Essais aux fanfics

[Raishini]

Ou un parterre de baie pour les plus gourmands

[S°Eater]

Dakushiruba > Je t'ai envoyé la suite par MP, sur l'EM

Sinon, je me doutais bien avoir vu le mot "parterre" dans un bouquin (mais pas un parterre de baies X) )

Bon, j'ai posté la fiction sur l'espace membre, je croise les doigts pour sa validation

[Sanaito]

Je pense que tu devrais te hâter d'écrire un 2ème chapitre, ça aidera à la faire valider, pour qu'on cerne mieux ton histoire.

[Raishini]

Je corrobore, cerner une fic en un chapitre est d'autant plus difficile qu'il ne permet pas forcément d'offrir un contenu susceptible d'en montrer toutes les subtilités. Alors un deuxième serait souhaitable. Et ne te démonte pas si tu es refusé, tu pourras toujours améliorer en suivant les conseils

[S°Eater]

Ne vous en faites pas Solyx m'a gentiment validé ma fanfiction - p't'être parce que j'y ai ajouté un Prologue -. J'ai l'intention de d'abord poster un chapitre sur mon AUTRE fanfiction validée bien avant, puis je ferai le chapitre 2 de celle-ci. Tout est prévu

PS : Solyx, si tu lis ce post :

[Solyx]

Pas tant, pas tant, c'était mérité

(et oui, on peut considérer un prologue comme un chapitre si l'on considère que la fiction est aisément apte à être validée)

[S°Eater]

Rhoo le beau compliment que tu me fais XD Merci beaucoup en tout cas

[Evil Angel]

voici ma fic j'aurais aimé savoir ce qui ne va pas (ca fait deja quatre fois qu'elle est refusé)
apparament il y a trop de fautes
Merci d'avance:Sens la colère monter en toi


Dans une petite ville, il était un garçon du nom de Grég.
Etant petit, Grég grandissait paisiblement au sein de sa famille avec ses frères et sœurs.
Il lia de forts liens avec eux puis a l’age de 11 ans il reçut son premier pokémon.
Quoi de plus banal ? Me direz-vous.
Et bien Grég avait un secret, un terrible secret si terrible qu’il le gardait au plus profond de lui sans jamais oh non jamais oser en parler. Il avait été témoin d’une scène qu’il n’oserait jamais raconter.


Grég et son pokémon jouaient paisiblement ensemble. Il combattait ses amis et avec le temps il se lia d’amitié avec ce pokémon.


A 15ans, il partit en voyage les adieux avec ses frères et sœurs semblaient long et fastidieux à ses yeux. Il supporta néanmoins cette épreuve et avec courage il déçida de quitter le foyer familiale.


Au cours de son premier voyage il apprit beaucoup de chose que ce soit sur les pokémon où la vie en général.
Il vécu également son première amour. Ha l’amour fragile rose qui n’est qu’éphémère et qui se brise avec les vents. Amour aveugle amour passionné amour fous … Sa moitié s’appeler Lyse.Au début ils n’étaient que de simple amis puis au fils des jours des semaines et des mois, ils apprirent à se connaître. A l’age de 16ans ils échangèrent leurs premiers baisers. Cette amour duras 1ans, 2ans, 3ans .Jamais au non jamais non pour rien au monde ils ne se seraient quitter.Ils s’entraînaient ensemble, combattaient ensemble et jouaient ensemble.


Quelques années plus tard ayant terminé leur périple pokémon toujours ensemble. Il se trouvèrent un foyer.
Grég et Lyse ayant un emploie stable et de bonnes condition de logement ils trouvèrent raisonnable le fait d’avoir des enfants, chose pas si aisé. Après 3 fausses couches au raisons mystérieuses Grég et Lyse furent anéantis. Ils n’eurent d’autre solution que d’adopter un enfant. Cette solution résolurent leurs problèmes.


Un jour que Grég et son cher fils se baladait dans la fôret, Grég entendit une voix, celle-ci le guida jusqu’au fond des bois. Son fils tentat en vains de le suivre mais pour une raison mystérieuse Grég l’envoya voler contre un arbre. Le fragile enfant qui n’avait alors que 8ans éclata alors en sanglot. Il ne le suis donc pas.

