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Le blog de Doc
de Docteur Spider

                   


Tous les détails de la vie d'un étudiant de 21 ans

Si vous trouvez un contenu choquant cliquez ici :


Un facteur est mort
J'aurai peut être dû faire cete annonce un peu plus tôt, mais le changement de serveur m'a fait repousser ça à plus tard. Et puis aujourd'hui c'est mon anniversaire et j'avais envie de vous faire partager ce bon moment, donc je devais en passer par mon blog.

Bon bien sûr depuis ma dernière news, il s'est passé bien des choses. A froid je dirais mes vacanaces dans le Périgord et la rentrée. En réfléchissant un peu plus, ya aussi tous les mangas que les éditeurs m'envoient.

Mardi, je croise une factrice dans une des rues qui me mène à la gare de Sartrouville (en un quart d'heure, je peux rencontrer 4 facteurs différents, parce que je passe sur 4 tournées).
-Salut, ça va ? Au fait Bernard est mort.
Grosos modo elle m'a dit ça dans la même phrase.

Bernard pour ceux qui ont suivi un peu mon blog cet été, c'est le facteur qui habitait sur ma tournée, qui m'aidait à mettre les lettres dans les boites de ces voisins, il en profitait pour pester contre les femmes et les portugais %) Bernard était en théorie uen des personnes chargées des réparations de vélo, mais étant tout le temsp en congé maladie, il ne s'en occupait pas. Mais bon il était toujours partant pour m'aider.
Bernard collectionnait les moulins à café. Il n'y avait d'ailleurs que ça chez lui, et une petite chienne. A l'occasion on avait parlé de brocante (une de ses sources d'approvisionnement).
Il m'aurait donner les rares Bd qui trainaient chez lui, si je n'avais pas refusé (l'histoire de france en BD c'est pas trop mon truc).
Je m'imaginai déjà lui repérer des moulins à café lors des brocantes qui auraient lieu après mon job d'été (fin septembre et début octobre).

Le métier entrant, finissant plus rapidement numérotant mes lettres pour les imeuble,s je ne croisai plus Bernard qui sortait sa chienne.

Vers la fin de mon contrat j'ai appris que Bernard était dépressif et alcoolique (moi qui pensait qu'il ne buvait que du café, je suis par trop innocent), il ne venait plus au boulot. J'étais chargé de lui amener des recommandés lui signifiant la menace qui pesait sur lui. Deux fois.
Même sachant cela, je n'ai jamais pris le temps de passer chez lui à la fin de mes tournées, pour essayer de lui tirer un peu les vers du nez.

Je demande à ma factrice "Et donc il s'est suicidé ?"

Les voisins ont donné l'alerte à cause de la mauvaise odeur. Quand on l'a retrouvé, il était déjà mort depuis 8 jours.

Je ne connaîtrai jamais le goût du café de Bernard. Peut être aurais-je put mettre un peu de lait dans ses idées.
Article ajouté le Dimanche 15 Octobre 2006 à 22h05 |
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A la postérité
"Tu es le plus beau et le plus merveilleux des hommes et je t'aime énormément, te regarder tout simplement me suffit des fois. Je me dis que j'ai énormément de chance de t'avoir, du coup je me dis aussi, que vu le pot que j'ai sur ce coup là j'ai aucune chance de gagner à euro millions. Snif, *****, je serais jamais riche, pourquoi es-tu aussi formidable ? Mais en même temps, comme je philosophe beaucoup quand je me noie dans tes beaux yeux, je me dis que personne ne sera jamais plus heureuse que moi et que je suis la plus chanceuse et la plus riche du monde de tout l'amour que tu me donnes."
Article ajouté le Mercredi 06 Septembre 2006 à 19h18 |
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Le week end...
...Je m'emmerde un peu :)

Ce matin j'ai découvert un great illustrateur, Katsuya Terada, je vais rendre plus gaie mon blog avec ses créations pendant quelques temps (des nymphettes punk, et des trucs plus crades... tentacules inside)

