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Les ruines de Sabaku (images à re-herberger)
de Statix
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Oeuvre antique
Cette gravure peinte a été découverte il y a quelques mois au cœur du Temple des Mythes. Elle
est datée d'environ 10 000 ans, ce qui en fait la plus ancienne forme d'art pariétale connue
dans la région. La salle où est exposée cette œuvre est restée cachée sous un éboulement depuis
que les îles de Sneim et d'Érimos sont entrées en collision. Ainsi, quelques milliers d'années
après, même les bâtisseurs du Temple des Mythes ignoraient probablement son existence.
En effet, l'ensemble des œuvres qui étaient connues jusqu'à présent étaient postérieures à la
collisions des deux îles, contrairement à celle nouvellement découverte. Là n'est pas la seule
différence : alors que les plus récentes sont uniquement de l'art figuratif représentant des
scènes de la vie quotidienne pendant le Grand Conflit, la gravure peinte est une forme d'art à
la fois fractalaire et symbolique. Cette dernière témoigne également d'une connaissance très
poussée en ce qui concerne l'univers, un savoir que n'avaient certainement pas les peuples plus
récents, puisque nous même ne l'avons découvert qu'assez récemment.
Les scientifiques voient dans cette réalisation une représentation de l'univers et de son
histoire, donc une vision en quatre dimensions. L'oeuvre rappelle effectivement fortement la
manière dont on représente l'univers de nos jours : un cône dont la pointe correspond au début
des temps et la base correspond au présent. Plus on s'éloigne de la pointe, plus on avance dans
le temps, et plus l'espace s'agrandit.
Si cette hypothèse est vraie, une question majeure se pose : comment un peuple encore primitif
d'il y a 10 000 ans a pu accéder à un tel savoir sans avoir d'autres instruments d'observation
du ciel que leurs yeux ? Et pourquoi cette connaissance s'est-elle perdue ?
Les recherches continuent pour tenter de trouver des réponses.
est datée d'environ 10 000 ans, ce qui en fait la plus ancienne forme d'art pariétale connue
dans la région. La salle où est exposée cette œuvre est restée cachée sous un éboulement depuis
que les îles de Sneim et d'Érimos sont entrées en collision. Ainsi, quelques milliers d'années
après, même les bâtisseurs du Temple des Mythes ignoraient probablement son existence.
En effet, l'ensemble des œuvres qui étaient connues jusqu'à présent étaient postérieures à la
collisions des deux îles, contrairement à celle nouvellement découverte. Là n'est pas la seule
différence : alors que les plus récentes sont uniquement de l'art figuratif représentant des
scènes de la vie quotidienne pendant le Grand Conflit, la gravure peinte est une forme d'art à
la fois fractalaire et symbolique. Cette dernière témoigne également d'une connaissance très
poussée en ce qui concerne l'univers, un savoir que n'avaient certainement pas les peuples plus
récents, puisque nous même ne l'avons découvert qu'assez récemment.
Les scientifiques voient dans cette réalisation une représentation de l'univers et de son
histoire, donc une vision en quatre dimensions. L'oeuvre rappelle effectivement fortement la
manière dont on représente l'univers de nos jours : un cône dont la pointe correspond au début
des temps et la base correspond au présent. Plus on s'éloigne de la pointe, plus on avance dans
le temps, et plus l'espace s'agrandit.
Si cette hypothèse est vraie, une question majeure se pose : comment un peuple encore primitif
d'il y a 10 000 ans a pu accéder à un tel savoir sans avoir d'autres instruments d'observation
du ciel que leurs yeux ? Et pourquoi cette connaissance s'est-elle perdue ?
Les recherches continuent pour tenter de trouver des réponses.
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