Une fois seul dans les bois sombres et froids il discuta avec cette voix :
« -Te souviens-tu de mois ? Dit la voix d’un ton rassurant.
-Non répliqua Grég quelque peux étonner
-Quoi ! Quoi ! Comment.Comment ose-tu ? Comment ose tu ne pas te souvenir de moi, Dit la voix.
-N…..non ce ne serait pas toi Brandon ? Ho non pas ça, Répliqua Greg
-Ha tu te souvient maintenant. Quand nous étions jeunes nous devions avoir 6ans. Je suis tomber dans ce puis et je t’appeler, je t’appeler mais tu ne t’es jamais retourné. Tu m’as laissé la dans mon agonie. J’en suis mort de faim. Une fois mort j’ai pus regarder ma famille, ma mère, mon père, ma sœur, mon frère.Je les ai vus se lamenter dans leurs douleurs. Mais je t’ais aussi observé toi et ta petite famille ta femme, ton fils, tes pokémon, et maintenant à cause de toi je ne suis qu’un Spiritomb. Un Spiritomb encastré dans ce vieux puis dans cette vielle voûte.
-Je… Je suis désolé, Réplique Grég .
-Sélérat, inculte, inconscient, tu vas payer !
-que vas-tu me faire ?
-Rien tu te détruiras par toi-même. »
Puis la voix se tus.

Cette scène repassait dans la tête de Grég il culpabilisa un a point telle qu’il sentait la rage, le désarrois, la colère monter en lui. Une fois arrivé devant son fils il l’empoigna. Son fils le suppliait:
« Papa que fais tu ? Non je t’aime papa je t’aime. Non ! »
Grég ramassa un bâton par terre et malgré les supplications de son fils il lui cassa la nuque d’un coup sec.
Le sang gicla de partout. Il laissa son fils par terre mort.
Une fois chez lui il fit de même avec sa femme qui lui dit les même paroles:
« Non chérit je t’aime » N’ayant que faire de ses parole il tua sa femme sur le champ comme il l’avait fait avec son fils.


Il resta immobile quelque instant baignant dans le sang de sa propre femme. Son visage et ses vêtements étaient tachtés de sang, le sang de sa famille, la même famille qu’il avait tué avec barbarie et sans pitié. En réalisant l’horreur des actes qu’il avait commis, il s’écroula au sol voulant lui-même se donner la mort. Il sortit un revolver de sa table de nuit, débloqua la sécurité mais avant qu’il n’est le temps d’appuyer sur la gâchette, il entendit une voix, mais cette fois-ci la voie était douce et familière, il distingua aussi une autre voix, une voix aigue fragile et innocente disant:
«- Papa il faut que tu réveille » , C’était celle de son fils.
Grég réalisa que tout cela n’était qu’un rêve ou plutôt un cauchemar.

Il se réveilla donc et vis le corps de Lyse sa femme et de son fils. Ils étaient en vit !
Se cauchemar lui appris une chose, c’est ce que l’on peut faire sous l’emprise de la rage, de la colère, du désarrois et de la haine de soi.


Après cette première « aventure » il décida d’aller se balader avec sa famille. Son fils jouait avec ses amis alors que Grég et Lyse échangèrent de doux et délicats baisers assis sur un banc. Le soleil se reflétait sur la chevelure blonde mi-court de Lyse. Ses magnifiques yeux bleus étaient remplie d’amour, un amour fort un amour inaréttable.
Les cheveux rouges flamboyants de Grég frôlaient le visage de Lyse avec une douceur inégaler.
Grég n’oubliera jamais ce cauchemar qui lui a aprris long sur les sentiments qu’un être vivant pourrait ressentir. Grég et Lyse terminèrent leur vie ensemble, de la même manière qu’ils l’avaient commencer.
FIN

[Sanaito]

J'ai lu et en effet, il y a des fautes relativement graves qu'il faudrait absolument corriger, je te conseille d'engager un bêta-lecteur.

Sa moitié s’appeler Lyse.

Ça, c'est inacceptable. Le verbe est conjugué à l'imparfait à la 3ème personne du singulier, il ne faut donc pas le terminer en -er mais en -ait. Pour savoir quand un verbe est à l'infinitif ou non, remplace le par "mordre" ou "pendre" ("Sa moitié mordait Lyse" et non pas "Sa moitié mordre Lyse"). Ce n'est qu'un minuscule échantillon de fautes, il y en a encore beaucoup et pas moins affreuses.

Ensuite, d'un point de vue personnel, je n'ai pas réussi à accrocher à l'histoire. Comment dire... elle manque de texture. Oui, tu insistes en disant qu'ils s'aiment, qu'ils s'embrassent, c'est mielleux, c'est le pays des Bisounours, et tout ça... Mais "ce ne sont que des mots". Il est difficile de faire d'un mot plus qu'une simple suite de lettres, j'en conviens, toutefois, essaie de faire passer dans ton texte les émotions, toute la passion et l'amour entre ton héros et sa conjointe, toute l'affection entre ton héros et son fils.
Visualise la scène comme si tu regardais un film en 3D au cinéma, et demande-toi ce qui peut t'attendrir, pourquoi c'est si poignant. Enfin, mes conseils sont peut-être un peu abscons...

