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A n other World : the eternal legacy partie 1 de wataru



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Informations

» Auteur : wataru - Voir le profil
» Créé le 06/05/2010 à 00:13
» Dernière mise à jour le 02/01/2013 à 15:07

» Mots-clés :   Action   Aventure   Humour   Suspense

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Chapitre 6: La fuite
Une panique totale régnait dans le centre, tout le monde criait, c'est alors que les hommes qui étaient rentrés lancèrent des fumigènes, plus personne ne voyait rien.
Pendant ce temps dans la chambre douze, Kiéra et Mitsuru faisaient leurs affaires, Mitsuru se souvient alors d'une grosse erreur qu'il avait commise la veille :

— Mes Poke Ball !

— Quoi ?

Je les ai donnés à l'infirmière Joelle !

— Ça va, ce n'est pas grave, tu pourras en racheter d'autres. Pour le moment il y a plus important, tu vois ?!

— Mais tu es complètement conne ! Il y a mes Pokémon dedans !

— Eh... tu peux en racheter aussi !!

— Tu es folle!!! Ça ne s'achète pas !!!

— Je m'en fous,il faut juste que l'on parte là, on a pas le temps pour des détails stupides !

— De toute façon, c'est nous qu'ils cherchent !

— Et alors ? Commenta Kiéra ne comprenant pas l'intérêt de cette phrase dans la discussion, ce qui était justement le problème.

— Bon, ta gueule et suis-moi ! finit Mitsuru.

Kiéra resta bouche bée et ne put ne rien dire. Dans sa tête elle se dit « un homme un vrai !! » puis elle se resaisit.
Ils descendirent les escaliers et entrèrent dans une sorte de brouillard (les fumigènes) très épais, dans lesquels on ne pouvait presque rien voir.
Deux hommes et une femme discutaient vivement en bas de l'escalier. Mitsuru et Kiéra restèrent cachés dans le brouillard pour écouter.

— Well, vous avez ce que je vous ai demandé ? Commença la femme

— Oui. J'ai réussi à soutirer les informations à l'autre conne d'infirmière. Et j'ai la clé.

— Très bien, Well, mais quelle chambre !? interpela le troisième

— Hall ne lui parle pas comme ça !!! Ça doit être écrit sur la clé donc chambre douze, en espérant qu'ils ne se sont pas cassés avec tout le bordel que vous avez fait!

— Non, mais ils ne partiront pas avec les fumigènes !! Ils vont se perdre, c'est mon idée donc ça va marcher !! Hahaha !!!

Puis ils montèrent les escaliers sans voir les deux fugitifs juste à côté d'eux à cause du brouillard artificiel.

Mitsuru courait en cherchant la porte menant au centre de soins, heureusement elle était éclairée par un panneau qui selon l'état du bloc était, soit rouge soit verte. Ils pénétrèrent dans la pièce et virent un nombre incroyable de Pokeball entreposée sur des étagères protégées d'une plaque de verre.
Mitsuru sortit un poing américain (on ne sait d'où il vient) et frappa de toutes ses forces sur la vitre qui ne montra pas la moindre égratignure :

— AHHHHHHHHH!!!!!!! Ça fait trop mal !!!

— Mais tu es vraiment un demeuré, regardes.

Kiéra appuya sur un bouton situé sur la commande et la fenêtre s'ouvrit.

— Bon merci, mais comment je fais pour reconnaitre les miennes ?

— Quoi ? Mais tu sais lesquelles sont à toi ?! Tu n'as pas mis des autocollants ou autre ?

— Non c'est interdit, car après ça ne passe pas dans les machines !

— Ouais donc sert toi et fait ce que tu veux moi je m'en fous.

— Alors celle-là doit être la mienne et celle-ci et euh... je ne sais pas si c'est celle-là ou celle-là.

Kiéra prit de l'avance et saisit les deux Pokeball.

— Bon tu fais comme tu veux, mais là on a plus de temps !!!

— Mais on ne sait pas à qui elles sont !!!

Kiéra continua sans faire attention à ce qu'il avait dit. Ils sortirent par la porte principale du bloc, mais il y avait encore beaucoup de fumée et ils ne pouvaient pas continuer sans se cogner partout.
Ils décidèrent de rebrousser chemin et revinrent sur leurs pas. Kiéra trouva une porte de service pour que les infirmières dépressives puissent fumer et découvrir pendant quelques instants un monde de paix et d'amour.
Mitsuru tira la porte et tomba nez à nez avec un homme qui brandissait un revolver sur lui, il voulut alors refermer la porte, mais l'homme la tira avec force, attrapa Mitsuru et le fit tomber à terre. Kiéra elle regardait encore une fois impuissante la scène qui se déroulait sous ses yeux.

— Mais laissez-nous tranquilles !

— Mais on ne veut que ça, vous laissez tranquille. Répondit alors l'homme sans réelle conviction dans la voix.

— Bon alors au revoir ! Reprit Mitsuru en se relevant.