J'ai fini de lire L'éthique protestante de Max Weber, c'est pas sûr que cet ouvrage apporte quelque chose à ma reflexion sur le travail. Reflexion justement, si je veux vraiment m'y mettre, faut que j'arrête de lire, et que je me lance plus dans des commentaires de texte. D'où l'intérêt pour le prochain livre que ce soit l'oeuvre d'un philosophe (Marx, Arendt, ou batailel ?) ou alors je ressors mon manuel de terminale, je prends les textes sur le travail, et je les commente. Je peux également ressortir les cours de MON prof de philosophie de fac, pour être prêt en octobre afin qu'il devienne mon directeur de mémoire. (Ou limite directeur de conscience, un mauvais, un sadien ^^).

Cette semaine. Du lundi au jeudi, j'ai pas baisé, ma copine bossant. Mais je suis passé à son bureau mardi, on ets allé mangé un morceau au chinois. Le reste de la smeaien j'ai fait la grace mat', j'ai lu, j'ai oublié, je me sus sremis aux mangas et animé aussi :)
Mardi toujours, un ex-camardae facteur m'a klaxonné. Ensuite je suis passé à ma banque, dont je ne tairais pas le nom puisque'elle est naze, à savoir la caisse d'épargne.
Je demande à la nana (pour une fois que c'est pas le gars coincé du cul), si ils ont reçu mon chéquier. La nana regarde dans son PC. J'ai fait ma commande le 5 juillet (Moi quand on me dit "sous 10 jours" je perds toute notion du temps ^^, d'autant que je ne retrouve pas cet épisode sur le blog).
Et donc elle em dit "Je vois... 2 carnets de chèque et pas de carte de retrait, comment ça se fait ?" J'aia pprécié son sens de la formule, vraiment.
Ta carte tu peux te la foutre là où je pense.
"J'en ai pas besoin."
"Mais le jour où vous allez en avoir beosin, vous allez faire comment ?"
"Et ba je vais attendre que ce cas se produise vraiment, ensuite j'aviserai."
Ca fait un an que j'ai mon compte-chèque, (mon chequier me fait l'année), jamais eu besoin de retirer des espèces. Au pire j'en taxe à mon frère, il a toujours de la monnaie.
"En plus vous avez moisn de 25 ans, elle est gratuite la première année"
Beuhahahha, et les 60 autres années qu'il me reste à vivre je fais comment ?
Je sais très bien que dans n'importe quelle situatuion, il faut être prévoyant, logiquement je devrais prendre leur carte. D'autant plus que dans ma logique, maintenant que je sais que ma monnaie est précieuse, quand j'aurai un excédent d'argent de poche, ou lorsque j'aurai des grosses rentrés de liquide (pour mona nniv' dans un mois et demi ou à Noel), ba je vais les garder précieusement chez moi, et non les mettre sur mon compte. Je me comporte comme un vieux qui stocke son fric sous son lit.
Ils veulent me vendre à tout pris une carte de retrait, parce qu'ils ont fermé l'agence prêt de chez moi, modernisé celle du centre ville, et on remplacé le mec par des machines. Les employés sont des vendeurs ("conseillers") maintenant.
Vous n'aurez pas mon fric pourritures capitalistes !

A part ça vendredi, ma copine avait fini le boulot, j'ai put débarquer chez elle. Ele a remis son haut moulant rouge, raagh comment elle est trop b... la s.... !!!
L'aprem midi, ses amis sont venus pour le thé (avec plein de gateau faits maisons, miam miam).

Aujourd'hui il n'était pas prévu que je la vois, je suis donc aller rendre mes emprunts de l'été à la bibli de la MCJP (le J c'ets pour Japon). A ma gare, sur lequai d'en face, qui vois-je ? Ma copine et sa mère, hop je change de quai, elle se jette sur moi, et n'arrête pas de m'embrasser. C'est bô l'amour. Elle était aller au restau avec sa mère et était allé acheter des poissons (pour son aquarium, moi j'a eu le reflexe poisson = manger). Là elle retournait chez elle. J'ai put la jeter dans le train, et prendre le mien sur l'autre quai ensuite.