[Evil Angel]

Merci beaucoup. 'vais mettre tous ca en pratique
Est ce que ma fic pourait etre refusé a causee du sénario mediocre ?

[MM-Blue]

Hop! Je viens mettre mon petit grain de sel aussi!

"Dans une petite ville, il était un garçon du nom de Grég.
Etant petit, Grég grandissait paisiblement au sein de sa famille avec ses frères et sœurs.
Il lia de forts liens avec eux puis, a l’âge de onze ans, il reçut son premier pokémon.
" Quoi de plus banal ? " me direz-vous." -> Début classique, trop classique. C'est mou et ça n'accroche pas. Il faut toujours commencer par quelque chose de percutant, afin que le lecteur ait envie de lire la suite de ton texte!
"Eh bien Grég avait un secret, un terrible secret. Si horrible qu’il le gardait au plus profond de lui sans jamais oh non jamais oser en parler. Il avait été le témoin d’une scène qu’il n’oserait jamais raconter." -> La mise en place de ton intrigue est un peu bancale. Tu essaies de laisser du suspens mais ça manque de développement.
"Grég et son pokémon jouaient paisiblement ensemble. Il combattait ses amis et, avec le temps, il se lia d’amitié avec ce pokémon. A quinze ans, il partit en voyage. Les adieux avec ses frères et sœurs semblaient long et fastidieux à ses yeux. Il supporta néanmoins cette épreuve et, avec courage, il déçida de quitter le foyer familial. Au cours de son premier voyage, il apprit beaucoup de chose que ce soit sur les pokémon ou la vie en général." -> Toujours autant classique, pas vraiment d'originalité.
"Il vécu également son première amour. Ah, l’amour! Fragile rose qui n’est qu’éphémère et qui se brise avec les vents. Amour aveugle, amour passionné, amour fou… Sa moitié s’appelait Lyse. Au début, ils n’étaient que de simple amis puis au fils des jours, des semaines et des mois, ils apprirent à se mieux connaître. A l’âge de seize ans, ils échangèrent leurs premiers baisers. Cette amour duras un an, deux ans, trois ans... Jamais au non jamais non pour rien au monde ils ne se seraient quittés. Ils s’entraînaient ensemble, combattaient ensemble et jouaient ensemble." -> De jolies phrases et une mise en place de l'histoire en légèreté. C'est pas mal!
"Quelques années plus tard, ayant terminé leur périple pokémon toujours ensemble, il se trouvèrent un foyer. Grég et Lyse ayant un emploie stable et de bonnes conditions de logement, ils trouvèrent raisonnable le fait d’avoir des enfants, ce qui ne fut pas une mince affaire. Après trois fausses couches aux raisons mystérieuses, Grég et Lyse furent anéantis. Ils n’eurent d’autre solution que d’adopter un enfant. Cette solution résolut leurs problèmes." -> Passage dans la continuité du précédent. Pour allonger ton texte, tu aurais pu t'arrêter plus longtemps sur les fausses couches de Lyse et insister sur la tristesse qui s'en suit.
"Un jour que Grég et son cher fils se baladaient dans la fôret, Grég entendit une voix. Celle-ci le guida jusqu’au fond des bois. Son fils tentat en vains de le suivre mais pour une raison mystérieuse, Grég le repoussa. Le fragile enfant qui n’avait alors que huit ans éclata alors en sanglot et resta en arrière, attendant que la folie de son père se dissipe." -> Un manque de transition au début du passage. Le coup de la voix n'est pas vraiment original mais tu pourrais le masquer en mettant en évidence la folie qui gagne Grég. Approfondis les sentiments de tes personnages!
"Une fois seul dans les bois sombres et froids, il discuta avec cette voix :
« Te souviens-tu de mois ? Dit la voix d’un ton rassurant.
- Non, répliqua Grég quelque peux étonné.
- Pardon?! Comment.Comment oses-tu ? Tu as du cran de ne pas te souvenir de moi, Dit la voix.
- Non... Ce ne serait pas toi, Brandon ? Oh non, pas ça...
- Ah! Tu te souviens maintenant. Quand nous étions jeunes, nous devions avoir six ans, je suis tombé dans ce puis. Je t’appelais, je t’appelais mais tu ne t’es jamais retourné. Tu m’as laissé là, dans mon agonie. J’en suis mort de faim. Et une fois mort, j’ai pus regarder ma famille. Ma mère, mon père, ma sœur, mon frère. Je les ai vus se lamenter dans leurs douleurs. Mais je t’ais aussi observé, toi et ta petite famille, ta femme, ton fils, tes pokémon... Et maintenant, à cause de toi, je ne suis qu’un Spiritomb. Un Spiritomb encastré dans ce vieux puis, dans cette vielle voûte...
- Je… Je suis désolé, réplique Grég.
- Sélérat, inculte, inconscient, tu vas payer !
- Que vas-tu me faire ?
- Rien. Tu te détruiras par toi-même. »
Puis la voix se tut." -> Pour moi, il y a trop de dialogue et c'est plat. Je pense que tu pourrais créer une atmosphère inquiétante pour cette scène. Tu pourrais aussi ajouter des descriptions entre tes répliques.
"Cette scène repassait dans la tête de Grég. Il culpabilisa un à tel point qu’il sentait la rage, le désarrois, la colère monter en lui. Une fois arrivé devant son fils, il l’empoigna. Son fils le suppliait:
« Papa que fais-tu ? Non! Je t’aime papa, je t’aime! Non ! »
Grég ramassa un bâton par terre et malgré les supplications de son fils, il lui cassa la nuque d’un coup sec.
Le sang gicla de partout (Casser une nuque n'implique pas de sang.) . Il laissa son fils par terre, mort.
Une fois chez lui, il fit de même avec sa femme qui lui dit les même paroles:
« Non chérit, je t’aime » N’ayant que faire de ses paroles, il tua sa femme sur le champ comme il l’avait fait avec son fils." -> Bien trop rapide. On a pas vraiment eu le temps de s'attacher aux personnages et donc ça ne fait ni chaud ni froid au lecteur!
"Il resta immobile quelque instant baignant dans le sang de sa propre femme. Son visage et ses vêtements étaient tachtés de sang, le sang de sa famille, la même famille qu’il avait tué avec barbarie et sans pitié (Casser une nuque n'implique pas de sang.)². En réalisant l’horreur des actes qu’il avait commis, il s’écroula au sol, voulant lui-même se donner la mort. Il sortit un revolver de sa table de nuit, débloqua la sécurité mais avant qu’il n’est le temps d’appuyer sur la gâchette, il entendit une voix. Mais cette fois-ci la voix était douce et familière. Une autre vint se joindre à la première, plus aiguë et innocente disant:
« Papa, il faut que tu réveilles »
C’était celle de son fils. Grég réalisa que tout cela n’était qu’un rêve ou plutôt un cauchemar.
Il se réveilla donc et vit le corps de Lyse sa femme et de son fils. Ils étaient en vie !
Ce cauchemar lui apprit une chose, c’est ce que l’on peut faire sous l’emprise de la rage, de la colère, du désarrois et de la haine de soi. (Il n'y a aucune haine, dans ton texte. Ca relève plutôt de la folie.) Après cette première « aventure », il décida d’aller se balader avec sa famille. Son fils jouait avec ses amis alors que Grég et Lyse échangèrent de doux et délicats baisers assis sur un banc. Le soleil se reflétait sur la chevelure blonde mi-court de Lyse. Ses magnifiques yeux bleus étaient remplis d’amour, un amour fort et éternel.
Les cheveux rouges flamboyants de Grég frôlaient le visage de Lyse avec une douceur inégaler. (Etrange tournure de phrase...) Grég n’oubliera jamais ce cauchemar qui lui apprit long sur les sentiments qu’un être vivant pouvait ressentir. Grég et Lyse terminèrent leur vie ensemble, de la même manière qu’ils l’avaient commencé.

