Essais aux fanfics
- Arc-en-ciel Evoli
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C'est amusant comme fanfic Mew-Miss .
J'ai pas grand-chose à dire dessus, peut-être privilégier un peu plus la narration, mais bon c'est rien de plus que mon avis.
Par contre tu devrais utiliser au moins un correcteur automatique, Word en a un par exemple. Parce qu'il y a beaucoup de fautes de frappes, c'est dommage.
J'ai pas grand-chose à dire dessus, peut-être privilégier un peu plus la narration, mais bon c'est rien de plus que mon avis.
Par contre tu devrais utiliser au moins un correcteur automatique, Word en a un par exemple. Parce qu'il y a beaucoup de fautes de frappes, c'est dommage.
laquabenj08 a écrit :Faut croquer la vie à pleines dents les gens !
- seam
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Juste un début d'une de mes idées:
Une ombre se faufilait dans le cimetière. De la brume recouvrait la surface noircie des tombes. Cette silhouette noire avançait en lévitant, lentement. Comme si elle cherchait quelque chose, Branette plissait les yeux. La poupée vivante errait, en effet, à la recherche de quelque chose. Ou plutôt de quelque un…
Ses yeux rouges luisaient comme des lucioles dans la nuit. L’étrange calme du cimetière en aurait fait fuir plus d’un. Mais Branette n’est pas dans ce monde, celui des vivants, en chair et en os, par hasard. Elle ne peux pas trouver l’éternel sommeil tant qu’elle ne se serra pas venger de celui à qui elle avait accordé sa confiance, celui qui l’a lâchement abandonnée, comme une vulgaire chaussette.
Cet homme devrait payer, même si elle l’avait aimé autrefois. Branette se souvient encore, de cette nuit calme, où ils marchaient tous les deux dans la neige. C’était un jour de fête, pour les humains, et il faisait froid. Le brave Pokémon suivait son dresseur avec beaucoup de mal, mais il ne pouvait se permettre de l’abandonner. Pourtant, lorsqu’elle eu les pieds gelés, car à cette époque il en avait encore qui lui permettaient de marcher, la pauvre poupée s’écroula à genoux, la tête dans les pattes.
Son dresseur s’était retournée, et s’était approchée d’elle, l’encourageant à se relever. Mais Branette n’en pouvait plus. Elle se releva pourtant tant bien que mal, mais retomba immédiatement. Ses forces l’avaient abandonnée, le froid lui avait fait perdre ses dernières forces. C’est cette nuit de Noël, où son meilleur, son seul ami l’a laissé tombée. Il s’est éloigné, jetant à peine un regard derrière lui. Branette l’a vu disparaître dans la brume, s’évanouissant comme une ombre de fantôme. Branette entend encore retentir dans sa tête les pas qui crissaient dans la neige.
Cette nuit, elle est morte de froid, après s’être traînée contre un sapin gelé. Cette nuit, elle s’en souviendra à jamais, et elle a promis dans ses dernières pensées de ne plus jamais chérir un homme, et de se venger de la trahison qui avait été faite. Pourtant, aujourd’hui, Branette erre toujours à la recherche de son ancien ami.
Cela faisait bientôt un an que son esprit vivait seul dans ce cimetière, en attendant que le destin la rattrape. Mais elle n’espère plus, maintenant, elle veut juste en finir. Son corps n’est plus que volute, et elle n’est plus qu’une âme qui pousse des cris mélancoliques tous les soirs… Elle vit dans la nuit éternelle.
Cette nuit, elle médite sur ce qu’elle aurait toujours dû faire : partir de ce cimetière pour assouvir sa vengeance. Mais c’est comme si elle était attachée. C’est l’endroit où elle était morte. Quelques mois avant, elle à découvert que derrière le sapin où elle à périt se cachait un recueil de tombes. Elle s’y est réfugiée, espérant avoir de la compagnie.
Mais Branette est aujourd’hui aussi seule que quand elle a été recueillie par son dresseur. Elle se languit de ce brouillard permanent et de ces tombes moisissantes qui jonchent le sol. Même la complainte des esprits du soir ne lui fait plus rien ressentir.
Alors, l’âme en peine s’arrête, et lève la tête vers le ciel obscur. Elle admire la lune blanche qui est perchée tout là haut, au milieu des étoileS. Puis, elle pousse un long cri perçant qui ressemble à un pleure. Branette laisse ses yeux se fermer, et tournoie lentement dans les airs, en poussant des cris saccadés, façons pour les spectres de rire.
Puis, elle se repose, assise, sur le sommet d’une tombe. Les genoux serrés, les mains dessus, le Pokémon admirait ses pattes. Après tout, si il quittait ce cimetière à la recherche de celui qu’il avait vu pour la dernière fois il y à une année.
Branette se releva, et lévita jusqu’à chacune des tombes. A chaque fois, elle touchait légèrement les inscriptions gravées, et à chaque fois ces dernières s’illuminaient, comme si elles avaient en elles un démon qui tentait de s’échapper. En réalité, la poupée grise faisait ses adieux aux occupants du cimetière.
