Essais aux fanfics
- dragibus
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Re: Essais aux fanfics
C'est difficile de juger sur un passage aussi court et quand on ne connait pas du tout le scénario. Mais je te donne quand même mes impressions :
- c'est bien écrit, sans fautes
- les descriptions sont bien intégrées au récit
- mais... la Guerre des Clans, avec la famille des Evoli, c'est un sujet qui a déjà été utilisé dans de nombreuses fanfics... Pour rendre ton histoire attractive, il va vraiment falloir qu'elle sorte de l'ordinaire
- c'est bien écrit, sans fautes
- les descriptions sont bien intégrées au récit
- mais... la Guerre des Clans, avec la famille des Evoli, c'est un sujet qui a déjà été utilisé dans de nombreuses fanfics... Pour rendre ton histoire attractive, il va vraiment falloir qu'elle sorte de l'ordinaire
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Début de ma fanfic le mystérieux pokémon
Déjà bonjour a tous
Le mystérieux pokemon
Je me suis réveiller et je suis en train de faire mon petit déjeuner...J'allume la radio puis j'écoute
"Bienvenue sur radio Sinnoh !C'est l'heure des infos!
-Un nouveau telepherique vient d'etre installer sur le mont couronné nous avons rencontré le professeur sorbier pour un peu plus d'informations .Professeur sorbier??Professeur sorbier???Bon aparrement il y a eu un problème avec la liaison
Au revoir et bonne matinée avec RadioSinnoh! J'éteignit la radio puis je finis de manger et je sortis.
J'entraine tous les matins mes pokémons et cela depuis 1 an mais je sentais ce jour allait étre spécial.J'entrainais comme d'habitude mes pokémons .Après cet entrainement matinal j'allais au parc discuter avec d'autres dresseurs et même quelquefois plus rarement avec des éleveurs.Mon ami m'adressa d'un air excité :«Hey salut Lucas! Je lui répondis ,Salut!
-T'as entendu parler du nouveau télephérique du mont couronné?
-Oui tu t'rends compte un télepherique sur le mont couronné du jamais vu!
-J'ai lus un article qui dis que le nouveau telepherique pourrait influencer le comportement des pokémons notamment les pokémons légendaires»
Puis un dresseur s'entremit dans la conversation et dit: « ce qu'il dit n'est pas faux les humains dans certains cas ont changé le comportement des pokémons »
Puis le dresseur s'en alla moi je salua mon ami et je m'en allai du parc .
Je rentris a la maison il était 10h00 .Je dit bonjour a ma mère et je montis dans ma chambre lire des livres et des bd tranquillement .
Aux alentours de midi on frappa a la porte je descendis les escaliers et ma mère ouvrit la porte.Un homme inconnu engagea la conversation en disant :
« J'ai quelque chose a confier a votre fils » Puis l'inconnu confia une mystérieuse malette a ma mère. Après l'inconnu s'en alla ma mère toute surprise me confia la malette et retournit faire les taches ménagères habituelles .Moi je remontait tous excité de cette étrange et mystérieuse rencontre.Je m'enfermis dans la chambre et fermait les volets.J'allumis ma lampe de bureau et j'ouvris la malette dedans il y avait un petit telephone du genre talkie-wolkie .
A peine j'eu touché le telephone un message défila la voix me semblait celle du professeur Sorbier « Lucas,accepte tu d'enquéter pour moi au sujet du telepherique et de la team galaxie ?
-Je répondis,Oui,mais mais cette demande est si immédiate je devrais peut-être réflechir puis je me suis aperçu que le message en direct
-Le professeur s'exclama ,C'est de la plus haute importance!!!Pardon je me suis un peu trop aller bon bref tu accepte ou pas
-Je lui répondis , j'accepte!
-Il me dit ,prochain message à 21h00 demain soir soit là sinon je te laisserai un message bon au revoir »
Le télephone fit «Tuut!,Tuut!» je rangis le télephone dans la malette . Je regardait la télé il n'y avait que des séries ou des documentaires.Je descendis et
je racontait le message du professeur Sorbier a ma mère elle me dit quel accepte seulement si je prends contact régulièrement avec elle.Je mangis , puis j'alla dans ma chambre .Je m'endormis tous fatigué de cette journée en pensant a cette mystérieuse rencontre et au message du professeur Sorbier.
C'est que le début et il ya quelque faute que je vais corriger pouriez vous donner des avis,des améliorations etc ...
Le mystérieux pokemon
Je me suis réveiller et je suis en train de faire mon petit déjeuner...J'allume la radio puis j'écoute
"Bienvenue sur radio Sinnoh !C'est l'heure des infos!
-Un nouveau telepherique vient d'etre installer sur le mont couronné nous avons rencontré le professeur sorbier pour un peu plus d'informations .Professeur sorbier??Professeur sorbier???Bon aparrement il y a eu un problème avec la liaison
Au revoir et bonne matinée avec RadioSinnoh! J'éteignit la radio puis je finis de manger et je sortis.
J'entraine tous les matins mes pokémons et cela depuis 1 an mais je sentais ce jour allait étre spécial.J'entrainais comme d'habitude mes pokémons .Après cet entrainement matinal j'allais au parc discuter avec d'autres dresseurs et même quelquefois plus rarement avec des éleveurs.Mon ami m'adressa d'un air excité :«Hey salut Lucas! Je lui répondis ,Salut!
-T'as entendu parler du nouveau télephérique du mont couronné?
-Oui tu t'rends compte un télepherique sur le mont couronné du jamais vu!
-J'ai lus un article qui dis que le nouveau telepherique pourrait influencer le comportement des pokémons notamment les pokémons légendaires»
Puis un dresseur s'entremit dans la conversation et dit: « ce qu'il dit n'est pas faux les humains dans certains cas ont changé le comportement des pokémons »
Puis le dresseur s'en alla moi je salua mon ami et je m'en allai du parc .
Je rentris a la maison il était 10h00 .Je dit bonjour a ma mère et je montis dans ma chambre lire des livres et des bd tranquillement .
Aux alentours de midi on frappa a la porte je descendis les escaliers et ma mère ouvrit la porte.Un homme inconnu engagea la conversation en disant :
« J'ai quelque chose a confier a votre fils » Puis l'inconnu confia une mystérieuse malette a ma mère. Après l'inconnu s'en alla ma mère toute surprise me confia la malette et retournit faire les taches ménagères habituelles .Moi je remontait tous excité de cette étrange et mystérieuse rencontre.Je m'enfermis dans la chambre et fermait les volets.J'allumis ma lampe de bureau et j'ouvris la malette dedans il y avait un petit telephone du genre talkie-wolkie .
A peine j'eu touché le telephone un message défila la voix me semblait celle du professeur Sorbier « Lucas,accepte tu d'enquéter pour moi au sujet du telepherique et de la team galaxie ?
-Je répondis,Oui,mais mais cette demande est si immédiate je devrais peut-être réflechir puis je me suis aperçu que le message en direct
-Le professeur s'exclama ,C'est de la plus haute importance!!!Pardon je me suis un peu trop aller bon bref tu accepte ou pas
-Je lui répondis , j'accepte!
-Il me dit ,prochain message à 21h00 demain soir soit là sinon je te laisserai un message bon au revoir »
Le télephone fit «Tuut!,Tuut!» je rangis le télephone dans la malette . Je regardait la télé il n'y avait que des séries ou des documentaires.Je descendis et
je racontait le message du professeur Sorbier a ma mère elle me dit quel accepte seulement si je prends contact régulièrement avec elle.Je mangis , puis j'alla dans ma chambre .Je m'endormis tous fatigué de cette journée en pensant a cette mystérieuse rencontre et au message du professeur Sorbier.
C'est que le début et il ya quelque faute que je vais corriger pouriez vous donner des avis,des améliorations etc ...
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Re: Début de ma fanfic le mystérieux pokémon
Ben, déjà, y'a des fautes horribles, surtout dans la conjuguaison du passé simple U_u Fais aussi attention aux répétitions, en trois lignes t'as mis trois fois le mot téléphérique alors que ça aurait pu être allégé par un simple "ça". Autre chose, il y a toujours un espace après un point. Et évite les "Professeur Sorbier???", ça alourdit le texte. Un seul "?", ou "?!" au pire, mais après ça devient lourd
Après, c'est assez court, tu devrais travailler les descriptions et faire gaffe à pas raconter de truc inutile (commencer ton chapitre par "je me suis réveillé et je suis en train de faire mon petit-déjeuner", par exemple, c'est pas top). Aère un peu ton texte, aussi
Moi, il faudrait que je sache la suite pour accrocher (en tant que lecteur). Parce que tout ce qu'on a en gros, c'est le Prof.Sorbier qui demande à Lucas d'enquêter, on sait même pas d'où ils se connaissent les deux. Il manque un petit plus, le genre de détail accrocheur qui donne envie au lecteur de lire la suite
Après, c'est assez court, tu devrais travailler les descriptions et faire gaffe à pas raconter de truc inutile (commencer ton chapitre par "je me suis réveillé et je suis en train de faire mon petit-déjeuner", par exemple, c'est pas top). Aère un peu ton texte, aussi
Moi, il faudrait que je sache la suite pour accrocher (en tant que lecteur). Parce que tout ce qu'on a en gros, c'est le Prof.Sorbier qui demande à Lucas d'enquêter, on sait même pas d'où ils se connaissent les deux. Il manque un petit plus, le genre de détail accrocheur qui donne envie au lecteur de lire la suite
Re: Essais aux fanfics
Une fiction que je pensais commencer ... Puisque j'en ai fini une autre.