Faut que je tue le temps jusqu'à ce soir, je vais san sdoute m'abrutir avec des mangas (jojo's) et animé (j'ai l'choix). demain ça va va être pareil. je vais ausis em faire une petite escursion à paris pour voir des artisans nippon.
Article ajouté le Samedi 02 Septembre 2006 à 17h54 |
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La fin des vacances [49]
Il falait bien que tôt ou tard, je vous parle de ma dernière journée :

Un de mes collègues s'arrête en voiture (Dédé) Comme c'est le dernier jour, il me demande ce que je fais dans la vie.
"... Kant ou lao tsé ?"
C'est pas bien de se moquer. Les philosophes vous emmerde :p

Bastien, l'autre saisonniers restant, avait un message sur son bureau : allez voir le chef d'équipe. En effet le poteau rose (pot aux roses ?)avait été découvert, les 10 boites avait été exumées des on bureau, et poser devant =) Nos 2 chefs ont essayé de lui remonter les bretelles, il a jouer le jeu et s'en est bien sorti ("Vous comprenez pendant 3 semaines on s'est pas plain de moi sur l'autre tournée, sur celle-ci les 3 immeubles je peux pas les faire, le titulaire s'en occupera. Ca serait bien dommage que je tue des lettres des impôts alors que les personnes habitent ici.")

Germaine m'a dit au revoir. On a failli se croiser : elle n'était pas à sa fenetre, j'ai tapé à sa porte, rien. Je passe les lettres sosus la porte, sors, et là elle m'appelle par s afenêtre:) On a discuté un peu et je susi parti.

Je suis mangé une porte : J'entre dans l'immeuble, 8 boites, quelques lettres, ça se distribue vite, hop je vais pour ressortir, mais la porte n'était pas fermée, elle était encore à demie ouverte. Conséquence : j'ai eu un coup sur le côté du crane et un bout du torse. Salope de porte, toutes les mêmes.

Cité de la pisse, les filles (marion et son amie camille) sont venues à ma rencontre. Camille, 9 ans, grasse du bide de son état, était toute fière d'avoir enfin son téléphoen portable. Elle peut enfin téléphoner à ses copines et se faire bipper par son père pour le repas. Le monde marche sur la tête.
Marion n'a même pas versé de larmes à l'idée qu'on ne se reverrait plus jamais, moi le facteur qui lui apportait des bottes de lettre à distribuer tous les jours.

Une fois au bar portugais (début de III) j'ai été rejoins par Bastien, qui a décidé de faire un bout de ma tournée, parce qu'il ne voulait pas rentrer trop tôt au bercail, de peur que les chefs lui disent encore qu'il n'a rien foutu. On s'est raconté nos vies, on a parlé des flics en somme. Du coup je me suis pas occupé des recommandés de III et IV =)
Faut dire aussi qu'il y a certaines portions de ma tournée que je n'avais délibérément pas emmené, d'autre que j'ai oublié, enfin ceux que je n'ai finalement pas faits. Plus plein de recommandés que je n'avais pas fait non pluis en début de tournée. La personne sur ma tournée lundi va être contente (et il y a un peu de pub de côté aussi).

J'ai revu le maquerau. il a des petits soucis avec ses chauffeurs, pour son bizz de conducteur aéroports-paris.

Et voilà c'est fini.

J'ai recaché la clef pour Charles, dédé m'a vu, il m'a dit "ah c'est là qu'il faut marquer CACHETE SECRETE", le fourbe.
Charles ne m'a pas téléphoné lundi à la première heure, je suppose que tout s'est bien passé (sauf pour Ursula qui a une montagne de lettres en plus, et quand je dis montagne, je n'exagère pas, bastien aurait put se cacher derrière)

Rentré che zmoi j'étais crevé, j'ai fait un petit somme. A un moment mon frère s'est penché sur moi, je l'ai vu, je l'ai pas reconnu, ça m'a fait sursauter. Font trop peur les gamins de 11 ans de nos jours.