Je la continue, là!
Une ombre se faufilait dans le cimetière. De la brume recouvrait la surface noircie des tombes. Cette silhouette noire avançait en lévitant, lentement. Comme si elle cherchait quelque chose, Branette plissait les yeux. La poupée vivante errait, en effet, à la recherche de quelque chose. Ou plutôt de quelque un…
Ses yeux rouges luisaient comme des lucioles dans la nuit. L’étrange calme du cimetière en aurait fait fuir plus d’un. Mais Branette n’est pas dans ce monde, celui des vivants, en chair et en os, par hasard. Elle ne peux pas trouver l’éternel sommeil tant qu’elle ne se serra pas venger de celui à qui elle avait accordé sa confiance, celui qui l’a lâchement abandonnée, comme une vulgaire chaussette.
Cet homme devrait payer, même si elle l’avait aimé autrefois. Branette se souvient encore, de cette nuit calme, où ils marchaient tous les deux dans la neige. C’était un jour de fête, pour les humains, et il faisait froid. Le brave Pokémon suivait son dresseur avec beaucoup de mal, mais il ne pouvait se permettre de l’abandonner. Pourtant, lorsqu’elle eu les pieds gelés, car à cette époque il en avait encore qui lui permettaient de marcher, la pauvre poupée s’écroula à genoux, la tête dans les pattes.
Son dresseur s’était retournée, et s’était approchée d’elle, l’encourageant à se relever. Mais Branette n’en pouvait plus. Elle se releva pourtant tant bien que mal, mais retomba immédiatement. Ses forces l’avaient abandonnée, le froid lui avait fait perdre ses dernières forces. C’est cette nuit de Noël, où son meilleur, son seul ami l’a laissé tombée. Il s’est éloigné, jetant à peine un regard derrière lui. Branette l’a vu disparaître dans la brume, s’évanouissant comme une ombre de fantôme. Branette entend encore retentir dans sa tête les pas qui crissaient dans la neige.
Cette nuit, elle est morte de froid, après s’être traînée contre un sapin gelé. Cette nuit, elle s’en souviendra à jamais, et elle a promis dans ses dernières pensées de ne plus jamais chérir un homme, et de se venger de la trahison qui avait été faite. Pourtant, aujourd’hui, Branette erre toujours à la recherche de son ancien ami.
Cela faisait bientôt un an que son esprit vivait seul dans ce cimetière, en attendant que le destin la rattrape. Mais elle n’espère plus, maintenant, elle veut juste en finir. Son corps n’est plus que volute, et elle n’est plus qu’une âme qui pousse des cris mélancoliques tous les soirs… Elle vit dans la nuit éternelle.
Cette nuit, elle médite sur ce qu’elle aurait toujours dû faire : partir de ce cimetière pour assouvir sa vengeance. Mais c’est comme si elle était attachée. C’est l’endroit où elle était morte. Quelques mois avant, elle à découvert que derrière le sapin où elle à périt se cachait un recueil de tombes. Elle s’y est réfugiée, espérant avoir de la compagnie.
Mais Branette est aujourd’hui aussi seule que quand elle a été recueillie par son dresseur. Elle se languit de ce brouillard permanent et de ces tombes moisissantes qui jonchent le sol. Même la complainte des esprits du soir ne lui fait plus rien ressentir.
Alors, l’âme en peine s’arrête, et lève la tête vers le ciel obscur. Elle admire la lune blanche qui est perchée tout là haut, au milieu des étoileS. Puis, elle pousse un long cri perçant qui ressemble à un pleure. Branette laisse ses yeux se fermer, et tournoie lentement dans les airs, en poussant des cris saccadés, façons pour les spectres de rire.
Puis, elle se repose, assise, sur le sommet d’une tombe. Les genoux serrés, les mains dessus, le Pokémon admirait ses pattes. Après tout, si il quittait ce cimetière à la recherche de celui qu’il avait vu pour la dernière fois il y à une année.
Branette se releva, et lévita jusqu’à chacune des tombes. A chaque fois, elle touchait légèrement les inscriptions gravées, et à chaque fois ces dernières s’illuminaient, comme si elles avaient en elles un démon qui tentait de s’échapper. En réalité, la poupée grise faisait ses adieux aux occupants du cimetière.
Je la continue, là!
WHY AM I SMILING ? AND WHY DO I SING ? WHY DOES SEPTEMBER SEEM SUNNY AS SUMMER ?
image originale du kit © なほ ♥
Bon !
Je met ici le premier chapitre de ma nouvelle fiction : Aux confins de l'univers.
Un crossover entre Metroid et Pokémon.
D'abord, j'avais une petite idée en tête mais hier, j'ai commencé à réfléchir à tout ça et donc ça devrait être un peu plus "gros" que ce que j'avais comme idée.
Le synopsis se résume à ça :
Lorsque la plus célèbre chasseuse de primes décida d’atterrir sur Terra pour une mission concernant les Pirates de l'Espace, elle ne s'attendait pas à tout les problèmes qui allaient lui arriver et qui concernaient les pokémons vivants sur cette planète.
