parois de la caverne s'étaient élargies considérablement ; mon faisceau de lumière n'atteignait même plus le bout et se perdait dans le noir. Jusqu'à où devais-je descendre ? Aurais-je eu assez de corde ?
Et enfin, je sentis mes pieds toucher le sol. Un sol mou, je décidais donc de rester attaché pour ne pas risquer de m'enfoncer trop ni de me perdre. A mes côtés, ma sublime Mira Ceti eut l'air impressionnée. Elle paraissait si fragile, seule tache colorée au milieu de cette immensité dévorante d'obscurité...
Et tout à coup, j'aperçus un scintillement du coin de l'œil... Le rayon de ma lampe torche me révèla un petit objet pointu, pas plus gros qu'un dé à coudre, qui scintillait comme s'il m'appelait...
Prudemment, je m'approchai pour examiner cet étrange objet. J'essayai de le prendre, mais il ne vint pas, il sembla alors qu'une partie plus grosse était coincée sous la terre...
Je me mis alors à creuser frénétiquement, j'avais enfin mon premier trésor d'explorateur ! Mes fouilles me révélèrent que l'objet en question n'était que le coin d'une partie métallique plus grande. Mes doigts finirent par toucher du bois...
Plus motivé que jamais, je creusai sous les encouragements de Mira, et enfin, je finis par déterrer mon trésor...

Euh ouais ok le gars, soit il écrit pendant qu'il descend en rappel, ce dont je lulz, soit il remonte, et écrit tout ce qui s'est passé, comme au moment présent ? Explication ? Intérêt ? Logique dans tout ça ?

Une pelle tout bête qu'un ouvrier avait perdu là, lorsque les Arabellois avaient décider de forer un nouveau puispuit.

Il y avait en effet, sur le bord du chemin, un immense trou, à côté duquel se tenait un immense rocher : peut-être un ancien puits, que les anciens bouchaient et débouchaient avec le rocher pour préserver l'eau de la lumière et éviter que les enfants ne tombent dedans. Peut-être était-ce une cavité naturelle que les spéléologues débouchaient lorsqu'ils descendaient et rebouchaient pour que personne ne tombe dedans. Mais peut-être n'était-ce qu'un terrier de pokémon ?

=>

Une simple pelle. Rongée par la rouille, et dont le manche en bois commençait à pourrir sous l'humidité du sol. Une pelle tout bête qu'un ouvrier avait perdu là, lorsque les Arabellois avaient décider de forer un nouveau puis. Ils avaient creusé, puis un géologue avait trouvé une nouvelle source plus proche de la ville, plus accessible. Alors ils avaient laissé tombé ce trou, en se disant que les pokémon ou les intempéries se chargeraient de le reboucher ou de l'aménager en terrier...

Ok on passe de suppositions à des faits certains, soit tu devrais te relire, soit c'est un manque de concision, je te prierais de le réécrire

[dragibus]

Ah, pas d'accord avec certaines de tes corrections sur la forme

Pour son 17ème anniversaire, sa famille lui avait (lui a donc, plus de logique au niveau du temps, mais cela marche aussi avec de l'imparfait donc offert un carnet de voyage pour qu'il puisse y consigner ses tribulations, ainsi qu'une pokéball contenant un pokémon qui l'accompagnerait et le protégerait.

Ici la concordance des temps s'applique, donc il faut bien employer le plus-que-parfait pour marquer l'antériorité.

Ce dernier était revenu avec un pokémon réputé comme archaïque(Hum, je ne suis pas sûr que l'on puisse qualifier un pokémon d'archaïque, un pokémon qu'on que l'on disait baptisait « des temps anciens ».

Si, archaïque est acceptable dans son sens premier "ancien".
"Baptisait" sonne moins bien que "disait". On peut employer éventuellement "qualifier" à la place.

Dhur ? Non, ça fait pas un nom facile.

Euh ce n'est vraiment pas beau, c'est mal dit.

