Pikachu
Pokébip Pokédex Espace Membre
Inscription

A n other World : the eternal legacy partie 1 de wataru



Retour à la liste des chapitres

Informations

» Auteur : wataru - Voir le profil
» Créé le 22/08/2010 à 17:06
» Dernière mise à jour le 14/04/2011 à 00:11

» Mots-clés :   Action   Aventure   Humour   Suspense

Si vous trouvez un contenu choquant cliquez ici :


Largeur      
Chapitre 14: le long du large
T Perdues dans les Océans, un hélicoptère fonçait dans le vide.
Sous ses yeux une masse sombre et immense se souleva et vit le jour.
Un monstre d'acier émergea des profondeurs océaniques. L'appareil se posa sur une plateforme prévue pour lui. Plusieurs personnes se jetèrent sur lui pour s'occuper de son entretien etc…
Un homme en uniforme militaire sortit de l'hélicoptère, il paraissait très sûr de lui et regardait le bâtiment avec un air presque dédaigneux. Un autre remontât des entrailles du sous-marin. Les deux hommes se serrèrent la main et commencèrent à se saluer.

- Mon colonel, je suis ravi que vous ayez pu enfin nous rendre visite. Dit le second homme Je suis le capitaine du Ceslestin.
- Moi aussi j'en suis ravi. Répondit le colonel en regardant ailleurs Je voudrais juste savoir d'où viens ce sous-marin. Il ne me semble pas qu'il appartienne au Etats-Unis.
- Non mon Colonel, il a été construit uniquement pour faire… ce que quoi il est fait… Son financement vient de fonds privés évidement. Notre projets n'ai connu d'aucun gouvernements, sinon, vous imaginez bien qu'il aura pu se passer si ce genre de ''chose'' venait à apparaitre aux yeux du jour.
- Je n'ose l'imaginé en effet. Le monde entier serait bouleversé, on parlerais d'apocalypse ou autre les gens sont tellement bête de nos jours, de toutes façon ils finiront tous de la même manière.
- Oui, nous nous devons de garder le secret le plus longtemps possible avant que ça se passe. Descendons, nous ne devons nous faire voir de personne et si par malheur nous sommes aperçu…
Les deux hommes prirent un genre d'ascenseur. L'hélicoptère redécolla et sombra dans l'horizon.
Le capitaine alla directement dans la salle de commandement. Des dizaines de personnes s'affairait sur des écrans, la lumière ambiante était rougeâtre pour ne pas trop abimer les yeux de la longue exposition aux écrans. Un homme se présenta au capitaine.
- Bonjour mon colonel. Dit-il en s'adressant respectueusement à ce dernier puis il reprit la parole en parlant au capitaine. Nous sommes prêts à replonger, cependant de nombreux hommes voudraient pouvoir revoir la lumière du jour juste quelques minutes.
- Non. Vous savez bien que c'est dangereux.
- Mais cela fait presque deux ans que aucun de nous n'a revenu la lumières du jour !
- Je l'ai vu quelques instant elle est magnifique.
- Deux ans ?! s'indigna le colonel Mais c'est contraire aux lois. On ne doit faire que six mois grands maximum !
- C'est vrai pour l'armée. Mais ici nous travaillons pour d'autres personne dont seul le portefeuille compte.
- Dans ans sans voir de lumière naturelle… répéta le colonel estomaqué
- C'est le prix à payer quand on est payé cinquante mille euro par mois.
- Il faut le voir comme ça… Enfin bon je ne suis pas là pour ça.
- Ok, bon vous autres amorcer la descente on y va. Et je vous promets que quand monsieur repart on pourra voir un peu sortir.
- Merci mon capitaine.
Il y avait beaucoup d'agitation dans la cabine quand le colonel partit tout le monde reprenait son travail normalement.
Les deux hommes continuèrent à marcher très longtemps dans le vaisseau. En plein milieu d'un couloir le capitaine s'arrêta et se plaqua sur le mur de gauche sans raison apparente.
- Mais qu'est-ce-qui vous prends ?! s'étonna le colonel sans comprendre le petit manège du capitaine
- Nous sommes là pour aller dans une pièce que presque personne ne connait l'existence dans le sous-marin. Elle se doit donc d'être très bien cacher.
- Donc vous vous plaquez contre ce mur !
