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Les comptines horrifiques du bon Père Lokiard.
de Lokiard

                   


Sur ce blog se trouvera quelques jolies creepypastas.
WARNING DES IMAGES HORRIFIQUES PEUVENT SE TROUVER AVEC DES CREEPYPASTAS

Si vous trouvez un contenu choquant cliquez ici :


Mr Widemouth.
L'information suivante est susceptible de révéler quelque chose d'important et de gâcher une surprise
Pendant mon enfance, ma famille était comme une goutte d'eau dans une vaste rivière, ne restant jamais au même endroit pour très longtemps. Nous avons vécu au Rhode Island quand j'avais huit ans et nous y sommes restés jusqu'à ce que j'aille au collège à Colorado Springs. La plupart de mes souvenirs sont enracinés au Rhode Island, mais ils y a des fragments dans le grenier de mon cerveau qui appartiennent aux différentes maisons dans lesquelles nous avons vécu quand j'étais plus jeune.

La plupart de ces souvenirs ne sont pas clairs et sont inutiles- moi poursuivant un autre garçon dans la cour d'une maison dans la Caroline du Nord, moi essayant de construire un radeau qui flotterait sur le ruisseau derrière l'appartement qui nous avons loué dans la Pennsylvanie, etc. Mais certains souvenirs restent clairs comme le verre, comme si c'était hier. Je me demande souvent si ce ne sont que de simples rêves produits par la maladie dont j'étais atteint ce printemps-là, mais au fond de mon cœur, je sais qu'ils sont réels.

Nous vivions dans une maison juste en dehors de la bruyante métropole de New Vineyard, dans l'état de Maine, population 643. C'était une grande bâtisse, surtout pour une famille de trois. Il y a un certain nombre de pièce que je n'ai pas visitées durant les cinq mois où nous y avons résidé. Dans un certain sens, c'était du gaspillage d'espace, mais c'était la seule maison sur le marché qui était à moins d'une heure du lieu de travail de mon père.

Le jour après mon cinquième anniversaire (que j'ai fêté seul avec mes parents), la fièvre s'est emparée de moi. Le médecin a dit que j'avais une mononucléose infectieuse, ce qui signifiait beaucoup de repos et encore de la fièvre pour encore au moins trois semaines. Ce n'était vraiment pas le moment de rester au lit - nous procédions à l'emballage de nos affaires pour déménager en Pennsylvanie, et la plupart de mes choses étaient déjà emballées dans des boîtes, laissant ma chambre vide. Ma mère m'apportait de la boisson gazeuse et des livres plusieurs fois par jour, et ces derniers servaient en tant que ma principale source de divertissement pour les prochaines semaines. L'ennui rôdait toujours dans le coin, attendant de montrer son affreux visage.

Je ne me rappelle pas exactement comment j'ai rencontré M. Widemouth. Je pense que c'était environ une semaine après que j'aie été diagnostiqué. Mon premier souvenir de la petite créature est moi lui demandant si elle avait un nom. Il m'a dit de l'appeler M. Widemouth, parce que sa bouche était grande. En fait, tout sur lui était grand en comparaison à son corps- sa tête, ses yeux, ses oreilles courbées- mais sa bouche était sans doute la plus grande.

«Tu ressembles à un Furby,» ai-je dit alors qu'il tournait les page d'un de mes livres.

M. Widemouth m'a envoyé un regard perplexe. «Furby ? C'est quoi, un Furby ?» a-t-il demandé.

J'ai haussé les épaules. «Tu sais... le jouet. Le petit robot avec les grandes oreilles. Tu peux le caresser et le nourrir, comme un vrai animal.»

«Oh.» M. Widemouth a continué de tourner les pages de mon livre. «Tu n'en a pas besoin. Ce n'est pas la même chose qu'avoir un vrai ami.»

Je me souviens que M. Widemouth disparaissait chaque fois que ma mère me payait une visite. «Je suis sous ton lit,» m'a-t-il plus tard expliqué. «Je ne veux pas que tes parents me voient car j'ai peur qu'ils ne nous laisseront plus jouer.»

Nous n'avons pas fait grand chose durant les premiers jours. M. Widemouth a juste regardé mes livres, fasciné par par les histoires et les images qui s'y trouvaient. Le troisième ou quatrième jour après notre rencontre, il m'a accueilli avec un grand sourire. «J'ai un nouveau jeu auquel nous pouvons jouer,» a-t-il dit. «Nous devons attendre que ta mère soit venue parce qu'elle ne peut pas nous voir jouer. C'est un jeu secret.»

Après que ma mère soit venue me donner des livres et du soda, comme d'habitude, M. Widemouth est sorti de sa cachette et m'a prit par la main. «Nous devons aller dans la pièce au bout de ce corridor,» a-t-il déclaré. J'ai refusé puisque mes parents m'ont interdit de sortir du lit sans leur permission, mais M. Widemouth a insisté jusqu'à ce que j'accepte.

La pièce en question n'avait ni meubles, ni papier-peint. Sa seule caractéristique distincte était une fenêtre sur le mur en face de la porte. M. Widemouth s'y est précipité et lui a donné une poussée ferme, l'ouvrant. Il m'a donc demandé de regarder en bas.

Nous étions au deuxième étage de la maison, mais elle était sur une falaise, donc le précipice était plus haut que deux étages dû à l'inclinaison. «J'aime jouer à faire semblant ici,» a expliqué M. Widemouth. «Je prétends qu'il y a un grand trampoline sous cette fenêtre, et je saute. Si tu y pense assez fort, tu rebondiras comme une plume. Je veux que tu essaies.»

J'étais un garçon de cinq ans qui faisait de la fièvre, alors seul un flash scepticisme a traversé mon esprit alors que je regardais en bas en considérant la possibilité. «C'est haut,» ai-je dit.