Vive les vacances ! Un peu de grace mat', beaucoup de lectures :p
Article ajouté le Mercredi 30 Août 2006 à 20h46 |
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Les enfants du plastique
Les enfants du plastique
par Thomas Clément
Edité au diable Vauvert, 241 pages, 17.50 euros

Pour Marjorie, hurle Freddy ! Moi je suis venu pour Marjorie. Elle est trop bonne Marjorie. J'veux m'la faire. Cette meuf tu lui coules du pâtre dans la bouche, tu laisses sécher et le lendemain, tu démoules une bite

Les enfants du plastique.. pourquoi un tel titre ? En 2010, nous sommes tellement formatés et programmés qu'on peut considérer nos progénitures comme des produits, fabriqués en série et répondant aux besoins très précis des consommateurs - leurs parents - qui veulent tous des petites créatures belles et gentilles. Sauf que parfois, il y a des loupés...

On peut dire de Frank Matalo qu'il a réussi dans la vie : entré comme simple stagiaire chez Universal, il est maintenant le P.D.G. d'UNIQUE Music France, qui produit 90% de la musique française. Enfin musique est un bien grand mot : tout est fait par ordinateur, on entre les paramètres (tendance du moment, croissance du pays, moral des français), et la machine nous sort des chansons. reste plus qu'à trouver des figurants pour chanter tout ça. Notons également qu'il a également éradiqué le p2p. Bref tout va bien.

Jusqu'au jour où il se souvient, qu'étant jeune, c'était un rebelle, un vrai, et qu'il est devenu tout ce qu'il détestait. Son suicide va prendre la forme suivante : il va produire le pire groupe possible, y engouffrer des sommes folles pour faire sombrer avec lui toute l'industrie du disque (même si le disque n'existe plus).

Il met donc la main sur les Intestins. Un groupe de punk de Limoges. Début de la descente au Enfers ou Stairway to Heaven ?

Les enfants du plastique est un livre vraiment réussi : nos 4 ados boutonneux sont révoltés, provoquant, bref de vrais Pistolet-Sexe. Ils y vont fort sur la scatologie, les drogues, et le sexe bien moite. C'est un vrai régal.

Régal, bien rendu par la prose de l'auteur 240 pages qui sont une source intarissable de « bons mots », d'expressions qui tuent, de paroles qui tâchent. A hasatrd « On avait l'impression que le canapé s'était suicidé », mêm si l'a sur le coup, sorti du contexte, c'est sûr que ça rend moins bien.

L'histoire étant vu du côté de leur PDG-manager qui pète les plombs façon Chute libre (Avec Douglas), permet une critique acide des « cerveaux disponibles » que nous sommes. Le marketing et les sourire dentifrice s'en prenne plein la gueule. Un livre qui fait réfléchir (sur quelque chose dont nous sommes conscient certes)

Enfin l'important est de dire que le bouquin est fun, qu'il se lit d'une traite (deux dans mon cas), que « l'univers » est fascinant », qu'il donen envie de faire de la musique (malgré tout) bref j'ai franchement adoré.

A mi chemin entre 1984[/] (pour le côté anticipation et critique) et [i]Podium (pour le côté jusqu'auboutiste et ultrafan nostalgique) les enfants du plastique, n'est pas un livre en toc, bien au contraire, c'est un rock !