- Ne soyez pas ridicule, c'est simplement le meilleur moyen que nous avons trouvé pour cacher cette pièce aux autres sous-mariniers. Un couloir emprunté par presque personne une caméra encastrée dans un mur. Et une personne de l'autre côté qui vérifie qui vous êtes, et enfin vous ouvres la porte vers la salle caché…
A ces mots deux mur sortir de nulle part et fermèrent le couloir.
- Qu'est-ce-qui ce passe ?! cria le colonel terrifiait
- Il ne faut pas voir peur rester calme et touts ce passera sans souci.
Il eut un grand flash.
Le capitaine et le colonel se retrouvèrent tous les deux dans une grande salle banche. Il y avait a peine dix personnes, elles toutes sur des ordinateurs et parlaient très rapidement.
Un homme qui semblait en être le chef se tourna vers le colonel et lui fit un grand sourire que celui-ci lui rendit amplement.
- Monsieur le colonel ! Comment allez-vous mon vieil ami ! dit le chercheur en serrant le colonel dans ses bras
- Ecoutez, monsieur Fuji, je me porte à merveille. Et je suis ravi pouvoir vous revoir après toutes ses années de silence. Mais je ne savais pas que c'était vous qui vous occupiez de ce projet.
- Vous savez après le fiasco de cette histoire de résurrection d'être d'or à la team rocket, j'ai longtemps étais dans l'ombre… Mais aujourd'hui est mon heure de gloire ! Ma renaissance dans la communauté scientifique, je vais enfin pouvoir montrer aux yeux du monde que je ne suis pas un abrutit quelque soit le prix à payer. Ils vont tous me voir haut et fière accompagné d'un autre chercheur qui m'aide secrètement depuis des années ! Vous allez avoir la main mise sur le monde, que dit-je l'univers et moi j'aurais un honneur retrouvé, je serais un grand parmi les grands. Enfin j'espère que ce projet vous plait ?
- Depuis le début pour moi ce projet n'est que quelques mails des papiers et surtout d'énorme facture. Donc évidement ce projet me convient. Je vous fais confiance vous savez. Rétorqua froidement le colonel. Mais qu'en est-il de votre collègue celui dont vous me parlez si souvent ? Je tiens à lui tenir mes propres félicitations de la part de toutes les personnes qui financent le projet à coups de Milliards d'Euro.
- D'euro ?! dit Monsieur Fuji étonné
- Et oui le dollar n'est plus ce qu'il était… vous imaginez, la plus part des fonds viennes de Moyen-Orient, d'Asie et de Russie. Les Etats-Unis sont minoritaires, et ne parlons pas du vieux continent et de l'Afrique qui sont quasiment inexistant… Enfin revenons à notre sujet principal. Où est cette hommes que je le félicite ? Pour votre cas personne ne dit trop rien, vous avez retrouvé votre dignité à nos yeux vos travaux sont tellement extraordinaire.
- Je vous en remercie ! Donc mon collègue est celui qui est dans la machine qui permet le transfert et le contrôle du nouveau Null.
En effet derrière le scientifique se trouvait une immense machine en forme d'œuf et recouverte de câble. On voyait clairement que la machine pouvait contenir un homme. Entre-temps le capitaine était reparti pour reprendre les opérations dans le sous-marin.
- Donc votre collègue se trouve là-dedans ? Et il va pouvoir contrôler Null le dieu des dieux, créateur de la matière ? dit l'homme très étonné
- Effectivement, cérébralement parlant de nous deux c'était la personne qui offrait au transfert le plus de résistance et une stabilité extraordinaire. Donc c'est lui était le plus apte à faire ce genre de chose.
- Et qu'est ce que je vais pouvoir lui parler ? nez à nez.
- Je vais lui dire de revenir. De toute façon il à bientôt finit sa séance de contrôles.
Quelques instants plus tard une sirène retentit. Le colonel fut d'abord apeuré et Monsieur Fuji lui expliqua que c'était juste que son collègue était sur le point de revenir et qu'il fallait qu'il s'éloigne de la zone de derrière la ligne jaune.