Cette fiction sera réservée à un public restreint, je tiens à le signaler.
Et il y aura présence de nombreux personnages Canons.
Je met ici le premier chapitre de ma nouvelle fiction : Aux confins de l'univers.
Un crossover entre Metroid et Pokémon.
D'abord, j'avais une petite idée en tête mais hier, j'ai commencé à réfléchir à tout ça et donc ça devrait être un peu plus "gros" que ce que j'avais comme idée.
Le synopsis se résume à ça :
Lorsque la plus célèbre chasseuse de primes décida d’atterrir sur Terra pour une mission concernant les Pirates de l'Espace, elle ne s'attendait pas à tout les problèmes qui allaient lui arriver et qui concernaient les pokémons vivants sur cette planète.
Cette fiction sera réservée à un public restreint, je tiens à le signaler.
Et il y aura présence de nombreux personnages Canons.
Spoiler :
Personnellement, l'idée d'un crossover Metroïd/Pokémon me hérisse le poil. Tout ce qui est mélange entre personnages Canons d'une saison à l'autre à déjà tendance à m'agacer, mais d'un univers à l'autre ? C'est bien écrit aussi la pilulle passe mieux. Je vois cependant mal comment tu vas pouvoir lier Samus à un pokémon quelconque alors qu'elle explicitement reçu pour ordre d'éviter tout lien avec les natifs de cette planète. Je devine vaguement coment tu vas amener Notre chasseuse de primes intersidérale et notre dragueur invétéré à se rencontrer, Samus étant effectivement une blonde assez plantureuse comme on put le constater tout les joueurs de SSBB.
Dans l'ensemble ce premier chapitre opasse assez bien mais je pense que pour un projet comme celui-là un second chapitre ne serait pas de trop pour se faire une idée
Dans l'ensemble ce premier chapitre opasse assez bien mais je pense que pour un projet comme celui-là un second chapitre ne serait pas de trop pour se faire une idée
Mes Fanfics :
Spoiler :
Nay : Nullement !
En fait, ce qui est gênant quand on parle d'un Shiney, c'est lorsqu'on le met toujours plus fort, plus beau, etc que les autres.
Ireilas : En fait, tu verras très bien comment ça se passe.
Mais on m'a dit que je devais faire plusieurs chapitres au cas où.
Mais pour l'idée de lier Samus à un pokémon, là aussi, l'histoire se passera comme elle se passera !
Mais merci.
En fait, ce qui est gênant quand on parle d'un Shiney, c'est lorsqu'on le met toujours plus fort, plus beau, etc que les autres.
Ireilas : En fait, tu verras très bien comment ça se passe.
Mais on m'a dit que je devais faire plusieurs chapitres au cas où.
Mais pour l'idée de lier Samus à un pokémon, là aussi, l'histoire se passera comme elle se passera !
Mais merci.
- Petite Myûû
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- Enregistré le : mer. 11 mars 2009, 20:13
Regarde le film , a la fin , comment il fait pour se poser ? Avec ses jambescamilka a écrit :C'est un Salameche
mais c'est pas grave
Ta fanfic est amusante mais Darkrai n'a pas de jambe donc comment peut-il faire du BMX??
ps : e n'utilises pas Word' , ma mère s'en charge pour les comptes et je peut tout déregler =D
Mew-Miss se Japanise !(Petite Myûû)
Sur ma émeraude, une amie japan' m'a filée la carte de Mew et je l'ai eu ... Shiney . MEW SHINEY ?!?TYupiiiii !Thank you Lia Chan ... thank you son AR japan' ... :PAF:Il vit a Sinnoh et il a tué 7 maitres de la tour de combat . Fin sanglante .
Sur ma émeraude, une amie japan' m'a filée la carte de Mew et je l'ai eu ... Shiney . MEW SHINEY ?!?TYupiiiii !Thank you Lia Chan ... thank you son AR japan' ... :PAF:Il vit a Sinnoh et il a tué 7 maitres de la tour de combat . Fin sanglante .
- Petite Myûû
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Les légendes sont assexuées ... (légendes sonne mieux que légendaires je trouve =D)
sauf que légendes étant au féminin =D
sauf que légendes étant au féminin =D
Mew-Miss se Japanise !(Petite Myûû)
Sur ma émeraude, une amie japan' m'a filée la carte de Mew et je l'ai eu ... Shiney . MEW SHINEY ?!?TYupiiiii !Thank you Lia Chan ... thank you son AR japan' ... :PAF:Il vit a Sinnoh et il a tué 7 maitres de la tour de combat . Fin sanglante .
Sur ma émeraude, une amie japan' m'a filée la carte de Mew et je l'ai eu ... Shiney . MEW SHINEY ?!?TYupiiiii !Thank you Lia Chan ... thank you son AR japan' ... :PAF:Il vit a Sinnoh et il a tué 7 maitres de la tour de combat . Fin sanglante .