«Mais c'est ce qui est amusant. Ça ne serait pas amusant si ce ne serait pas haut. Tu ferais bien de sauter sur un vrai trampoline, pendant que tu y es.»

J'aimais bien l'idée, m'imaginant tomber dans le vide pour ensuite rebondir sur quelque chose invisible par l'œil humain. Mais le réaliste en moi a prit le dessus. «Peut-être une autre fois,» ai-je dit. «Je ne sais pas si j'ai assez d'imagination. Je pourrais me faire mal.»

Le visage de M. Widemouth a prit une allure féroce, mais seulement pendant un instant. La colère a laissée la place à la déception. «Si tu le dis.» a-t-il soufflé. Il a passé le restant de la journée sous mon lit, silencieux comme une souris.

Le matin suivant, M. Widemouth est arrivé en tenant une petite boîte. «Je veux t'enseigner à jongler,» a-t-il annoncé. «Voici quelques trucs avec lesquels tu peux t'entraîner avant que je te donne des leçons.»

J'ai regardé dans la boîte. Elle était pleine de couteaux. «Mes parents vont me tuer !» ai-je crié, horrifié que M. Widemouth ait apporté des couteaux dans ma chambre- objets que mes parents ne me laisseraient jamais toucher. «Je recevrai une fessée et serai puni pour un an !»

M. Widemouth a froncé les sourcils. «C'est amusant de jongler avec. Je veux que tu essaies.»

J'ai repoussé la boîte. «Je ne peux pas. J'aurai des problèmes. Les couteaux sont trop dangereux pour être simplement lancés dans les airs.»

M. Widemouth a froncé des sourcils de plus belle. Il a prit la boîte de couteaux et s'est glissé sous mon lit et y est resté toute la journée. J'ai commencé à me demander combien de temps il restait sous moi.

J'ai ensuite commencé à avoir de la difficulté à dormir. M. Widemouth me réveillait souvent la nuit, disant qu'il a mis un vrai trampoline sous la fenêtre, un grand, un que je ne pouvais pas voir dans la noirceur. Je refusais toujours et essayait de me rendormir, mais M. Widemouth insistait. Parfois il restait près de moi jusqu'à tôt le matin, m'encourageant à sauter.

Ce n'était plus amusant de jouer avec lui.

Ma mère est venue un matin pour me dire que j'avais la permission de sortir me promener à l'extérieur autour de la maison. Elle a pensé qu'un peu d'air frais me ferait du bien, surtout après avoir été confiné dans ma chambre pour si longtemps. Tout excité, j'ai mis mes baskets et ai trotté sur le porche arrière, désirant sentir les rayons du soleil sur mon visage.

M. Widemouth m'attendait. «Il y a quelque chose que je veux que tu voies,» a-t-il dit. J'ai dû le regarder bizarrement parce qu'il a ensuite dit, «Il n'y a pas de danger, je te le promets.»

Je l'ai suivi à l'entrée d'un sentier qui allait dans les bois derrière la maison. «C'est un chemin important,» a-t-il expliqué. «J'ai eu beaucoup d'amis de ton âge. Quand ils était prêts, je les amenais dans à l'autre bout de ce sentier, à un endroit spécial. Tu n'es pas encore prêt, mais un jour, j'espère pour t'y amener.

Je revenais à la maison, tout en me demandant quel genre d'endroit était au bout de ce sentier.

Deux semaines après notre rencontre, le dernier chargement de nos choses a été installé dans un camion de déménagement. Je serais dans la cabine de ce camion, assis à côté de mon père pour le long voyage jusqu'en Pennsylvanie. J'ai pensé à dire à M. Widemouth que je m'en allais, mais même à cinq ans, je me doutais que ses intentions n'étaient pas pour mon bien, même s'il disait le contraire. Pour cette raison, j'ai décidé de garder secrète la nouvelle de mon départ.

Mon père et moi-même étions dans le camion à 4 a.m. Il espérait se rendre en Pennsylvanie vers l'heure du dîner le lendemain avec l'aide d'une ration de café infinie et d'une caisse de boissons énergisantes. Il avait plus l'air d'un homme qui allait courir un marathon plutôt qu'un qui allait rester assis pendant deux jours sans bouger.

«Assez tôt pour toi ?» m'a-t-il demandé.

J'ai hoché la et ai placé ma tête contre la vitre, espérant pouvoir dormir un peu avant que le soleil ne se lève. J'ai senti la main de mon père sur mon épaule. «C'est la dernière fois, fiston, je le promets. Je sais que c'est difficile pour toi, malade comme tu as été. Lorsque que papa aura eu sa promotion, nous pourrons relaxer et tu pourra te faire des amis.»

J'ai ouvert mes yeux alors que nous sortions du stationnement. J'ai vu la silhouette de M. Widemouth dans la fenêtre de ma chambre. Il s'est tenu immobile jusqu'à ce que le camion soit dans la rue. Il m'a tristement envoyé la main, tenant un couteau à viande dans l'autre. Je l'ai ignoré.

Des années plus tard, je suis revenu à New Vineyard. La terre sur laquelle notre maison se tenait était vide excepté la fondation de la maison, qui avait prise feu quelque années après que ma famille soit partie. Avec curiosité, j'ai suivi le sentier que m'avait montré M. Widemouth. Une partie de moi-même s'attendait à ce qu'il saute de derrière un arbre pour me faire la peur de ma vie, mais j'ai senti qu'il était parti, attaché à la maison qui n'existait plus.

Le sentier menait au Cimetière Mémorial de New Vineyard.