Elle serait normalement plutôt courte (15-20 chapitres) et si elle marche, peut-être que j'en ferai des suites.
Je me lance dans le genre policier bien que je ne sais guère réellement comment faire. Peut-être que je me planterai en ne prenant comme héros qu'un simple policier sans rentrer dans le genre ... mais bon ... Voilà le début, j'espère que ça plaira ... Ainsi que la petite touche d'humour. (les noms sont réels)
-----
Chapitre 1 : Avec un ou deux sucres
*Bibibibip ! Bibibibip !* Hum … Il est quelle heure encore ? Ah … Six heures. C’est vrai. Mettant une main devant ma bouche, je me dirige hors de mon lit, éteignant ce foutu réveil qui continue de sonner à la même heure. Assez … Ce n’est pas de ça dont j’ai besoin mais d’une bonne douche. Me dirigeant vers ma modeste salle de bains qui fait aussi toilette, signe que je ne vis pas dans le grand luxe, je laisse l’eau froide s’écouler sur mon corps pendant une dizaine de minutes.
« Ah … Ca fait du bien ! » m’écris-je avant de passer maintenant à l’eau chaude. Les yeux verts grand ouverts maintenant que je suis parfaitement réveillé, je fini de me laver puis de raser les quelques poils apparus pendant la nuit sur mon visage. Ensuite, un peu de déodorant, de parfum, je m’habille correctement et me voilà prêt pour une nouvelle journée. Du moins, après pris un petit-déjeuner. Un verre d’eau et c’est parti. Je ne suis pas du genre à manger le matin de toute façon.
N’ayant pas de voiture bien que j’ai le permis, je me rendis à pied en direction du commissariat. Ca ne me dérange pas. Pourquoi ? Tout simplement car ça me permet d’avoir de très bonnes jambes. Un aspect de mon physique plutôt utile dans le métier que j’accomplis tous les jours, hahaha. D’ailleurs, je viens d’arriver à l’endroit où j’officie. La petite marche, le réveil, toutes ces choses font qu’il est maintenant sept heures du matin. Je pénètre à l’intérieur de l’imposant bâtiment, une voix féminine me disant :
« Bonjour Ric. Toujours aussi matinal visiblement. Tu veux un croissant ? Ils sont chauds. Je sais bien que tu n’aimes pas manger le matin à part ces viennoiseries. »
« Ah … Merci Jenny. J’en veux bien un. Ils ne sont pas encore présents ? Dommage. » dit-je en ironisant un peu bien que je souriais. Jennifer, plus communément appelée Jenny dans le service, est celle qui ouvrait le bâtiment chaque matin. Elle a une quarantaine d’années, était secrétaire et surtout très agréable avec quiconque. Au moins, ça donnait toujours une bonne impression lorsque l’on pénétrait dans le bâtiment.
« Oh … T’en fais pas, ils ne vont pas tarder. Tu veux déjà les attendre à côté de la machine à café ? » me demanda-t-elle en souriant de ses dents un peu jaunies.
« Jenny … S’il vous plaît … Pas vous quand même ? »
« Hahahaha. Ne t’inquiète pas, je m’amuse à tes dépends mais c’est toujours de façon très gentille. Mais quand même … Reconnais qu’avec un tel nom de famille … »
« Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ? Ce n’est pas le nom de famille le problème mais le prénom. Je crois que mon père ne devait pas être très … « net » le jour où il m’a attribué celui-ci. » annonce-je en souriant à cette femme si gentille. Rapidement, elle fit un peu gênée, passant un doigt pour nouer ses cheveux bruns plutôt courts autour de celui-ci.
« Désolée … Je n’aurai pas dû lancer un tel sujet de con … »
« Ah mais ça ne fait rien. Je ne regretterai jamais mon nom de famille comme mon prénom. Et puis, dans le fond, c’est plutôt drôle n’est-ce pas ? Enfin, il vaut mieux le prendre avec humour que s’énerver inutilement. Je vais déjà dans la salle d’attente. »
Je ne veux pas l’embarrasser encore plus. Ces personnes autour de moi, elles étaient toutes sympathiques, bien trop sympathiques. Il faut dire que j’étais « son » fils. Et qu’en tant que tel, lorsque j’avais décidé de les rejoindre, ils avaient été émus, très émus même. Enfin bon … Ce n’était pas si important que ça. Et puis, de toute façon, j’aime cette façon qu’ils ont de m’appeler de la sorte. D’ailleurs, même quand ils n’étaient pas là, je pouvais entendre …
« Hey ! Ric Auré ! Tu me fais un café ? Deux sucres s’te plaît ! »
Je me retourne pour voir un homme aussi âgé que moi. Les cheveux noirs en bataille, signe d’une négligence capillaire au réveil du matin, il me regarde de ses yeux bruns rieurs tout en s’approchant de moi. Je lui répondis en soupirant, amusé :
« D’accord, d’accord. N’en profite pas trop. Visiblement, tu n’as pas eu le temps de te coiffer aujourd’hui. Encore une fois hein ? »
« Papa était déjà parti vers une petite tournée avant tout le monde et moi … Le réveil n’a pas sonné. Ah merci ! » s’écrit-il alors que je lui tend la tasse de café. Il commence à la boire devant moi, poussant un soupir de soulagement avant de se mettre à chantonner : « Mon soleil vient de se lever grâce à mon ami Ric Auré. »
« Alphonse … Arrête de te moquer de Ric. » annonça une nouvelle voix que je reconnu plus que facilement puisqu’il s’agissait de Loïc … Loïc Stein, père d’Alphonse mais aussi … le meilleur ami du mien. La cinquantaine à peine entamée, il avait quelques cheveux gris qui commençaient à paraître sur les côtés de son crâne, le centre étant dégarni de toute chevelure. Il avait une fine moustache dont on pouvait voir qu’il la travaillait chaque matin.
« Bonjour, monsieur Stein. Vous voulez aussi un café ? » demande-je en le regardant.
« Bien entendu. Un sucre pour moi. Laisse-moi deviner, tu étais le premier arrivé après Jenny, n’est-ce pas ? Je me disais bien. » répond l’homme d’âge mûr après que j’ai hoché la tête pour acquiescer à sa question.
« Papa, tu n’as toujours pas de travail pour nous ? Allez ! »
« Hum … Non … Pas aujourd’hui, Alphonse. Tu vas devoir encore faire une patrouille avec Ric. Je suis désolé pour toi. Je te promets qu’un jour, s’il y a une affaire, tu seras le premier au courant. Qu’est-ce que tu en penses ? »
« Mouais … Je suis pas vraiment convaincu, Papa. Bon ! Ric ! Dès que tu as fini de servir tout le monde, on part tout de suite ! Les voyous et les bandits n’attendent pas le milieu de la journée pour agir ! » s’écrit Alphonse.
« Tout le monde … Tu ne crois quand même pas que je vais attendre qu’ils arrivent ? La cafetière est prête, les gobelets aussi. Ils savent se débrouiller que je sache. » réponds-je alors qu’Alphonse haussait les épaules. « Monsieur Stein, nous y allons. »
« Faites donc attention à vous … et prévenez-nous s’il y a un problème. »
« D’accord, papa ! Bon, tu te dépêches ou quoi ? »
Je ne réponds pas à Alphonse, ne faisant que l’accompagner alors que nous sortions du commissariat. Ah oui, peut-être que j’en avais pas parlé mais je ne fais pas un métier ordinaire, loin de là. Me plaçant du côté conducteur, je fis tourner la clé pour démarrer la voiture aux couleurs bleue et blanche. Rapidement, le véhicule sortit du parking où de nombreuses autres voitures se trouvaient.