L'œuf commença a s'illuminé et des rainures se distinguèrent sur sa surface, et se placèrent exactement à l'endroit se trouvait la tête en haut, puis pour les bras en haut à gauche et à droite puis pour les jambes en bas à gauche et à droite. Pour l'œuf s'ouvrit et les cinq parties ce détachèrent et s'écartèrent. A l'intérieur il y avait un homme tenu par la ceinture grâce à un cercle en métal et la tête tenue par un genre de casque. Il y avait beaucoup de fumée qui sortait de l'engin. Finalement après quelques minutes d'attentes la sirène ce tut.
- Qu'est qu'on attend ? Il va bien au moins ? demanda le colonel en voyant que l'homme ne bougeait pas
- Je ne crois pas qu'il aille bien… répondit Fuji visiblement embêté par l'état de son collègue Je vais devoir lui faire une piqure de cortexifiant.
- De quoi ?!
- Il s'agit d'un produit que j'ai inventé, il permet de donner un ''coup de fouet cérébrale si je puis me permettre.
- Ce n'est pas dangereux au moins !
- Pour tout vous dire, je ne sais pas vraiment… En fait ce n'est pas moi qui ai mis au point ce dispositif, il s'agit du docteur Bishop, et je n'ai presque jamais eu l'occasion de l'utiliser sur autre chose que des souris à part des rats si ce n'est que ça revient au même.
- Mais comment savais vous qu'il faut utiliser ce produit.
- Avant que vous arriviez j'avais déjà remarqué un problème, et je savais que j'allai devoir utiliser ce produit. En fait nous étions en fasse de test, car nous voulions augmenter la fréquence du nombre de transfert, pour le moment son cerveau ne supporte que trois session de huit heures par semaines, nous voulions passer a dix, mais le problème reste toujours le retour dans son corps, il risque de vouloir rester dans l'autre monde, et d'avoir de grande lésion cérébrale lorsque nous voudrions le forcer à revenir.
- Je comprends où vous voulez en venir mais il ne va pas en avoir ?
- Du moins j'espère.
Monsieur Fuji s'approcha du corps de l'homme et lui planta une seringue dans le bras. Après quelques instants d'attente il se réveilla en sursaut, des alarmes en rapport au métabolisme s'allumèrent de partout.
- Il fait un arrêt cardiaque ! Aidez moi à le sortir de là, et apportez moi les électrodes pour le réanimer ! Vérifiez l'origine des alertes et stoppez moi tout ça de la manière la plus intelligente !!! Il faut faire très vite sinon il risque de ne pas résister !
Le colonel regardait avec attention la réaction de toutes les personnes, ils étaient tous extrêmement organisés.
- Voilà les électrodes chargeaient Monsieur ! dit un des scientifiques
- Très bien poser les moi sur le thorax et aidez moi pour le bouche à bouche.
Les deux hommes essayèrent tant bien que mal de remettre en marche le cœur du pauvre homme. Son corps faisait des bonds à chaque fois qu'il recevait une décharge.
Plusieurs minutes éprouvantes plus tard, l'homme fut enfin sauvé.
- Donc je ne vais pas pouvoir lui parler ? demanda le colonel à une des scientifiques qui étais surement la plus attirantes de toutes
- Ecoutez Monsieur, dans l'état actuel dans choses, il ne me semble pas raisonnable de penser à lui parler, cependant après une convalescence de quelques heures il sera possible de lui parler de nouveau. Vous comprenez monsieur, ce que je dis n'est pas pour vous embêter mais pour sa santé, nous ne voulons pas prendre le moindre risque cette personne est la clef de voute de tout notre projet, le moindre incident pourrai le ruiner et nous mettre tous dans une situation extrêmement délicates, imaginez seulement que les monstres qu'ils nomment Pokémon de l'autre côté ce rend compte de notre supercherie, le risque pour l'humanité aussi bien sur Rêve que sur Vision est réel. Nous pourrions être à l'origine de la destruction de l'humanité.
- Même si le but final de notre projet est un peu ça… remarqua le colonel
- Non pas vraiment, je pense plutôt qu'il s'agira d'une renaissance pour l'humanité. Venez on pourra parler tranquillement de nos points de vues respectifs dans un coin plus calmes le temps que mon collègue se remette, comme ma chambre par exemple.
- Faite attention Mademoiselle, je suis marié…