Docteur Spider, remercie sa copine de lui avoir offert, très fort, 29/08/06

[i]Extrait de « Pistonné, enculé »:

« A quoi bon taffer comme un dingue
Ton seul piston, c'est la seringue
Pique et pique et colle un gramme
Bourre et bourre et rate ta femme » [/î]
Article ajouté le Mardi 29 Août 2006 à 22h55 |
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La fin des vacances [48]
Bientôt la fin, pour arroser ça, j'ai eu 3 caisettes de pub (aui lieu de une habituellement), mais tout le monde a été logé à la même enseigne. Beaucoup ont parlé de "faire des frigos" %)

J'ai fait signer un recomandée à une de mes jeunes collègues avant de partir : elle habite sur ma tournée :)

Germaine, me parle toujours de la fin, mais les reportages successifs sur le doyen des français (104 ans) lui redonne espoir (plus que 10 !).
"Vous en croyez pas en dieu hein ? Je le sais." J'aurai du mieux planquer mes numéros du Point sur nietzsche %)

En parlant de ça, l'aprem j'ai recroisé le petit vieux, il m'a dit "Au fait c'est quoi votre nom, Max ?" Non Loïc. "C'est pas bretonnant-bretonneux ça ?" Si un peu :)

Bastien m'attendait en bas de chez Germaine, il avait fini (je comemnçais le deuxième quart). Faut dire aussi que les 3 tours qui représentent le gros de sa tourné, il ne les fait pas. Il a stoké 6 caisettes sous sa position. Over abused. Une mauvaise langue lui a dit "De toute façon celle qui est titulaire de cette tourné, c'est une chieuse, n'hésite pas à la blinder" %) J'l'aime bien ursula moua.
Il m'a conseillé de faire de même, mais je suis trop réglo.

Je suis arrivé au grec, c'était la fin du journal, le temps que les merguez cuissent, et que je commence à manger, Maigret commençait. J'ai découvert leur toilettes aujourd'hui. Faudra que j'y retourne en septembre discuter politique avec le chef (pour ma future candidature de maire de Sartrouville).

C'est bien ce que je disais hier, ma voyante mère de famille à peu prêt baisable, aujourd'hui elel a reçu de la pub de la part d'H&M Lingérie %)

je suis rentré à 15h30, ça suxxait à mort. Un quart d'heure pour m'occuper des recommandés, ensuite j'ai tué ma caisette de courrier Retour à l'envoyeur. 12 (autollants) x 16 (feuilles) = 192.
Record battu.
Ca m'a pris 3/4 d'heure.

J'ai ensuite foncé chez moi, gouté, mini surf, imprimé la liste de courses mailé par ma copine au boulot, je suis allé chez elle, lui prendre 40 euros, ensuite 10 minutes de marche, le mec de la sécurité m'a fait déposer mon sac à l'accueil (ça me fait chier), j'ai fait mes courses en 15 minutes, et voilou.

Je me suis rendu compte que la vie était précaire quand ma copine s'est rendue compte que j'avais oublié de lui acheter des chips....

Le saiks, c'était énorme (pas d'adjectif possessif, désolé je suis trop modeste). Elle portait son joli ensemble de salope-soubrette acheté chez orcanta cette année (noir, avec de la dentelel blanche dessus). Alors qu'elle était en soutien-gorge, avec toujours son pantalon (et son string qui dépassait, ça donen envie d'y mettre la main tiens :p), elle s'est mise à 4 pates devant moi, et m'a sucé. Trooop bon, pendant ce temsp je lui ai retiré son soutien gorge, je lui ai caressé ses tétons. Ell a fini de se déshabiller, je me suis assis dans le fond de son lit, elle s'est avancée vers moi à 4 pattes, a tendu sn visage pour m'embrasser, j'ai tendu ma main pour lui caresser le clito, elle mouillait bien, je lui ai mis un doigt. Ensuite je me suis allongé sur le dos, et elle s'est pénétrée avec mon saiks. Quel pied.
On a du dormir de 7 à 8 heures.

Pour le repas, c'était la crise, il n' y avait plus de viande (celel acheté était périmée, et il n'y avait plus rien dans le réfrigérateur).

En rentrant (en RER), j'ai récupéré un numéro du Times magazine qui traianit.

Si j'ai le temps, je participerais au recensement cette année (en janvier).
Article ajouté le Samedi 26 Août 2006 à 06h30 |
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La fin des vacances [47]
Aujourd'hui.. il a plu. Saloope va !