« Ah … Vraiment, Alphonse, des fois, je me demande ce que mon père a en tête. On est quand même là depuis cinq ans ! Cinq ! Enfin, dans ton cas ! Moi, ça ne fait que quatre ans. »
« Tu ne voudrais pas non plus que nous assistions à une attaque terroriste ? »
« Tu ne trouverais pas ça excitant ? Ça serait toujours mieux que de tourner en rond dans la ville en attendant qu’un Miaouss chapardeur qui aurait volé le sac d’une grand-mère. »
« Je ne sais pas trop … De toute façon, je crois que … »
Je suis forcé de m’arrêter avant qu’une petite lumière rouge ne sorte de l’une de mes poches. Un petit aboiement sonore se fait entendre alors que sur les sièges arrière, un chien à la fourrure couleur crème, brune et bleue s’y trouve, sa queue frétillant avec joie. Rérox, l’autre « meilleur ami » de mon père. Son plus fidèle pokémon, le seul encore en vie d’ailleurs. Il suffit que je relève un peu sa fourrure bleue au niveau des hanches pour y voir plusieurs cicatrices, signe du nombre de balles que s’était pris Rérox sans pourtant mourir. Autant dire qu’en tant que dernière chose qui incarnait mon père, mon Ponchien a toute mon attention. La vie d’un jeune policier est souvent, au contraire de l’imagination fertile des citoyens, de tout repos. Du moins, la grande majorité du temps.
Deux heures passent sans que qu’un quelconque évènement ne vienne entraver la patrouille du matin. On n’a même eut le temps d’aller à la boulangerie, saluant la boulangère qu’Alphonse drague ouvertement. Un véritable tombeur ! Mais bon, j’ai déjà mangé alors ça ne me concerne pas. Je reste dans la voiture, caressant Rérox alors que j’attends qu’Alphonse revienne quelques minutes plus tard. Lorsque ce fut le cas, je redémarre la voiture alors qu’il me tendt un pain au chocolat.
« Désolé mais je n’ai pas vraiment faim. J’ai déjà eu mon quota avant que vous arriviez. »
« Oh oui, j’oubliais. Tu es dans les petits papiers de Jenny. » murmure-t-il avant d’engloutir à moitié l’un des pains au chocolat.
« MIAOUSSSSS ! » s’écrit une voix derrière nous alors que le sachet se retrouve lesté d’un autre pain au chocolat. Cela n’avait été qu’une petite lumière rouge, un bref instant, mais un chat au pelage couleur crème et à la pièce dorée ovale plantée dans son front était apparu sur le siège arrière. Entre ses pattes se trouvait un pain au chocolat qu’il dévore goulument. Néanmoins, il en donne une partie à Rérox qui le remercie d’un petit aboiement.
« HEY ! Minouss ! Je t’ai déjà dit quelque chose à ce sujet ! Arrête de me piquer ma nourriture ! C’est bien compris ! »
Elle serait normalement plutôt courte (15-20 chapitres) et si elle marche, peut-être que j'en ferai des suites.
Je me lance dans le genre policier bien que je ne sais guère réellement comment faire. Peut-être que je me planterai en ne prenant comme héros qu'un simple policier sans rentrer dans le genre ... mais bon ... Voilà le début, j'espère que ça plaira ... Ainsi que la petite touche d'humour. (les noms sont réels)
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Chapitre 1 : Avec un ou deux sucres
*Bibibibip ! Bibibibip !* Hum … Il est quelle heure encore ? Ah … Six heures. C’est vrai. Mettant une main devant ma bouche, je me dirige hors de mon lit, éteignant ce foutu réveil qui continue de sonner à la même heure. Assez … Ce n’est pas de ça dont j’ai besoin mais d’une bonne douche. Me dirigeant vers ma modeste salle de bains qui fait aussi toilette, signe que je ne vis pas dans le grand luxe, je laisse l’eau froide s’écouler sur mon corps pendant une dizaine de minutes.
« Ah … Ca fait du bien ! » m’écris-je avant de passer maintenant à l’eau chaude. Les yeux verts grand ouverts maintenant que je suis parfaitement réveillé, je fini de me laver puis de raser les quelques poils apparus pendant la nuit sur mon visage. Ensuite, un peu de déodorant, de parfum, je m’habille correctement et me voilà prêt pour une nouvelle journée. Du moins, après pris un petit-déjeuner. Un verre d’eau et c’est parti. Je ne suis pas du genre à manger le matin de toute façon.
N’ayant pas de voiture bien que j’ai le permis, je me rendis à pied en direction du commissariat. Ca ne me dérange pas. Pourquoi ? Tout simplement car ça me permet d’avoir de très bonnes jambes. Un aspect de mon physique plutôt utile dans le métier que j’accomplis tous les jours, hahaha. D’ailleurs, je viens d’arriver à l’endroit où j’officie. La petite marche, le réveil, toutes ces choses font qu’il est maintenant sept heures du matin. Je pénètre à l’intérieur de l’imposant bâtiment, une voix féminine me disant :
« Bonjour Ric. Toujours aussi matinal visiblement. Tu veux un croissant ? Ils sont chauds. Je sais bien que tu n’aimes pas manger le matin à part ces viennoiseries. »
« Ah … Merci Jenny. J’en veux bien un. Ils ne sont pas encore présents ? Dommage. » dit-je en ironisant un peu bien que je souriais. Jennifer, plus communément appelée Jenny dans le service, est celle qui ouvrait le bâtiment chaque matin. Elle a une quarantaine d’années, était secrétaire et surtout très agréable avec quiconque. Au moins, ça donnait toujours une bonne impression lorsque l’on pénétrait dans le bâtiment.
« Oh … T’en fais pas, ils ne vont pas tarder. Tu veux déjà les attendre à côté de la machine à café ? » me demanda-t-elle en souriant de ses dents un peu jaunies.
« Jenny … S’il vous plaît … Pas vous quand même ? »
« Hahahaha. Ne t’inquiète pas, je m’amuse à tes dépends mais c’est toujours de façon très gentille. Mais quand même … Reconnais qu’avec un tel nom de famille … »
« Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ? Ce n’est pas le nom de famille le problème mais le prénom. Je crois que mon père ne devait pas être très … « net » le jour où il m’a attribué celui-ci. » annonce-je en souriant à cette femme si gentille. Rapidement, elle fit un peu gênée, passant un doigt pour nouer ses cheveux bruns plutôt courts autour de celui-ci.
« Désolée … Je n’aurai pas dû lancer un tel sujet de con … »
« Ah mais ça ne fait rien. Je ne regretterai jamais mon nom de famille comme mon prénom. Et puis, dans le fond, c’est plutôt drôle n’est-ce pas ? Enfin, il vaut mieux le prendre avec humour que s’énerver inutilement. Je vais déjà dans la salle d’attente. »
Je ne veux pas l’embarrasser encore plus. Ces personnes autour de moi, elles étaient toutes sympathiques, bien trop sympathiques. Il faut dire que j’étais « son » fils. Et qu’en tant que tel, lorsque j’avais décidé de les rejoindre, ils avaient été émus, très émus même. Enfin bon … Ce n’était pas si important que ça. Et puis, de toute façon, j’aime cette façon qu’ils ont de m’appeler de la sorte. D’ailleurs, même quand ils n’étaient pas là, je pouvais entendre …
« Hey ! Ric Auré ! Tu me fais un café ? Deux sucres s’te plaît ! »
Je me retourne pour voir un homme aussi âgé que moi. Les cheveux noirs en bataille, signe d’une négligence capillaire au réveil du matin, il me regarde de ses yeux bruns rieurs tout en s’approchant de moi. Je lui répondis en soupirant, amusé :
« D’accord, d’accord. N’en profite pas trop. Visiblement, tu n’as pas eu le temps de te coiffer aujourd’hui. Encore une fois hein ? »
« Papa était déjà parti vers une petite tournée avant tout le monde et moi … Le réveil n’a pas sonné. Ah merci ! » s’écrit-il alors que je lui tend la tasse de café. Il commence à la boire devant moi, poussant un soupir de soulagement avant de se mettre à chantonner : « Mon soleil vient de se lever grâce à mon ami Ric Auré. »
« Alphonse … Arrête de te moquer de Ric. » annonça une nouvelle voix que je reconnu plus que facilement puisqu’il s’agissait de Loïc … Loïc Stein, père d’Alphonse mais aussi … le meilleur ami du mien. La cinquantaine à peine entamée, il avait quelques cheveux gris qui commençaient à paraître sur les côtés de son crâne, le centre étant dégarni de toute chevelure. Il avait une fine moustache dont on pouvait voir qu’il la travaillait chaque matin.
« Bonjour, monsieur Stein. Vous voulez aussi un café ? » demande-je en le regardant.
« Bien entendu. Un sucre pour moi. Laisse-moi deviner, tu étais le premier arrivé après Jenny, n’est-ce pas ? Je me disais bien. » répond l’homme d’âge mûr après que j’ai hoché la tête pour acquiescer à sa question.