J'ai remarqué que plusieurs tombe appartenaient à des enfants.
Article ajouté le Vendredi 17 Avril 2015 à 20h45 |
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L'homme joyeux.
L'information suivante est susceptible de révéler quelque chose d'important et de gâcher une surprise
Je suis le docteur Michael Knight. J'étais psychiatre au Hampstead Hospital, de la ville homonyme, dans la région de New Hampshire, depuis 1987. Le 21 Septembre 1989, nous avons reçu un patient du nom de Cynthia Vickers qui souffrait de paranoïa schizophrénique, dépression, presque toutes les maladies mentales qu'on étudie à la faculté de médecine. Si je me souviens bien, elle a été envoyée à l'hôpital suite à des plaintes des voisins, qui entendaient d'étranges bruits provenant de son appartement, couplés à une odeur horrible.

Quand ils sont arrivés, Cynthia courut hors de son habitation, couverte de sang, d'urine et d'excréments, vers les policiers, qui l'ont neutralisée puis ont fouillé son appartement. Ce qu'ils ont découvert me fait toujours trembler à ce jour : la salle de bain contenait des dizaines de chats écorchés vifs, miaulant, criant d'agonie, dans des flaques de leurs propres sang et excréments. L'officier m'a plus tard dit, toujours secoué par ce qu'il avait vu, qu'il devait bien y avoir plusieurs centimètres de sang au sol dans la petite pièce. Le même officier fut retrouvé pendu dans son armoire en 1993.

Je fut assigné en tant que le psychiatre de Cynthia. Pendant notre première séance, elle ne répondait pas, étrangement calme, presque catatonique. Au lieu de répondre à mes questions, elle me dévisageait avec ses yeux gris pâle, profondément enfoncés dans un visage presque fantomatique.

Avec le temps, elle s'ouvrit un peu plus à moi, et j'appris qu'elle avait été violée à plusieurs reprises par son père et ses trois oncles, parfois plusieurs fois de suite. Quand elle avait essayé d'en parler à sa mère, celle-ci l'aurait battue pour avoir « [répandu] des mensonges horribles » sur son père. Elle montrait des troubles de l'attachement enfant, ne montrant aucun remords à abuser et tuer de petits animaux. Adolescente, elle piégeait régulièrement des chats abandonnés pour les emmener à un hangar abandonné où elle les battait, torturait, éventuellement les tuait, pour brûler leurs cadavres après.

Quand je lui ai demandé pourquoi elle concentrait son sadisme contre les animaux envers les chats, Cynthia me dit qu'elle aimait la façon dont ils criaient. En tant que psychiatre, entendre ces confessions dérangeantes fait partie du protocole standard, mais ce fut quand elle me décrivit « l'Homme Joyeux » que mes cheveux se dressèrent sur mon crâne.

Cynthia m'expliqua que la première visite de l'Homme Joyeux à son égard se passa quand elle avait 16 ans. Elle était assise sur son porche, observant les bois derrière sa maison, quand elle entendit le rire d'un homme venir de la forêt. Elle cligna des yeux, et à l'orée de la forêt se tenait un homme grand, mince, des veines bleues serpentant sous sa peau d'un blanc maladif.

La femme me dit qu'il portait des bleus de travail sombres, presque trop grands pour lui, et tachés de sang, et que la peau de son visage avait été tirée vers le haut et agrafée, sa lèvre supérieure étant retenue par un clou, formant un rictus grotesque. En un instant, l'homme était sur le porche, juste devant Cynthia. Il se pencha en avant, et hurla « Souris ! » avant de disparaître. Cynthia me confirma qu'elle avait été visitée de nombreuses fois par l'Homme Joyeux, durant ces années, son rire de fou furieux retentissant avant son apparition.

Pendant son internement à Hampstead, Cynthia regardait beaucoup les bois entourant l'hôpital par les fenêtres, marmonnant de façon incohérente, clignant sans cesse des yeux. Quand on la laissait sortir, elle transportait en cachette de la nourriture pour essayer d'attirer des chats. Quand il lui a été demandé pourquoi elle faisait ceci à chaque sortie, Cynthia nous révéla qu'elle avait découvert, par accident, que l'Homme Joyeux était terrifié par les chats quand il l'a visitée alors qu'elle en piégeait un.

J'ai trouvé bien ironique qu'elle voyait des sauveurs dans les animaux qu'elle torturait pour son plaisir. Elle me supplia les larmes aux yeux de la laisser avoir un chat, pour la protéger. Comme c'était contre les règles d'hygiène de l'hôpital, je lui ai acheté des chats en peluche ou en plastique à la place. Elle semblait contente de ses nouveaux « gardiens » et plusieurs mois se passèrent sans incident, jusqu'au Samedi 7 Juin 1997 , où je reçus un appel à trois heures du matin.

J'ai été appelé par une infirmière hystérique qui essayait tant bien que mal d'expliquer ce qui se passait, mais les cris de Cynthia en arrière-fond rendaient l'écoute difficile, alors, je suis allé à l'hôpital en vitesse pour évaluer la situation. Quand je suis arrivé, Cynthia donnait des coups de pied dans le vide, hurlait. Alors que les infirmières la bloquaient au sol, du moins essayaient, j'ai observé qu'elle était couverte de lacérations profondes. J'ai essayé de la calmer, en vain, et je fus forcé de l'endormir par sédatifs pour que ses blessures puissent être traitées. Après qu'ils l'aient emmenée, je remarquai que les peluches de chats que je lui avait donné étaient éventrées, retournées comme des gants, et les jouets en plastiques, eux, avaient étés tranchés par ce qui semblait être des lames de rasoir, auxquelles les patients n'ont pas accès.

La semaine suivante, son état s'est détérioré et elle était tourmentée par des hallucinations auditives du rire de l'Homme Joyeux. Il semblait que chaque jour, une nouvelle coupure ou entaille apparaissait, alors je décidai de la placer sous surveillance. Je me rappelle de notre dernière séance du 16 Juin où elle m'a dit qu'elle n'avait pas fait de mal aux animaux trouvés dans son appartement. Elle dit que l'Homme Joyeux avait outrepassé sa peur des chats et viendrait bientôt pour elle. Elle entendait son rire depuis les bois.