Quelques heures plus tard le colonel put enfin faire ce qu'il était venue faire à l'origine. Monsieur Fuji fit venir le Colonel dans une salle où celui-ci attendit quelques instants. Enfin la porte s'ouvrit, il se leva, et vit apparaitre Monsieur Fuji accompagné de son collègue qui était dans un états bien que meilleur qu'a leur première rencontre.
- Monsieur le Colonel je vous présente mon collègue ici présent. Dit Monsieur Fuji en montrant son collègue
Le colonel lut le nom de ce dernier sur la barrette qu'il avait mise sur sa blouse blanche. L'homme en question avait l'air très timide, et était visiblement Japonais de par son nom et sons visage.
- Je suis très honoré de faire votre connaissance Monsieur le Colonel. Dit-il en s'inclinant
- Moi de même, j'ai entendu le plus grand bien de vos travaux, et au nom de toute l'équipe de financement du projet nous vous félicitons Monsieur Mitami.




Il y avait une ville au États-Unis, que l'on nomme Boston,
Il y avait un parc dans cette ville ,
Il y avait dans ce parc il y avait de nombreux chemins que l'on pouvait se promener,
Il y avait le long de ces chemins dans banc sur lequel on peut s'asseoir quand on est fatigué,
Il y avait sur un de ces bancs trois personnes fatigué qui réfléchissaient.

- Kiéra, tu as une idée de la manière dont on va pouvoir faire… ? demanda Mitsuru
- Je réfléchie trop c'est pas évidant pour moi… non sérieusement on pourrait prendre le taxi, ils ne sont pas trop chère au Etats-Unis si je ne me trompe, non Olivia ?
- Non effectivement, ce n'est pas un problème en particulier avec tout l'argent que vous avez. Mais je me suis poser la question sur qu'est que l'on va faire quand y sera ? Car ça n'a pas de sens d'arriver dans une clinique aussi sécurisé et de dire ''bon je voudrais savoir si ma mère et vivantes, je pourrai la voire ?''
- Ouais, c'est complètement con. De plus si ils ont prit ta mère sans autorisation, ça veut dire qu'ils ont une dents contre toi. Donc arriver comme ça ''hop hop hop ! Où est-ce-qu'elle est ma vielle ? Et que ça saute !''ça risque de ne pas vraiment le faire…
Mitsuru rigola et leva la tête au ciel.
- Putain ! hurla-t-il en frappant le banc avec son poing, pourquoi j'y ai pas pensé ! Je suis vraiment trop con a toujours pensé à moi !
- Mais non ne dit pas ça ! dit Kiéra un peu inquiète On est là pour s'entraider, il faut que l'on découvre ce qui se trames pour que plus personnes n'ai de problèmes.

- Mais moi, à l'origine je voulais juste sauvé ma petite sœur ! Et maintenant me voilà à Boston pour essayer de sauver ma mère !
- Et moi mon mère et mort dans un accident d'avion.
- Et moi j'ai perdu mes parents alors que j'étais toutes petites ! Je ne me rappel même plus d'eux. Mais heureusement, j'ai encore ma petite sœur, qui aujourd'hui m'a donné une petite nièce. Enfin là où je voulais en venir, c'est que ce n'est pas la peine de se lamenter sur sort, au contraire, ce sont des épreuves qu'il faut dépasser coute que coute, il faut aller de l'avant et prendre la vie à pleine main ! Je me suis fait bien comprendre ? Enfin surtout le but principal de ma phrase était de vous dire que en s'en fiche des morts, ils sont très bien où ils sont maintenant mais si ont peut sauver une vie, on doit être capable de tout pour la garder ! Donc haut les cœurs comme dirait Monsieur Chassagne même si ça serait en Latin, le monde nous appartient, à nous de le dompter !
- Wahoo ! On dirait Nicolas Sarkozy qui fait un meeting pour la présidentielle ! dit Kiéra
- Bon il faut que l'on se bouge ! On va sauver ma mère. Dit Mitsuru en pointant le poing vers le ciel
- Arrête, tu as l'air ridicule, tout le monde nous regarde… calme toi. Dit glissa Kiéra
- Bon alors, en route.
Derrière eux Monsieur D. les observait avec des jumelles.
- Je crois que l'on va rigoler si ça continue comme ça. Les pauvres, si seulement il savait ce que moi je sais.
Puis il repartit.