Il existe des hommes taillés comme des ablettes hein, alors un fantôme mâle avec des jambes comme des aiguilles ça me choque pas plus que les pattes d'un GallameShiroiRyu a écrit :DarkRai a des jambes, je confirme...
Sauf que ces jambes, ça ressemble à deux aiguilles...
Limite si Darkrai n'est pas une fille.
Spoiler :
- Piikachu
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Je sais, c'est pas incroyable mais bon, j'ai fait ça en 2 heures hier. J'étais inspirée pour une fois donc voilà.
Je sais pas si c'est assez long, j'ai fait presque 3 pages sur Word.
Différents mais semblables.
Je te suis depuis un bon moment. Je me cache derrière les rochers de la plage, juste pour t'observer. Je te vois pleurer, tu me fais de la peine... Mais je n'ose pas m'approcher, tu me fais peur. Je tremble à l'idée de devenir comme les autres, enfermée à longueur de temps. Je ne sais pas pourquoi, mais tu m'attires quand même... Je dois venir vers toi, comme si ça m'était indispensable. Mais je ne veux pas. Je suis à la limite de la curiosité, et de la peur. C'est difficile pour moi comme choix, un simple Pokémon qui n'a rien demandé, mais qui a juste entrevu un dresseur qui le fascine. Je ne veux rien de plus, je veux juste l’observer. Tiens, il se lève. Il fixe la mer d’un ton bleu pâle, reflétée par le soleil qui brille à l’aube. J’arrive enfin à le voir. Ses cheveux sont noirs comme la nuit, et ses yeux sont bleus très pâles. Il porte un pull noir, avec deux cordons pendants au niveau de son col. Son pantalon est un jean, et puis des baskets simplement noires et blanches. Il porte également des gants gris, et une écharpe blanche. Je commence à marcher, j’essaie de m’approcher le plus possible de son corps…
« Q… Quoi ? se demande-t-il tout en se retournant. Qui est là ?! »
Aucune réponse ne parvient à ses oreilles. Il regarde un peu autour de lui, puis, ayant froid, il se frotte les mains malgré ses gants qui les protègent. J’approche encore un peu, je suis à ses pieds. Comme je suis derrière son dos, il ne me voit pas. Une chance pour moi qu’il ne m’entende pas.
« Qui est là ? demande-t-il une seconde fois en me touchant. Qui est-ce ? Je suis désolé, je ne vous ai pas vu, je ne vois pas grand-chose il faut dire… »
Je ne réponds pas. Je ne bouge pas d’un poil. Il cherche à tâtons avec ses mains sur le sol, pour trouver comme une trace ou un objet pour me voir. Il commence à me toucher, il me caresse doucement et si lentement, que j’apprécie ses mains sur ma peau… Il sourit, mais il ne me regarde pas directement. Je commence à applaudir, pour montrer que je suis heureux. Alors que je frappais dans mes nageoires, il me regarde et il avoua :
« Je t’entends. Quand tu applaudis, c’est une magnifique mélodie. Tu veux bien recommencer ? Pour moi, mais surtout pour que tu te fasses plaisir. »
Il sourit encore une fois. Je le regarde, un peu émerveillé par ses yeux. Ils ne sont pas comme les autres, on dirait que ce sont des cristaux bleu pâle. Après être sorti de mes rêves, il me fixe toujours autant, je recommence à applaudir, et il s’assoit par terre, tout près de moi. Il reprend ses pleurs, je ne comprends plus rien : je suis avec lui, il aime quand je frappe dans mes nageoires mais il n’est toujours pas heureux… Je ne suis plus rien, tout est assez bizarre, ce garçon est bizarre. Je ne connais même pas son nom, je ne sais rien, mais il me fait mal au cœur. Je pousse un petit cri de désespoir pour lui :
« Ba… »
Il s’arrête. Il me regarde bizarrement, je crois qu’il a compris le message que je voulais lui adresser. Il m’adresse un regard perdu, je n’ai pas compris pourquoi il n’était pas très fort… Alors, il commence à parler de lui, il lâche tout son fardeau si lourd à porter.
« Je ne suis pas comme les autres. Je suis différent, c’est pour ça que je n’ai personne, pas même de famille. Regarde mes yeux… »
Après ses paroles, je les scrute attentivement.
« Je pense que, même si tu es un Pokémon, tu as le droit de savoir et le droit de comprendre. Je suis né comme ça, c’est comme tout, je suis un handicapé. Mes yeux sont voilés, je ne vois rien. Quand tu applaudissais dans tes mains, je ne te voyais pas en toi-même, mais je voyais, rien qu’en entendant ce joli bruit, ta patte droite taper dans la gauche. Je suis rejeté par tout le monde, c’est dur d’être seul comme ça, et en plus, je ne vois plus rien, je suis obligé d’apprendre par moi-même à tâter les objets pour reconnaître un peu tout autour de moi… On m’a abandonné parce que j’étais différent… C’est injuste ! »
Il éclate en sanglots : trop de poids se trouve sur son dos… Il doit en lâcher un peu, il n’en peut plus, il doit exploser comme ça. Ca le rendra plus serein pour commencer. Si seulement il me comprenait, je pourrai lui dire que je le comprends parfaitement, je suis dans le même cas que lui… Je suis différent des autres, alors tout le monde m’a jeté, comme une vulgaire ordure ! La différence n’est jamais acceptée dans ce monde de brutes de toute manière… Mais ce garçon, je le comprends, alors… Pourrait-il faire de même avec moi ?