Bon, j'ai peut-être oublié des fautes vu que je suis pas non plus très calée en orthographe. Ensuite, c'est court, comme on te l'a déjà dit. Ca pourrait être une bonne histoire si tu travaillais plus tes personnages et leur psychologie. De plus, ça leur donnerait un peu plus de profondeur et d'ampleur sur ton récit. Bref, retravaille à fond ton texte et je suis sûr qu'il sera accepté sur l'EM!

[Raishini]

Hop! Je viens mettre mon petit grain de sel aussi!

"Dans une petite ville, il était un garçon du nom de Grég.
Etant petit, Grég (est-ce le diminutif de Grégoire ?, sinon c'est Greg) grandissait paisiblement au sein de sa famille avec ses frères et sœurs.
Il lia de forts liens avec eux puis, a l’âge de onze ans, il reçut son premier pokémon.
" Quoi de plus banal ? " me direz-vous." -> Début classique, trop classique. C'est mou et ça n'accroche pas. Il faut toujours commencer par quelque chose de percutant, afin que le lecteur ait envie de lire la suite de ton texte!
"Eh bien Grég avait un secret, un terrible secret. Si horrible qu'il le gardait au plus profond de lui sans jamais oh non jamais oser en parler. Il avait été le témoin d’une scène qu’il n’oserait jamais raconter." -> La mise en place de ton intrigue est un peu bancale. Tu essaies de laisser du suspens mais ça manque de développement.
"Grég et son pokémon jouaient paisiblement ensemble. Il combattait ses amis et, avec le temps, il se lia d’amitié avec ce pokémon. A quinze ans, il partit en voyage. Les adieux avec ses frères et sœurs semblaient longs et fastidieux à ses yeux. Il supporta néanmoins cette épreuve et, avec courage, il décida de quitter le foyer familial. Au cours de son premier voyage, il apprit beaucoup de choses que ce soit sur les pokémon (ce serait mieux avec la majuscule tout de même) ou la vie en général." -> Toujours autant classique, pas vraiment d'originalité.
"Il vécut également son premier amour. Ah, l’amour! Fragile rose qui n’est qu’éphémère et qui se brise avec les vents. Amour aveugle, amour passionné, amour fou… Sa moitié s’appelait Lyse (bon, je sais pas si tu as voulu faire un prénom peu conventionnel ou si tu voulais dire Lise, mébon). Au début, ils n’étaient que de simples amis puis au fils des jours, des semaines et des mois, ils apprirent à se mieux connaître. A l’âge de seize ans, ils échangèrent leurs premiers baisers. Cette (oh mon dieu, c'est masculin que diable !) amour duras un an, deux ans, trois ans... Jamais au non jamais non pour rien au monde (soit tu met ça, soit jamais, mais pas les deux à la suite) ils ne se seraient quittés. Ils s’entraînaient ensemble, combattaient ensemble et jouaient ensemble." -> De jolies phrases et une mise en place de l'histoire en légèreté. C'est pas mal!
"Quelques années plus tard, ayant terminé leur périple pokémon ,-toujours ensemble-, ils se trouvèrent un foyer. Grég et Lyse ayant un emploie stable et de bonnes conditions de logement, ils trouvèrent raisonnable le fait d’avoir des enfants, ce qui ne fut pas une mince affaire. Après trois fausses couches aux raisons mystérieuses, Grég et Lyse furent anéantis. Ils n’eurent d’autre solution que d’adopter un enfant. Cette solution résolut leurs problèmes." -> Passage dans la continuité du précédent. Pour allonger ton texte, tu aurais pu t'arrêter plus longtemps sur les fausses couches de Lyse et insister sur la tristesse qui s'en suit.
"Un jour que Grég et son cher fils se baladaient dans la fôret, Grég entendit une voix. Celle-ci le guida jusqu’au fond des bois. Son fils tentat en vains de le suivre mais pour une raison mystérieuse, Grég le repoussa. Le fragile enfant qui n’avait alors que huit ans éclata alors (répétition de alors) en sanglots et resta en arrière, attendant que la folie de son père se dissipe." -> Un manque de transition au début du passage. Le coup de la voix n'est pas vraiment original mais tu pourrais le masquer en mettant en évidence la folie qui gagne Grég. Approfondis les sentiments de tes personnages!