- Taxi ! Taxi ! pfff… ça marche toujours mieux à la télé… se pleigna Kiéra
- C'est normal, tu n'as pas d'accent américain quand tu le dis, donc forcément ça marche moins bien ! les gens on peur des étrangers, surtout dans le Sud du pays et spécialement dans la ville de Boston pour le Nord.
- On est chanceux… soupira Kiéra
- Oui ben c'est pas de faute si on doit venir dans cette ville xénophobe ! se défendit Olivia
- C'est pas de la mienne non plus alors fou moi la paix ! renchérit Kiéra
- Et de la mienne non plus ! C'est pas moi qui ai envoyé ma mère dans ce pays merdique ! se défendit Mitsuru
- C'est très bien les États-Unis, c'es juste que vous ne savez pas voir sa juste valeur ! dit Olivia outrée
- Et ta mère elle est à sa juste valeur ?! s'énerva Kiéra
- De toutes façon personne ne m'aime, tout le monde me déteste… dit Mitsuru
- Ho !mais il va se la fermer le Japonais fan de Pokémon ! cria Kiéra excédé
- Et toi tu fou jamais rien ! c'est grâce à moi que nous sommes là pour le moment ! dit alors Olivia
- Pfff vous me faites tous chié bande de connasses !! Je vais sauver ma mère tout seul et vous l'aurez dans le cul !!
- Et moi je vais retourner chez moi toute seul ! Je n'ai pas besoin de ce genre de con !
- Bon !!!! Vous allez vous taire les jeunes !!! se mit à crier un vielle homme vous faite un brouhaha extraordinaire ! Arrêtez cinq minutes, enfin.
- Bon… je vais appeler un taxi convenablement… comme une américaine…
- Bon d'accord…vas-y de toute façon moi je sais pas faire.
- Voilà vous y arrivez, calmement. Finit par dire le petit vieux avec un grand sourire
- Très bien, Monsieur, je pourrai vous poser une question ? demanda Mitsuru
- Avec plaisir. Lui répondit l'homme
- Donc voilà, qu'est que vous savez de la clinique sainte Claire ?
Le visage de l'homme se décomposa.
- Je…je…je bégaya-t-il
- Je vois que ça vous pose un problème. J'en suis désolé s'excusa poliment Mitsuru
- Je sais beaucoup de choses sur cette endroit, je dois vous dire que si vous voulez vous y rendre faite très attention, et surtout prenez des armes puissantes. Car autant rentré dans cette clinique est simple, mais en ressortir. Mais femme y a était enfermé pendant de longue années. Je me souviens, un jour alors que je lui rendais visite, je me suis bien rendue compte que son état empiré. J'ai alors fait une demande de transfert dans un centre situé en Floride, nous avions l'habitude d'y passé nos vacances, avant son accident. J'ai fait ma demande auprès des autorités, tout était en ordre, puis je me suis rendue dans la clinique pour faire l'extraction. Et devinez ce qu'ils m'ont dit !
- Je ne sais pas répondit Olivia ils vous ont annoncé que le transfert était déjà fait ?
- Non point du tout… soupira le vieux la jeune secrétaire m'a regarder avec ses yeux Bauvin tout en mâchant un vieux chew-gum et a dit « non Monsieur Gent elle n'est pas dans les dossiers, peut-être que vous vous êtes trompé de clinique, quand on est vieux on perd souvent la boule, vous êtes sur qu'elle n'est pas déjà morte ? Bon allez voir ma collègue là-bas, je crois qu'elle risque d'être plus utile. Bonne journée. Bon… au suivant ! j'ai pas toute la journée ! alors bougez-vous le cul ». Donc je suis partie tout bouleversé vers la personne qu'elle m'a indiquée. C'était une femme plus vielle mais qui avait l'air déjà plus accueillante, elle me regardait avancé vers elle et me dit avec un grand sourire « Bonjour je peux vous aider Monsieur ? » Je lui répondis que oui et que je cherchais ma femme pour faire un transfert. C'est alors qu'elle regarda bizarrement. Elle prit un talkie-walkie et parla dans une langue