« Ba… Lie… Balie… »
Il me fixe, d’un regard plus profond cette fois. Même les aveugles ont le droit aux sentiments à travers les yeux, c’est vrai. Il écarquille un peu les yeux, comme s’il ne savait pas quoi dire, mais il m’avait compris, c’était le principal. En tournant sa tête vers moi, il approche sa main. Je commence à prendre peur, mais il voulait juste me caresser. Il se concentre, et me touche la peau avec ses mains.
« Tu es violet n’est-ce pas ? »
Comment a-t-il fait ?! Il arrive à découvrir les couleurs, juste en touchant les choses… Peut-être que c’est ça qui le différencie : il est non-voyant, mais aussi expert pour découvrir plein de merveilles ! J’ai peut-être aussi un talent moi aussi alors ? J’espère, j’en aurai bien besoin pour me venger de toute ma tribu m’ayant abandonné… Après mure réflexion, il se pose une question. Ou plutôt, il me la pose :
« Au fait, tu es un Pokémon je crois ? »
Je claque des nageoires, pour lui faire comprendre que je lui dis oui. Il sourit, et se sent fier de lui : il arrive à trouver les couleurs et les objets ou êtres vivants qu’il touche. Il se désole de s’être emporté en disant :
« Excuse-moi de m’égarer comme ça, mais c’est la première fois que j’arrive à deviner les couleurs d’un Pokémon. Peut-être qu’il y a une certaine alchimie en nous, qu’en dis-tu ? »
J’applaudis encore une fois. Il continue :
« Tu sais, peut-être que claquer dans ses mains pourrait devenir un vrai langage pour les aveugles comme moi. Qu’en penses-tu ? Tu veux bien essayer de faire ça comme ça ? »
Je claque maintes et maintes fois dans mes nageoires, je saute presque de joie. Enfin un humain qui pourra me comprendre, enfin un humain qui sera mon ami ! Enfin quelqu’un pour moi, cette personne est très spéciale : elle est non-voyante, elle a une qualité et surtout, elle est différente, c’est cela qui me fait tant de plaisir. Il est comme moi, il me ressemble exactement, mais en humain.
« Calme-toi, calme-toi, rit-il, tu es un petit fou toi. Je pense que tu es un Pokémon très social, et surtout un Pokémon gentil, généreux, à l’écoute… Je voudrai te demander une faveur. »
Comment ça une faveur ? Je demande :
« Balie ?
- Oui, quelque chose à te confier… Le plus merveilleux des secrets, je dois te le révéler. Tu es prêt ? »
Cette fois, je n’applaudis qu’une fois, pour ne pas paraître trop bizarre. Même si c’est le contraire de mon caractère, je veux apparaître normal à ses yeux… Après m’avoir entendu, il continue à parler de son secret et murmure :
« Voudrais-tu… être mon ami ? »
J’écarquille les yeux. Pourquoi moi ? Qu’est-ce que j’ai fait de spécial ? Je suis juste un Pokémon violet, c’est peut-être pour ça. Il approuve encore plus son idée en haussant la voix :
« Je ne reviendrai pas sur mon choix. Je pense que tu es le Pokémon le mieux pour moi. Tu pourras me comprendre, et moi aussi. Je ne vois pas ce qui t’empêche de venir avec moi. Je suis aveugle ? Quelle importance ! Je veux juste un ami, pas un Pokémon qui me servira pour faire des matchs d’arène ou des concours, je veux un ami. Rien de plus. Et, je pense que, tu es parfait à mes yeux, tu es différent des autres… »
Je claque des nageoires. Une seule fois. Je veux qu’il me comprenne parfaitement. Je pense que c’est aussi le dresseur parfait pour moi.
« C’est le moment… finit-il, tout en me prenant dans sa Pokéball. »
Elle remue. Une fois, deux fois, et la troisième, la Ball se bloque. Je suis attrapé, alors, il me ressort aussitôt. Il veut juste un ami, pas un Pokémon à enfermer.
« Merci mon Obalie. Tu es le plus beau. Ta couleur violette te différencie des autres. Tu es mon Pokémon. Tu es mon ami. Tu es… mon Shiney. »
Je sais pas si c'est assez long, j'ai fait presque 3 pages sur Word.
Différents mais semblables.