C'est un jeu de mot sur dur/facile (je reconnais bien là l'humour particulier d'illapa...)

même si ce dernier avait avoué, avoir achetée cette pokémon

Je ne crois pas que cela se dit "cette pokémon".

Effectivement, "officiellement" ça ne se dit pas, mais pas mal d'auteurs de fics prennent la liberté de féminiser le nom pokémon quand ils l'emploient comme un nom commun (donc sans majuscule) et c'est accepté par le Comité de lecture.

-Et méfies-toi des malosses avec des sourcils oranges.

Fail, Malosse ne possède pas de sourcils.

Certes, mais je pense que là aussi c'est un trait d'humour
En revanche, pas de "s" à la fin de méfie-toi.

Quoiqu'il en soit, c'était l'endroit rêvé pour un jeune Siléas en mal besoin ? de découvertes sensationnelles.

Barbarisme, ce n'est pas une vraie expression.

Elle est pourtant dans différents dictionnaires...

[Maurice Hauriou]

Pour son 17ème anniversaire, sa famille lui avait (lui a donc, plus de logique au niveau du temps, mais cela marche aussi avec de l'imparfait donc offert un carnet de voyage pour qu'il puisse y consigner ses tribulations, ainsi qu'une pokéball contenant un pokémon qui l'accompagnerait et le protégerait.

Ici la concordance des temps s'applique, donc il faut bien employer le plus-que-parfait pour marquer l'antériorité.
Certes.

Ce dernier était revenu avec un pokémon réputé comme archaïque(Hum, je ne suis pas sûr que l'on puisse qualifier un pokémon d'archaïque, un pokémon qu'on que l'on disait baptisait « des temps anciens ».

Si, archaïque est acceptable dans son sens premier "ancien".
"Baptisait" sonne moins bien que "disait". On peut employer éventuellement "qualifier" à la place.
Disait est extrêmement banal et "qualifiait" serait redondant > Répétition, une ligne plus haut.

Dhur ? Non, ça fait pas un nom facile.

Euh ce n'est vraiment pas beau, c'est mal dit.

C'est un jeu de mot sur dur/facile (je reconnais bien là l'humour particulier d'illapa...)
J'en conviens, mais c'est assez bof, d'autant plus que la liste de nom est vraiment trop longue.

même si ce dernier avait avoué, avoir achetée cette pokémon

Je ne crois pas que cela se dit "cette pokémon".

Effectivement, "officiellement" ça ne se dit pas, mais pas mal d'auteurs de fics prennent la liberté de féminiser le nom pokémon quand ils l'emploient comme un nom commun (donc sans majuscule) et c'est accepté par le Comité de lecture.
Si le comité l'accepte, qu'il l'accepte. Mais il ne faudrait pas jouer la pseudo-académie française

-Et méfies-toi des malosses avec des sourcils oranges.

Fail, Malosse ne possède pas de sourcils.

Certes, mais je pense que là aussi c'est un trait d'humour
En revanche, pas de "s" à la fin de méfie-toi.
Oui mais mal exprimé, sinon je ne l'aurait pas souligné. & En effet, je laisse passer des choses.

Quoiqu'il en soit, c'était l'endroit rêvé pour un jeune Siléas en mal besoin ? de découvertes sensationnelles.

Barbarisme, ce n'est pas une vraie expression.

Elle est pourtant dans différents dictionnaires...

, J'attend de voir l'expression en mal de déouvertes, "être en mal de" oui, de "découvertes", non.

[Wreyzax]

En parlant d'académie française, ça me donne envie de troller sur Jean Dormesson >.<

Blagues mises à part : Sans jouer à la "pseudo académie-française", il faut bien s'accorder sur des choses que chacun peut "tolérer" ou non.
Il n'est pas question d'avoir non plus des règles si strictes que la créativité des auteurs en soit changée pour convenir à un standard.
(J'avoue qu'à titre personnel, j'ai du mal avec cela. Je tente de ne pas mettre le féminin, mais, il deviens parfois difficile d'exprimer le sexe du pokémon cité sans ces tournures)



La mise en place de règles... un travail difficile... destinées à établir des bases communes et acceptables sans contraindre trop durement les utilisateurs. Un équilibre dur à trouver, qui ne s'atteint jamais totalement. Il y aura toujours des personnes les trouvant trop souples ou trop dures >.<
Le but est d'arriver à l'équilibre où il y aura le plus grand consensus.