« Papa, tu n’as toujours pas de travail pour nous ? Allez ! »
« Hum … Non … Pas aujourd’hui, Alphonse. Tu vas devoir encore faire une patrouille avec Ric. Je suis désolé pour toi. Je te promets qu’un jour, s’il y a une affaire, tu seras le premier au courant. Qu’est-ce que tu en penses ? »
« Mouais … Je suis pas vraiment convaincu, Papa. Bon ! Ric ! Dès que tu as fini de servir tout le monde, on part tout de suite ! Les voyous et les bandits n’attendent pas le milieu de la journée pour agir ! » s’écrit Alphonse.
« Tout le monde … Tu ne crois quand même pas que je vais attendre qu’ils arrivent ? La cafetière est prête, les gobelets aussi. Ils savent se débrouiller que je sache. » réponds-je alors qu’Alphonse haussait les épaules. « Monsieur Stein, nous y allons. »
« Faites donc attention à vous … et prévenez-nous s’il y a un problème. »
« D’accord, papa ! Bon, tu te dépêches ou quoi ? »
Je ne réponds pas à Alphonse, ne faisant que l’accompagner alors que nous sortions du commissariat. Ah oui, peut-être que j’en avais pas parlé mais je ne fais pas un métier ordinaire, loin de là. Me plaçant du côté conducteur, je fis tourner la clé pour démarrer la voiture aux couleurs bleue et blanche. Rapidement, le véhicule sortit du parking où de nombreuses autres voitures se trouvaient.
« Ah … Vraiment, Alphonse, des fois, je me demande ce que mon père a en tête. On est quand même là depuis cinq ans ! Cinq ! Enfin, dans ton cas ! Moi, ça ne fait que quatre ans. »
« Tu ne voudrais pas non plus que nous assistions à une attaque terroriste ? »
« Tu ne trouverais pas ça excitant ? Ça serait toujours mieux que de tourner en rond dans la ville en attendant qu’un Miaouss chapardeur qui aurait volé le sac d’une grand-mère. »
« Je ne sais pas trop … De toute façon, je crois que … »
Je suis forcé de m’arrêter avant qu’une petite lumière rouge ne sorte de l’une de mes poches. Un petit aboiement sonore se fait entendre alors que sur les sièges arrière, un chien à la fourrure couleur crème, brune et bleue s’y trouve, sa queue frétillant avec joie. Rérox, l’autre « meilleur ami » de mon père. Son plus fidèle pokémon, le seul encore en vie d’ailleurs. Il suffit que je relève un peu sa fourrure bleue au niveau des hanches pour y voir plusieurs cicatrices, signe du nombre de balles que s’était pris Rérox sans pourtant mourir. Autant dire qu’en tant que dernière chose qui incarnait mon père, mon Ponchien a toute mon attention. La vie d’un jeune policier est souvent, au contraire de l’imagination fertile des citoyens, de tout repos. Du moins, la grande majorité du temps.
Deux heures passent sans que qu’un quelconque évènement ne vienne entraver la patrouille du matin. On n’a même eut le temps d’aller à la boulangerie, saluant la boulangère qu’Alphonse drague ouvertement. Un véritable tombeur ! Mais bon, j’ai déjà mangé alors ça ne me concerne pas. Je reste dans la voiture, caressant Rérox alors que j’attends qu’Alphonse revienne quelques minutes plus tard. Lorsque ce fut le cas, je redémarre la voiture alors qu’il me tendt un pain au chocolat.
« Désolé mais je n’ai pas vraiment faim. J’ai déjà eu mon quota avant que vous arriviez. »
« Oh oui, j’oubliais. Tu es dans les petits papiers de Jenny. » murmure-t-il avant d’engloutir à moitié l’un des pains au chocolat.
« MIAOUSSSSS ! » s’écrit une voix derrière nous alors que le sachet se retrouve lesté d’un autre pain au chocolat. Cela n’avait été qu’une petite lumière rouge, un bref instant, mais un chat au pelage couleur crème et à la pièce dorée ovale plantée dans son front était apparu sur le siège arrière. Entre ses pattes se trouvait un pain au chocolat qu’il dévore goulument. Néanmoins, il en donne une partie à Rérox qui le remercie d’un petit aboiement.
« HEY ! Minouss ! Je t’ai déjà dit quelque chose à ce sujet ! Arrête de me piquer ma nourriture ! C’est bien compris ! »
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Re: Essais aux fanfics
J'aime bien le sujet, ça change du fantasy (et j'ai aussi une petite préférence perso pour le polar ).
C'est bien écrit, bien construit, avec la découverte des personnages au fur et à mesure que le récit avance (c'est la construction que je préfère )
Petite remarque "linguistique" : tu mélanges passé et présent (tu démarres au présent, puis un passé simple se glisse dans le récit, puis de nouveau le présent et soudain tout le reste au passé...)
C'est bien écrit, bien construit, avec la découverte des personnages au fur et à mesure que le récit avance (c'est la construction que je préfère )
Petite remarque "linguistique" : tu mélanges passé et présent (tu démarres au présent, puis un passé simple se glisse dans le récit, puis de nouveau le présent et soudain tout le reste au passé...)
Re: Essais aux fanfics
J'avoue que je ne sais pas trop quel temps je dois employer.
Ca m'embête et me perturbe un peu.
Ensuite, faut que j'arrive à comprendre comment fonctionne le polar ...
Ca m'embête et me perturbe un peu.
Ensuite, faut que j'arrive à comprendre comment fonctionne le polar ...
- dragibus
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Re: Essais aux fanfics
Moi j'ai une préférence pour le présent de narration, en particulier dans le polar, car ça donne plus de relief, de réalité aux actions. Mais c'est plus délicat à gérer, dans les retours en arrière par exemple...
A toi de voir
Sinon, il me semble qu'il existe des trames de polar toutes faites sur le net, tu devrais chercher de ce côté-là.
A toi de voir
Sinon, il me semble qu'il existe des trames de polar toutes faites sur le net, tu devrais chercher de ce côté-là.
Re: Essais aux fanfics
J'ai essayé de changer avec du présent.
A voir ce que ça donne, dragibus ? '
A voir ce que ça donne, dragibus ? '
- Hotaru-San
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Re: Essais aux fanfics
Bonjour à tous,
je suis toute nouvelle dans l'univers de la fanfiction. Après avoir lu et essayé d'assimiler les conseils du site Pokébip, j'ai décidé de commencer à rédiger ma toute première fic. Seulement voilà, je ne sais pas si l'idée est intéressante, et encore moins si ma façon de rédiger est correcte. J'aimerais donc qu'on me donne un avis sur le prologue de ma fic et aussi si possible corriger quelques éventuelles fautes d'orthographes... Ouïe non non non ne me tapez pas >.<
Donc voici déjà le résumé, la description de ma fic :
Trois mois après la mystérieuse chute d'une météorite en plein milieu du Sahara, des phénomènes inexpliqués apparaissent sur Terre comme l'apparition de créatures étranges dotées de pouvoirs extraordinaires. C'est à la suite d'une rencontre avec l'une de ces créatures qu'Anaïs, une jeune lycéenne tout à fait ordinaire, va décider de découvrir qui sont-ils exactement, d'où viennent-ils, quelle est l'étendue de leurs pouvoirs, pourquoi et comment sont-ils arrivés sur Terre et comment les aider à retourner chez eux.
Et voici le prologue :
Je n'ai pas encore trouvé de titre pour ma fic... Si jamais vous trouvez des idées, je suis preneuse.
je suis toute nouvelle dans l'univers de la fanfiction. Après avoir lu et essayé d'assimiler les conseils du site Pokébip, j'ai décidé de commencer à rédiger ma toute première fic. Seulement voilà, je ne sais pas si l'idée est intéressante, et encore moins si ma façon de rédiger est correcte. J'aimerais donc qu'on me donne un avis sur le prologue de ma fic et aussi si possible corriger quelques éventuelles fautes d'orthographes... Ouïe non non non ne me tapez pas >.<
Donc voici déjà le résumé, la description de ma fic :
Trois mois après la mystérieuse chute d'une météorite en plein milieu du Sahara, des phénomènes inexpliqués apparaissent sur Terre comme l'apparition de créatures étranges dotées de pouvoirs extraordinaires. C'est à la suite d'une rencontre avec l'une de ces créatures qu'Anaïs, une jeune lycéenne tout à fait ordinaire, va décider de découvrir qui sont-ils exactement, d'où viennent-ils, quelle est l'étendue de leurs pouvoirs, pourquoi et comment sont-ils arrivés sur Terre et comment les aider à retourner chez eux.
Et voici le prologue :
Spoiler :
Modifié en dernier par Hotaru-San le lun. 21 févr. 2011, 10:13, modifié 2 fois.
- Vivinana
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Re: Essais aux fanfics
Ah bon %D tu es prenante ? J'ai peur de ne pas bien comprendre x) (PS : preneuse*)Hotaru-San a écrit :Si jamais vous trouvez des idées, je suis prenante.
Sinon pour la fic, je vois pas ce que tu pourrais mettre comme titre car on ne sait pas de quoi parle la suite %D !
