Hugo-News
de Hugo Vampire

YOUPI !
JE VOUS INVITE A LA LIRE !
WAI !

Le soleil était déjà très bas dans la clairière, mais William dormait toujours, épuisé par les douleurs qui le harcelaient depuis tant de jours. Du haut de ses 10 ans, une telle douleur était insupportable
La faute, Jack, après tous ces mois de prudence
Ces mois dans lesquels Jack avait fait sien un monde inconnu où il s’était senti chez lui. C’était fini désormais. A 14 ans, Jack avait déjà disparu plusieurs semaines dans le miroir, jurant a leur grand-mère (depuis la mort de leur mère) qu’il voyageait avec l’école, allait se promener… Et toujours il a tenu son secret. Jusqu’au jour où l’impatience l’avait emporté.
Arrête, Jack, on ne peut plus rien y faire
Il se redressa et couvrit William avec son manteau. La morsure au cou de son frère était toujours présente. Et, sur l’avant-bras gauche, des poils apparaissaient déjà. Violet et noir, poussant rapidement, informant que le processus de métamorphose était en cours et fonctionnait parfaitement.
Une faute, une seule
Jack se rallongea sur l’herbe fraiche de la clairière où ils se trouvaient. Puis il regarda la Grotte Electrolithe, qu’il ne connaissait que trop bien. Il avait appris à connaître le monde étrange dans lesquels il passait tant de moment. Unys. C’est là que vivait 600 tribus différentes d’animaux, ou du moins de sorte d’animaux, appelés Pokémons. Et tous se faisaient la guerre.
Depuis la mort de leur mère, Jack pouvait se rendre à sa guise dans Unys, le magnifique monde, où seul lui vivait. Jusque maintenant.
L’impatience, Jack. Appelle la par son nom. Un de tes traits de caractère les plus marquants
Il n’avait pas oublié le visage innocent de William surgissant derrière lui dans le miroir, déformé par le verre sombre. « Où vas-tu Jack ? » Puis sa main s’était posée sur le verre froid, et William avait été entrainé dans le monde de son frère.
Petit frère.
-Il a déjà la même odeur qu’eux.
Fix se releva de la petite clairière. C’était une belle Mentali, une sorte de grand félin aux pouvoirs psychiques, à ce que savait Jack. Sa fourrure était rose, couleurs de ses bonbons préférés, et, sur sa patte arrière, la cicatrice que le piège avait laissé était encore visible. Cela faisait 1 ans et demi que Jack l’en avait délivrée ; Depuis, Fix ne le quittait plus. Elle veillait sur son sommeil, le prévenait des dangers que ses sens émoussés d’humain ne percevaient pas et lui donnait des conseils qu’il valait mieux suivre.
La faute
Jack marcha vers la grotte Electrolithe. Un Miasmasme ramassait des détritus et des immondices. Il s’éclipsa a la vue de Jack. Il rammassa son tas de saletés et partit en courant.
- Renvoie-le ! C’est à cause de lui que nous sommes là, non ? Lança Fix avec une impatience manifeste.
Jack secoua la tête.
-Il n’y a rien sur terre qui puisse le secourir.
Jack avait déjà parlé de la terre a Fix, mais elle préférait ne pas en entendre parler, du moins pas pendant ce temps de guerre, car trop de choses se passaient a Unys, et elle ne voulait pas risquer d’être tentée de disparaître à travers le miroir de Jack.
-Et ici, que crois-tu qu’il va lui arriver ?
Fix n’en dit pas plus, mais Jack savait ce qu’elle pensait. Dans ce monde ci, si ils découvraient que leur fils mutaient en Zoroark, les pères allaient jusqu’à les tuer.
Il regarda le sommet de la haute montagne ou se trouvait la grotte électrique, le soleil se levant en son sommet. Au loin, on apercevait une patrouille de Cizayox, surement en chasse de Gibier. Et, au fond de la clairière, telle des points minuscules, se tenaient les Pics de la Mort, l’endroit dont William se rappellerait toujours. Une embuscade. Des cris. Fix voulant les protéger. Un seul. Une Morsure. Un maléfice. Jack chassa ses images de sa tête. Il ne pouvait les supporter. Pas plus qu’il ne pourrait supporter la transformation de son propre frère en un monstre. En un tueur.
Un Corboss se posa à l’entrée de la grotte ; Jack le chassa avant qu’il ne puisse croasser et risquer de réveiller son frère. Il avança, et se retourna vers Fix.
-Veille sur lui, Fix.
-Ou vas-tu ? Jack ! s’exclama la belle féline si belle et si intelligente, personne ne peut plus rien pour lui !
Nous verrons, dit-il en partant. Empêche William de trouver le miroir.
Elle le suivit des yeux tandis qu’il descendait dans la grotte. Aucun homme ne s’y aventurait jamais, pas plus que les Pokémons. On racontait milles légendes sur cette grotte, et on insistait sur le fait qu’il ne fallait pas s’y rendre. Jack savait que ses rumeurs étaient fausses. Mais après tout, il ne savait pas pourquoi le miroir avait été installé dans cette tour, pas plus d’où était passé son père.
Une faute, Jack
Il la réparerait. Mais les paroles de Fix tant qu’il s’approcha du miroir.
Personne ne peut plus rien pour lui
Si elle disait vrai, il n’aurait bientôt plus de frère. Ni dans ce monde, ni dans l’autre.
La faute