L'expression "en mal de découvertes" existe bien.
Elle est très usitée. A titre personnel, je l'ai surtout lue dans des récits autobiographiques de globetrotter ainsi que... (mon dada) des livres de Space-Opéra.




Sinon, je rejoins Maurice sur le fait qu'il y a trop de "liste". (pour les noms et pour les "conseils" de chacun).
Même si c'est volontaire, réduire le nombre serait peut-être tout de même bienvenue pour le lecteur.

"Fais, ce que je dis, fais pas ce que je fais >.<
J'ai tendance à aussi faire ce genre de chose, donc, bon, c'est un conseil/une remarque qu'il faut moi-même que j'applique.

[Maurice Hauriou]

Fichtre, ça m'étonne tout de même. Surtout le fait qu'elle soit très usitée, ce n'est pas comme si je ne lisais que peu, et je n'ai pourtant, jamais rencontrer cette expression.
Je vous accorde le bénéfice de mon doute.

[dragibus]

Je vous accorde le bénéfice de mon doute.

Merci, tu es trop bon

[Maurice Hauriou]

Huhu.


Wait, c'est moi, ou cette phrase "Regulus ? Non, ça fait friandise.", fait subtilement penser à un Dragibus ? à Dragibus ?

Complot everywhere.

[dragibus]

Meuhnon ! Le smiley au bout de ma phrase indiquait que je te mettais juste un peu en boîte, faut pas y voir de méchanceté

[Maurice Hauriou]

JE sais, je parlais de la fanfic d'illapa.

[dragibus]

Ah ok, j'avais pas compris

Possible... C'est Tutafeh le genre d'illapa... On verra bien dans sa réponse

[illapa]

Pour ma défense, messieurs-dames les juges :

-L'expression "en mal de" existe, je l'ai croisée plusieurs fois également. On est en mal de quelque chose, en mal d'amour, en mal d'affection etc ; ici c'est des découvertes, conséquence d'un héros zélé.

-Pour la règle de pokémon... j'adapte à ma sauce, jusque là c'est toujours passé, et comme il a été dit plus haut, ça m'évite d'avoir à paraphraser sans cesse. Et y a pas de raison d'être sexiste chez les pokémons comme on l'est avec "un écrivain", donc je donne du "la pokémon", "cette pokémon", jusqu'à ce qu'on décide communément que ce soit faux et définitivement faux.
Pokémon est un nom propre certes, mais ici, il est utilisé comme nom commun, donc il n'y a pas de raison qu'il n'ait pas son féminin et son pluriel. Je pense aussi que c'est une question d'habitude de le voir accordé différemment, ça me dérangeait aussi au début, mais on s'y fait.

-La liste des noms est trop longue : Heu... possible. Y a pas que le héros qui est zélé, le narrateur aussi aussi, faut croire... Ah, c'est le même, pas de bol, alors... faudra faire avec... :p (je plaisante bien sûr.)
Effectivement, Dhur, c'est un nom dur/difficile à porter. C'est donc pas un nom facile, quoi. Pour Regulus, je pensais en fait à un Lucario, mais ça, c'est juste du délire personnel. Ça fait friandise parce que Regulus => réglisse. Tout bêtement.
Enfin bon, cette liste est juste un gros délire parce que j'avais très égoïstement envie de me payer la tête de mes autres héros de fanfics. Désolé pour les nouveaux lecteurs, j'espère que les anciens apprécieront la blague. Donc je dégagerai les noms des persos de fic pas encore publiés, pour le reste... ça restera là, vous ne me ferez pas changer d'idée.

