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Bienvenue à Aol, Région antique, dans l'antre du Lugia psychopathe
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Bêta chapitre des chroniques d'Aol !
Je vous l'avais promis, voici la fic suivant le scénario de pokémon version ténèbres et lumière. Cet article sera supprimé, c'est juste pour les bêta lecteurs en attendant sa validation ^^ Sur ce, bonne lecture ! ^^



Chroniques d’Aol


Aol… Une région sauvage, une immense île située entre toutes les autres… Emplie de mystères et de légendes, cette région abrite également le hameau d’Aridossile. C’est ici que vit Erabareta, une jeune fille sans histoire, aux côtés de son père et du prof. Boneau… Alors que rien ne semblait la pousser à quitter sa ville natale, le destin, cruel farceur, allait lui faire vivre la plus incroyable des aventures…
Préparez-vous à suivre l’odyssée d’Erabareta à travers Aol, une histoire remplie de découvertes, de rencontres, de dangers, de combats, et de ténèbres…
Vous verrez alors que le monde que vous croyiez connaître est bien plus sombre qu’il n’y paraît…

La marque des ténèbres



Rien… Le chaos… Ni chaleur… Ni fraicheur… Pas de lumière, que les ténèbres… Rien n’existait, la pénombre à perte de vue… Soudain, dans cet univers sans vie et couleur, elle arriva, englobant tout cet espace, illuminant l’univers, la lumière fut…

« DEBOUT LE RONFLEX ! »
Surprise, la jeune fille se leva en sursaut de son lit et en bascula.
« Eh oui, il est déjà 10 heures, il est temps de se lever ! Allez, habille-toi, je t’attends en bas.
-D’accord p’pa. »
L’homme, la trentaine, les cheveux noirs, chemise blanche, descendit alors les marches de la chambre. La jeune fille se releva. Elle se nommait Erabareta, 12 ans, cheveux très longs, noirs, et les yeux de la même couleur. Elle était née à Aridossile, et y avait toujours vécue. Son père était au foyer et s’occupait d’elle et de sa petite sœur, âgée de 6 ans. Sa mère travaillait en temps que championne de la ville de Port-Azur, la plus grosse ville de la région, un immense port ouvert sur le monde entier, où se tiennent plein d’échanges en tous genre, situé pas très loin d’Aridossile.

Erabareta fouilla dans sa commode et pris une robe courte jaune clair, l’attacha avec un ruban rose autour de sa taille puis enfila ses bottes de cuir brun, ses bottes fétiches. Elle pris son sac de cuir, une petite pochette en bandoulière, de couleur marron, avec des sangles rose. Elle pris ensuite son chapeau de paille, avec un ruban rose dessus.
Une fois habillée, elle pris les escaliers et alla dans le salon où son père, attablé, l’attendait.
« Eh bien, tu en as mis du temps ! Si tu cherches ta sœur, elle est partie se baigner dans l’étang, comme d’habitude. Quant au professeur, je suppose qu’il est toujours en train de gratter le sol dans le site de fouilles, comme il le fait si bien… Allez, va t’amuser. »
La demoiselle hocha la tête et traversa la maison avant d’ouvrir la porte.