Mais en tout cas, ça a l'air sympathique !
Tyriak a écrit :Ouais, mais c'est mon charme naturel qui me permet de rester potable même avec une tronche de mousse au chocolat oubliée au soleil.
- Hotaru-San
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Re: Essais aux fanfics
J'étais fatiguée x'D Excusez moi
Pour le titre j'y réfléchirai plus tard. Après avoir fait le premier chapitre par exemple. Mais en gros, ça va parler de mystérieuses créatures (les Pokémon) qui arrivent dans un monde qui ne connaissent pas (le nôtre) à cause d'une météorite (petit remix de l'histoire de la Pierre Lune, où le chercheur je-ne-sais-plus-quoi explique à nos héros que les Pokémon viennent de l'espace, dans la saison 1). Sauf que les pauvres et fragiles petits terriens ne connaissent rien à l'existence de ces créatures.
Pour le titre j'y réfléchirai plus tard. Après avoir fait le premier chapitre par exemple. Mais en gros, ça va parler de mystérieuses créatures (les Pokémon) qui arrivent dans un monde qui ne connaissent pas (le nôtre) à cause d'une météorite (petit remix de l'histoire de la Pierre Lune, où le chercheur je-ne-sais-plus-quoi explique à nos héros que les Pokémon viennent de l'espace, dans la saison 1). Sauf que les pauvres et fragiles petits terriens ne connaissent rien à l'existence de ces créatures.
MerciVivinana a écrit :Mais en tout cas, ça a l'air sympathique !
- Angela-0206
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Re: Essais aux fanfics
Hotaru-San, ta fic a l'air géniale ! J'ai hâte de la lire !
Re: Essais aux fanfics
Bonjour à tous...Voici...Un truc. Un truc qui n'a pas de fin, ni de mileu construit, juste une suite de mots sans suite. Quelqu'un accepterait-il de me donner des idées pour terminer correctememnt cette fanfic ?
Spoiler :
Modifié en dernier par Arcegis le mar. 22 févr. 2011, 21:51, modifié 1 fois.
Re: Essais aux fanfics
Hotaru-San D'abord, bienvenue sur 'Bip!
Ensuite, ton prologue m'a l'air intéressant. L'idée me rappelle légèrement une autre fic, mais ça reste original, bien écrit (j'ai dû relever deux ou trois fautes négligeables).
Juste, peut-être, faire un peu plus long et essayer d'accrocher un peu plus le lecteur; lui donner un peu plus envie de lire la suite.
Arcegis J'ai un peu lu en diagonale, aère un peu le texte. Sinon, c'est pas mal du tout, ça m'a l'air très sombre et mature, alors trouver des idées pour la finir.. Peut-être que le héros pourrait s'évader de prison, à l'aide de la Zoroark, et "militer" plus ou moins clandestinement pour la liberté des Pokémon? On pourrait suivre sa purge en prison? Ou bien même faire de l'histoire avec la Lockpin une "obsession amoureuse"? Je ne sais pas...
Ensuite, ton prologue m'a l'air intéressant. L'idée me rappelle légèrement une autre fic, mais ça reste original, bien écrit (j'ai dû relever deux ou trois fautes négligeables).
Juste, peut-être, faire un peu plus long et essayer d'accrocher un peu plus le lecteur; lui donner un peu plus envie de lire la suite.
Arcegis J'ai un peu lu en diagonale, aère un peu le texte. Sinon, c'est pas mal du tout, ça m'a l'air très sombre et mature, alors trouver des idées pour la finir.. Peut-être que le héros pourrait s'évader de prison, à l'aide de la Zoroark, et "militer" plus ou moins clandestinement pour la liberté des Pokémon? On pourrait suivre sa purge en prison? Ou bien même faire de l'histoire avec la Lockpin une "obsession amoureuse"? Je ne sais pas...
- Hotaru-San
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Re: Essais aux fanfics
Merci beaucoupAngela-0206 a écrit :Hotaru-San, ta fic a l'air géniale ! J'ai hâte de la lire !
Merci !Drayker a écrit :Hotaru-San D'abord, bienvenue sur 'Bip!
Ensuite, ton prologue m'a l'air intéressant. L'idée me rappelle légèrement une autre fic, mais ça reste original, bien écrit (j'ai dû relever deux ou trois fautes négligeables).
Juste, peut-être, faire un peu plus long et essayer d'accrocher un peu plus le lecteur; lui donner un peu plus envie de lire la suite.
Oui, j'ai eu peur que l'idée ai déjà été proposée. En me relisant tranquillement et à tête reposée, j'ai remarqué et corrigé quelques fautes. Je vais essayer de m'améliorer pour la longueur du texte, trouver des idées à ajouter, etc. ...
Merci beaucoup en tous cas
Arcegis, ton "truc", comme tu dis (^^), m'a bien plu ! Certes pas très joyeux mais j'aime bien
Re: Essais aux fanfics
Un petit O-S que je suis en train de préparer.
Ca sera basé sur Fragilady.
-----
En des temps médiévaux, là où la noblesse et le clergé avaient tous les pouvoirs, joints à ceux de la royauté, il était difficile pour les personnes de basse classe et les grandes cités de vivre correctement. C’était son cas … Du moins, il ne se plaignait pas vraiment non plus. Des cheveux bruns crasseux, des guenilles déchirées de même couleur, il avait deux petits yeux verts assez malicieux tandis qu’il ne devait avoir que sept ou huit ans.
Oh … Un orphelin comme les autres. Quand on devenait trop encombrant pour une famille soit trop nombreuse, soit qui n’avait pas les moyens de nourrir une bouche de plus, et bien, on était tout simplement jeté et abandonné dans une ruelle. C’était ainsi que ça se passait et il savait parfaitement qu’il n’était pas le seul dans ce cas précis. Loin de là même … D’ailleurs, il en était de même pour bon nombre de pokémons. Sauf que …
« Revient par ici, Chacripan ! C’est mon morceau de pain ! »
Voilà. Les pokémons n’étaient pas des alliés pour les gens de la rue, ils étaient de redoutables adversaires, prêts à se battre bec et ongle pour de la nourriture. Le jeune garçon s’était mis à courir derrière le chat au pelage violet. Celui-ci se retourna, ses deux petits yeux le regardant avec tendresse et affection. Pourtant, le jeune garçon murmura :
« Même pas en rêve … Ce ne marchera pas avec moi ! Espèce de voleur ! »
« Roh ! Mais arrête ça, Salomon ! Tu vois bien qu’il fait ça que pour se nourrir ! »
« Ouais et pendant ce temps, c’est moi qui meure de faim ! » cria l’enfant en se retournant vers un homme aussi sale que lui mais qui devait avoir une cinquantaine d’années.
AH ! NON ! Il reposa son regard vers le Chacripan mais celui-ci était déjà en train de gambader et de s’enfuir une nouvelle fois. ET ZUT ! Il allait encore le perdre de vue ! Mais cette fois, il ne se ferait pas avoir ! Il recommença à courir à toute allure derrière le Chacripan, voulant absolument éviter de le perdre de vue. Où est-ce qu’il l’emmenait ? Oh non ! Pas dans la montagne d’ordures ! Il n’avait que ça à faire ou quoi ? Cet endroit … Dans cette magnifique ville … C’était là où étaient déposées toutes les ordures de tout le monde.
« FOUTU CHACRIPAN ! Ne crois pas que j’abandonne ! » hurla Salomon.
Il en était même hors de question ! Sans être effrayé par les montagnes d’ordure qui s’étalaient sur plusieurs dizaines de mètres, le jeune garçon aux cheveux bruns commença son escalade. Des chandeliers, des sacs poubelles, des objets contendants et coupants, il y avait de tout et n’importe quoi ici.
« Chachacha ! Chacripan ! CHACHA ! » s’écria le chat au pelage violet au sommet d’un mont constitués de déchets. IL SE FOUTAIT DE SA GUEULE ? Il allait le crever ! Il grimpa à toute vitesse vers le sommet, sautant en direction du Chacripan qui fit un bond sur le côté. Oh … me … Le jeune garçon commença à dévaler le mont à toute allure, poussant un cri en pensant que sa dernière heure était arrivée. Puis ensuite … Plus rien du tout. Il était encore conscient mais sûrement recouvert d’entailles. Enfin, il n’avait rien de cassé … et le gémissement qu’il entendit n’était pas du tout le sien.
« Chlo … Chlo … Chloro … »
Hein ? Quoi ? Comment ça ? Il posa son regard à côté de lui, remarquant la petite créature qui s’y trouvait. Un bulbe de couleur vert ? Mais vivant ? Avec trois petites feuilles qui semblaient se faner sur le sommet du crâne. Une Chlorobule ? Qu’est-ce qu’elle faisait ici ? Dans un tel endroit ? HEY ! C’était pas normal !