Merci pour ces critiques, je vais tâcher de corriger tout ceci.

PS : Je ne vous conseille pas d'écrire une fic avec un héros qui parle un coup au passé récent et le coup d'après au futur, y a rien de mieux pour se perdre dans les temps verbaux, une horreur.)

[Srithanio]

Pour rajouter mon grain de sel....
Un des credo d'illa', c'est aussi le jeu de mot et le jeu de la langue. Donc forcément, c'est pas toujours farpaitement français. Sans compter qu'il faudra prendre en compte quelques libertés au niveau des passages "internes" de Siléas ; la grammaire orale et écrite n'ont pas les mêmes règles, et les constructions sont donc différentes.

Sinon, d'un point de vue général, écrire quelque chose c'est reprendre pour son propre compte les règles du français, et construire quelque chose avec. Il arrive souvent qu'on y insére ses propres créations : néologismes, constructions nouvelles, tout ça. La langue évolue, et ce qui n'était pas valide hier pourrait l'être demain.

Bon, pour ce qui est le fanfic'.... Moi, ce qui m'intéresse particulièrement, c'est le décalage point de vue de Siléas et réalité "objective", surtout. Le fait de monter en épingle les plus minables mésaventures ne me laisse pas de glace. Surtout que le bougre a des élans poétiques...
Par contre, je note la récurrence des voyages initiatiques dans tes écrits : ce serait peut-être bien de ne pas se laisser prendre dans ce carcan, et de chercher à faire autre chose une prochaine fois.
De même, je vote plus pour un one-shot que pour une fic' à chapitres, qui risque de diluer cette "fraicheur" de point de vue, et de lasser au bout d'un moment.

(Sinon, pour le coup du malosse aux sourcils oranges, c'est à moi qu'il faut s'en prendre. Et à Pratchett, l'ô grand homme qui m'a tourneboulé la cervelle.)

Et MauriceHauriau : Grammar Nazi ! Je t'aime déjà, empêcheur de tourner en rond !

[Maurice Hauriou]

-L'expression "en mal de" existe, je l'ai croisée plusieurs fois également. On est en mal de quelque chose, en mal d'amour, en mal d'affection etc ; ici c'est des découvertes, conséquence d'un héros zélé.

=>

J'attend de voir l'expression en mal de déouvertes, "être en mal de" oui, de "découvertes", non.

&

Je vous accorde le bénéfice de mon doute.

Sinon, d'un point de vue général, écrire quelque chose c'est reprendre pour son propre compte les règles du français, et construire quelque chose avec. Il arrive souvent qu'on y insére ses propres créations : néologismes, constructions nouvelles, tout ça. La langue évolue, et ce qui n'était pas valide hier pourrait l'être demain.

J'en conviens parfaitement, mais il faut que ce soit beau, là cela ne me plaisait pas =(

"(Sinon, pour le coup du malosse aux sourcils oranges, c'est à moi qu'il faut s'en prendre. Et à Pratchett, l'ô grand homme qui m'a tourneboulé la cervelle.)"

Soit, je te lyncherais comme il se doit.

Et MauriceHauriau : Grammar Nazi ! Je t'aime déjà, empêcheur de tourner en rond !

Hauriou, bougre de gueux !
C'est le début d'une grande histoire.

[Angela-0206]

Spoiler :