Aridossile… Ce hameau, situé au fin fond du ravin, une spécialité de la région la traversant de l’ouest à son centre, ne posséde que deux maisons identiques, assez espacées, le laboratoire du professeur Boneau, le bâtiment recouvrant l’entrée du site de fouilles, et un grand étang. Le ravin étant en pente douce, Aridossile est entièrement sèche, pas une touffe d’herbe n’y pousse. Seul la terre et les cailloux règnent en maître ici. Erabareta ne sait ce qui a pu pousser ses parents à vivre ici : reculé de tout, cerné entre les parois du ravin, aucune activité, hormis la baignade, n’y est possible…
Les deux maisons d’aridossiles ont toujours été là dans ses souvenirs. Toutes deux en bois, surmontées d’un toit rouge, avec une base en pierre, possédant un grenier… Dans cette maison habite un vieil homme, assez aigri, avec qui elle n’a jamais pu réellement discuter…
Son regard tourna alors vers le laboratoire. Ce bâtiment, bien que délabré, au crépis effrité, aux murs fissurés, et à la fenêtre brisée, est assez récent. C’est le professeur qui l’avait fait construire, il y a 6 ans, avant que sa sœur ne vienne au monde. Le professeur… Cet homme, le crâne dégarni, les cheveux gris, possède une bien grande vigueur et énergie pour son âge.
Cet homme complètement fêlé des fossiles s’installa ici afin de chercher des fossiles. En effet, étant en dessous du niveau de la mer, et Aridossile étant assez aride, l’endroit est idéal pour chercher des restes de Pokémon préhistoriques. D’ailleurs, étant petite, Erabareta aidait souvent le chercheur, même si la plupart des fossiles trouvés n’étaient que des morceaux de fossiles nautiles ou dômes. Le temps passa, et la recherche de fossile et l’assistance du professeur devinrent les activités principales, si bien qu’elle n’aspirait à rien d’autre plus tard, pas même à quitter sa ville natale ou à devenir dresseuse…
Depuis qu’elle avait connu le professeur, le visage de la ville changea : des trous étaient apparus de-ci de-là, et, depuis quelques temps, un bâtiment entièrement en acier surplombait la ville, entouré d’une clôture en bois. Devant le bâtiment, derrière la cloture, un empilement de caisses contenant des outils de fossoyage dont certains trainaient à même la terre : eh oui, le prof. N’était pas très soigneux en plus d’être sans cesse excité, excentrique et tête en l’air, mais ça, elle avait appris à l’apprécier.

Erabareta se dirigea donc vers l’étang, là ou nageait sa sœur. Cette étendue d’eau devenait de plus en plus profonde vers son centre. Petite, elle avait déjà essayé d’en toucher le fond, mais l’étang est si profond en son centre qu’il semble être sans fin.
« Eh sœurette ! Lui cria sa petite sœur, une petite fille aux cheveux noirs, flottant dans une grosse bouée rose. Tu viens te baigner ? Elle est bonne ! »

Soudain, une vois sorti des tréfonds du site de fouille :
« ERABARETA !!! »
Avant même de pouvoir réagir, le prof. surgit du bâtiment, regarda les alentours précipitamment, avant d’apercevoir la jeune fille.
« AH ! Te voilà ! Vite, dépêche toi !!! »
Avant même d’avoir pu réagir, le scientifique fonça vers elle, lui attrapa le poignet, et l’embarqua à toute vitesse dans le site de fouille sans lui demander son reste. A peine arrivé au fond du court tunnel, le chercheur la lâcha avant de sautiller de joie et de s’écrier :
« Regarde moi ça ! C’est la plus grande découverte de toute ma vie ! » En effet, trois fossiles différents étaient visibles sur la parois fraichement taillée. L’homme pris les trois fossiles, puis repris de nouveau la jeune fille par le poignet avant de ce précipiter vers la surface, puis au laboratoire. A l’intérieur, il lâcha son assistante avant de poser les trois fossiles sur une table.
« Erabareta, c’est un jour historique ! Enfin, après tant d’années de recherches, je crois que nous touchons au but ! D’après mes premières observations, ces fossiles sont uniques au monde ! » Il se retourna alors vers une immense machine trônant au fond du laboratoire.
« Cette machine que tu vois là fais parti des premières machines servant à restaurer des fossiles à partir de leur ADN ! Je faisais parti de l’équipe qui travaillait sur ce projet il y a longtemps, aujourd’hui, chaque région possède le sien. Celle-ci n’a jamais servi, ça sera l’occasion de l’utiliser ! » Il se tourna de nouveau vers Erabareta.
« Erabareta, ma chère assistante, comme tu m’as aidé pendant plusieurs années, je vais te laisser l’honneur de choisir le premier de ces trois fossiles qui sera restauré ! En effet, si dans le passé, nous devions imaginer et supposer comment pouvaient vivre ces créatures, et à quoi elles ressemblaient, aujourd’hui, nous pouvons observer directement leur comportement ! Allez, va très chère, choisis le premier !
-D’accord » se contenta-elle de répondre, encore abasourdie par ces évènements arrivés précipitamment. Elle se dirigea donc vers la fameuse table.
Le premier fossile semblait être des branches prises dans la roche, qui était légèrement charbonneuse. Ce devait être sans aucun doute le fossile d’un Pokémon de type plante.
Le deuxième fossile présenté était un crâne assez petit et peu distinguable, seul deux incisives carrées étaient vraiment observables. La roche était noire et dure, comme si il s’agissait de roche volcanique, ce qui semblait indiquer qu’il s’agissait d’un Pokémon de type feu.
Le troisième et dernier fossile n’avait qu’un tentacule de visible. La roche était d’avantage calcareuse que les autres, peut-être un Pokémon de type eau…