La nuit respirait dans l’appartement comme un animal tapi dans l’ombre. Le tic-tac d’une pendule, le craquement du parquet quand il se glissa hors de la chambre-tout se noyait dans son silence. Mais Jack aimait la nuit. L’obscurité était comme une promesse sur sa peau. Comme un manteau en liberté et en danger.
Dehors, les étoiles pâlissaient derrière les lumières vives de la ville et le grand appartement était devenu oppressant, avec la tristesse de sa mère. Elle ne se réveilla pas quand il se faufila dans sa chambre et ouvrit le tiroir de la table de nuit. La clé était à côté des comprimés qui l’aidaient à dormir. En ressortant dans le couloir sombre, Jack sentit le froid du métal dans sa main. Dans la chambre de son frère, il y’avait encore de la lumière, comme toujours –William avait peur du noir- et Jack s’assura qu’il dormait profondément avant d’ouvrir la porte du bureau de leur père. Depuis qu’il avait disparu, sa mère n’y avait plus remis les pieds, mais ce n’était pas la première fois que Jack s’introduisait dans l’espoir d’y trouver les réponses qu’elle refusait de lui donner.
Le bureau était toujours le même, comme si Johny Selleress l’avait quitté depuis une heure, et pas un an déjà. Le gilet de laine qu’il portait souvent était posé contre le dossier de la chaise, et un sachet de thé usagé avait séché sur une assiette près du calendrier qui datait de l’année passée.
Reviens ! Jack l’écrivait avec le doigt sur les fenêtres embuées, sur le bureau poussiéreux, sur la vitrine qui abritait toujours les vieux pistolets que son père collectionnait. Mais la pièce était silencieuse et vide : Jack avait douze ans et n’avait plus de père. Il donna un coup de pied dans les tiroirs qu’il avait passé tant de nuits à fouiller en vain. Dans un accès de colère muette, il fit tomber des étagères des livres et des magazines, arracha les maquettes d’avions suspendues au-dessus du bureau et eut honte de la fierté qu’il avait éprouvée quand son père lui avait permis d’en peindre une en rouge.
Reviens ! Il voulait le crier dans les rues qui, sept étages plus bas, traçaient des trouées de lumière entre les blocs d’immeuble, le crier aux milles fenêtres qui découpaient dans la nuit des carrés lumineux.
Une feuille de papier tomba d’un livre tomba d’un livre et atterrit sur les réacteurs d’un des avions. Jack ne la ramassa que parce qu’il avait cru reconnaître l’écriture de son père, mais il ne tarda pas a constater son erreur. Des symboles et des équations, et, bizarrement, deux dessins de dragons, l’un blanc, l’un noir, que Jack n’avait jamais vu ornaient la feuille. Tout cela n’avait aucun sens. Sauf la phrase qu’il découvrit au dos de la feuille.
Le miroir ne s’ouvre que pour celui qui ne s’y voit pas
Jack se retourna et son reflet dans le miroir lui renvoya son regard.
Le miroir. Il se souvenait encore du jour où son père l’avait accroché. Tel un œil brillant entre les étagères. Un abîme de verre dans lequel se reflétait, déformé, tout ce que Johny Selleress avait laissé derrière lui : Son bureau, ses vieux pistolets, ses livres… et son fils ainé.
Le verre était si irrégulier qu’on avait du mal à s’y reconnaître ; il était plus foncé que les miroirs habituels, mais la guirlande de roses qui s’enroulait autour du cadre argenté avait l’air si vraie qu’on s’attendait à les voir se faner d’un moment à l’autre.
Jack ferma les yeux.
Il tourna le dos au miroir.
Chercha derrière le cadre pour voir s’il n’y avait pas une serrure ou un cadenas.
Rien.
Il ne voyait toujours que son propre reflet.
Jack mit un certain temps à comprendre.
Le miroir ne s’ouvre que pour celui qui ne s’y voit pas
Sa main était à peine assez grande pour cacher l’image déformée de son visage, mais le verre adhéra soudain a ses doigts, comme s’il n’avait attendu que lui, et il découvrit alors dans le miroir une pièce qui n’était plus le bureau de son père.
Jack se retourna.
Des étincelles jaillissaient de partout. Ses pieds nus étaient posés sur de la roche couverte d’étincelles et de pierres étranges. Ils étaient dans une grotte, du moins la partie d’une grotte, qui faisait la taille du bureau de son père. A l’emplacement où, d’habitude, se trouvait la porte de son père se tenaient une crevasse. De partout des rochers couleur d’azur lâchaient des étincelles. Le miroir était sur une paroi de la grotte, et Jack vit son reflet terrorisé a l’intérieur.
Mais Jack aimait la peur, elle le poussait à avancer, à visiter des lieux sombres et inconnu. Un plus gros flot d’étincelle jaillit. De ses étincelles, une sorte d’araignée Jaune en sortit et sauta sur Jack. La bête se faufila dans sa manche de chemise de pyjama. Elle était jaune, et avait des yeux bleus. Elle semblait crier « Stati ! Statitik ! » Puis elle le mordit. De toute ses forces. Jack hurla et essaya de se débarrasser du parasite sans vraiment y parvenir, et regarda le miroir. Le miroir ! Il tendit la main, dans un dernier effort, et toucha le miroir.
Pour se retrouver affaler contre le parquet glacé de l’habituel bureau de son père, revoir les étagères démolies et les livres jonchant le sol. La plaie que lui avait infligée l’étrange araignée jaune était toujours présente, et elle saignait abondamment.
-Jack ?
Il entendit son petit frère appelant derrière la porte. Il l’ouvrit et aperçut son petit frère, tout tremblant et complètement affolé. Il avait refait un cauchemar. Encore une fois. Son frère le rassura, et, quand il tenta de regarder le bureau de son papa, Jack le referma, devant la mine déconfite de son frère.
Quand William prit la main de son frère, il remarqua le sang et l’interrogea du regard. Mais Jack ne dit rien.
Ce que le miroir lui avait montré lui appartenait. A lui seul.