Cité de la pisse : pas un chat. L'eau a t elle chassée les gosses ?

Je suis allé au grec, le journal de France 2 commençait. C'était pas terrible le chiken. vivement que le chef revienne.

A la fin de ma tournée, j'avais un recommandé à donner à bernard, le postier depressif et alcolo, ça doit être une deuxième lettre de relance le sommant de revenir au taf, il m'a dit gentiellement : "J'les ememrde".

La voyante dans la cité du maquerau (celle qui a l'air d'une jeune mère de famille plutôt épanoui), elle a une petite paire de sein sympa...

En rentrant, je me suis attaqué à ma pile de courrier à tuer : j'en ai une case pleine, et un début de caissette. J'ai séparé ceux dont j'étais sûr que l'adresse était fausse, et ceux qui ont un petit point d'interrogation sous l'adresse. Je les ai trié sur ma position, puis je les ai ramassé et, enfin j'ai vérifié dans l'odre de mon cahier si ça existait ou pas.
Ca m'a pris de 15h20 à 16h20. J'ai sauvé un peu de courrier. je me retrouve donc avec une caisse pleine de courrier à vraiment tuer pour demain (à étiqueter).

J'ai ensuite foncé chez ma copine, (45 minutes de marche), on s'est juste fait des calins car elle était fatiguée (une heure, pioncé un peu), et comme elle voulait aller au restau avec ses amis et que çe ne me branchait pas, je suis rentré chez moi pour un repas en famille (45 minutes), ça faisait longtemps.

Aubadine pas avec la lingerie...
Article ajouté le Jeudi 24 Août 2006 à 22h18 |
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La fin des vacances [46]
Aujourd'hui j'avais tellement de courrier que j'ai été obligé de les repartir dans trois sacs (3 dépots).

Grosso modo ma tournée a une forme de L. Je pars à l'angle des deux et je commence par la petite partie. Au bout de celle-ci j'ai remarqué que j'avais oublié mon casse-dalle dans le frigo. A la fin de celle-ci j'ai donc fait un petit tour au bercail =)

*mot illisible : chanetorles ???*

Je suis parti à 10h40, j'ai fini I à 11h45 et II à 13h05.

Germaine va bien.

Cité de la pisse : Hier les gosses planqués chez eux ont vu que j'avais fait monté Marion sur mon vélo. Aujourd'hui elle n'était pas là (partie chercher une copine revenue de vacances), du coup les petites black étaient là, hystériques, et bien relous genre j'essaie de te prendre le courrier des mains, j'arrête pas de gueuler (super pratqiue quand on essaye de joindre quelqu'un sur un interphone) etc. Yen a même une qui sait pas lire ôO

Au portugais, j'ai demandé un café, offert par la maison (vive la dernière semaine). j'ai écouté les pilliers de bar (en France, avec 1000 euros par mois tu peux pas vivre, au bled t'es le roi). Bastien, le postier rasta de service a passé la tête par l'entrée, se demandant quel facteur glandait là. Putain il va me faire une de ces réputations...

Le maquerau, je l'ai croisé le matin à la fin de I, ya une boucherie et un truc pour passer des coups de fils à l'étranger pour pas cher. il a paumé ses clefs de boites aux lettres, il m'a donc demandé de les lui glisser sous la porte. En IV donc (c'est en face du II), j'essaie d'entrer dans l'immeuble, mais ma clef ne fonctionne pas. Je jette donc la marchandise sur son balcon :)

C'est tout pour ma journée ?

Ensuite j'ai un peu glandé chez moi, puis j'ai attendu ma copine à s gare, vous connaissez la suite, on s'est régalés. J'adore ses fesses.
Article ajouté le Mercredi 23 Août 2006 à 21h39 |
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La fin des vacances [45]
Hier je me susi couché tard (même pas pris de douche), ce matin je sentais le curry et j'étais naze, état qui s'est prolongé toute la journée
Demain je vous raconte aujourd'hui et le jour qui suit

Edit :

Le matin, parmi toute la pub que je trie, j'ai repéré un catalogue "Le petit économe", special lingérie. Trop beau le petit ensemble en 4ème de couverture, et la nana elle avait de ces loches... hop j'ai noté le nom =)

Je suis parti à 10h20.