— Ho, mais ça ne se passera pas comme ça !

Une jeune femme l'attrapa par le cou et le fit coucher à terre, et un autre homme prit Kiéra par-derrière.
La femme était jeune et pleine de punch. Elle avait la peau très claire, des cheveux blonds quelle attachait avant avec un ruban noir et d'immenses yeux bleus pâle, même si une mèche de cheveux lui cachait un œil. Elle portait une grande cape noire et regardait Mitsuru avec un air hautain.

— Tu crois vraiment que l'on va te laisser partir comme ça !? Mon pauvre petit tu me fait pitié. J'ai juste besoin du livre, sans lui on ne pourra rien faire. Alors, donne-le-moi ce n'est pas compliqué.

— Bon si tu veux le livre prend le !

Mitsuru prit son sac et chercha le livre, mais sans succès. Il prend peur et demanda à pouvoir parler avec Kiéra, le garde du nom de Hall lâcha l'Italienne qui pesta contre la brute.
Ils commencèrent alors à parler à voix basse.

— Kiéra pourquoi le livre n'est pas dans mon sac !?

— Tu ne le retrouves plus ? Tu n'es pas vraiment dégourdie ! Pfff... on fait comment ?

-Je ne sais pas moi.

— Euh bien cherche ! Tu dis qu'il est chez toi !

— Bon sa suffit vous deux ! Dit la femme blonde en les séparant, donnez-moi le livre ou je vous ça va mal se passer pour vous deux !!! elle sortit une Pokeball appuya sur le bouton du milieu, la ball grossit et elle la lança sur le sol.
Il en sortit un immense Arcanin dont la fourrure rouge flamboyant flamboyait ( je vous accorde que ça ne veux rien dire, mais bon ce n'est pas grave).

— En garde ! Cria-t-elle pleine de conviction dans la voix

— Comment ça en garde ? Ça ne veut rien dire !

— Bon ça veut dire « sort ta Pokéball je te lance un défi » ce n'est quand même pas compliqué.

— Bon alors Caninos GO !!!

Le petit Caninos sortit de sa ball et regarda son maître en attendant ses instructions. Mitsuru lui ordonna une attaque charge que Arcanin évita avec une simplicité exaspérante pour Mitsuru et riposta de suite par une puissante attaque bélier qui fit s'effondrer son petit adversaire.

— Caninos !!! Non ne meurt pas !!!

— Mais tu es nul il ne va ne pas mourir. Rétorqua Kiéra qui voyait pourtant que le pauvre Pokémon était mal en point.

— Caninos relève toi ! Et attaque avec lance-flamme.

Arcanin esquiva en faisant un triple salto arrière avant. Il se positionna sur ses quatre pattes et prépara une attaque déflagration.

— Arcanin !

— Vous ne bougez plus !!! dit une femme qui entra dans le centre.

Arcanin fut distrait et arrêta son attaque.

— Agent Pouffiasse vous venez nous sauver !!! Jubila Mitsuru qui savait que si le combat continuait son Pokémon finirait en rôti.

— Oui je suis là pour faire régner l'ordre et la paix pour que tout le monde s'aime et qu'il y ait enfin l'avènement du quatrième Reich ! HAHAHAHAHAH!!!!!!!!!!!!!!! HAHAHAHA!!!!!!

— C'est qui celle-là ? commenta Kiéra

— Mais l'agent Pouffiasse enfin ! C'est qui fait régner l'ordre et la paix ici. Elle veut aussi que l'on l'appelle chef de la Gestapo, mais je ne comprends pas vraiment pourquoi.

— Moi si regarde comment elle est habillée. Tu ne vas pas me dire qu'habiller en nazi elle ne fait cuire que des gâteaux dans son four.

— Oui, elle fait aussi des Rôtis !

— Je ne sais pas pourquoi, mais je n'y gouterai pas.

— Elle fait aussi des tourtes.

— C'est la femme de sweeney todd version nazi.

— Qui ça ?

— Non-laisse tomber.

— Vous ! Dit agent Pouffisse en pointant la femme blonde du doigt.

— Oui.

— Vous allez venir avec moi pour que je fasse toute la paperasse de l'arrestation. Enfin voilà, je vais bientôt avoir ma promotion donc si je fais des arrestations sans tuer, mes supérieurs vont être content !

La femme blonde regarda la gardienne de la paix avec un air qui voulez dire « ouf... La pauvre, je ne crois pas que ce sera grâce à moi que tu auras ta promotion, car je ne vais pas me laisser faire ». Puis elle se tourna vers Mitsuru et Kiéra.

— On se reverra vous deux, vous n'avez pas fini d'entendre de nous. Au revoir.

Une voiture et déboula prit les trois personnes poursuivit par la policière qui crié au d'espoir de sa promotion.

Misturu et Kiéra partirent donc vers Jadielle. Ils trouvèrent un moyen de rejoindre les États-Unis pour voir la mère de Mitsuru : le Ferry en passager clandestin.