« Ca n’a pas l’air d’aller … Bon, CHACRIPAN ! Où est-ce que tu es ?! »
Le jeune garçon s’était relevé, prêt à repartir pour chasser le Chacripan. Néanmoins, celui-ci éclata d’un miaulement sonore, signe qu’il se moquait de lui. Sale… SALETE ! Il allait lui faire payer tout ça ! Il allait …
« Chlo … Chloro … Ch… »
Hum ? MAIS ZUT ! BON ! Il allait s’en occuper plus tard ! Il prit la Chlorobule dans ses bras, dévalant une nouvelle fois les petits monts de déchets avant de quitter cette décharge. Il se dirigea à toute allure vers une fontaine, aspergeant doucement la pokémon avec de l’eau. La petite créature d’une cinquantaine de centimètres rouvrit ses yeux bruns, le regardant.
« Pfiou … Tu es enfin réveillée … Tu sais que tu m’as fait quand même peur ? Bon … Qu’est-ce que tu faisais là-bas hein ? Je ne crois pas qu’une Chlorobule habite généralement ce genre d’endroits non ? Bon … Dès que tu vas mieux, tu t’en vas. »
« Chloro ? Chlorobule … Chloro … » murmura la petite créature qu’il continuait d’asperger. Les feuilles sur son crâne reprirent peu à peu un bel éclat tandis qu’il disait :
« Et non … Je n’ai pas de quoi me nourrir. Alors nourrir un pokémon en plus, pas que ça à faire ! Aller … T’as l’air de pouvoir marcher correctement … ou je ne sais quoi. »
Il déposa la Chlorobule sur le sol, la saluant avant de faire quelques pas. La Chlorobule poussa un cri, le forçant à se tourner vers elle. Elle essayait de se mouvoir en sa direction mais n’y arrivait pas. Quelques passants les regardèrent, certains issus de la haute société murmurant avec dédain :
« Comment est-ce qu’un misérable comme lui peut avoir une Chlorobule et décider de l’abandonner ? Tsss … Vraiment, ces sales va-nu-pieds … ne méritent que la mort. »
QUOI ? Bon … Garder son calme … Il revint vers la Chlorobule, la soulevant et la prenant à une main avant de récupérer une pierre. Avec violence, il la projeta vers celui qui avait osé l’insulter, le frappant à la joue. Rapidement, des cris fusèrent tout autour de lui tandis qu’il s’enfuyait à toute allure à travers les ruelles. Même si la milice tentait de lui mettre la main dessus, ils pouvaient toujours courir. Ils n’y arriveraient pas !
« Ah … Ah … Ah … Vraiment ! Toi ! Tu me causes que des ennuis ! »
Il disait cela alors qu’il était assis contre un mur, une main posée sur son cœur. Il avait besoin de reprendre son souffle mais il était à l’abri. La Chlorobule le regarda de ses petits yeux bruns, poussant un petit cri avant de se loger contre son torse. Non mais … Qu’est-ce qu’elle croyait ? Qu’elle allait rester avec lui ? Dès qu’elle irait réellement mieux, il allait la remettre à quelqu’un d’autre ou l’abandonner. Il n’était pas fait … pour ça.
« Alors … Pour élever une Chlorobule, il faut lui donner de l’engrais ? Ou alors, trouver des zones où la terre a été irriguée ? Et remplie de nutriments ? Comme les champs en-dehors de la ville ? Ou alors à l’intérieur … Euh merci beaucoup. »
« Et maintenant que tu as eu tes réponses, va-t’en. Tu fais fuir mes potentiels clients. »
C’est bon ! Il avait parfaitement compris qu’il n’avait pas sa place ici. Mais bon … Il gardait la Chlorobule entre ses mains alors qu’il quittait la boutique de fleurs. Le vendeur lui avait donné quelques conseils sur comment s’occupait d’une créature aussi fragile qu’elle. Il fallait dire qu’après deux à trois mois, il n’avait pas réellement appris comment bien l’élever. En même temps, il n’avait pas réussi à s’en débarrasser malgré le fait qu’elle allait beaucoup mieux. Elle s’était attachée à lui … ce qui était particulièrement stupide.
Car bon … Il ne mangeait que très peu et elle aussi. Mais en même temps, elle ne se plaignait pas du tout, c’était même tout le contraire. Elle semblait parfaitement bien le vivre. Cela l’avait surpris … mais il n’allait rien dire. Et puis, il ne trouvait pas ça si déplaisant d’avoir une pokémon avec soi. Oh … Il n’avait pas les moyens d’obtenir de quoi l’élever correctement et bon … Voilà quoi …
Mais bon … Si ça lui plaisait de rester avec lui, autant lui … de son côté en même temps. Ce n’était pas forcément la meilleure chose. Il se sentait un peu déboussolé par tout ça. Il fallait dire qu’il pourrait peut-être essayer de gagner de l’argent en faisant combattre Lilia. Oui … Car il était vraiment plus pauvre que tout. Il n’avait jamais un sou en poche … Enfin, c’était avant de connaître Lilia. Maintenant, il essayait de trouver un petit travail pour avoir un peu d’argent et surtout nourrir convenablement Lilia.
Faire cirer des chaussures ? Faire le livreur ? Même si certaines choses pouvaient être plus dangereuses que d’autres, il ne se privait pas pour cela. Il n’avait pas vraiment le choix. Mais il était si content de voir un sourire chez Lilia que même le travail ne semblait pas si dur. Et pourtant, à chaque fin d’après-midi, les courbatures étaient là pour lui rappeler le triste destin qui l’attendait depuis plusieurs années.
Mais au moins, Lilia allait particulièrement bien. Contrairement à ce qu’il pensait de sa vie de mendicité, la petite Chlorobule ne semblait pas perdre ses pétales ou son énergie. Oh … Bien entendu, maintenant, il évitait de l’emmener dans les endroits les plus sales de la ville mais ce n’était pas pour ça qu’il trouvait les meilleurs endroits pour elle. Ah … Loin de là même. Mais tant … qu’elle se plaisait … Pourquoi est-ce qu’il se répétait ça ? Car il avait peur que ça ne soit pas le cas ? Car elle n’était peut-être pas heureuse ? Ou alors, lui-même, il ne l’était pas ? Assis contre un mur alors qu’il avait réussi à récupérer un morceau de tissu noir pour s’en faire une petite couverture, il serrait la Chlorobule contre lui, fermant les yeux.
« Bonne nuit, Lilia. Demain sera un autre jour. Ne t’en fait pas … J’économise toujours de l’argent … Ne t’en fait pas … »
« Chloro … bule. » murmura la pokémon comme pour lui dire qu’elle n’y portait aucun intérêt. Tant qu’elle restait auprès du jeune garçon qui lui avait sauvé la vie, ça lui suffisait amplement contrairement à ce qu’il croyait.
Le lendemain matin, une nouvelle journée reprit comme à son habitude. Bien entendu, il avait mal au dos, sacrément mal au dos même mais … c’était ça de dormir dehors. Il toussa un peu à cause de la poudre qui flottait au-dessus des déchets non-loin de lui. Lilia tendit sa tête, lui demandant par-là de prendre l’une des feuilles sur son crâne. Il tira très faiblement dessus, en arrachant une avec délicatesse avant de se mettre à la mâcher. Il émit un petit rictus de dégoût à cause du goût amer mais il se releva aussitôt.
« Prêt pour une nouvelle journée, Lilia ? »
« Chloro ! » s’écria la pokémon avec joie alors qu’il semblait aller beaucoup mieux. La fatigue et la douleur avaient complètement disparues tandis qu’il souriait à la pokémon. Il ne pensait pas « sa » pokémon car il savait que ce n’était pas le cas. Il avait évité que Lilia le remarque mais il s’était quand même renseigné sur les Chlorobule. Ces créatures étaient souvent liées à des personnes de la haute société. Oui … Très haute même. Ce n’était pas une pokémon faite pour lui … Il le savait parfaitement.
Mais bon … Pourquoi est-ce qu’elle s’était retrouvée ici ? Pourquoi ? Il n’avait pas d’explications à ce sujet. Et il n’était pas sûr que la petite Chlorobule veuille lui en parler. Il avait remarqué à quel point, elle évitait les personnes d’une certaine noblesse. Peut-être qu’elle avait vécu une histoire horrible avec ces derniers ? Enfin … Non … Pour l’heure, il devait surtout réfléchir à travailler correctement pour avoir une baguette mais surtout un peu de nourriture pour Lilia. Du bon engrais … Des vitamines … De quoi la nourrir convenablement car c’était le plus important.