C’était ma vie… Jusqu’à ce qu’Ils arrivent…

A. Je suis A. Je ne sais rien d’autre. Je ne sais que mon nom et celui de mes compères. Le Clan ALPHA. Je suis A. Mon premier chef et son sous-chef sont ! et ?. Le Clan ALPHA est composé de 28 membres, en comptant nos chefs. 28 membres... Moi, A, B, C, D, E, F, G , H , I , J , K , L , M , N , O , P , Q , R , S , T , U , V , W , X , Y, Z, ! et ? . Et la reproduction est interdite ! Si l’on trouvait le moindre rejeton d’ALPHA, il était exilé. Notre maison est les ruines qui portent notre nom ; notre forme est notre nom ; et les choses uniformes passent tous les jours ici, chez nous. Nous sommes ce qu’ils appellent des ‘’ZARBI’’. Une fois, l’un d’eux, pendant une semaine, a fait des remarques philosophiques.
« Les ZARBI peuvent créer une nouvelle réalité.
Seuls, rien ne se passe. Mais ensemble, une force les unit.
Il existe 28 formes de ZARBI dont 26 correspondent aux lettres de l’alphabet. Quelles sont les deux autres ?
De nombreux messages habitent les ruines où nous les avons découverts. Elles se nomment maintenant les ruines d’Alpha. »

Nous avons NOTRE lieu sacré. Pourquoi ils le polluent ? Ils ne lévitent même pas ! Ils n’ont aucun respect pour MON Clan et MES camarades. Je ne peux y croire ! Notre Sanctuaire ! Relevé par des créatures toutes aussi bizarres que celles qui ne lévitent pas. Les Créatures Non-Lévitantes, les CNL. Et les choses qu’ils nomment Pokémon. Ils les tiennent dans des sphères rouges et blanches. Mon Clan les craint plus que tout, et nous ne pouvons lutter contre eux. Les chefs ne peuvent rivaliser contre une désertion des lieux. Mais notre réintroduction en un lieu plus calme ? Où ? Quand ? Je ne le sais...

L’heure n’étant pas à ces questions, j’allais dans la grande salle où nous vivions ensemble. Z était là. B venait d’arriver. ? et ! étaient déjà là depuis belle lurette. Une réunion se préparait. J’arrivai seul, comme d’habitude. Un peu plus tard, on était tous installés dans l’ordre ALPHAbétique. J’étais le premier dans un sens, mais le dernier dans l’autre. On se moquait de moi car j’étais le plus jeune.

Je n’aurai jamais cru que je serais une légende pour eux...

Même s’ils l’avaient su, ils ne m’auraient pas respecté lus que ça pour autant.

? commença :
« Mes chers congénères ! Ceci est une période de révolte ! Les Humains nous attaquent de toutes parts ! Il faut riposter ! Nous DEVONS contre-attaquer !

Des murmures de protestation traversèrent le Hall Mystérieux. ! poursuivit :

- L’un de nous doit se sacrifier. Il doit nous sauver. Au péril de sa vie. Avec son courage pour seul allié...

Sa phrase resta en suspens... Sa voix, aussi froide et sèche que d’habitude, m’effrayait encore plus. Pourtant, impulsivement, je le coupai.

- Pourquoi Nous ? Pourquoi pas Vous ?!

La réponse que j’espérais n’était malheureusement pas celle qu’il me donna.
- Nous devons assurer la fuite au cas où cet ‘’ Elu ‘’ ne pouvait pas nous protéger.
- Ne serait-ce pas vous qui devrait le faire ? Après tout, votre tâche est de nous protéger !
- Cher J. Ton insolence n’est que trop dérangeante. Encore une remarque comme celle-ci, et tu seras condamné à l’exil !

Un frisson glacial me parcouru le dos. L’exil était le pire des châtiments. V avait failli y passer, mais ? l’avait laissé parmi nous. Notre survie dépend de chacun.

- Et comment saurons-nous qui est l’Elu ?
- Seul le temps nous le dira.

J’espérai intérieurement que cet Elu ne serait pas Z. Il était trop arrogant. Je voulais que ça soit moi, l’Elu. Ma vie était trop monotone. Il manquait le piment. ? ajouta :

- La Réunion est terminée. Vous pouvez vaquer à vos habitudes. »

Je m’empressai d’aller voir D. C’était mon meilleur ami. Mon nique confident. On n’a jamais été séparés l’un de l’autre. On se parla de nos envies d’être l’Elu.

Les jours passèrent...