Je te suis depuis un bon moment. Je me cache derrière les rochers de la plage, juste pour t'observer. Je te vois pleurer, tu me fais de la peine... Mais je n'ose pas m'approcher, tu me fais peur. Je tremble à l'idée de devenir comme les autres, enfermée à longueur de temps. Je ne sais pas pourquoi, mais tu m'attires quand même... Je dois venir vers toi, comme si ça m'était indispensable. Mais je ne veux pas. Je suis à la limite de la curiosité, et de la peur. C'est difficile pour moi comme choix, un simple Pokémon qui n'a rien demandé, mais qui a juste entrevu un dresseur qui le fascine. Je ne veux rien de plus, je veux juste l’observer. Tiens, il se lève. Il fixe la mer d’un ton bleu pâle, reflétée par le soleil qui brille à l’aube. J’arrive enfin à le voir. Ses cheveux sont noirs comme la nuit, et ses yeux sont bleus très pâles. Il porte un pull noir, avec deux cordons pendants au niveau de son col. Son pantalon est un jean, et puis des baskets simplement noires et blanches. Il porte également des gants gris, et une écharpe blanche. Je commence à marcher, j’essaie de m’approcher le plus possible de son corps…
« Q… Quoi ? se demande-t-il tout en se retournant. Qui est là ?! »
Aucune réponse ne parvient à ses oreilles. Il regarde un peu autour de lui, puis, ayant froid, il se frotte les mains malgré ses gants qui les protègent. J’approche encore un peu, je suis à ses pieds. Comme je suis derrière son dos, il ne me voit pas. Une chance pour moi qu’il ne m’entende pas.
« Qui est là ? demande-t-il une seconde fois en me touchant. Qui est-ce ? Je suis désolé, je ne vous ai pas vu, je ne vois pas grand-chose il faut dire… »
Je ne réponds pas. Je ne bouge pas d’un poil. Il cherche à tâtons avec ses mains sur le sol, pour trouver comme une trace ou un objet pour me voir. Il commence à me toucher, il me caresse doucement et si lentement, que j’apprécie ses mains sur ma peau… Il sourit, mais il ne me regarde pas directement. Je commence à applaudir, pour montrer que je suis heureux. Alors que je frappais dans mes nageoires, il me regarde et il avoua :
« Je t’entends. Quand tu applaudis, c’est une magnifique mélodie. Tu veux bien recommencer ? Pour moi, mais surtout pour que tu te fasses plaisir. »
Il sourit encore une fois. Je le regarde, un peu émerveillé par ses yeux. Ils ne sont pas comme les autres, on dirait que ce sont des cristaux bleu pâle. Après être sorti de mes rêves, il me fixe toujours autant, je recommence à applaudir, et il s’assoit par terre, tout près de moi. Il reprend ses pleurs, je ne comprends plus rien : je suis avec lui, il aime quand je frappe dans mes nageoires mais il n’est toujours pas heureux… Je ne suis plus rien, tout est assez bizarre, ce garçon est bizarre. Je ne connais même pas son nom, je ne sais rien, mais il me fait mal au cœur. Je pousse un petit cri de désespoir pour lui :
« Ba… »
Il s’arrête. Il me regarde bizarrement, je crois qu’il a compris le message que je voulais lui adresser. Il m’adresse un regard perdu, je n’ai pas compris pourquoi il n’était pas très fort… Alors, il commence à parler de lui, il lâche tout son fardeau si lourd à porter.
« Je ne suis pas comme les autres. Je suis différent, c’est pour ça que je n’ai personne, pas même de famille. Regarde mes yeux… »
Après ses paroles, je les scrute attentivement.
« Je pense que, même si tu es un Pokémon, tu as le droit de savoir et le droit de comprendre. Je suis né comme ça, c’est comme tout, je suis un handicapé. Mes yeux sont voilés, je ne vois rien. Quand tu applaudissais dans tes mains, je ne te voyais pas en toi-même, mais je voyais, rien qu’en entendant ce joli bruit, ta patte droite taper dans la gauche. Je suis rejeté par tout le monde, c’est dur d’être seul comme ça, et en plus, je ne vois plus rien, je suis obligé d’apprendre par moi-même à tâter les objets pour reconnaître un peu tout autour de moi… On m’a abandonné parce que j’étais différent… C’est injuste ! »
Il éclate en sanglots : trop de poids se trouve sur son dos… Il doit en lâcher un peu, il n’en peut plus, il doit exploser comme ça. Ca le rendra plus serein pour commencer. Si seulement il me comprenait, je pourrai lui dire que je le comprends parfaitement, je suis dans le même cas que lui… Je suis différent des autres, alors tout le monde m’a jeté, comme une vulgaire ordure ! La différence n’est jamais acceptée dans ce monde de brutes de toute manière… Mais ce garçon, je le comprends, alors… Pourrait-il faire de même avec moi ?
« Ba… Lie… Balie… »
Il me fixe, d’un regard plus profond cette fois. Même les aveugles ont le droit aux sentiments à travers les yeux, c’est vrai. Il écarquille un peu les yeux, comme s’il ne savait pas quoi dire, mais il m’avait compris, c’était le principal. En tournant sa tête vers moi, il approche sa main. Je commence à prendre peur, mais il voulait juste me caresser. Il se concentre, et me touche la peau avec ses mains.
