[Hors-Pokémon] Sinon, t'écris quoi à côté?

[Vivinana]

C'est n'importe quoi.

Dray', ne me dis pas que tu n'es jamais passé par le LOL ou même que tu n'as jamais lu ne serait-ce qu'un des textes x) ?

[DimoniaK]

C'est n'importe quoi.

Dray', ne me dis pas que tu n'es jamais passé par le LOL ou même que tu n'as jamais lu ne serait-ce qu'un des textes x) ?

Etant donné que le topic atteint 8 pages en huit mois au moins, je crois que pas grand-monde ne passe par le LOL malheureusement

[dragibus]

Dray', le LOL est excellent ! On se laisse aller à un pur délire tout en étant coincé par des exigences extrêmement contraignantes : c'est totalement paradoxal mais ça donne des résultats fabuleux
C'est dommage que je n'aie plus le temps d'y participer...

[Drayker]

J'avoue ne jamais mettre les pieds dans les Biperies
Et ton texte m'a conforté dans l'idée que là-bas, c'est tous des glandeurs.

[dragibus]

Non, le LOL est une Biperie vraiment à part, qui pourrait tout aussi bien avoir sa place en section fanfics

[DimoniaK]

J'avoue ne jamais mettre les pieds dans les Biperies
Et ton texte m'a conforté dans l'idée que là-bas, c'est tous des glandeurs.

Moi, un glandeur? Tu sais le temps qu'il faut pour inventer une bonne histoire, bien délirante, suffisamment longue et assez accrocheuses? Avec les contraintes sadiques du précédent posteur, en plus?

J'approuve Dragi', le LOL aurait tout à fait sa place et section fics renommé le topic à fous

[Wreyzax]

Nan Drayker, c'est pas un mauvais truc. ça a son charme.
Tu n'es juste pas doué pour faire des "trucs délirants" => Moi non plus, si ça peut te rassurer

[Drayker]

J'etais parfaitement ironique, hein
Mais des trucs délirants j'en faisais bien à une époque.
Déplacez votre LOL ici et on en reparlera.

[Srithanio]

Ecriture de quelques fics Disque-Monde (Pratchett), et Harry Potter, toujours sur un ton humoristique. Mais ça fait quelques mois que je n'ai rien écrit, faudrait que je m'y remette...

Pour ceux qui s'y intéressent, voici le lien vers une de mes fanfics Harry Potter : http://www.fanfiction.net/s/4816783/1/ColisSurprise

[Auraman]

Ben moi, j'ai écrit un livre d'une centaine de pages que j'ai proposé à un éditeur, mais il a refusé à cause de la longueur qui selon lui, était trop courte pour un récit de ce genre.

C'était l'histoire d'un garçon qui peut, un peu comme les fantômes, fusionner avec ce qui l'entoure (le sol, les murs, les arbres...) pour disparaître. Mais en procédant ainsi, il ne peut pas respirer jusqu'à ce qu'il sorte.
Il doit retrouver un objet qui lui permettra de remplacer le soleil dans son monde, car le fameux astre s'est consumé entièrement. Il se fera pas mal d'amis à côté, une guérisseuse, un chasseur de primes, un capitaine un peu spécial...

Voilà en un très très bref résumé l'histoire que cela racontait. Mais comme il a été refusé, je le réécris en plus long et plus travaillé...

[VLCMédia]

Je tente un Space opéra, j'ai quelques idées mais je bute sur le début, argh !

[groudonvert]

J'ai écrit diverses fanfics moi aussi dont la plupart sont des fics cross over avec pokémon en base, mais la plus longue que j'ai écrite (et qui n'est pas finie ) est un monde dont la magie est basée sur les techniques de Naruto pour ceux qui connaissent

Sinon, la fanfic qui sur le site (et qui est aujourd'hui j'en ai eu la surprise sur la page d'accueil des fanfics (non ce n'est pas de la pub, ça fait un an que je ne l'ai pas continuée)) fera partie de l'un de mes prochains romans Enfin, les scènes de crime que j'avais prévues à la base évidemment

[darkangel]

c'est une bonne idée ta fic basée sur naruto, mais fait attention à ne pas trop dériver du sujet principal

[TORTANKMASTER]

Moi j'écris toute sorte d'histoire fantasy, j'ai inventé carrément un monde mais pour l'instant je m'estime pas prêt de donner un manuscrit à un éditeur. Je fais une trilogie donc je veux la terminer, me documenter encore un peu sur la mythologie celtique et nordique. Puis une fois que j'aurai vraiment toutes les bases pour développer j'enverrai à un éditeur.

Sinon la première trilogie sera de la SF/Fantasy, je sais que c'est un peu deux genres opposés mais en tout cas il y a de la magie et des technologies futuristes.

J'ai déjà fait lire à une personne qui a été publiée et elle a lu en deux jours et m'a dit que c'était pas mal^^

[Wreyzax]

SF et Fantasy sont parfaitement compatibles. On le voit (au passage) dans de très nombreux jeux-vidéos.
L'aspect magie dans un univers de SF permet de faire contre-poids au "tout-technologique", car souvent en SF, les conflits (qu'ils soient idéologiques ou militaires) se déterminent "seulement" avec celui qui a la technologie la plus avancée.