"Une fois seul dans les bois sombres et froids, il discuta avec cette voix :
« Te souviens-tu de mois ? Dit (la majuscule, bon sang !) la voix d’un ton rassurant.
- Non, répliqua Grég quelque peux étonné.
- Pardon?! Comment.Comment oses-tu ? Tu as du cran de ne pas te souvenir de moi, Dit la voix.
- Non... Ce ne serait pas toi, Brandon ? Oh non, pas ça...
- Ah! Tu te souviens maintenant. Quand nous étions jeunes, nous devions avoir six ans, je suis tombé dans ce puits. Je t’appelais, je t’appelais mais tu ne t’es jamais retourné. Tu m’as laissé là, dans mon agonie. J’en suis mort de faim. Et une fois mort, j’ai pus regarder ma famille. Ma mère, mon père, ma sœur, mon frère. Je les ai vus se lamenter dans leurs douleurs. Mais je t’ais aussi observé, toi et ta petite famille, ta femme, ton fils, tes pokémon... Et maintenant, à cause de toi, je ne suis qu’un Spiritomb. Un Spiritomb encastré dans ce vieux puits, sous cette vielle voûte...
- Je… Je suis désolé, réplique Grég.
- Scélérat, inculte, inconscient, tu vas payer !
- Que vas-tu me faire ?
- Rien. Tu te détruiras par toi-même. »
Puis la voix se tut." -> Pour moi, il y a trop de dialogue et c'est plat. Je pense que tu pourrais créer une atmosphère inquiétante pour cette scène. Tu pourrais aussi ajouter des descriptions entre tes répliques.
"Cette scène repassait dans la tête de Grég. Il culpabilisa un à tel point qu’il sentait la rage, le désarrois, la colère monter en lui. Une fois arrivé devant son fils, il l’empoigna. Son fils le suppliait (c'est mieux le PS quand même) :
« Papa que fais-tu ? Non! Je t’aime papa, je t’aime! Non ! »
Grég ramassa un bâton par terre et malgré les supplications de son fils, il lui cassa la nuque d’un coup sec.
Le sang gicla de partout (Casser une nuque n'implique pas de sang. (et c'est assez gore, je trouve)). Il laissa son fils par terre, mort.
Une fois chez lui, il fit de même avec sa femme qui lui dit les même paroles:
« Non chérit, je t’aime » N’ayant que faire de ses paroles, il tua sa femme sur le champ comme il l’avait fait avec son fils." -> Bien trop rapide. On a pas vraiment eu le temps de s'attacher aux personnages et donc ça ne fait ni chaud ni froid au lecteur!
"Il resta immobile quelque instants baignant dans le sang de sa propre femme. Son visage et ses vêtements étaient tachetés de sang, le sang de sa famille, la même famille qu’il avait tué avec barbarie et sans pitié[/strike](Casser une nuque n'implique pas de sang.)². En réalisant l’horreur des actes qu’il avait commis, il s’écroula au sol, voulant lui-même se donner la mort. Il sortit un revolver de sa table de nuit, débloqua la sécurité mais avant qu’il n’ait le temps d’appuyer sur la gâchette, il entendit une voix. Mais cette fois-ci la voix était douce et familière. Une autre vint se joindre à la première, plus aiguë et innocente, et dit :
« Papa, il faut que tu te réveilles »
C’était celle de son fils. Grég réalisa que tout cela n’était qu’un rêve ou plutôt un cauchemar.
Il se réveilla donc et vit le corps de Lyse sa femme et de son fils. Ils étaient en vie !
Ce cauchemar lui apprit une chose, c’est ce que l’on peut faire sous l’emprise de la rage, de la colère, du désarrois et de la haine de soi. (Il n'y a aucune haine, dans ton texte. Ca relève plutôt de la folie.) Après cette première « aventure », il décida d’aller se balader avec sa famille. Son fils jouait avec ses amis alors que Grég et Lyse échangaient (là, l'Imparfait était plus adapté, puisqu'il y a une notion de durée) de doux et délicats baisers, assis sur un banc. Le soleil se reflétait sur la chevelure blonde mi-court de Lyse. Ses magnifiques yeux bleus étaient remplis d’amour, un amour fort et éternel.
Les cheveux rouges flamboyants de Grég frôlaient le visage de Lyse avec une douceur inégalée. (Etrange tournure de phrase...) Grég n’oubliera jamais ce cauchemar qui lui en apprit long sur les sentiments qu’un être vivant pouvait ressentir. Grég et Lyse terminèrent leur vie ensemble, de la même manière qu’ils l’avaient commencé.