Les Humains avaient construit un édifice proche du Hall Mystérieux, et il n’y avait plus qu’une personne qui observait notre territoire. Mais, moi, chaque jour, je me sentais plus fort. L’Elu allait être choisi...

! annonça solennellement :
« L'Elu va être nommé, aujourd’hui, en ce lieu. Je ne sais qui il est. Mais je sais qu’il nous sauvera.
- Et nous savons pertinemment qu’il est jeune, robuste, intelligent, rusé et souple.

Les dires de ? m’excitaient. Cela correspondait presque à mon profil ! J’en étais sûr ! !

- Vous allez vous fixer à cette pierre tour à tour. Elle vous analysera et choisira celui qui nous sauvera. »

Nous obéîmes. Cela commença avec Z[/.b]. Puis, ce fut le tour d’Y. Et nous passâmes encore dans l’ordre inverse de l’ALPHAbet. Quand ce fut le mien, ? et ! me lorgnèrent. J’avais quoi ? Je leur demandai, mais pas de réponse. Leurs yeux étaient grand ouverts (façon de parler). Puis je vis. La lumière. J’étais l’Elu. Mes jours étaient comptés, j’allais mourir.

Mes derniers instants avec eux...[/ u]

Le jour était venu. Mon Clan m’acclamait. L’honneur de les servir, mais l’horreur de mourir. ?, conciliant comme toujours, m’avait murmuré quelques mots.

« Quoi qu’il arrive, les esprits de nos ancêtres te guideront, et seront toujours là. »

? avait toujours prit ma défens. J’étais son protégé. Jamais il ne m’avait laissé tomber. !, au contraire, m’avait toujours détesté. Mais aujourd’hui, je le sentis différent. Il n’y avait pas ces éclaires dans son regard, mais plutôt de la compassion. Et c’est ce que je vis dans tous les regards de mes camarades.

« Merci à tous. A va nous sauver. Il va se battre contre les Humains !

Des cris de joie fusèrent. ? se poussa et me laissa la place. J’hésitai.

- Je... Je suis heureux de vous servir... Je ne pense pas que... J’aurais pu surmonter ma peur. Je ne souhaite qu’une chose. Que vous vous souveniez de moi.

Tous m’applaudirent. Cela me réchauffa le cœur. ! fini alors par dire :

- A... Tu vas nous apporter beaucoup de choses. N’oublies pas qui tu es. Et surtout que la mort n’est que la suite de la vie. Nous nous retrouverons... Ailleurs... »

Nous comprîmes ensemble que je n’allais pas y survivre. Et ça me désola. Le temps était révolu. J’allais les sauver.

La fin de leurs souffrances et ma mort.

Nous sommes faits de la même matière que les rêves.
W. Shakespeare.

Ma sortie du Hall Mystérieux s’était faite en solitaire. Je me dirigeai vers le bâtiment proche de notre abri. Ils n’étaient pas très intelligents. Construire ça sans le cacher. Je men senti inférieur. Je me senti mal. Mais mon état revint à la normale lorsque je vis l’un de mes ennemis. Il sortait de l’édifice. Et –je le sais très bien : c’est très étrange pour un ZARBI – j’utilisai l’attaque Morphing. Je devins sa copie. Je me plaçai devant lui. Il fut surpris. Je me servi de Puissance Cachée pour l’assommer. ’’Mort’’ en un coup.

Qu'est-ce que vous en pensez ?

[DimoniaK]

Spoiler :