J'aimerai une aide GFX pour un :
Lien ou le telecharger
Comment on fait
Pour le rendre jolie

Vive cette journée :
0 en Maths : Imcomréhension
2,5/5 en Francais : Je me suis gouré sur un mot.
Et apres les profs me marquent : Très bon travail !
Bon ben si ils veulent ^^'

/!\
Voici 3 énigmes, qui se devront d'être déchifrées, pour etre récompensé...

Un beau Matin,
La vie me parut,
Triste et Sale !
Mais je suis intelligent,
Je suis rusé,
J'ai feinté,
J'ai trouvé la victoire.

/5


Comment ?!
Tu dis pouvoir nager !
Toi Rose ? Et toi Bleu ? JAUNE ?!
Mais quel est ce cirque !!!
/2


Réunion,
Je regardais tous ces gens haut placés,
et moi a leur côté,
pour discuter,
et les commander.
/0.5

EDIT :
Quelque nouvelles énigmes !

Victoire !
Victoire !
Victoire !
N'est je pas le droit de libérer mon feu ardent ?
Trépident, rigolant ?
/0.5


Serpentez les les ténèbres,regardez le site 2, Le site 5, et pourquoi pas le 3 ?
Serait ce trop simple ? Ne vous laissez pas prendre...
/5


Jamais, je n'aurai cru, etre sensible a ses choses,
Ai je été trop simple de moi, trop ténébreux, ai je avouer mes horreurs au monde ?
Jamais je ne pensais bruler ainsi, me piquer au jaune, me faire des lèvres ideuse.
Non, jamais, a la place, j'aurai tiré avec mon Canon...
/7

Voilà ! Donnez le numéro de pokédex de chaue pokémon dans ses enigmes !
Reponse par mP

Formulaire a rendre par MP :
Seul un seul formulaire sera accepté !
Réfléchissez bien !!!!
Aucun formulaire ne pourra etre refait ou retravailler...