Du coup, moi non plus (je suis en bleu ). Sinon, ne décourage pas, tu as tout le temps de progresser, ce n'est pas une fatalité en soi. Je ne sais pas si tu lis déjà, mais tu devrais te plonger dans deux-trois bouquins, ce qui j'en suis sûr te ferait progresser significativement. Attarde-toi sur chaque phrase et détail au lieu de survoler les lignes et tu verras, ça rentre tout seul ! (ou alors je ne suis pas normal ).

Reste quand même beaucoup de fautes. Certaines des tournures étaient plutôt réussies, -signe que tu peux faire bien mieux-, mais l'ensemble reste néanmoins moyen. A travailler !

[Sanaito]

Dites donc, vous êtes consciencieux, vous !!! Jamais je n'aurais eu le courage de corriger comme ça, moi

[Raishini]

Je te rassure, ce n'était qu'un éclair de folie, et puis je supportais pas de laisser des fautes en suspens dans le texte... Je sais, je suis space moi

[MM-Blue]

Ah! Merci d'avoir corrigé les coquilles que j'avais laissé! Bon, avec tout ça, je pense que Evil Angel a de quoi travailler!

[Raishini]

Oui, et j'espère qu'il nous pondra un joli petit texte !

[DimoniaK]

Un extrait d'une autre petite idée de fic, qui m'est venue en (ré-ré-ré-ré)écoutant One de Metallica.

Spoiler :

Cela devait faire des heures que j'étais allongé là. J'avais perdu ma vision, je souffrais le martyre et je sentis qu’un moignon sanglant avait remplacé ma patte gauche. Rassemblant les quelques forces qui me restaient, j'essayais de me remémorer quelques souvenirs d’avant l'incident dans mon cerveau embrumé.