Le lendemain, je me suis garé sur le parking du Hampstead Hospital comme tous les autres jours, mais j'ai été accueilli par des voitures de police et leur lumière clignotante bleue. Un officier me dit que Cynthia avait tué l'infirmière qui la surveillait la nuit précédente, avant de mettre fin à ses jours. J'étais en état de choc. L'officier rajouta qu'ils n'avaient pas encore trouvé l'arme du crime, mais que la tête de l'infirmière avait été comme enfoncée par un marteau ou un instrument contondant similaire.

Alors que les agent hospitaliers, pâles, emmenaient le cadavre de Cynthia à la morgue, le drap se prit dans quelque chose et révéla sa tête : la peau au coins des lèvres avait été tirée et accrochée aux tempes, et sa lèvre supérieure avait subi le même sort, accrochée sur place, révélant ses muscles faciaux ensanglantés, tordant son visage en un sourire monstrueux. Plusieurs personnes du personnel ou de la police ont couru hors du couloir pour vomir, ou se sentaient faibles à la vue de l'horrible visage. Quand j'ai demandé la cause de la mort au médecin-légiste, il me dit que c'était une combinaison d'arrêt cardiaque soudain dû au choc, et une hémorragie fatale à cause de l'auto-mutilation.

Seize ans ont passé depuis ce matin morbide et je croyais l'avoir oublié, avoir continué ma vie. Hier, on a reçu un nouveau patient : une fille de 17 ans souffrant de schizophrénie et dépression. Pendant notre première séance, je lui ai demandé si elle avait d'autres personnalités à qui elle s'associait. Elle me répondit que non... Mais ajouta qu'elle était régulièrement visitée par un homme grand, d'une pâleur maladive, en bleu de travail, avec la peau du visage tirée pour former un sourire, et que cet homme lui entaillait les bras et les jambes. J'ai senti le sang de mon visage se drainer quand elle me montra son journal, qui incluait une page avec ce dessin et une légende : « l'Homme Joyeux ». Elle me dit qu'elle pouvait l'entendre rire dans les bois, en dehors de l'hôpital. Il lui demande de sourire.
Article ajouté le Jeudi 16 Avril 2015 à 14h02 |
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Regarde dans l'appareil.
L'information suivante est susceptible de révéler quelque chose d'important et de gâcher une surprise
J'ai déménagé il y a 5 ans dans une nouvelle maison. D'étranges choses s'y sont passées ces deux dernières années. Tout a commencé en octobre 2004. J'avais remarqué d'étranges traces de pas, mais sans y faire attention, pensant qu'il y avait une explication logique à ça. Mon fils de 16 ans, Michael, dormait dans la seule chambre du RDC alors que sa petite soeur et moi-même avions nos chambres à l'étage.

Je me réveillai le lendemain et Michael dormait sur le sol de ma chambre. Il avait d'abord entendu des bruits étranges et a vu des ombres dentelées bouger dans la chambre. Il a fui sa chambre lors d'une coupure de courant. J'imagine que c'était le disjoncteur. Il a aussi senti quelque chose le toucher.

Je suis avec mon compagnon, Mike, depuis un an et il a déménagé avec moi en avril. Au début, Mike ne pouvait pas dormir à cause des bruits provenant des escaliers, comme si quelqu'un les montait et descendait constamment. Il est allé voir à chaque fois, mais il n'y avait rien. Il disait toujours, "T'as entendu ça ?" J'étais habitué à les entendre.

Il y a 4 mois, Mike était sur son ordi dans la salle à côté de la chambre de Michael et il sursauta de douleur. Il souleva son t-shirt et découvrit une griffure sanglante à l'abdomen. Il n'avait rien de tranchant à proximité et il n'y avait aucune explication à cela. Je voyais parfois des ombres du coin de l'oeil aussi, et je pensais que c'était mon imagination.

Il y a deux mois, nous étions dans notre lit à regarder la télé. La porte était sur ma gauche et je vis du coin de l'oeil une ombre bouger en direction de la chambre de ma fille. Mike sursauta et me dit qu'il l'a vu aussi. J'étais terrifiée. Je dus dormir de l'autre côté du lit.

Tout fut oublié, jusqu'à il y a deux semaines. Mike était devant son ordi, un bout de papier à dessin sur les genoux. Le papier s'envola en l'atteignant à l'oeil, lui endommageant la cornée. Il fut admis à l'hôpital et souffrait à l'agonie. Il ne comprenait pas comment le papier a pu lui atteindre l'oeil malgré l'angle sur lequel il était posé sur les genoux, mais on savait que c'était impossible, même s'il avait essayé exprès.

Je pensais d'abord à l'oeuvre d'un esprit malin ou d'un fantôme, mais maintenant je commence à être inquiète à cause de cette chose qui attaque mon homme. Il n'est plus malin, il est clairement maléfique. Je me demande si c'est cette ombre qui est toujours avec moi, que je vois du coin de l'oeil...ou si c'est quelque chose qui est déjà dans la maison.

Il y a deux jours, mon fils est sorti en hurlant de la salle de bains, disant qu'il a vu un visage ensanglanté drapé dans du tissu sale. Il s'est tué ce vendredi et nous sommes dévastés par la tristesse...et la terreur.

Sa note de suicide disait, "Je l'ai eu, maman. Regarde dans l'appareil."

http://i40.servimg.com/u/f40/09/00/69/59/regard10.jpg
Article ajouté le Mardi 14 Avril 2015 à 20h19 |
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Moe.
L'information suivante est susceptible de révéler quelque chose d'important et de gâcher une surprise
Moe est une poupée, ou plutôt, les restes d'une poupée. Il ne reste plus que la tête. Composé de "cheveux" et de 2 boutons en guise de yeux, Moe est assez connu, en raison d'une vieille histoire qui s'est passé il y a une cinquantaine d'années, dans une ferme dans le Massachusetts.