Le quel choisir parmi ces trois là ? Le Pokémon eau se sentirait peut-être bien avec l’étang, mais il risquerait de s’enfuir ; le Pokémon feu ne risquerait-il pas de mettre le feu aux maisons ?

Finalement, après une hésitation assez courte, elle décida de prendre le fossile contenant des branches, elle qui n’avait jamais vraiment vu d’herbe, ne s’aventurant jamais au-delà du laboratoire. Elle le confia donc au professeur.
« D’accord, tu as donc choisi ce fossile. Parfait ! Je vais le placer de ce pas dans la machine ! Je suis tout excité ! » En effet, le scientifique tremblait d’émotion, et sautillait presque sur place ! Il ouvrit le capo de la machine, y introduisit le fossile, referma la machine, puis tapa sur un clavier des informations. Aussitôt, la machine s’emballa dans un grand boucan, faisait plein de lumières dans tous les sens, et vibrant plus qu’une attaque ampleur ! Soudain, le capo s’ouvrit seul dans un nuage de fumée. Quand elle se dissipa, une petite créature se trouvait à la place du fossile. Ce Pokémon, quadrupède, avait une bouille adorable. Il avait une feuille simple sur la tête, et son dos était hérissé de branches qui semblaient mortes. Il regarda Erabareta dans les yeux avant de pousser un petit « Hériiiii ! » absolument adorable.
Alors qu’Erabareta regardait attendrie ce petit Pokémon, le prof., lui, s’extasiait :
« AH AH ! J’ai réussi !!! Ce Pokémon était bel et bien totalement inconnu au monde !!! Je vais enfin être célèbre ! Vite, restaurons les deux autres ! »
Sur ces mots, il fit descendre le petit Pokémon qui, paniqué, se cacha sous une table près de l’entrée. Sans y faire attention, le prof. pris les deux autres fossiles et les glissa dans la machine, avant de la refermer et de refaire la manipulation faite précédemment, sous l’œil ahuri de la jeune fille. La machine s’enclencha, se mit à vibrer, à faire un boucan inaudible et à projeter des flash lumineux, quand soudain, tout cessa, et le labo plongea dans le noir le plus total.

Un silence pesant se fit connaître pendant quelques secondes. Le prof., surpris par cet incident inattendu, finit par dire :
« Mais… Que s’est-il passé ? Les plombs on sautés ? Allons voir les dégâts dehors… »
Tous deux prirent la sortie, et une fois dehors, le chercheur se mit à observer les autres maisons. Erabareta, quant à elle, leva les yeux et vit le ciel : il était noir, recouvert de sombres et inquiétants nuages d’orage, prêts à déverser une pluie d’éclairs. On entendait le ciel gronder de manière menaçante… C’était la première fois qu’elle vit cela, ce qui ne présageait rien de bon…
La sortant de sa rêverie, le vieil homme lui déclara : « Ca ne vient pas du labo, mais de la centrale, sans aucun doute. Erabareta, pourrais-tu y jeter un coup d’œil, voir ce qui se passe ? Je vais essayer de relancer la machine. » Et sur ces mots, il se dirigea vers la porte du labo, mais une fois sur le seuil : « Ah, maintenant que j’y pense, vu que tu n’as pas de Pokémon, ne va pas dans les hautes herbes ! Ca peut être dangereux ! Et si tu ne sais pas où est la centrale, elle est juste à côté de la ville, un sentier y mène. » Puis il rentra.