« Tu es violet n’est-ce pas ? »
Comment a-t-il fait ?! Il arrive à découvrir les couleurs, juste en touchant les choses… Peut-être que c’est ça qui le différencie : il est non-voyant, mais aussi expert pour découvrir plein de merveilles ! J’ai peut-être aussi un talent moi aussi alors ? J’espère, j’en aurai bien besoin pour me venger de toute ma tribu m’ayant abandonné… Après mure réflexion, il se pose une question. Ou plutôt, il me la pose :
« Au fait, tu es un Pokémon je crois ? »
Je claque des nageoires, pour lui faire comprendre que je lui dis oui. Il sourit, et se sent fier de lui : il arrive à trouver les couleurs et les objets ou êtres vivants qu’il touche. Il se désole de s’être emporté en disant :
« Excuse-moi de m’égarer comme ça, mais c’est la première fois que j’arrive à deviner les couleurs d’un Pokémon. Peut-être qu’il y a une certaine alchimie en nous, qu’en dis-tu ? »
J’applaudis encore une fois. Il continue :
« Tu sais, peut-être que claquer dans ses mains pourrait devenir un vrai langage pour les aveugles comme moi. Qu’en penses-tu ? Tu veux bien essayer de faire ça comme ça ? »
Je claque maintes et maintes fois dans mes nageoires, je saute presque de joie. Enfin un humain qui pourra me comprendre, enfin un humain qui sera mon ami ! Enfin quelqu’un pour moi, cette personne est très spéciale : elle est non-voyante, elle a une qualité et surtout, elle est différente, c’est cela qui me fait tant de plaisir. Il est comme moi, il me ressemble exactement, mais en humain.
« Calme-toi, calme-toi, rit-il, tu es un petit fou toi. Je pense que tu es un Pokémon très social, et surtout un Pokémon gentil, généreux, à l’écoute… Je voudrai te demander une faveur. »
Comment ça une faveur ? Je demande :
« Balie ?
- Oui, quelque chose à te confier… Le plus merveilleux des secrets, je dois te le révéler. Tu es prêt ? »
Cette fois, je n’applaudis qu’une fois, pour ne pas paraître trop bizarre. Même si c’est le contraire de mon caractère, je veux apparaître normal à ses yeux… Après m’avoir entendu, il continue à parler de son secret et murmure :
« Voudrais-tu… être mon ami ? »
J’écarquille les yeux. Pourquoi moi ? Qu’est-ce que j’ai fait de spécial ? Je suis juste un Pokémon violet, c’est peut-être pour ça. Il approuve encore plus son idée en haussant la voix :
« Je ne reviendrai pas sur mon choix. Je pense que tu es le Pokémon le mieux pour moi. Tu pourras me comprendre, et moi aussi. Je ne vois pas ce qui t’empêche de venir avec moi. Je suis aveugle ? Quelle importance ! Je veux juste un ami, pas un Pokémon qui me servira pour faire des matchs d’arène ou des concours, je veux un ami. Rien de plus. Et, je pense que, tu es parfait à mes yeux, tu es différent des autres… »
Je claque des nageoires. Une seule fois. Je veux qu’il me comprenne parfaitement. Je pense que c’est aussi le dresseur parfait pour moi.
« C’est le moment… finit-il, tout en me prenant dans sa Pokéball. »
Elle remue. Une fois, deux fois, et la troisième, la Ball se bloque. Je suis attrapé, alors, il me ressort aussitôt. Il veut juste un ami, pas un Pokémon à enfermer.
« Merci mon Obalie. Tu es le plus beau. Ta couleur violette te différencie des autres. Tu es mon Pokémon. Tu es mon ami. Tu es… mon Shiney. »
Modifié en dernier par Piikachu le sam. 28 mars 2009, 22:11, modifié 2 fois.
- megamoimeme
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J'ai une idée de fanfic. Ça parle de Pokémons et d'humains qui sont des «rats de labotatoire».
Pour le titre, pas grande idée, peut-ètre «Laboratoire», mais bof...
Je mets une petite partie du peut-être premier chapitre...
Chapitre 1
(Sally)
J’ouvre un œil. Puis, l’autre. La lumière me démange. Il ne faut pas croire que c’est la lumière du Soleil qui me dérange ! Non, non ! Ça fait longtemps que je n’ai plus vu la lumière fabuleuse du Soleil…
Je m’appelle Sally. Ly pour les amis. Mais quels amis ? Je ne me souviens plus des temps heureux où j’étais une Chaglam enjouée et sauvage. Je sais juste que j’ai connu des meilleurs moments. Je vivais dans une jolie ville du nom de…de…de quoi déjà ? Je ne me souviens plus. Au fil des années, j’ai oublié. Je ne suis plus vraiment une Chaglam. Pourquoi ?
Je gratte mon nez avec ma main diforme qui provient certainement d’un Mangriff, mais grise. Mes oreilles de Lockpin pend devant mon visage. Je les mets sur le côté grâce à main correcte. Je secoue un peu mes ailes avant de soupirer. Mes neuf queues grises bougent un peu.