Dans cette ferme, vivait une famille, qui arrivait à bien s'en sortir financièrement. Ils avaient 2 filles, des jumelles de 13 ans, et un petit garçon, nommé Harry, qui avait 11 ans. Pour son anniversaire, ses parents on eu l'idée de lui offrir une poupée. L'enfant se sentait terriblement seul, ses parents travaillaient beaucoup, et ses soeurs ne pouvaient pas s'occuper de lui. En lui offrant cette poupée, ils espéraient que l'enfant se sente moins seul.
Harry sautait de joie, la poupée n'était guère très jolie, mais elle suffisait au garçon pour se sentir heureux et comblé. Et pendant des mois, le gamin jouait avec cette "peluche", lui parlait et lui confiait ses secrets. Ses parents étaient heureux, mais l'obsession de Harry pour le jouet les rendait un peu inquiet. Harry parlait en Moe. Quand ses parents lui demandaient quelque chose, il prenait Moe et c'était Moe qui leur répondait. Les parents trouvaient ça marrant au départ, mais plus les mois défilèrent, moins Harry ne parlait, laissant place à Moe.

Un soir, Harry réveilla ses parents, en leur disant que Moe pleurait et que ça l’empêchait de dormir. Le père se leva, furieux, et cria sur son fils, prétextant que ce n'était pas drôle. Il prit Moe, et le jeta dans le sous-sol. Harry ne disait rien, et fixait le sous-sol, Moe tout au fond. Il descenda les marches, et se mit à pleurer devant le corps inanimé de Moe.
Le matin suivant, Harry ne descendait pas de sa chambre, restant aux côtés de son jouet. D'après les dires des 2 soeurs, Harry ne semblait être pas seul. Quelqu'un lui répondait, mais ce n'était pas clair, elles n'entendaient pas de quoi ils parlaient. Les parents et les filles devenaient gênés de la présence de Moe. Toute la famille avait l'impression que Moe les regardait, partout ou ils allaient. L'une des soeurs a même un soir, eu la peur de sa vie. En marchant dans un couloir, quelqu'un lui lança un vase. Elle réussit à l'éviter, et le vase se brisa à quelques centimètres d'elle. En se retournant, elle ne vit que Moe, la fixant. La famille décida alors de brûler la poupée, ne restant que la tête de cette dernière. Le même soir, Harry fugua, et le père se mit à le suivre, en le suppliant de revenir. Le corps du père a été découvert quelques jours plus tard, prés d'un lac. Le ventre ouvert, laissant les organes a l'air libre. Le petit n'a pas été retrouvé, et la famille s'est fait plutôt discrète depuis.

Et au final, la famille mourut dans le silence, ne faisant plus jamais parler d'elle.

Quelques années plus tard, une autre famille emménagea dans la ferme. Un jeune couple, fiancé depuis peu. Quelle fut leur surprise, quand ils découvrirent une tête de poupée, par terre à l'étage. L'homme étant un collectionneur, décida de la mettre dans une salle, ou il exposait la plupart de ses trouvailles. Seulement, la femme n'était pas très rassuré. La salle se trouvait à côté du salon, et la tête ne faisait que de la fixer, quand s'asseyait pour lire un livre ou pour se reposer. L'homme, au contraire, était attiré par la tête de la poupée. Il prenait soins d'elle, et se mettait même, de temps en temps, à lui parler sous l'oeil horrifié de sa femme. Ne pouvant plus supporter cela, un soir, elle décida de prendre la poupée et de la jeter dans un lac, plus loin. Mais sur le seuil, l'attendait son mari. On découvrit le corps des 2 fiancés, dans le hall d'entré. La tête était posé sur une table, couverte de sang.

Depuis, Moe est accroché sur un des murs de la ferme, devant l'entrée. La ferme est abandonnée, et il est écrit qu'il est formellement INTERDIT de prendre la tête.

http://image.noelshack.com/minis/2013/03/1358457933-tumblr-m2e7buc82n1rsa8dgo1-500-1.png
Article ajouté le Mardi 14 Avril 2015 à 20h08 |
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La malédiction d'Akinator.
L'information suivante est susceptible de révéler quelque chose d'important et de gâcher une surprise
Si vous êtes comme je suis, vous passez le temps à surfer sur le net, dans l'espoir de trouver quelque chose à faire. Vos amis vous aident en vous envoyant des liens vers des sites web sympas. L'un de ces sites garde une entitée virtuelle nommée Akinator. J'en avais entendu parler, mais j'avais jamais essayé jusqu'au jour où des amis m'y ont poussé, un soir. Je n'oublierai jamais cette nuit ; c'était la nuit où ma santé mentale a commencé à décliner vers la folie qui l'entoure à présent. Je ne serai plus jamais capable de cesser de me demander si quelqu'un n'est pas en train de me regarder à cause de ce putain de truc, mais il fallait m'y faire. Il faut que je sois assez fort pour le réaliser. C'est juste…énervant de se sentir constamment espionné. Je vais faire de mon mieux pour vous raconter, mais uniquement parce que je veux qu'on sache l'horreur de la perte de sa propre vie privée.