C’était ma vie… Jusqu’à ce qu’Ils arrivent…

A. Je suis A. Je ne sais rien d’autre. Je ne sais que mon nom et celui de mes compères. Le Clan ALPHA. Je suis A. Mon premier chef et son sous-chef sont ! et ?. Le Clan ALPHA est composé de 28 membres, en comptant nos chefs. 28 membres... Moi, A, B, C, D, E, F, G , H , I , J , K , L , M , N , O , P , Q , R , S , T , U , V , W , X , Y, Z, ! et ? . Et la reproduction est interdite ! Si l’on trouvait le moindre rejeton d’ALPHA, il était exilé. Notre maison est les ruines qui portent notre nom ; notre forme est notre nom ; et les choses uniformes passent tous les jours ici, chez nous. Nous sommes ce qu’ils appellent des ‘’ZARBI’’. Une fois, l’un d’eux, pendant une semaine, a fait des remarques philosophiques.
« Les ZARBI peuvent créer une nouvelle réalité.
Seuls, rien ne se passe. Mais ensemble, une force les unit.
Il existe 28 formes de ZARBI dont 26 correspondent aux lettres de l’alphabet. Quelles sont les deux autres ?
De nombreux messages habitent les ruines où nous les avons découverts. Elles se nomment maintenant les ruines d’Alpha. »

Nous avons NOTRE lieu sacré. Pourquoi ils le polluent ? Ils ne lévitent même pas ! Ils n’ont aucun respect pour MON Clan et MES camarades. Je ne peux y croire ! Notre Sanctuaire ! Relevé par des créatures toutes aussi bizarres que celles qui ne lévitent pas. Les Créatures Non-Lévitantes, les CNL. Et les choses qu’ils nomment Pokémon. Ils les tiennent dans des sphères rouges et blanches. Mon Clan les craint plus que tout, et nous ne pouvons lutter contre eux. Les chefs ne peuvent rivaliser contre une désertion des lieux. Mais notre réintroduction en un lieu plus calme ? Où ? Quand ? Je ne le sais...

L’heure n’étant pas à ces questions, j’allais dans la grande salle où nous vivions ensemble. Z était là. B venait d’arriver. ? et ! étaient déjà là depuis belle lurette. Une réunion se préparait. J’arrivai seul, comme d’habitude. Un peu plus tard, on était tous installés dans l’ordre ALPHAbétique. J’étais le premier dans un sens, mais le dernier dans l’autre. On se moquait de moi car j’étais le plus jeune.

Je n’aurai jamais cru que je serais une légende pour eux...

Même s’ils l’avaient su, ils ne m’auraient pas respecté lus que ça pour autant.

? commença :
« Mes chers congénères ! Ceci est une période de révolte ! Les Humains nous attaquent de toutes parts ! Il faut riposter ! Nous DEVONS contre-attaquer !

Des murmures de protestation traversèrent le Hall Mystérieux. ! poursuivit :

- L’un de nous doit se sacrifier. Il doit nous sauver. Au péril de sa vie. Avec son courage pour seul allié...

Sa phrase resta en suspens... Sa voix, aussi froide et sèche que d’habitude, m’effrayait encore plus. Pourtant, impulsivement, je le coupai.

- Pourquoi Nous ? Pourquoi pas Vous ?!

La réponse que j’espérais n’était malheureusement pas celle qu’il me donna.
- Nous devons assurer la fuite au cas où cet ‘’ Elu ‘’ ne pouvait pas nous protéger.
- Ne serait-ce pas vous qui devrait le faire ? Après tout, votre tâche est de nous protéger !
- Cher J. Ton insolence n’est que trop dérangeante. Encore une remarque comme celle-ci, et tu seras condamné à l’exil !

Un frisson glacial me parcouru le dos. L’exil était le pire des châtiments. V avait failli y passer, mais ? l’avait laissé parmi nous. Notre survie dépend de chacun.

- Et comment saurons-nous qui est l’Elu ?
- Seul le temps nous le dira.

J’espérai intérieurement que cet Elu ne serait pas Z. Il était trop arrogant. Je voulais que ça soit moi, l’Elu. Ma vie était trop monotone. Il manquait le piment. ? ajouta :

- La Réunion est terminée. Vous pouvez vaquer à vos habitudes. »

Je m’empressai d’aller voir D. C’était mon meilleur ami. Mon nique confident. On n’a jamais été séparés l’un de l’autre. On se parla de nos envies d’être l’Elu.

Les jours passèrent...