Je reprends. Cela fait plus de 10 ans que je suis enfermé ici. Je me souviens évidemment de mes premiers jours qui furent comme un poison mortel.
Des hommes en blanc avec des lunettes rondes venaient de me piéger dans un coin de ruelle sombre. Un des hommes s’avançais avec une cage. Je comprenais, mais il est trop tard. J’ai été emportée contre mon gré. J’ai été par la suite mise dans une caisse de bois sombre. Un autre Pokémon était avec moi, j’attendais son souffle rapide.
Puis, deux heures plus tard, on ouvrait ma caisse. On me prends et m’amène dans une série de couloirs. Tout au long du chemin, je vois des sortes de prison avec des Pokémons partout. Je miaulais, mais l’homme me tapait sur le museau.
Il entrait ensuite dans une pièce blanche avec une table. Il m’avait mit sur celle-ci avant de reculer. Un autre homme l’avait aussitôt remplacé.
Et j’ai reçut ma toute première injection.
La piqûre a été douloureuse. J’ai pleuré pendant 3 jours entier. J’ai été mise dans une prison. Dans la pièce, il y avait seulement un lit de paille, un bol d’eau et un gigantesque miroir. Après 3 jours, j’ai regardé mon reflet. J’avais neuf queues, comme un Feunard.
Je me lève et va contre les barreaux. Il y a du bruit. J’ouvre mes oreilles de lapin. Deux hommes apporte un Lucario. Le renard bouge et essaye de s’enfuir. Il est affaiblis, je le sens. Les hommes le lancent dans la prison devant la mienne. Lucario rugit une dernière fois, puis, tombe sur le sol.
Je sais ce qu’on réserve aux petits nouveaux : une belle injection. Et la surprise, c’est qu’elle est différente à chaque fois.
Voilà, c'est très court, mais le premier chapitre devrait faire environ cinq ou six fois cet extrait.
Pour le titre, pas grande idée, peut-ètre «Laboratoire», mais bof...
Je mets une petite partie du peut-être premier chapitre...
Chapitre 1
(Sally)
J’ouvre un œil. Puis, l’autre. La lumière me démange. Il ne faut pas croire que c’est la lumière du Soleil qui me dérange ! Non, non ! Ça fait longtemps que je n’ai plus vu la lumière fabuleuse du Soleil…
Je m’appelle Sally. Ly pour les amis. Mais quels amis ? Je ne me souviens plus des temps heureux où j’étais une Chaglam enjouée et sauvage. Je sais juste que j’ai connu des meilleurs moments. Je vivais dans une jolie ville du nom de…de…de quoi déjà ? Je ne me souviens plus. Au fil des années, j’ai oublié. Je ne suis plus vraiment une Chaglam. Pourquoi ?
Je gratte mon nez avec ma main diforme qui provient certainement d’un Mangriff, mais grise. Mes oreilles de Lockpin pend devant mon visage. Je les mets sur le côté grâce à main correcte. Je secoue un peu mes ailes avant de soupirer. Mes neuf queues grises bougent un peu.
Je reprends. Cela fait plus de 10 ans que je suis enfermé ici. Je me souviens évidemment de mes premiers jours qui furent comme un poison mortel.
Des hommes en blanc avec des lunettes rondes venaient de me piéger dans un coin de ruelle sombre. Un des hommes s’avançais avec une cage. Je comprenais, mais il est trop tard. J’ai été emportée contre mon gré. J’ai été par la suite mise dans une caisse de bois sombre. Un autre Pokémon était avec moi, j’attendais son souffle rapide.
Puis, deux heures plus tard, on ouvrait ma caisse. On me prends et m’amène dans une série de couloirs. Tout au long du chemin, je vois des sortes de prison avec des Pokémons partout. Je miaulais, mais l’homme me tapait sur le museau.
Il entrait ensuite dans une pièce blanche avec une table. Il m’avait mit sur celle-ci avant de reculer. Un autre homme l’avait aussitôt remplacé.
Et j’ai reçut ma toute première injection.
La piqûre a été douloureuse. J’ai pleuré pendant 3 jours entier. J’ai été mise dans une prison. Dans la pièce, il y avait seulement un lit de paille, un bol d’eau et un gigantesque miroir. Après 3 jours, j’ai regardé mon reflet. J’avais neuf queues, comme un Feunard.
Je me lève et va contre les barreaux. Il y a du bruit. J’ouvre mes oreilles de lapin. Deux hommes apporte un Lucario. Le renard bouge et essaye de s’enfuir. Il est affaiblis, je le sens. Les hommes le lancent dans la prison devant la mienne. Lucario rugit une dernière fois, puis, tombe sur le sol.
Je sais ce qu’on réserve aux petits nouveaux : une belle injection. Et la surprise, c’est qu’elle est différente à chaque fois.
Voilà, c'est très court, mais le premier chapitre devrait faire environ cinq ou six fois cet extrait.