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Pokéscience
La société humaine du Monde Pokémon

Index

L'économie du Monde Pokémon
Les Pokémon chassent les dresseurs
Place de la capture de Pokémon dans la société humaine
Les quotas de capture
Les Arènes
La place des animaux « normaux »

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Origine du nom « Pokémon »

Le nom de Pokémon est un terme assez récent. Par le passé, les Pokémon étaient simplement appelés « monstres ». Il semblerait que le terme de « Pokémon » soit apparu avec l'invention de la Pokéball, et plus précisément, de la Pokéball industrielle. Un peu comme dans notre monde, les boîtes de conservation alimentaires sont appelées « Tupperwares » depuis l'invention de cette marque, les céréales, des « Kellog's » et les yaourts, des « Danone ».

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L'économie du Monde Pokémon

Le Monde Pokémon fonctionne principalement à l'aide de subventions et d'impôts. Ce sont ces impôts qui servent à financer les Centres Pokémon tandis que les dresseurs professionnels (champions d'arène, Conseil des Quatre, Maître Pokémon…) sont subventionnés par leurs sponsors, un peu comme nos sportifs professionnels. Cela ne signifie pas que des amateurs ne peuvent pas participer aux championnats ; cela veut juste dire que les amateurs doivent payer eux-même leur nourriture, logement, équipement… Alors que les professionnels sont financés par leurs sponsors, et les jeunes en voyage initiatique sont supportés par leurs parents et par l'État (Centre Pokémon).

La monnaie du Monde Pokémon équivaut au Yen japonais. En approximant, 100 ¥ = 1 €. Le compte bancaire des jeunes dresseurs est plafonné à 10 000 € (1 000 000 ¥), une Pokéball de base coûte 2 € et un soda dans un distributeur, 3,5 €.

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Les Pokémon chassent les dresseurs

Les Pokémon se défendent tous quand on tente de les capturer. Ils sont tout à fait capables d'éviter les êtres humains et ainsi le combat, car ils ont l'avantage du terrain. Lorsqu'un humain rencontre un Pokémon dans la nature, c'est que ce dernier a accepté de se montrer ou a tendu une embuscade. Ce comportement, étrange à priori, signifie que les Pokémon viennent vers les humains dans un certain but, avec un intérêt en tête. Ils viennent volontairement vers les humains, pour s'entraîner et être plus forts qu'auparavant ou bien pour tester un éventuel futur dresseur. Suicune est un magnifique exemple de Pokémon qui teste les humains en vue d'en trouver un digne de lui.

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Place de la capture de Pokémon dans la société humaine

Capturer des Pokémon dans leur milieu naturel pour les reproduire à la douzaine est une menace écologique de grande envergure. En conséquence, il existe très certainement des lois de régulation de la capture en milieu sauvage et de reproduction en captivité, afin de maintenir le fragile équilibre des écosystèmes. Il faut en effet à tout prix éviter qu'une espèce rare ne disparaisse, éviter qu'un dresseur possède tellement de Pokémon qu'il ne peut pas s'en occuper, et empêcher une espèce de se multiplier au point de supplanter toutes les autres (espèce invasive).

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Les quotas de capture

La capture de Pokémon tient une place très importante dans la société humaine du Monde Pokémon. Tous les humains possèdent au moins un Pokémon, et les meilleurs chasseurs en collectionnent des centaines. Afin de permettre la pérennité des différentes espèces de Pokémon à l'état sauvage, des quotas de capture ont été instaurés.

Tout comme pour la chasse chez nous, les dresseurs de Pokémon doivent posséder une licence afin d'avoir le droit de capturer des Pokémon à l'état sauvage. Cette licence donne le droit à un certain nombre de captures, et le Pokédex sert à vérifier les fraudes. Certaines espèces sont également limitées à la capture, comme par exemple Canarticho, et tout dresseur pris en flagrant délit de capture non-autorisé (toujours par le biais du Pokédex) se voit sévèrement réprimandé.

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Les Arènes

Nous le voyons, toutes les arènes n'offrent pas le même niveau de difficulté pour les jeunes dresseurs. Ceci n'est pas dû, comme certains l'ont faussement affirmé, à un mauvais niveau de certains Champions. Au contraire, cette organisation particulière, où chaque Champion est censé offrir un niveau d'opposition différent à ses adversaires, a été savamment mis au point pour permettre une progression des challengers. Ainsi les arènes ne présentent pas une barrière infranchissable et homogène, et la différence de niveau entre les différents champions offre la possibilité à tout un chacun d'avoir un adversaire à sa mesure. Battre un champion d'arène revient donc à tester son niveau.

Ce test inclut une partie psychologique. Prétendre être invaincu est une manœuvre de déstabilisation utilisée par exemple par le Major Bob. Celui-ci, par sa situation géographique proche de la Cave Taupiqueur, offre une double solution aux challengers : soit capturer et apprivoiser un Taupiqueur, soit entraîner ses Pokémon déjà apprivoisés. D'autres, comme Erika, prétendent ne pas s'intéresser au combat. Blanche pique une crise de larme après le combat pour voir si le challenger est capable de percer sa comédie. Chacun a sa propre technique pour forcer les dresseurs venus les affronter à se surpasser.

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La place des animaux « normaux »

Preuves de l'existence des animaux et plantes « normaux »

Un épisode de l'anime nous montre un Kabutops utilisant Vol-vie sur un poisson « normal » afin de se nourrir. Un autre nous parle d'un cirque avec des tigres, des lions, des éléphants. Certains épisodes montrent des insectes et poissons « normaux » dans le décor, ou des beignets de crevettes. Sacha se plaint ailleurs de manger des flocons d'avoines.