Comme je le disais, tout a commencé lors d'une fête, quand mes amis m'avaient proposé d'essayer. Dans l'ambiance, j'avais décidé d'essayer avec eux. Basiquement, Akinator devine à quel personnage vous pensez. Il vous dit de penser à quelqu'un, réel ou de fiction, et vous pose une 20aine de questions pour qu'il le devine. Plus souvent qu'on le croit, il y parvient. Parfois on peut le piéger, mais pas souvent, d'après mes amis. Je commençai avec un truc facile ; comme mes potes et moi étions assez beurés, on a pensé au perso le plus drôle qui nous est venu à l'esprit sur le moment : Shrek. Le génie virtuel devina tout de suite, évidemment. Plus le perso est connu, plus vite il y arrive, je suppose. J'en flippais presque de voir à quel vitesse il avait deviné, cela dit. Mes amis ne disaient rien, mais je regardais le génie droit dans les yeux, je ne pouvais m'empêcher de remarquer qu'il me regardait intensément aussi. Mon oeil eut un spasme nerveux, mais je pense que c'est à cause de l'odeur des joints. Mes potes se marraient en me regardant regarder le génie comme un cerf regarde les lumières d'une voiture sur la route, mais ils cesserent de rire vite et l'un d'eux me demanda si j'alalis bien. Certains ont eu un rire, mais je ne leur en veut pas ; ils planaient bien à ce moment. Je ne me tourna pas vers mon pote, cela dit. Je ne lui ai pas répondu. Je continuai à regarder cet éffrayant génie. Enfin éffrayant, c'est un peu exagérer, mais je n'ai aps quitté les yeux de l'écran. C'est comme si j'avais été hypnotisé un instant. J'ai finalement fermé l'explorer et me suis remis à ma beuh, mais je n'ai pas pu sortir l'image d'Akinator de mon esprit.

Le matin suivant, je me révéillai sur le sol de ma chambre. Je ne pensais plus à Akniator, mais je me sentais horrible à cause de la nuit précédente. Je toussai beaucoup, ne voyais pas clair, et essayai de garder mon équilibre. Cependant, je me mis devant l'ordi et l'alluma. Avant même que j'ouvre Internet Explorer, une fenêtre DOS s'ouvrit à l'écran. Je restai coi un moment, puis toute une phrase s'afficha dans le terminal qui restait vide avant ça : “Jouons à un jeu. Réfléchis bien.” ça a affiché le message directement, comme sur MSN ; pas les lettres une par une. J'ai vite fermé, sans rien penser de plus. ça doit être mon imagination, puis c'est peut-être une notification Windows. J'ouvris IE, regardai mes e-mails et Facebook. Rien de neuf sur Facebook, Je revins sur Yahoo! Mail. Je vis que j'avais 3 nouveaux messages, qui semblait bêtement normaux. Mais quand je les regardai un par un, l'un d'entr eeux avait une adresse bien trop troublante pour une simple coincidence : genie@fr.akinator.com. J'ai vérifié, cet e-mail n'existe pas, et n'a jamais exsité. Je commençai à m'inquiéter, J'ouvris le mail. c'était pas grand chose, mais les seuls mots écrits m'ont fait bondir de mon siège. “Tu es sur que tu le veux ?” était affiché face à moi. Je me souvins alors de deux détails : d'abord, je n'ai jamais donné mon adresse mail à Akinator, à aucun moment, et ensuite, je réalisai ce que le terminal m'avait dit plus tôt, et que je n'avais pas de visions. Sans prévenir, je glissai, tombant de ma chaise. Je fermai l'explorer, espérant que rien d'autre n'arrive. Rien de serieux, vraiment. J'aurais qu'à me créer une nouvelle adresse mail s'il le faut.

Quelques heures plus tard, après m'être lavé et étant plus alerte, je décidai de revenir sur l'ordi, pensant que ce qui s'est passé avec Akinator n'était qu'une blague ou une erreur. Je rouvris IE, voir si un de mes potes a posté quelques photos de la soirée d'hier. Je tapai l'URL de Facebook dans la barre d'adresse, mais quand la page chargea, c'était vide. L'URL était bien www.facebook.com, mais il n'y avait rien que du blanc. Je fis "Actualiser" plus ieurs fois, mais renonça, pensant que ma connexion avait encore foiré. Juste avant le moment où j'allais fermer la fenêtre, l'URL disparut de la barre. Du texte incompréhensible avec des caractères bizarres commençaient à apparaitre, puis ça chargea le site d'Akinator. Au lieu de m'accueillir avec l'habituel “Bonjour, Je suis Akinator. Pour commencer à jouer, cliquez sur Jouer”, cela dit, il n'y avait pas de bulle de dialogue. Le genie me regarda simplement, puis finit par faire apparaît reune bulle de dialogue qui disait, “Pourquoi m'ignores-tu ? Je veux juste jouer.” Mes yeux s'écarquillèrent, et je fermai immédiatement la fenêtre. Mon coeur commença à battre, et je ne comprenais pas ce qui se passait. Avec un mal de crâne, j'allai vers la cuisine, essayant de me trouver à bouffer pour tenter d'oublier Akinator. Je pris une pomme dans le frigo et revins dans la chambre. Malgré mon bon sens, je revins sur l'ordi, m'attendant à ce que Akinator fasse du bordel. Pas cette fois-ci, et je ne sais pas pourquoi. Peut-êtr equ'il se décidait à me laisser tranquille pour l'instant…

Je surfai sur le net pendant au moins 20 minutes, pensant que toutes les traces du génie avaient disparu. J'avais tort à mort, bien sur. En regardant mes mails encore une fois, mon écran de veille s'activa tout seul sans raisons, mais il avait changé. à la place des canalisations 3D habituelles, il avait pris l'écran de veille du texte défilant. les mots sortirent doucement de la drotie de l'écran, comme si l'ordinateur me parlait. “Je te retrouverai. Joue avec moi. Tu ne me vaincras pas.” J'entendais presque sa voix me disant ça dans ma tête. J'essayai de le faire partir en fermant les yeux, comme mes parents me disaient quand j'étais petit, mais même sans voir l'écran, les mots flashaient dans ma tête comme sur l'écran de veille. Akinator brulait son image dans mon esprit, s'assurant que je me souvienne que je ne suis jamais seul.