Ce n’était pas le plus important … Ce n’était pas le plus important … Sa propre existence n’était pas la plus importante. Par contre … La petite Chlorobule .... Car elle devait retourner un jour parmi la noblesse, c’était le plus important. L’importance … Quelle importance est-ce qu’il avait hein ? Il ne savait pas écrire, il ne savait pas lire, il n’avait pas de famille, il n’avait aucune relation. Et généralement, les miliciens qui le voyaient avec la Chlorobule dans ses bras venaient l’arrêter. Il fallait souvent une dizaine de minutes pour qu’ils comprennent que Lilia ne voulait pas quitter ses bras.
Oh … Mais ce n’était pas la seule chose qui était source d’ennuis. Avoir un pokémon aussi « rare » dans ses mains, c’était se faire prendre au piège par quelques mendiants peu scrupuleux qui voulaient se faire de l’argent. Heureusement pour lui, Lilia arrivait toujours à utiliser une fine poudre qui pouvait endormir ou paralyser les autres. Et c’était ainsi que se passait la majorité de ses journées. Il était malade le matin, elle le soignait au réveil et ainsi de suite. Au moins, même si chaque jour se ressemblait, il était heureux … très heureux même.
« Lilia ? Est-ce que tu crois que je suis heureux ? »
« Chloro ? » murmura la petite créature verte, un peu intriguée par les paroles du jeune garçon aux cheveux bruns. Avec tout ce qu’il avait dedans, il valait mieux attendre que la pluie arrive … pour qu’il puisse se laver.
« Oh … Rien du tout … Est-ce que tu crois que tu es heureuse ? »
« CHLOROBULE ! Chlochlo ! » s’écria Lilia alors qu’il émettait un petit sourire Oui … Bien entendu. Elle était heureuse … ou du moins, elle croyait l’être. Il n’était pas sûr que ça soit la vérité en fin de compte. Loin de là même … Mais elle ne pouvait pas le savoir, elle n’était qu’une simple pokémon et rien d’autre.
Ca sera basé sur Fragilady.
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En des temps médiévaux, là où la noblesse et le clergé avaient tous les pouvoirs, joints à ceux de la royauté, il était difficile pour les personnes de basse classe et les grandes cités de vivre correctement. C’était son cas … Du moins, il ne se plaignait pas vraiment non plus. Des cheveux bruns crasseux, des guenilles déchirées de même couleur, il avait deux petits yeux verts assez malicieux tandis qu’il ne devait avoir que sept ou huit ans.
Oh … Un orphelin comme les autres. Quand on devenait trop encombrant pour une famille soit trop nombreuse, soit qui n’avait pas les moyens de nourrir une bouche de plus, et bien, on était tout simplement jeté et abandonné dans une ruelle. C’était ainsi que ça se passait et il savait parfaitement qu’il n’était pas le seul dans ce cas précis. Loin de là même … D’ailleurs, il en était de même pour bon nombre de pokémons. Sauf que …
« Revient par ici, Chacripan ! C’est mon morceau de pain ! »
Voilà. Les pokémons n’étaient pas des alliés pour les gens de la rue, ils étaient de redoutables adversaires, prêts à se battre bec et ongle pour de la nourriture. Le jeune garçon s’était mis à courir derrière le chat au pelage violet. Celui-ci se retourna, ses deux petits yeux le regardant avec tendresse et affection. Pourtant, le jeune garçon murmura :
« Même pas en rêve … Ce ne marchera pas avec moi ! Espèce de voleur ! »
« Roh ! Mais arrête ça, Salomon ! Tu vois bien qu’il fait ça que pour se nourrir ! »
« Ouais et pendant ce temps, c’est moi qui meure de faim ! » cria l’enfant en se retournant vers un homme aussi sale que lui mais qui devait avoir une cinquantaine d’années.
AH ! NON ! Il reposa son regard vers le Chacripan mais celui-ci était déjà en train de gambader et de s’enfuir une nouvelle fois. ET ZUT ! Il allait encore le perdre de vue ! Mais cette fois, il ne se ferait pas avoir ! Il recommença à courir à toute allure derrière le Chacripan, voulant absolument éviter de le perdre de vue. Où est-ce qu’il l’emmenait ? Oh non ! Pas dans la montagne d’ordures ! Il n’avait que ça à faire ou quoi ? Cet endroit … Dans cette magnifique ville … C’était là où étaient déposées toutes les ordures de tout le monde.
« FOUTU CHACRIPAN ! Ne crois pas que j’abandonne ! » hurla Salomon.
Il en était même hors de question ! Sans être effrayé par les montagnes d’ordure qui s’étalaient sur plusieurs dizaines de mètres, le jeune garçon aux cheveux bruns commença son escalade. Des chandeliers, des sacs poubelles, des objets contendants et coupants, il y avait de tout et n’importe quoi ici.
« Chachacha ! Chacripan ! CHACHA ! » s’écria le chat au pelage violet au sommet d’un mont constitués de déchets. IL SE FOUTAIT DE SA GUEULE ? Il allait le crever ! Il grimpa à toute vitesse vers le sommet, sautant en direction du Chacripan qui fit un bond sur le côté. Oh … me … Le jeune garçon commença à dévaler le mont à toute allure, poussant un cri en pensant que sa dernière heure était arrivée. Puis ensuite … Plus rien du tout. Il était encore conscient mais sûrement recouvert d’entailles. Enfin, il n’avait rien de cassé … et le gémissement qu’il entendit n’était pas du tout le sien.
« Chlo … Chlo … Chloro … »
Hein ? Quoi ? Comment ça ? Il posa son regard à côté de lui, remarquant la petite créature qui s’y trouvait. Un bulbe de couleur vert ? Mais vivant ? Avec trois petites feuilles qui semblaient se faner sur le sommet du crâne. Une Chlorobule ? Qu’est-ce qu’elle faisait ici ? Dans un tel endroit ? HEY ! C’était pas normal !
« Ca n’a pas l’air d’aller … Bon, CHACRIPAN ! Où est-ce que tu es ?! »
Le jeune garçon s’était relevé, prêt à repartir pour chasser le Chacripan. Néanmoins, celui-ci éclata d’un miaulement sonore, signe qu’il se moquait de lui. Sale… SALETE ! Il allait lui faire payer tout ça ! Il allait …
« Chlo … Chloro … Ch… »
Hum ? MAIS ZUT ! BON ! Il allait s’en occuper plus tard ! Il prit la Chlorobule dans ses bras, dévalant une nouvelle fois les petits monts de déchets avant de quitter cette décharge. Il se dirigea à toute allure vers une fontaine, aspergeant doucement la pokémon avec de l’eau. La petite créature d’une cinquantaine de centimètres rouvrit ses yeux bruns, le regardant.
« Pfiou … Tu es enfin réveillée … Tu sais que tu m’as fait quand même peur ? Bon … Qu’est-ce que tu faisais là-bas hein ? Je ne crois pas qu’une Chlorobule habite généralement ce genre d’endroits non ? Bon … Dès que tu vas mieux, tu t’en vas. »
« Chloro ? Chlorobule … Chloro … » murmura la petite créature qu’il continuait d’asperger. Les feuilles sur son crâne reprirent peu à peu un bel éclat tandis qu’il disait :
« Et non … Je n’ai pas de quoi me nourrir. Alors nourrir un pokémon en plus, pas que ça à faire ! Aller … T’as l’air de pouvoir marcher correctement … ou je ne sais quoi. »
Il déposa la Chlorobule sur le sol, la saluant avant de faire quelques pas. La Chlorobule poussa un cri, le forçant à se tourner vers elle. Elle essayait de se mouvoir en sa direction mais n’y arrivait pas. Quelques passants les regardèrent, certains issus de la haute société murmurant avec dédain :
« Comment est-ce qu’un misérable comme lui peut avoir une Chlorobule et décider de l’abandonner ? Tsss … Vraiment, ces sales va-nu-pieds … ne méritent que la mort. »
QUOI ? Bon … Garder son calme … Il revint vers la Chlorobule, la soulevant et la prenant à une main avant de récupérer une pierre. Avec violence, il la projeta vers celui qui avait osé l’insulter, le frappant à la joue. Rapidement, des cris fusèrent tout autour de lui tandis qu’il s’enfuyait à toute allure à travers les ruelles. Même si la milice tentait de lui mettre la main dessus, ils pouvaient toujours courir. Ils n’y arriveraient pas !
« Ah … Ah … Ah … Vraiment ! Toi ! Tu me causes que des ennuis ! »
Il disait cela alors qu’il était assis contre un mur, une main posée sur son cœur. Il avait besoin de reprendre son souffle mais il était à l’abri. La Chlorobule le regarda de ses petits yeux bruns, poussant un petit cri avant de se loger contre son torse. Non mais … Qu’est-ce qu’elle croyait ? Qu’elle allait rester avec lui ? Dès qu’elle irait réellement mieux, il allait la remettre à quelqu’un d’autre ou l’abandonner. Il n’était pas fait … pour ça.