Erabareta se dirigea donc vers la sortie de la ville, première fois qu’elle mus les pieds ici, ses parents l’en ayant toujours empêché, ayant peur qu’elle ne se blesse, des Pokémon sauvages vivants ici lui disait-on…
Elle suivis un long sentier serpentant au milieu des hautes herbes, inquiète ; en effet, elle craignait qu’un Pokémon venu de nulle part se jette sur elle. L’ambiance était pesante, l’atmosphère lourde, aucun bruit, seulement le son sourd du tonnerre au loin…
Elle arriva finalement devant la centrale. Elle était sur un promontoire rocheux. C’était un imposant bâtiment, avec une baie vitrée, fait de verre, de béton et de métal… L’intérieur semblait noir… Elle poussa la porte d’acier, et se retrouva à l’intérieur… Il faisait noir, on ne voyait même pas devant soi ; des éclairs jaillissaient au fond de la centrale, tendis que des bruits et cris étranges et terrifiants se faisaient entendre.
Paniquée, la jeune fille ressorti précipitamment du bâtiment, et se retrouva nez à nez avec un jeune homme blond, habillé d’un sweet rouge, d’un pantacourt noir, des chaussures rouge et blanches, une casquette jaune et noir, et un sac gris sur le dos. Il semblait avoir une vingtaine d’années.
Le jeune homme la regarda d’un air ahuri, surpris de cette rencontre.
« Mais t’es qui toi ? Qu’est-ce que tu fabriques ici ? » Il la toisa de bas en haut, la regardant d’un air de dédain, comme s’il se sentait supérieur.
« J’habite à côté, le professeur Boneau m’a demandé d’aller voir ce qui se passait. Répondit la jeune fille.
-Ah, je vois… Donc le prof. Boneau envoie une gamine pour voir ce qui se passe à la centrale… Pffff… ça ne m’étonne même pas ! Et tu n’as pas de Pokémon j’imagine ?
-Euh… non… déclara timidement la jeune fille, visiblement gênée. Le jeune home leva les yeux au ciel, l’air de dire « mais qu’est-ce que je fais ici avec cette fille moi ? »
-Ok, je m’en doutais… Bon, bah puisque t’es là, autant te laisser faire ce que t’avais à faire… Laisse moi deviner, il fait sombre, et on entend des bruits qui font peur ? lâcha-t-il d’un ton cynique et mauvais. Allez, tiens, cadeau, je te file ça… » Il sorti alors de son sac une lampe torche qu’il tendit à Erabareta, la regardant d’un air navré. Cette dernière attrapa la lampe.
« C’est une lampe torche, ça te permettra de voir un peu devant toi. Ca vaut pas flash, mais au moins, tu verras où tu mettra les pieds… » La jeune fille le regarda sans dire un mot. « Eh oh ! Tu fais quoi là ? Vas-y donc quoi ! J’vais pas rester là comme un ramoloss à te regarder hein ! »
Erabareta se retourna donc et rentra de nouveau dans la centrale, légèrement énervée. Mais pour qui se prenait cet homme pour lui parler sur ce ton ?! Elle avança donc doucement et prudemment dans la centrale, se rapprochant du fond, la lampe à la fin. Soudain, un cri retentît, la stoppant net. D’abord, deux/trois étincelles jaillirent, puis une pluie d’éclairs dévoila dans sa lueur un immense Pokémon jaune, couleur foudre, avec un long bec orangé et des yeux perçants. Il se mit à crier un puissant et terrible « ELEKTOOOOOOOR !!! » avant de se lever dans les cieux, bâtant ce qui semblait être des ailes, d’un aspect crénelé, non plumeux. Le Pokémon s’envola alors, passant par une lucarne au plafond qui était ouverte. L’envol du pokémon fit revenir le courant.
Soudain, Erabareta sentit une présence derrière elle et, se retournant, vit une forme noire près de la porte disparaître instantanément. Alors le jeune homme de devant la centrale rentra et alla vers le fond de la centrale, à coté d’elle, et se mit à dire, comme pour lui même, ignorant la présence de la jeune fille :