Les choses continuèrent ainsi sur mon ordi, les jours suivants, devenant de plus en plus envahissant dans ma vie. Des pages blanches continuaient à remplacer certains sites, et je continuais à recevoir des mails du génie. Il m'avait complètement bloqué de Facebook, et j'étais sur le point de céder aux exigences qu'il mettait sur mon bureau. J'ai cru que je démolirai mon PC, essayant de me convaincre qu'il était temps que j'en change, de toutes façons. Malgré ça, je continue à sentir qu'il me suit. Il continue à me répéter qu'il “veut jouer un jeu” et que je ne le "battrai jamais”. Il a même imprimé une page de test Windows avec des morceaux de son dialogue cachés et bizarrement espacés dans la page. Ma frayeur semblait sans fin, je ne dormais plus, et me demandais tout le temps si quelqu'un m'espionnait. Mais un jour, je n'en pouvais plus. Finalement, j'avais décidé de jouer à son jeu pour mettr efin à ce cauchemar. Je pensai à un perso que je savais qu'il devinerait : Alex DeLarge d'Orange Mécanique. JE tapai l'URL d'Akinator, me disant que rien de spécial n'arriverait, vu que j'allais enfin le contenter. La page commença à charger correctement, mais soudainement prit un fond noir. Un clipart représentant un haut-parleur m'incita à monter le volume. Sans crainte du danger imminent, je tournai le volume à fond. Une voix calme, profonde, commença à me parler. Je suppose que c'était Akinator en personne.

“Salut. Tu es prêt à jouer ?” demanda-t-il.

“Pourquoi tu me fais ça ? Pourquoi ?” répondis-je en prenant le micro du PC.

“Pour voir si tu le mérites.”

“Mériter quoi ? Qu'est-ce que je peux gagner à supporter tout ça ?”

“Mériter la compréhension.”

“Compréhension de quoi, exactement ?”

“Que tu n'es pas le seul ici.”

“Ben là, je le vois bien, évidemment.”

“Non.”

“…Quoi ? Non ?”

“Non. Innaceptable.”

“Peu importe…mais oui, je suis prêt pour ton jeu à la con.”

“Bien.”

“Mais si je le fais, tu cesseras de me tourmenter ? S'il te plait ? Pour l'amour de Dieu, arrête ça !”

“J'ai déjà arrêté. Tu es à toi seul la victime et le bourreau.”

“Mais qu'est-ce que ça veut dire ?”

“Seul toi le sauras. Commençons.”

“Attends, QUOI ?? Dis-le !”

Il ne répondit pas. L'image cartoon du génie arriva dans un fondu à l'écran, entouré par sa page d'accueil habituelle. Tout semblait normal, du moins jusqu'à ce que le génie se tourna vers moi. La bulle de dialogue apparut, mais vide. Avec mon perso en tête, je commençai à répondre à ses questions. Occasionellement, des questions du genre “Est-ce que tu me détestes ?” arrivait, ce qui commençait à m'énerver. Jen avait marre de ces conneries. Il devina juste au premier round, mais après ça, les questions continuèrent. Il me demanda pourquoi je l'ignorais et si je voulais un ami à mes côtés. Je continuais à cliquer Non, étant la seule bonne chose que je puisse faire à ce moment. Après 10 questions, 10 questions sans rapport avec le perso, il s'arrêta. Le jeu se finit avec sa victoire, mais pas sur le jeu lui-même. Au lieu de son sourire ravi qu'il a lorsqu'il devine juste, il avait un sourire mauvais directement dans ma direction. La bulle de dialogue apparut, et au lieu de son speech habituel, les mots s'écrirent un par un, comme tapé sur un ordi en direct, comme s'il me parlait. “J'ai gagné, tu as perdu. La vie est courte ; prends garde à tes arrières.” et soudainement, mon écran vira au noir. l'affichage commença à se distordre, du gros bruit blanc sortit des haut-parleurs, et mon écra nafficha un écran bleu d'erreur. Plantage. Ayant expérimenté la peur durant ces derniers jours, je n'ai pas tiqué une seconde ; j'ai alors simplement réfléchi à ce qu'il avait dit.

Je n'ai pas quitté la maison depuis, mais je me demande encore : Pourquoi a-t-il fait ça ? Veut-il juste un ami ? Etait-il simplement fatigué de servir les autres pour les amuser ? Je ne le saurai jamais, et franchement, je m'en contrefous. Tout ce que je sais, c'est que je vais acheter un novueau PC, et que je ne serai plus jamais seul, grâce à Akinator. Quelqu'un sera toujours là pour regarder derrière mon épaule. Je me réveille tout le temps dans mon lit d'un seul coup les yeux grands ouverts, sachant que quelqu'un me regardait. Quelqu'un me regarde
Article ajouté le Mardi 14 Avril 2015 à 12h56 |
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Teletubbies show.
L'information suivante est susceptible de révéler quelque chose d'important et de gâcher une surprise
Il y a quelques temps J'ai retrouver une casette vidéo dans mon grenier au milieu de plusieurs vieilleries, enfant je me rapelle que je passais mon temps à enregistrer mes dessins animés préférés pour les reregarder quand je voulais, cette casette était particulière car je ne me souviens absolument pas l'avoir enregistrer, il y avait juste écrit "TELETUBBIES SHOW" au marqueur rouge, je me souviens que je regardais les télétubbies a un très très jeune age vers 3 ou 4 ans donc je ne pense pas l'avoir enregistrer moi meme.

intrigué je décidais donc de regarder la casette qui avait l'air plus ancienne que les autres, je l'ai mise donc dans mon magnétoscope que j'avais sorti pour l'occasion.