« Alors … Pour élever une Chlorobule, il faut lui donner de l’engrais ? Ou alors, trouver des zones où la terre a été irriguée ? Et remplie de nutriments ? Comme les champs en-dehors de la ville ? Ou alors à l’intérieur … Euh merci beaucoup. »
« Et maintenant que tu as eu tes réponses, va-t’en. Tu fais fuir mes potentiels clients. »
C’est bon ! Il avait parfaitement compris qu’il n’avait pas sa place ici. Mais bon … Il gardait la Chlorobule entre ses mains alors qu’il quittait la boutique de fleurs. Le vendeur lui avait donné quelques conseils sur comment s’occupait d’une créature aussi fragile qu’elle. Il fallait dire qu’après deux à trois mois, il n’avait pas réellement appris comment bien l’élever. En même temps, il n’avait pas réussi à s’en débarrasser malgré le fait qu’elle allait beaucoup mieux. Elle s’était attachée à lui … ce qui était particulièrement stupide.
Car bon … Il ne mangeait que très peu et elle aussi. Mais en même temps, elle ne se plaignait pas du tout, c’était même tout le contraire. Elle semblait parfaitement bien le vivre. Cela l’avait surpris … mais il n’allait rien dire. Et puis, il ne trouvait pas ça si déplaisant d’avoir une pokémon avec soi. Oh … Il n’avait pas les moyens d’obtenir de quoi l’élever correctement et bon … Voilà quoi …
Mais bon … Si ça lui plaisait de rester avec lui, autant lui … de son côté en même temps. Ce n’était pas forcément la meilleure chose. Il se sentait un peu déboussolé par tout ça. Il fallait dire qu’il pourrait peut-être essayer de gagner de l’argent en faisant combattre Lilia. Oui … Car il était vraiment plus pauvre que tout. Il n’avait jamais un sou en poche … Enfin, c’était avant de connaître Lilia. Maintenant, il essayait de trouver un petit travail pour avoir un peu d’argent et surtout nourrir convenablement Lilia.
Faire cirer des chaussures ? Faire le livreur ? Même si certaines choses pouvaient être plus dangereuses que d’autres, il ne se privait pas pour cela. Il n’avait pas vraiment le choix. Mais il était si content de voir un sourire chez Lilia que même le travail ne semblait pas si dur. Et pourtant, à chaque fin d’après-midi, les courbatures étaient là pour lui rappeler le triste destin qui l’attendait depuis plusieurs années.
Mais au moins, Lilia allait particulièrement bien. Contrairement à ce qu’il pensait de sa vie de mendicité, la petite Chlorobule ne semblait pas perdre ses pétales ou son énergie. Oh … Bien entendu, maintenant, il évitait de l’emmener dans les endroits les plus sales de la ville mais ce n’était pas pour ça qu’il trouvait les meilleurs endroits pour elle. Ah … Loin de là même. Mais tant … qu’elle se plaisait … Pourquoi est-ce qu’il se répétait ça ? Car il avait peur que ça ne soit pas le cas ? Car elle n’était peut-être pas heureuse ? Ou alors, lui-même, il ne l’était pas ? Assis contre un mur alors qu’il avait réussi à récupérer un morceau de tissu noir pour s’en faire une petite couverture, il serrait la Chlorobule contre lui, fermant les yeux.
« Bonne nuit, Lilia. Demain sera un autre jour. Ne t’en fait pas … J’économise toujours de l’argent … Ne t’en fait pas … »
« Chloro … bule. » murmura la pokémon comme pour lui dire qu’elle n’y portait aucun intérêt. Tant qu’elle restait auprès du jeune garçon qui lui avait sauvé la vie, ça lui suffisait amplement contrairement à ce qu’il croyait.
Le lendemain matin, une nouvelle journée reprit comme à son habitude. Bien entendu, il avait mal au dos, sacrément mal au dos même mais … c’était ça de dormir dehors. Il toussa un peu à cause de la poudre qui flottait au-dessus des déchets non-loin de lui. Lilia tendit sa tête, lui demandant par-là de prendre l’une des feuilles sur son crâne. Il tira très faiblement dessus, en arrachant une avec délicatesse avant de se mettre à la mâcher. Il émit un petit rictus de dégoût à cause du goût amer mais il se releva aussitôt.
« Prêt pour une nouvelle journée, Lilia ? »
« Chloro ! » s’écria la pokémon avec joie alors qu’il semblait aller beaucoup mieux. La fatigue et la douleur avaient complètement disparues tandis qu’il souriait à la pokémon. Il ne pensait pas « sa » pokémon car il savait que ce n’était pas le cas. Il avait évité que Lilia le remarque mais il s’était quand même renseigné sur les Chlorobule. Ces créatures étaient souvent liées à des personnes de la haute société. Oui … Très haute même. Ce n’était pas une pokémon faite pour lui … Il le savait parfaitement.
Mais bon … Pourquoi est-ce qu’elle s’était retrouvée ici ? Pourquoi ? Il n’avait pas d’explications à ce sujet. Et il n’était pas sûr que la petite Chlorobule veuille lui en parler. Il avait remarqué à quel point, elle évitait les personnes d’une certaine noblesse. Peut-être qu’elle avait vécu une histoire horrible avec ces derniers ? Enfin … Non … Pour l’heure, il devait surtout réfléchir à travailler correctement pour avoir une baguette mais surtout un peu de nourriture pour Lilia. Du bon engrais … Des vitamines … De quoi la nourrir convenablement car c’était le plus important.
Ce n’était pas le plus important … Ce n’était pas le plus important … Sa propre existence n’était pas la plus importante. Par contre … La petite Chlorobule .... Car elle devait retourner un jour parmi la noblesse, c’était le plus important. L’importance … Quelle importance est-ce qu’il avait hein ? Il ne savait pas écrire, il ne savait pas lire, il n’avait pas de famille, il n’avait aucune relation. Et généralement, les miliciens qui le voyaient avec la Chlorobule dans ses bras venaient l’arrêter. Il fallait souvent une dizaine de minutes pour qu’ils comprennent que Lilia ne voulait pas quitter ses bras.
Oh … Mais ce n’était pas la seule chose qui était source d’ennuis. Avoir un pokémon aussi « rare » dans ses mains, c’était se faire prendre au piège par quelques mendiants peu scrupuleux qui voulaient se faire de l’argent. Heureusement pour lui, Lilia arrivait toujours à utiliser une fine poudre qui pouvait endormir ou paralyser les autres. Et c’était ainsi que se passait la majorité de ses journées. Il était malade le matin, elle le soignait au réveil et ainsi de suite. Au moins, même si chaque jour se ressemblait, il était heureux … très heureux même.
« Lilia ? Est-ce que tu crois que je suis heureux ? »
« Chloro ? » murmura la petite créature verte, un peu intriguée par les paroles du jeune garçon aux cheveux bruns. Avec tout ce qu’il avait dedans, il valait mieux attendre que la pluie arrive … pour qu’il puisse se laver.
« Oh … Rien du tout … Est-ce que tu crois que tu es heureuse ? »
« CHLOROBULE ! Chlochlo ! » s’écria Lilia alors qu’il émettait un petit sourire Oui … Bien entendu. Elle était heureuse … ou du moins, elle croyait l’être. Il n’était pas sûr que ça soit la vérité en fin de compte. Loin de là même … Mais elle ne pouvait pas le savoir, elle n’était qu’une simple pokémon et rien d’autre.
- dragibus
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Re: Essais aux fanfics
Voilà, j'ai lu
Vu que je n'arrive pas à accéder à l'espace membre à cause des "problèmes techniques", je ne sais pas si tu l'as déjà publié, donc je commente ici.
J'ai bien aimé, la meilleure preuve, c'est que j'ai envie de connaître la suite et la fin
L'univers de la misère est bien décrit et les Pokémon que tu as choisis font partie de mon top ten de la nouvelle génération.
Dans ton texte, le Chacripan est vraiment un sacripan/chenapan et la Chlorobule trop craquante
Vu que je n'arrive pas à accéder à l'espace membre à cause des "problèmes techniques", je ne sais pas si tu l'as déjà publié, donc je commente ici.
J'ai bien aimé, la meilleure preuve, c'est que j'ai envie de connaître la suite et la fin
L'univers de la misère est bien décrit et les Pokémon que tu as choisis font partie de mon top ten de la nouvelle génération.
Dans ton texte, le Chacripan est vraiment un sacripan/chenapan et la Chlorobule trop craquante
Re: Essais aux fanfics
Ah zut ... Je peux te donner la suite et fin si tu veux. XD
Mais merci beaucoup. :p
Mais merci beaucoup. :p
Re: Essais aux fanfics
Bonsoir!
J'ai juste une petite question: quel âge pour un évoli est équivalant à 11 ans en âge humain?
J'ai juste une petite question: quel âge pour un évoli est équivalant à 11 ans en âge humain?