Une coquille, blanche et dure. Mon instinct me poussait à la briser, à m’en échapper pour rencontrer le monde extérieur. De mes minuscules griffes, je cherchai à l’ouvrir. Quelques minutes plus tard, je sortais de cet œuf, à l’air libre, et me retrouvai nez à nez avec deux Escroco, me regardant tendrement. Mes parents. Dès cet instant, je me dis que je ne voulais plus jamais être séparé d’eux.

La route 4, silencieuse par cette belle nuit d’été fraîche, que je contemplais silencieusement. J’avais grandi, et j’allais retourner jouer avec mes amis Baggiguane et Darumarond, lorsqu’une vieille camionnette grise brisa le silence de la nuit. Trois hommes en sortirent, l’un d’eux avec un filet à la main. Ces gens ne m’inspiraient pas confiance. Mes parents, avec une voix apeurée que je ne leur avais jamais connue, me sommèrent de me cacher, mais je ne les écoutai pas. La flamme du défi brûlait en moi, et je voulais prouver ma présence à ces hommes. Les vaincre. Je regardai l’homme au filet, qui me répondit par un sourire mauvais. D’un seul coup, mon assurance s’était évanouie. Je regardai anxieusement aux alentours, pour chercher un moyen de m’échapper, mais l’homme fit un grand mouvement de son bras et me captura avec son filet. Je tentai, avec l’énergie du désespoir, de mordre les mailles, mais elles étaient en acier. Mais soudainement, les ténèbres se firent autour de moi. L’homme m’avait plongé dans un sac. Ne sachant si je reverrais un jour mes parents, je m’écroulai, inerte, vidé de toute force, alors que la camionnette redémarrait.

(La fic est écrite sous Word à la base, du coup, certains caractères peuvent être différents, mais osef)

Du coup, je voulais savoir s'il y avait des fautes, des coquilles, et surtout si l'histoire tenait la route (car j'ai franchement eu l'impression que ce n'était pas le cas). Bref, merci par avance

[Drayker]

Cela devait faire des heures que j'étais allongé là. J'avais perdu ma vision [perdu la vue plutôt non ?], je souffrais le martyre et je sentis [sentais, sinon pb de concordance] qu’un moignon sanglant avait remplacé ma patte gauche [un peu maladroit, autant dire "que ma patte gauche n'était plus qu'un moignon sanglant"]. Rassemblant les quelques forces qui me restaient, j'essayais [essayai] de me remémorer quelques souvenirs d’avant l'incident dans mon cerveau embrumé [mal construit, littéralement l'incident c'est produit DANS le cerveau embrumé, hors je doute que le narrateur aie fait un AVC].


Une coquille, blanche et dure. Mon instinct me poussait à la briser, à m’en échapper pour rencontrer le monde extérieur. De mes minuscules griffes, je cherchai à l’ouvrir. Quelques minutes plus tard, je sortais [sortis] de cet œuf, à l’air libre, et me retrouvai nez à nez avec deux Escroco, me regardant tendrement. Mes parents. Dès cet instant, je me dis que je ne voulais plus jamais être séparé d’eux.

La route 4, silencieuse par cette belle nuit d’été fraîche, que je contemplais silencieusement [mal construit, le narrateur contemple la route ou la nuit ?]. J’avais grandi, et j’allais retourner jouer avec mes amis Baggiguane et Darumarond, lorsqu’une vieille camionnette grise brisa le silence de la nuit [répétition]. Trois hommes en sortirent, l’un d’eux avec un filet à la main. Ces gens ne m’inspiraient pas confiance. Mes parents, avec une voix apeurée que je ne leur avais jamais connue [connaissait pas, sinon problème de concordance], me sommèrent de me cacher, mais je ne les écoutai pas. La flamme du défi brûlait en moi, et je voulais prouver ma présence à ces hommes. Les vaincre. Je regardai l’homme au filet, qui me répondit par un sourire mauvais. D’un seul coup, mon assurance s’était évanouie. Je regardai [répétition] anxieusement aux alentours, pour chercher [cherchant] un moyen de m’échapper, mais l’homme fit un grand mouvement de son bras et me captura avec son filet. Je tentai, avec l’énergie du désespoir, de mordre les mailles, mais elles étaient en acier. Mais soudainement [pas de "mais", ça sert à contraster la phrase précédente, hors ici ça n'a pas de rapport], les ténèbres se firent autour de moi. L’homme m’avait plongé dans un sac. Ne sachant si je reverrais un jour mes parents, je m’écroulai, inerte, vidé de toute force, alors que la camionnette redémarrait.