à première vue la qualité de l'image était assez mauvaise et brouillée par les parasites, néanmmoins l'épisode commença

première chose inhabituelle: le générique des télétubbies avec le soleil qui se lève, les haut-parleurs qui répètent "c'est l'heure des télétubbies" et les télétubbies qui dansent joyeusement en répétant leur noms furent tous complètement zappé.

à la place il y avait une simple image fixe d'une grande colline verte un peu brouillée et qui virait au noir et blanc à cause de la mauvaise qualité, on aurait dit un vieux film des années 30.

La colline devait etre la maison des télétubbies d'après mes souvenirs, c'était un peu bizarre que l'épisode commence de cette façon mais à ce moment je supposais que l'épisode n'avait pas été enregistré dès le début.

le cauchemar commença quand tous d'un coup une inquiétante musique se fit entendre avec une espèce de mélopée qui montait de plus en plus en intensité, ça ressemblait a une sorte de chant latin assez malsain, ceci dura environ 2 minutes puis la musique s'arreta enfin... j'étais assez confus car je ne comprenais pas vraiment le sens de tous ça, pourquoi l'image restait figée sur ce décor et pourquoi une telle musique ?

c'est alors qu'apparut à droite de l'écran en bondissant légèrement: un lapin.

c'était bien sur un des lapins brun de la série, il avançait encore jusqu'à etre à peu pret au milieu du décor en face de la colline, puis l'image changea enfin pour zoomer au haut-dessus de la colline, je distinguais juste un trou, c'était le fameux trou duquel sortait les Télétubbies à chaque fin d'épisodes.

et effectivement ils sortirent, ils étaient quatre mais je fus soudainement horrifié quand je vis leur apparence répugnante.

ils ne ressemblaient pas aux télétubbies que nous connaissons: pour commencer ils avaient tous la meme taille et de ce que je pus distinguer ils étaient d'une couleur jaunatre un peu dégueulasse, leur antennes n'étaient pas normales non plus, on aurait dit qu'ils avaient été amputé car certains portaient comme une sorte de bandage sanglant sur leur reste d'antenne, le plus inquiétant surtout était leur visages: deux gouffres noirs en guise d'yeux et un simple trou en cul-de-poule en guise de bouche, ils restaient tous immobiles fixant la caméra, j'essayais quand meme de me rassurer en me disant que c'était juste des guignols costumé et que c'était peu etre une parodie pour adulte...

les parasites firent brouiller l'image et quand l'image revint elle était comme tous à l'heure, le lapin regardait maintenant les étranges créatures et ne bougeait étrangement plus, pire encore, la musique malsaine redémarra et je crois que je commençais à me souvenir de l'avoir deja entendu quelque part, dans un film de stanley kubrick il me semble.

les "télétubbies" descendirent de la colline et se dirigaient vers le lapin, avec la musique qui montait toujours de plus en plus en intensité.

ils avançaient d'un pas très lent, après 30 secondes environ ils arrivèrent en bas et j'assistais alors a un spectacle horrifique:

Ils se saissirent du lapin toujours immobile comme paralysé par la peur et commencèrent à lui ARRACHER les membres !! la musique de plus en plus forte, puis ils le dévorèrent vivant, ils étaient tous recouvert de sang et d'horribles bruits de succions se firent entendre au milieu de la musique, mais les parasites finirent par faire disparaitre l'image.

je ne comprenais absolument pas le sens ou meme l'interet de tous ceci, ça n'avait ni queue ni tete, était ce des personnes derrière un costume ? était ce un vrai lapin ?

je pensais aussi que cette merde était enfin terminée mais une nouvelle image toujours de mauvaise qualité apparut: je distinguais alors des milliers de télétubbies, assemblé dans un décor dystopique, certains qui étaient plus proche de ma vue portaient sur leur antennes des symboles religieux comme une étoile de david ou le ying-yang, ils s'agenouillaient tous devant un écran gigantesque, sur l'écran passaient en boucle des images de ce qui semblait etre des CADAVRES d'enfants !!!!

puis l'image se brouilla pour de bon, j'utilisais donc l'avance rapide du magnétoscope pour voir si il n'y avait pas autre chose mais non il n'y avait plus rien.

j'étais perdu, qui avait enregistrer cette immondice ? comment se faisait t'il que ça trainais dans mon grenier ? qui avait diffuser ceci ?

je décidais donc d'écrire une lettre à la BBC pour en apprendre plus, je devais le savoir, je leur envoyais donc ma lettre ainsi que la casette.

j'appris également que ma mère avait acheter cette casette a une brocante qui vendait des casettes pirates.

.....

quelques semaines plus tard je reçu enfin une réponse:

"Cher Monsieur, nous ne pouvons pas vous dire qui a réaliser cette casette, en revanche nous pouvons juste vous dire que votre vie est à présent en danger, ils savent que vous nous avez envoyer la casette, ils vont venir vous chercher, vous ne pouvez pas leur échapper, vous n'avez plus beaucoup de temps à vivre, il ne fallait pas regarder la vidéo, il ne fallait pas nous l'envoyer, pourquoi avez vous fait ça ? ils sont en colère maintenant"

à l'heure actuelle ou j'écris ce texte il est très tard, je sens qu'ils viennent, ils sont la, ils vont rentrer dans ma chambre, si un jour vous tombez sur "TELETUBBIES SHOW" ne regardez pas, ne la faite pas regarder aux enfants, ils vendaient leur casette et ensuite ils espèraient que les enfants regardent, c'est comme ça qu'ils ont eut leur victimes et mon heure est enfin venue.... AU SECOURS

http://fc07.deviantart.net/fs70/i/2009/342/4/e/teletubbies_by_Yaro42.jpg
Article ajouté le Lundi 13 Avril 2015 à 23h39 |
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