De même dans la série Donjon Mystère, nous trouvons des pommes tout à fait normales, à côté des Baies Mepo. Les premières ne font que nourrir celui qui les mange, les secondes ont des vertus supplémentaires. Les jeux Bleu et Rouge nous informent qu'un cuisinier a préparé du pâté d'anguille. Les noms des espèces des Pokémon, dans le Pokédex, indiquent par exemple « Pokémon souris » pour Pikachu, sous-entendant qu'il existe quelque part de vraies souris.

Les Pokémon, des supers-animaux

Les Pokémon ont été préférés aux animaux « normaux » pour de nombreuses utilisations humaines. Leur force supérieure les rend plus aptes aux travaux. Leur longévité et leur intelligence en font de parfaits compagnons. Leurs capacités extraordinaires permettent des combats sportifs épiques, à la grande joie des spectateurs.

Les Pokémon sont des biens précieux. Plus rares que les animaux « normaux », ils sont gardés et soignés par les humains, lesquels vont éviter autant que faire ce peut de consommer leur chair. Les animaux « normaux » sont relégués au rang d'aliments (bœufs) ou de nuisances (souris). Leur place, dans le monde Pokémon tel qu'il est géré par les humains, se trouve dans une assiette.

Même si, à une époque, les humains mangeaient les Pokémon, et en mangent encore certainement, la plupart des repas sont sans doute à base de viande d'animaux « normaux ».

Les animaux « normaux » existent, mais on n'en parle pas

Pourquoi ne pas continuer à souligner l'existence d'animaux « normaux » dans le monde Pokémon ? Tout simplement parce que ce n'est pas intéressant. Nous regardons l'anime pour les Pokémon. Nous jouons aux jeux pour les Pokémon. Nous lisons le manga pour les Pokémon. Ce monde est un monde de Pokémon. Les animaux « normaux », même s'ils existent, n'ont pas leur place dans le scénario, donc on n'en parle pas. Un peu comme quand dans une histoire on ne raconte pas quand les personnages vont aux toilettes : ce n'est pas pertinent.

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La relation dresseur - Pokémon

À force de passer du temps avec leurs Pokémon, les dresseurs se posent tous un jour où l'autre la question suivante : « Mes Pokémon sont-ils heureux avec moi ? »

Rôle de la Pokéball

Il est délicat d'affirmer qu'un Pokémon loyal et obéissant aime forcément son dresseur. Ce n'est pas parce qu'il écoute les ordres qu'il a forcément de l'affection pour celui qui les donne : il est tout simplement prisonnier de sa Pokéball. Il a appris, à force, qu'essayer de s'enfuir ne sert à rien, puisqu'il est toujours rattrapé par la Pokéball, et après un moment, le Pokémon ne cherche même plus à s'enfuir.

Certains Pokémon ont appris à sortir tout seuls de leur Pokéball, mais cela ne signifie en rien qu'ils détestent leur dresseur. De même, un Pokémon qui refuse de sortir n'aime pas forcément se retrouver à l'intérieur de sa Pokéball : il peut simplement faire un caprice, exprimer son refus de se battre dans une situation bien particulière, ou faire sa « crise d'adolescent » à son dresseur.

Attention, la Pokéball à elle seule n'explique pas l'obéissance du Pokémon. Apprivoiser et dresser un Pokémon est un travail de longue haleine, qui est plus facile sur les jeunes individus.

Comment se fait le dressage

Comme pour n'importe quelle créature, le dressage des Pokémon se fait par un système de punitions et de récompenses, qui vont peut à peu conditionner les réponses du Pokémon. Par exemple, à force d'être complimenté, caressé et autres à chaque fois qu'il charge en entendant le mot « Charge », l'action et le signal sonore vont être liés dans son esprit, et il chargera sur demande. Ça marchera quel que soit le mot-clé utilisé. On peut tout à fait dresser un Rattata à charger en entendant le mot « camembert ».

La punition quant à elle sert à effacer les comportements qui ne sont pas désirés, comme « faire pipi sur le canapé ». Elle est à adapter suivant le comportement de l'espèce mais la plupart du temps, ignorer le Pokémon ou l'isoler temporairement suffit.

Les sentiments négatifs

Ce n'est pas non plus parce qu'un Pokémon n'aime pas son dresseur qu'il va chercher à fuir, surtout s'il est né en captivité. D'une part, rester avec un dresseur, aussi détesté qu'il soit par ses Pokémon, confère certains avantages (nourriture délicieuse sans se fatiguer, soins, protection, compagnie etc.) auxquels il est difficile de renoncer lorsqu'on est un Pokémon élevé en captivité. Les Pokémon nés sauvages ont une plus grande tendance à la fuite ou à l'attaque en cas de mauvais traitements, surtout si le dresseur est inexpérimenté. D'autre part, les Pokémon apprivoisés sont conditionnés, par la présence constante de la Pokéball et de la menace d'être enfermé dedans, pour ne pas s'enfuir.

L'ultime conséquence des sentiments négatifs d'un Pokémon est l'état « Obscur » dans lequel le stress post-traumatique causé par les mauvais traitements obscurcit complètement le jugement du Pokémon, qui se met à attaquer les humains – chose qu'un Pokémon ne fait pas en temps normal.

Les sentiments positifs

Explorons à présent les sentiments positifs : parce que son dresseur le soigne, le nourrit, s'occupe de lui, le Pokémon développe des sentiments d'affection voire d'amitié pour l'humain. Comme cela se voit avec l'attaque Retour, plus ces sentiments sont développés, plus le Pokémon sera dévoué à son maître, d'une façon autre que la simple obéissance au combat. Lorsque le Pokémon s'est pris d'amitié pour son dresseur, il lui est entièrement dévoué et sa confiance est presque sans bornes.

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