Here you are. J'ai corrigé les erreurs basiques, normalement ça devrait être bon.
Niveau histoire c'est un peu dur de juger, mais j'ai pu remarquer que tu as tendance à passer trop vite d'un élément à l'autre. Par exemple, le narrateur est empli de défi, et la phrase d'après il est mort de peur simplement parce qu'il a regardé l'homme. Bref, attention à ce genre de transition, après le reste c'est un peu dur de juger, ça reste pour l'instant de l'angst classique du pauvre-pokémon-versus-méchant-humain-pabo.

[Raishini]

Ecoute, je crois que Drayker a tout dit C'est vrai que l'ensemble me semble vraiment trop court. Fournis quelque chose de plus consistant en évitant les erreurs bêtes. Relis-toi, consulte un dico de synonymes, etc... Et là ça devrait être bon.

[MM-Blue]

L'histoire à l'air un peu basique, je pense que tu peux faire beaucoup mieux!

Par contre, je ne suis pas d'accord avec toi, Drayker, quand tu dis "le narrateur est empli de défi, et la phrase d'après il est mort de peur simplement parce qu'il a regardé l'homme". C'est bien spécifié dans le texte que son "assurance s’était évanouie", je ne vois donc pas le problème.


EDIT: J'avais pas lu la correction de Drayker, je vais ajouter mon petit grain de sel!

Spoiler :

Cela devait faire des heures que j'étais allongé là. J'avais perdu ma vision [perdu la vue plutôt non ?] (Il me semble que ça revient au même, mais j'aurai remplacé le "ma" par "la" pour rendre la phrase plus fluide), je souffrais le martyre et je sentis [sentais, sinon pb de concordance] qu’un moignon sanglant avait remplacé ma patte gauche [un peu maladroit, autant dire "que ma patte gauche n'était plus qu'un moignon sanglant"] (Je trouve sa phrase bien tournée et originale, moi...). Rassemblant les quelques forces qui me restaient, j'essayais [essayai] de me remémorer quelques souvenirs d’avant l'incident dans mon cerveau embrumé [mal construit, littéralement l'incident c'est produit DANS le cerveau embrumé, hors je doute que le narrateur aie fait un AVC] (J'avoue avoir eu du mal à lire cette phrase, le "cerveau embrumé" casse le rythme. Je te propose "J'essayai de me remémorer les quelques souvenirs flous qu'il me restait d'avant cet incident.").


Une coquille, blanche et dure. Mon instinct me poussait à la briser, à m’en échapper pour rencontrer le monde extérieur. De mes minuscules griffes, je cherchai à l’ouvrir. Quelques minutes plus tard, je sortais [sortis] de cet œuf, à l’air libre, et me retrouvai nez à nez avec deux Escroco, me regardant tendrement. Mes parents. Dès cet instant, je me dis que je ne voulais plus jamais être séparé d’eux.

La route 4, silencieuse par cette belle nuit d’été fraîche, que je contemplais silencieusement [mal construit, le narrateur contemple la route ou la nuit ?] (Problème de virgule, je pense que retirer celle d'après "fraîche" pourrait résoudre le problème). J’avais grandi, et j’allais retourner jouer avec mes amis Baggiguane et Darumarond, lorsqu’une vieille camionnette grise brisa le silence de la nuit [répétition] (Je rajouterai que le "j'avais grandi" brise la fluidité du texte. Tu aurais dû le placer au début de ton paragraphe (mais bon, c'est juste un avis personnel !). Pour la répétition, tu peux remplacer "nuit" par "nocturne".). Trois hommes en sortirent, l’un d’eux avec un filet à la main. Ces gens ne m’inspiraient pas confiance. Mes parents, avec une voix apeurée que je ne leur avais jamais connue [connaissait pas, sinon problème de concordance], me sommèrent de me cacher, mais je ne les écoutai pas. La flamme du défi brûlait en moi, et je voulais prouver ma présence à ces hommes. Les vaincre. Je regardai l’homme au filet, qui me répondit par un sourire mauvais. D’un seul coup, mon assurance s’était évanouie. Je regardai [répétition] (scrutai) anxieusement aux (les) alentours, pour chercher [cherchant] un moyen de m’échapper, mais l’homme fit un grand mouvement de son bras et me captura avec son filet. Je tentai, avec l’énergie du désespoir, de mordre les mailles, mais elles étaient en acier. Mais soudainement [pas de "mais", ça sert à contraster la phrase précédente, hors ici ça n'a pas de rapport], les ténèbres se firent autour de moi. L’homme m’avait plongé dans un sac. Ne sachant si je reverrais un jour mes parents, je m’écroulai, inerte, vidé de toute force, alors que la camionnette redémarrait.