« Elekthor… Le légendaire de Kanto… Mais que pouvait-il bien faire ici ? A Aol ? Décidément, ces créatures me surprendront toujours… » Puis, remarquant la présence d’Erabareta à ses côtés, il se tourna vers elle et lui dit :
« Tiens, t’es là toi ? Eh beh, pour une pauvre gamine sans Pokémon sortant d’un hameau paumé, t’as du bol ! Ce genre de trucs, ça arrive pas tous les jours ! Bon, j’ai d’autre Miaous à fouetter, j’y vais… » Et il s’en alla sans demander son reste, ne la saluant même pas… Éberluée par cet homme, elle décida de rentrer, le problème de la centrale étant résolu. Elle éteignit donc la lampe et la glissa dans son sac.
Elle repris le sentier entre les hautes herbes, en direction d’Aridossile. Le ciel était toujours recouvert de nuages noirs, on se croirait en pleine nuit, alors qu’il n’était que 10H du matin !
Soudain, alors qu’elle était presque en bordure de la ville, elle vit deux hommes habillés de noir courir dans le sens opposé de la ville. Qui étaient ces hommes ? D’où venaient-ils ? Que faisaient-ils àAridossile ? Sachant qu’elle n’aurait jamais la réponse à ces questions, elle repris sa route jusqu’au labo, mais à peine arrivé à proximité, le prof. sorti à toute vitesse en s’écriant :
« NOOOOOOOON !!! C’EST HORRIBLE !!! » Il se tourna vers elle et lui déclara :
« Erabareta, c’est atroce !!! Dans la pénombre, pendant que je tentais de relancer la machine, des personnes sont venues… ET ONT VOLES LES FOSSILES !!! C’est une catastrophe ! Ma vie est fichue !!! » Puis, sans attendre de réponses, il pris ses jambes à son cou et détala vers le site de fouilles.
Erabareta resta sur place, bouche bée, sans rien comprendre à la situation, quand un petit cri attira son attention. C’était le fossile restauré de tout à l’heure ! La porte étant restée ouverte, il vint pointer le bout de son nez voir ce qui se passait. Il se dirigea vers elle qui, attendrie par ce petit Pokémon, lui caressa la tête. Heureux, le Pokémon s’exclama de joie.
La jeune fille décida de renter chez elle, quand elle remarqua que le Pokémon la suivait. Trouvant cela mignon, elle ne dit rien et continua son chemin. Une fois devant chez elle, elle laissa renter le petit Pokémon avant de fermer la porte. Son père les vit tous les deux.
« Tiens ? Quel est donc ce Pokémon ? Tu l’as trouvé où ? » Elle de dirigea vers son père.
-Le prof. l’as ressucité, le pauvre était tout seul, il m’a accompagné.
-Hum… Je vois… Tu sais Erabareta, tu as maintenant 12 ans, et je pense qu’il est temps pour toi de partir à l’aventure, comme tous les gens de ton âge. Il n’y a aucun avenir à rester à Aridossile toute sa vie, il est temps pour toi de voler de tes propres ailes. Après la centrale et les marais, il y a un petit village du nom de Maréboue, un jeune homme du nom de Raoul possède la CS esclade, il t’aidera à quitter le ravin. Mais avant cela, il te faut un Pokémon. Celui-ci semble t’apprécier, je ne sais pas trop pourquoi… Veux-tu le capturer ? Il t’accompagnera pendant ton périple. Alors, qu’en dis-tu ? »
La jeune fille acquiesça.
« … Je m’attendais à cette réponse. Tous les enfants finissent par quitter le nid, tu es bien la fille de ta mère ! Tiens, prends cette pokéball, il te suffit d’appuyer sur le bouton pour que ton compagnon fasse parti de ton équipe. »
Erabareta pris la pokéball, se retourna vers le Pokémon, et le regarda dans les yeux. Celui-ci en fit de même, puis hocha la tête. Alors elle appuya sur le fameux bouton, et un rayon rouge happa la créature avant de retourner dans la pokéball. Celle-ci vibra une foi, puis une seconde, et enfin une troisième, avant de se figer dans un petit clic. Ca y est. Elle avait son propre Pokémon.


C’est donc sous les ténèbres menaçantes qu’allait commencer son aventure…
Article ajouté le Dimanche 02 Février 2014 à 01h06 | |

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