Je commence Une fic a Chapitre !
J'en ferai environ 25.
Prologue :
Les scientifiques du Labo P2 se hâtaient de voir leur nouveau Cobaye. Ils se pressèrent près de la jeune Isuke, qui tenait un petit carton dans ses mains. A l’intérieur, une petite fille de deux ans suçait tristement son pouce. Un scientifique intervint, son Capidextre a ses côtés :
« Isuke ! Tu n’y penses pas ! Il s’agit de ta fille !
-Elle ne l’est plus, à présent, rétorqua t’elle
-Mais enfin, tu sais bien que nos expériences vont détruire la vie de cette petite ! »
Isuke rigola et annonça que cela lui était bien égal. Puis, elle déposa le poupon à l’intérieur d’une étrange machine. A la vue d’être enfermée, la petite pleura, ce qui lui valut une claque de sa propre mère. Puis la mère referma la machine sur sa fille.
« Apporter le Givrali ! ordonna-t-elle »
Une assistante arriva en tenant un bébé Givrali dans ses bras. Isuke le prit et le déposa dans une coque de l’autre côté de la machine. A l’intérieur, Givrali vit à travers une petite cage une petite fille blonde en train de pleurer.
Isuke s’éloigna et demanda à la petite assistante de surveiller la machine. Puis, elle se rendit derrière un ordinateur, et toucha un petit bouton. La machine contenant les deux petits se mit à vibrer, puis des étincelles en jaillirent. L’assistante fut tuée sur le coup, mais les autres scientifiques s’abritèrent. Au bout de quelque minute de défaillance, la machine se calma. Puis bientôt elle s’arrêta. Isuke était sûre de retrouver sa fille morte. Elle s’avança vers la machine et l’ouvrit. Mais plus rien n’était à l’intérieur.
Un scientifique intervint :
« Qu’est-ce que…
-John, fermez là, pour une fois, lui répondit Isuke »
Qu’avait-il pût se passer ? Comment la petite et le Givrali avait pût fuir ?
Mais Isuke se demanda, est ce que, par hasard, l’opération aurait-elle réussie ?
Ses questions ne seraient pas résolues de ci-tôt.
Elle traversa le laboratoire et arriva devant une petite boîte, contenant un œuf de Pokémon.
« Emmenez-moi un nourrisson ! ordonna-t-elle. »
Un scientifique s’approcha, un tout petit bébé dans les mains. Isuke le prit, et, sans aucune peine, lui tordit le cou. Après, elle prit une seringue, qui trainait là, et aspira l’ADN de l’enfant. Puis elle planta l’aiguille en plein dans l’œuf. Elle avait fait sa deuxième opération de la journée… Elle en était fière ! Elle regarda ses servants et leur ordonna de partir, de toute façon ils n’étaient plus d’aucune utilité. Le projet Fusion venait de commencer…


Prolongement du Prologue !

Arianna avait réussie à s’enfuir. Elle ne savait pas du tout comment ni pourquoi, mais elle l’avait fait. Maintenant, elle avait froid. Très froid. Elle n’avait que deux ans, et elle s’était perdu dans les roches sinueuses et les falaises étranges de l’endroit où elle se trouvait. Mais elle n’avait pas peur, elle entendait en elle une voix. C’était bizarre, certes, mais cette voix était rassurante et lui disait où aller pour trouver son chemin. Arianna était bien contente d’avoir un allié « Voix Magique Dans L’esprit des Gens qui leur dit où aller »
Mais elle pensa soudain à essayer de contacter cette voix étrange.
- Voix ? demanda Arianna.
-Je ne suis pas une voix, je suis une vraie personne !
-Mais pourquoi tu es dans mon corps ?
-Nous avons été fusionnés, tu ne te rappelles pas ?
-Je me rappelle que ma Maman m’a pris et m’a mis dans une vilaine machine ! Mais dit moi, si on a été fusionnés, comme tu dis, cela veut dire que tu prendras aussi parfois mon corps ?
-Non. J’ai été réduit a l’était d’âme, et toi au corps. Je suis un Givrali.
-Tu es un Pokémon ? Et tu sais quoi, on pourrait faire un contrat ! Le jour, je prendrai le corps, et quand je dormirai tu prendras le corps !
-Pourquoi pas… J’accepte !
C’est ainsi que fut formé un pacte, le pacte de la Fusion.
Fin du Prologue.