Au premier dépot (juste avant chez Germaine), bastien le ratsa vient me narguer : il a fini (mais il n'a pas fait les grandes tours sur sa tournée, il rentre trier le courrier).

Germaine attend la fin, elle ne pensait pas qu'elle allait vivre jusqu'à son anniv'. C'est peut être pour ça qu'elle claque toute sa thune dans des babiolles. Elle m'a demander si j'allais "arranger ma barbe" :)

En sortant, il y avait 3 petits vieux qui se sont faits embarqués par le service Solidar'été de ma ville : des étudiants qui divertissent les personnes âgés. j'espère faire ce taff l'année prochaine.

Un peu plus loin, j'avais un recommandé à donner. La personne m'ouvre, (une jeune black en calbute) me dit que c'est pour son cousin qui n'est pas là. Dans le fond j'entends la TV, ça gueule comme dans un animé. Je lui demande ce que c'est : dragon ball Z. Je claque de la langue. On s'est reconnus ;-)

Cité de la pisse, Marion s'est amusée à me pousser pour me faire avancer sur mon vélo. C'était marrant. Finalement j'ai craqué et je lui ai permi de faire de mon vélo. J'étais obligé de tenir la selle et le guidon car elle était bien évideemnt trop petite.

Après mon déjeuner, je suis passé chez mamie-chèque; la cité suivante il y avait le numéro du Point consacré à nietzsche et un colis des éditions Atlas que la personne a refusé : finalement ça sert d'être facteur, je susi enfin payé en journaux (la dernière semaine bien sûr -_-). Je suis passé livré la commande de timbres à l'imprimerie, il m'a donné un livr e ui sortait tout juste du four : une réédition d'un livre d'histoire originairement paru au 18 ème siècle. Valeur faciale : 30 euros.

Ma copine a réussi à m'envoyer un mail du boulot, ça fait plaiz'.

En rentrant à la maison, voulant faire une recherche sur la paire de nichons vus ce matin, je me suis rendu compte que j'avais oublié ma feuille sur laquelle je prends des notes. L'ai-je laisser au moment où j'ai mis un mot dans la boite au lettre du vieux qui m'a passé son numéro du point, j'ai découpé la moitié de mon pense-bête.

Arrivé chez moi, j'ai emballé le livre dans du PQ : on en avait parlé dans l'un de nos petits délite avec ma copine. En effet je lui ai fait le coup d'emballer des cadeaux dans du kraft, dans de l'alu' (son dernier anniv') et je lui avait dit que le papier hygiénique était en ligne de mire, seulement la prochaine ocaz de lui faire un cadeau n'était pas avant longtemps... (noêl. remarque : les gonzesses ça aime bien les cadeaux, je suis pas obligé d'attendre jusque là, mais je suis un feignant fini)
C'était du papier blanc et vert, ça va c'est pas trop gore.
N'empêche du papier odorat ça peut faire du bon papelard pour embaler (sa copine ?). Menthe ou autre (vous pensiez à un autre parfum ? Genre j'ai le derche qui sent la rose ;-)).

On s'est retrouvé à sa gare vers 6 heures. je suis arrivé 20 minutes en avance j'ai commencé Le canard.

On ets allé faire des "courses de condiments" à une épicerie "de luxe "dans l'avenue principale : chutney de mangue, pates tandori, ce genre de chose. Plus des oignons hachés chez Picard.

On est rentré. C'était saiksuol elle a fini debout, dos à moi, cambrée, huuum mon fantasme, C'est troooop bon.

