tapez 1, 2 ou 3 selon les propositions de titre dans un des messages précédents
évoli a écrit :corrections...
voilà ce que cela donne avec le correcteur:
Les larmes acides du ciel redoublaient. Lorsqu’elles disparaissaient, un doux tintement de clochette résonnait tristement. Elles assombrissaient chaque brin d’herbe et, provoquait de gigantesques mares de boues. Un bâtiment se dressait avec éloquence en haut d’une pente de gazon. Des chardons et des orties poussaient facilement dans cette verdure mal entretenue.
En bas, une route de goudron s’étalait jusqu’à un minuscule parking. Le bord du petit trottoir devant les véhicules, était fait d’un béton blanc maculé de tache laissé par les larmes du ciel. Des touffes de gazon sortaient sous la rocaille. Derrière ce trottoir et un peu de gazon, une grille un peu rouillée par le temps, était mangée par des pins pour rendre le lieu plus agréable. Le bâtiment comportait deux fenêtres orientées vers un terrain de tennis. Une jeune fille était depuis un certain temps devant cette fenêtre. Les personnes autour d’elle ne lui parlaient pas. Ils attendaient avec impatience la fin du déluge.
La jeune fille n’avait pas plus de treize ans, le regard tendre et triste, les yeux bruns et les cheveux également, brillant d’une étrange lueur. Elle portait un pull et un jogging violet, allant à ravir avec sa peau légèrement bronzée. Des traits creusés formant des fossettes. Des cernes presque imperceptibles montraient un signe de fatigue pour ses études mais qui ne montrait une intelligence inouïe dans son avenir. Elle scrutait les nuages sombres dans les cieux, perçait pour décoder quelque chose. En vain. Assise sur son siège, une main sur sa cuisse, l’autre portait sa tête, c’était une vision de rêve.
Elle se leva et elle se glissa vers une porte grise et la fit coulisser. Pas un grincement, personne, personne ne l’avait remarquée, sauf un garçon d’une douzaine d’année environ, qui l’observait depuis un bon moment. Il la suivi. La jeune fille ne tentait pas de se protéger de la pluie. Les cheveux voletaient. Elle s’arrêta et elle regarda à nouveau les nuages. Elle susurra quelques mots et un éclair forma des lettres illisibles pour des êtres humains, sauf certain qui avait appris à lire ce langage. Cette jeune fille compris et aussitôt une main l’attrapa. Qui était-ce ?
Le jeune homme qui la regardait depuis la tirait vers l’intérieur du bâtiment de sport. Une fois hors de portée de vue de la fenêtre, elle se débattit et retourna près de là où elle était mais camouflée aux yeux des personnes dans le bâtiment. Il n’y avait que lui qui pouvait la voir. Un effrayant éclair illumina leur visage trempé par les larmes de pluie. Elle leva les yeux et susurra quelques mots.
Un autre éclair l’illumina. Le jeune homme s’approcha d’elle. Un éclair tomba dangereusement près d’eux. Légèrement effrayé, le garçon la tint par la hanche sans la tirée vers le bâtiment. Lentement, il posa sa tête sur son épaule et lui souffla à l’oreille : « Il faut y aller, c’est dangereux. Viens Aïcha. ». Il releva sa tête et se mit de toute sa hauteur. Il n’avait que quelques centimètres de plus qu’elle.
Elle tremblait de froid et de peur. Elle mit sa tête contre sa poitrine et pleura doucement. Elle sembla prononcer quelque chose, et elle se remit à pleurer. Les éclairs dansaient autour d’eux et se rapprochaient sans cesse. Il referma ses bras sur elle et posa sa tête sur la sienne. Ses bras et sa tête, contre sa poitrine. Elle s’arrêta de pleurer. Les secondes devinrent des heures, les minutes, des jours, le temps n’existait plus. Jamais ils ne sentirent aussi bien.
Un éclair tomba sur eux. Deux boules de poils prirent leur place. De longues oreilles marron, le cou caché par de la fourrure blanc. Des petites pattes douces et une queue duveteuse. Ils s’étaient transformés en évoli. C’était les deux adolescents. Ils changèrent de place et assistèrent au spectacle qui allait suivre.
Un autre éclair tomba près d’eux. L’électricité de l’éclair, descendait et restait accroché à un nuage, rebondit sur le sol remonta à nouveau puis rebondit sur le nuage, puis sur le sol. Du ciel descendit les pokémon légendaires, du sol, les autres.
Un éclair vert descendit sur la pelouse, un rouge, un bleu et un blanc. Du vert naquirent les baies, du rouge, les objets rare et commun, les machines, du bleu, naquirent les balls, et du blanc, les nouveaux pokémon. Ils venaient d’être créé, fini les périodes sombre de leur attentes par certains êtres qui créaient des choses qui leur permettaient d’attendre leur venue.
WELL.
voilà l'extrait Plush'
W3LL.