Bonne lecture :
Nick se sentait fatigué. Il en avait assez de courir par ci par là. Son travail d'écrivain le forçait à se promener dans tous Unys, accompagné de son fidèle Mastouffe. Il s'était arrêté dans une auberge de la ville de Flocombe, car il devait s'y rendre pour son roman sur la neige, et était allongé dans son lit. Il était vêtu d'un polaire et d'un jeans, et ses cheveux mi- longs blonds lui tombaient partout sur le visage. Son Mastouffe dormait au pied du lit. Nick entendit des pas rapides dans le couloir, et la porte de sa chambre s'ouvrit a la volée.
-Nick ! cria la grosse femme qui gardait l'auberge.
Il la regarda et lui demanda ce qui se passait.
Mais elle ne répondit pas et se jeta à ses pieds.
-Nick, j'ai entendu parler de vos connaissances... et j'ai besoin de votre aide. Ma fille va être tuée en sacrifice, pour le spectre glacé qui hante la ville
- Pardon ?! Pourquoi devrait-elle être tuée ?! Qui est ce spectre ?
-On pense que c'est un Pokémon glace, mais un fantôme. Il hante la ville, et, tous les 1er décembre, un sacrifice a lieu, et c'est ma fille qui a été choisie !!!
Et elle fondit en larme. Nick tenta de la réconforter puis sort de la chambre, saisit son manteau, appelle son Mastouffe et se rend en ville.
Bizarrement elle est déserte. La neige pleine de boue avait-elle chassée les habitants ? Ou était cette mystérieuse malédiction ?
Une femme passa en trombe devant Nick, en hurlant :
-Il arrive ! Courrez !
Nick ne comprit pas. Il commença à entendre un petit bourdonnement dans ses oreilles. Soudan le bourdonnement devint plus intensif, jusqu’à devenir un horrible cri aigu, qui le cloua sur place.Il serra les dents, voulut rentrer dans l'auberge, revoir sa chambre d'hôte, mais lui et son Mastouffe faiblissaient. La dernière chose que Tamtam entendit fut un son indistinct voulant a peu près dire :
- A l'aide, aidez-moi, sauve-moi...
Puis, il s'évanouit.

Nick se réveilla dans son lit, a Flocombe. Avait-il rêvé ? Pourtant, tous semblait si réel... Mais tous les évènements s'étaient passés très vite...
La grosse dame apparut a la porte de sa chambre, les yeux rouges.
-Nick, dit-elle, est ce que vous allez mieux ?
-Moi ? Mais je n'ai rien ! J'ai juste fait un cauchemar !
-Je vous ai trouvés devant ma porte, évanoui
Donc tout ceci n'était pas un rêve ! Mais alors qui était ce mystérieux Pokémon qui lui avait parlé...
-Avez-vous trouvez une façon de sauver ma fille ?
Nick répondit que non, ce qui fit fondre encore plus la femme en larme, puis il demanda à avoir plus de renseignements sur les apparitions de ce mystérieux spectre.
-Il a lieu dans deux jours, et se tient devant le lac glacé. On emmène le ou la sacrifié et on l'approche du lac, puis on le dégèle avec des Lance flamme, et on jette le condamné dedans..
-Mais d'où vient une telle barbarie ? Ce spectre a-t-il jamais réclamé des sacrifices ? Il est temps que je mène l'enquête sur le mystère de cette ville !
-Mais s'il vous plait… aidez ma fille !
-Je le ferai, d'ailleurs, elle va m'accompagner au lac de Glace
La femme hocha la tête et se hâta d’aller chercher sa fille.
Quelque minute plus tard, elle ramena une jeune fille de l'âge de 16 ans, le même âge que celui de Nick. Elle était gracieuse et avait de longs cheveux blonds. Il apprit qu'elle s'appelait Appoline
-S'il vous plait, aidez-moi ! dit-elle
Il le lui jura et tous deux sortirent. Les rues étaient toujours désertes.
-Dis-moi, demanda Nick, est ce que tu sais pourquoi les rues sont vides?
-Oui, car on approche du 1er décembre, et c'est la date de la sortie du monstre...
-Mais qui est ce monstre ? Que vous as-t-il fait ?
-Et bien, tout a commencé un soir, le 1er décembre. Zhu (notre champion d'arène) était absent. Des petits filous, et moi y compris, sont entrés alors dans la tour Dragospire, domaine gardé normalement par Zhu. Nous avons joué et ri, puis nous sommes partis. Et en partant, un de mes amis a trébuché sur une pierre, et de cette pierre est né le fantôme. Puis il est sorti en ville, et tout le monde a été terrorisé, alors, les villageois ont décrétés que tous les enfants présents dans la tour devaient se rendre compte de leurs actes en étant tués... Cinq de mes amis sont morts, je suis la sixième.
-Mais ce monstre vous as-t-il fait quelque chose ? A vous ou au village ?
-Non, mais tout le monde a peur ...Je pense que les gens seraient plus rassurés si ils savaient qu’aucun spectre ne rodait en ville, et ils se sont mis dans la tête qu’en nous tuant tous, le spectre partirait…
Ils arrivèrent au lac de glace. C'était un grand lac entièrement glacé.
Mais Nick ne le contempla pas, pas plus que Appoline. Ils commençait a entendre l’affreux bourdonnement. Appoline se mit à hurler, car le bruit insoutenable que Nick avait déjà entendu reprit. Puis, Nick et Appoline entendirent quelque chose à travers le bourdonnement :
-Aidez-moi, je vous en prie... Je veux rentrer chez moi... je ne veux plus être la source de terreur, je ne veux plus de ces massacres... Si un autre massacre a lieu... Je ne le supporterai pas.
Après ce message, Appoline et Nick ne s'évanouirent pas, bien que le bruit les avaient heurtés.
-Tu... tu as entendu ? demanda Appoline
-Oui... Est-ce que c'était le spectre ?
-Je pense... crois-tu qu'il est gentil, dans le fond ?
-Je pense surtout que personne n'a jamais prouvé qu'il fût méchant. A mon avis, je vais avoir besoin de faire des recherches ce soir.
Elle lui proposa de l'aider. Nick accepta. Il rentra à l'auberge avec Appoline et Mastouffe. Ils mangèrent tout deux rapidement puis montèrent dans la chambre de Nick, et commencèrent des recherches sur les Pokémon de type Glace ou spectre. Comment pouvait bien s'appeler le Pokémon ? Était-ce vraiment un Pokémon ?
Après plusieurs heures de travail, Nick annonça :
-Bingo ! J'ai trouvé !
Il tendit un livre à Appoline, elle lut :