Les Humains avaient construit un édifice proche du Hall Mystérieux, et il n’y avait plus qu’une personne qui observait notre territoire. Mais, moi, chaque jour, je me sentais plus fort. L’Elu allait être choisi...

! annonça solennellement :
« L'Elu va être nommé, aujourd’hui, en ce lieu. Je ne sais qui il est. Mais je sais qu’il nous sauvera.
- Et nous savons pertinemment qu’il est jeune, robuste, intelligent, rusé et souple.

Les dires de ? m’excitaient. Cela correspondait presque à mon profil ! J’en étais sûr ! !

- Vous allez vous fixer à cette pierre tour à tour. Elle vous analysera et choisira celui qui nous sauvera. »

Nous obéîmes. Cela commença avec Z[/.b]. Puis, ce fut le tour d’Y. Et nous passâmes encore dans l’ordre inverse de l’ALPHAbet. Quand ce fut le mien, ? et ! me lorgnèrent. J’avais quoi ? Je leur demandai, mais pas de réponse. Leurs yeux étaient grand ouverts (façon de parler). Puis je vis. La lumière. J’étais l’Elu. Mes jours étaient comptés, j’allais mourir.

Mes derniers instants avec eux...[/ u]

Le jour était venu. Mon Clan m’acclamait. L’honneur de les servir, mais l’horreur de mourir. ?, conciliant comme toujours, m’avait murmuré quelques mots.

« Quoi qu’il arrive, les esprits de nos ancêtres te guideront, et seront toujours là. »

? avait toujours prit ma défense. J’étais son protégé. Jamais il ne m’avait laissé tomber. !, au contraire, m’avait toujours détesté. Mais aujourd’hui, je le sentis différent. Il n’y avait pas ces éclaires dans son regard, mais plutôt de la compassion. Et c’est ce que je vis dans tous les regards de mes camarades.

« Merci à tous. A va nous sauver. Il va se battre contre les Humains !

Des cris de joie fusèrent. ? se poussa et me laissa la place. J’hésitai.

- Je... Je suis heureux de vous servir... Je ne pense pas que... J’aurais pu surmonter ma peur. Je ne souhaite qu’une chose. Que vous vous souveniez de moi.

Tous m’applaudirent. Cela me réchauffa le cœur. ! fini alors par dire :

- A... Tu vas nous apporter beaucoup de choses. N’oublies pas qui tu es. Et surtout que la mort n’est que la suite de la vie. Nous nous retrouverons... Ailleurs... »

Nous comprîmes ensemble que je n’allais pas y survivre. Et ça me désola. Le temps était révolu. J’allais les sauver.

La fin de leurs souffrances et ma mort.

Nous sommes faits de la même matière que les rêves.
W. Shakespeare.

Ma sortie du Hall Mystérieux s’était faite en solitaire. Je me dirigeai vers le bâtiment proche de notre abri. Ils n’étaient pas très intelligents. Construire ça sans le cacher. Je men senti inférieur. Je me senti mal. Mais mon état revint à la normale lorsque je vis l’un de mes ennemis. Il sortait de l’édifice. Et –je le sais très bien : c’est très étrange pour un ZARBI – j’utilisai l’attaque Morphing. Je devins sa copie. Je me plaçai devant lui. Il fut surpris. Je me servi de Puissance Cachée pour l’assommer. ’’Mort’’ en un coup.

Ben c'est pas mal, et même bien. Seulement, si c'est la fin de l'histoire, pourquoi c'est pas A qui claque?

Deux-trois fautes d'orthographe, mais rien de marquant. J'pense que c'est bien. Après c'est que mon avis...

[Angela-0206]

Juste info : Elle est pas finie !

Et oui, c'est A qui claque !

[VLCMédia]

Nous sommes faits de la même matière que les rêves.
W. Shakespeare.

C'est vraiment du shakespeare ? Moi j'aurai dit du Alpha Roméo Guiletta... Mais peut etre que c'est de lui ! Je sais pas du tout.