Ma copine dit qu'elle pase pour une grosse salope sur mon blog. C'est vrai ? En même temps est-ce que les petits mots d'amour, nos petits surnom d'amour, nos bêtises et nos délires, est-ce que ça se raconte ? C'est personnel voyons ;-). On s'amuse bien en tout cas, on est très complices. Ma copine elle est aux petits soins pour moi, elle est toujours inquiète pour moi, elle est belle et élégante bien sûr, on s'amuse bien tous les deux, on a des "gouts convergents", elle me mitonne des plats avec amour, elle a du caractère, il lui ai arrivé tout un tas d'aventure passionnante (elle a fait le tour du monde) et bien sûr c'est une grosse accro au saiks (quelle salope quand même ! ^^).
Article ajouté le Mercredi 23 Août 2006 à 16h48 |
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La fin des vacances [44]
J'ai pas réussi à uploadrr mon image. Snif
Les journées sont trop courtes, re-snif :

Ce matin il y avait un papier sur mon bureau : CHARLES, 06... APL moi pour le vélo". Une fois que j'étais prêt à charger je lui ai téléphoné (peu avant 10 heures), il dormait encore le salaud ! (Il a une semaine de vacances). Il m'a dit d'aller dans le garage, de trouver l'indicateur limuneux signalant la sortie, de trouver la petite poutre, et de trouver la clef dessus. on se serait cru dans Fort boyard "Mais je la vois pas". En fait j'étais pas au bon endroit. Tout ça pour faire sauter le cadenas.

C'est une bonne bécane, toute neuve. Seul truc destabilisant : le saccoche avant est désolidarisée de la roue, du coup quand je tourne, il n'y a que la roue qui bouge, roue que je ne vois pas d'ailleuirs, on s edemande un peu où on va. Mieux donc ne pas se poser de question, regarder droit devant soi, et naviguer au feeling.

C'était l'anniversaire de germaine. Solitude, je veux mourrir etc. Elle m'a dit que mes cheveux semblaient plus courts.

Dans la mêm cité, des p'tits blacks flippait parce qu'il y avait un chien qui rodait autour (pas le nom en tête, mais un gros chien). Il y avait une gosse qui savait à peine marcher et qui n'était pas consciente du danger potentiel. Du coup quand elle s'est approcgée, je l'ai pris naturellement dans mes bras.
Il s'est avéré que c'était juste un chien perdu, qui recherchait de la compagnie. Il m'a un peu suivi.

Sandwtch au chèvre.

Mamie chèque, je lui ai dit que c'était pas posible aujourd'hui, n'ayant pas récupéré mon "carnet d'ordre" car les timbres se baladent dans la nature. Il lui semblait que mes cheveux étaient plus longs (peut être parce que j'avais pas mon bob).

J'ai prévéenu l'imprimeur que je repasserai demain.

Pour en revenir à mon début de tournée c'était double dose, ne l'ayant pas du tout fait lundi. je me suis retrouvé bien chargé (8 bottes au lieu de 4). Le reste c'était pénard. j'ai fini à 14 heures.

Je voulais rentrer chez moi mais je n'avais pas mes clefs et il n'y avait personne chez moi. Je ne me suis donc pas arrêté et je suis allé à ma fac (il a fallu que je m'achète des tickets, ayant oublié ma carte de transport)
Je me suis choppé :
- Travail et escavage en grece antique , par Vernant et Vidal-Naquet
- Le travail, une valeur en voie de dispartion, par Méda,
- Ethique protestante et esprit du capitalisme, de l'incontournable Max Weber.

Je me suis commencé le 1er.

Je me suis également acheté les Echos, le numéro du jour ayant l'air particulièrement consacré à la question du travail et de l'emploi( Ségolène est partie en sucette apparemment, elle veut nous faire bosser).Plus des trucs sur le tabac.

La lannière du sac de ma copine lui avait claqué entre les doigts c'était la fin du monde. Le temps qu'elle se calme je me suis occupé de ranger les courses que j'avais fait.

Un p'tit coup de saiks, sous les couettes parce qu'elle avait froid.
Et un énorme trop bon, trop jouissif curry de poulet. Huuuum.
Article ajouté le Lundi 21 Août 2006 à 22h03 |
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