Momartik, Pokémon spectre et Glace. Un Pokémon très rare ne vivant que dans des milieux froid. C'est l'évolution de Stalgamin en contact avec une pierre Aube. Il a la faculté de parler avec les humains par la pensée.
-C'est ça ! J'en suis sûr ! Et la pierre que mon ami a fait basculer était une pierre Aube ! Et un Stalgamin devait se trouver à proximité !
-Mais oui ! Reste à expliquer ca au villageois.
-Oui, et à faire rentrer Momartik chez lui...
Ils sortirent tous deux de la maison, bien qu'il fasse nuit noire. Ils se rendirent au lac de Glace, et appelèrent Momartik de toutes leurs forces, mais rien ne répondit. Ils patientèrent là un bon moment, quand ils ressentirent soudain le bruit annonçant la venue d'une vision
-Qu'y a-t-il ? demanda Momartik
-Il faut que tu rentres chez toi, dit Nick! Si tu rentres, plus personne ne sera tué !
-Vous voulez que je retourne dans la tour ?
-Oui !
-Bien...
Et Momartik disparut. Appoline et Nick se regardèrent, puis rentrèrent.
Le lendemain, tous deux firent une annonce. Appoline commença :
-A tous les habitants, j'ai la bienheureuse nouvelle que le spectre ne nous embêtera plus ! Nous l'avons remis dans la tour Dragospire !
Tous les habitants crièrent de joie, puis revint la colère :
-Et qui ne nous dit que tu ne dis ça que pour ne pas mourir. ! demanda un des villageois.
Elle ne répondit pas mais sortit une Poké-ball, qu'elle jeta. Momartik en sortit. Nick et elle sourirent...
-J'ai capturé ce Pokémon hier soir dans la tour, avec Nick, après lui avoir demandé de s'y rendre. Il a accepté de nous suivre.
-Tu as capturé un monstre ! Tu dois partir, cria un villageois.
-C'est ce que je compte faire ! Je vais accompagner Nick, et je serai son assistante !
Tous les habitants se regardèrent et en conclurent que c’était la meilleure chose à faire
Puis elle et Nick rentrèrent à l'auberge. Appoline fit des adieux émouvant a sa mère, puis partit avec Nick.
-Nick ? demanda-t-elle quand ils sortirent de Flocombe
-Oui ?
-Merci. Merci pour tout.
Il sourit. Elle aussi.

Je continue de recruter !
Je recherche encore
Un correcteur de Fanfic
Un fournisseur d'images
Un humoriste
Un modos
Pour mon blog !
PS: Tous les membres recevront un shiny Mercredi...

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