que je ne connais. Des monstres arrivèrent (des machopeurs…) et m'escortèrent jusqu'à une pièce. A l'intérieur un homme griffonnait sur des papiers et faisait tout son travail. Il me fit signe de m'asseoir et me demanda pourquoi j'étais là. Je lui expliqua gentiment que je voulais faire changer ma femme d'établissement. Il retira ses lunettes et dit « - Vous êtes sérieux ? - Mais bien sur que je suis sérieux ! Depuis qu'elle est là son état s'empire je lui dit alors – Peut-être mais si il y le moindre problème avec elle ça vient forcément d'elle nous avons rien à voir avec son état de santé me répondit-il le plus sérieusement possible – Mais vous ne savez même pas de qu'elle patiente il s'agit – Oui mais c'est une généralité. Bon donnez moi son nom. – Madame Gent. – laissez-moi un instant que je cherche » Après quelques instants il me déclara qu'elle n'était dans les registres.
- Non mais tu te calmes sur les pop-corn Mitsuru ! Tu vas les finir avant la fin de son histoire !
- Ho ça va Kiéra ! Toi aussi tu en prends trop !
- Bon je peux continuer ?! dit le vieux
- Oui vous pouvez dit Olivia je vais acheter du pop-corn continuez sans moi.
- Très bien… alors j'en étais où… ?
- Qu'elle n'était pas dans les registres. Lui rappela Kiéra avec une grosse poignée de pop-corn dans la main.
- Ah oui ! Donc Moi je lui répondis étonné que je ne comprenais comment ça pouvais être possible « Monsieur, laissez moi un peu de temps me dit-il » Puis après quelques instants il me sortie avec un air même pas désolé « - Oui je comprends qu'elle ne soit pas dans mes registres, elle est morte. – Ma…ma…ma femme est morte ?! – Oui nous avons testé un nouveau traitement d'après le rapport, elle n'était pas très résistante… Bon j'ai du travail à finir. Messieurs veuillez raccompagner Monsieur Gent à l'accueille. Dit-il à l'adresse des deux monstres (machopeur) »C'est alors que je suis rentré dans une crise de folie. Mais ses deux monstres étaient trop forts. Et je me suis retrouvé dans une cellule de camisole… pendant trois ans… et enfin la police m'a retrouvé suite à une enquête qu'ils ont faite car ma fille à porter plainte et ils ont finit par trouvé ma trace ici…
- C'est un peu un truc de malade votre histoire ! dit Kiéra
- Mais le pire c'est que je n'étais pas le seul dans ce pétrin. Mais je suis un des seul que l'on a put sortir vivant, car ils n'ont pas fait de test sur moi.
- Mais ma mère est là-dedans ! dit Mitsuru affolé
- Dans quelles circonstances ils l'ont faite interné ?
- Je ne sais pas… j'étais tranquillement chez moi puis un jour je suis revenu, et plus de mère juste un huissier qui était là pour me prendre notre maison me dire que ma mère était dans cette endroit. C'est tout ce que je sais. Dit alors Mitsuru
- Je ne préfère rien dire mais si vous la retrouvez ce sera un miracle.
- Merci Monsieur. Et bonne soirée. Remercia Kiéra
- Vous savez où dormir ce soir ? Il commence à faire nuit. Dit le Vieux
- Non, en vérité on est un peu perdu… dit Olivia un peu gênée
- Dans ce cas je vous invite, vous ne pouvez pas imaginez ce que ça peut faire du bien de parlez un peu.
Le accepta de bon cœur l'invitation du vielle homme surtout qu'ils ne savaient pas où dormir cette nuit. Ils eurent ainsi un bon repas et un bon lit, même si ça devait être un des derniers pour les temps qui allaient suivre.
Mitsuru repensa toute la nuit à ce que le vieux avait dit. Il trouvait que pour le moment leur périple était bien calme et que tout n'allait pas ce passer comme ça dans les temps à suivre en particuliers si ils veulent retrouver la mère de Mitsuru, enfin si elle est encore en vie.