[groudonvert]

c'est une bonne idée ta fic basée sur naruto, mais fait attention à ne pas trop dériver du sujet principal

Tu entends quoi par "Sujet principal" ? Si tu parles de Naruto c'est rapé Il n'y a que les techniques (et encore j'en ai inventé beaucoup) qui sont reprises

De toute façon elle est laissée à l'abandon depuis deux ans, mais ça va changer

[Bambi's Logic]

Tien, j'ai envie de poster un petit OS que j'ai écrit hier.
C'était sur un thème donné puisque c'est pour passer un examen d'écriture.

Voilà les consignes :

Spoiler :

Ton thème sera :

La nature.

Consignes :

- Incarner un humain.
- elle/il devra être muet(te) mais pas sourd(e)
- Ton personnage devra aimer la nature, ce sera son refuge.
- Ecrire à la deuxième du singulier.
- Ecrire au présent.
- tu dois expliquer que grâce a la nature et a ses amis fleur/animaux elle arrive a parler, car il/elle est devenue muet(te) suite a un traumatisme.
- Expliquer le traumatisme.
- Tranche d'Age : Adolescent(e)

Voilà le texte :
/!\ Sur le forum de base, j'ai fait une présentation en HTML qui ne fonctionne pas ici. Pour apprécier pleinement le texte qui comporte des musique et des images, je vous conseil de le lire avec cette présentation. Si vous le souhaitez, adressez moi un Mp et je vous enverais le lien du forum.

Spoiler :

Sens-tu l’air qui te caresse les joues ? Le vent qui décoiffe tes cheveux ? Il te murmure à l’oreille. Ce chuchotement doux, enlaçant tes sens. C’est un poème harmonieux, mélodieux. Le souffle qui, chantant dans la pâleur de l’aube, apaise le tourment qui te ronge.
Et toi. Pourquoi ne chantes-tu pas ? Pourquoi ne pas fredonner cette mélodie nostalgique ?
La brume qui t’enveloppe, voile humide et douloureusement frais. Elle te cache le monde qui t’entour. Elle te protège de sa violence, de sa tristesse. Ainsi préservée tu te sens chez toi. Tu oublis l’amertume qui te ronge. Elle se rallume. La flamme en toi, qui n’était plus qu’une faible braise dans les cendres de ton passé. Tu sais qu’elle s’éteindra à nouveau quand tu franchiras le rideau de brouillard. Quand tu quitteras l’enceinte bienveillante des racines de ce chêne, tout s’effacera. Alors tu te laisses rêver. Tu fais vibrer les cordes de ta guitare, en songeant à ce qui tu as perdu, à ce que tu es maintenant…

Danse. Danse comme les feuilles qui tombe à l’automne. Et oublis. Oublis qu’après cette averse d’or et d’écarlate viendra l’hiver. Un hiver dur, qui figera la nature. Celle que tu aimes plus que tout, celle que tu chéries plus que ta vie.
Colle ton oreille contre l’écorce. Comme cette chaleur est agréable. Entends-tu ses battements. Toi tu le sais. Les arbres ont un cœur et une âme. Celui-ci est comme toi, il a perdu sa moitié. Sa famille. S’il y avait une forêt ici, il n’en reste plus rien. Un pâle souvenir peut-être ? Un fantôme qui erre dans ces ruines calcinées.
Tous ont disparu.

Tous.

Ils sont partis et ne reviendront jamais.

Ils te manquent ?

Tu l’entends n’est-ce pas ? La voix du vieux colosse, seul survivant d’une forêt. Une forêt tuée par la vanité des Hommes.
Un gland vient tomber à ton coté, tout comme une grosse larme s’écrase sur le dos de ta main.

Un instant, une vision voile ton regard. A la place des ruines noircies de suie se dresse une bâtisse. Devant elle, sur une pelouse soigneusement entretenue joue deux enfants. Leurs deux parents rient ensemble tandis que le père prend une photo. La vision s’évanouit quand le flash de l’appareil t’éblouis. La photo. Tu l’as toujours sur toi. Comme tu avais l’air joyeuse. Ton petit visage rose encadré de cheveux blonds. Ce sourire sculpté sur tes lèvres, éclairant ta frimousse d’enfant parfaitement heureuse. Le deuxième enfant, un garçon, arborait les même traies. C’était lui ta moitié perdue. Tout comme le chêne avait perdu son âme sœur. Il le lui avait murmuré un jour. Un autre chêne qui se dressait à côté de lui. Quand la forêt était encore verte et touffue. Leurs branches autrefois, s’entrelaçaient. Comme tes mains jointes à celle de ton frère.
Mais tout ceci était révolu. Partie en copeaux de bois pour l’un. En cendre dispersé au vent poète pour l’autre. Ta voix s’est éteinte peu à peu, comme une bougie qui n’a plus rien pour continuer à brûler. Et que reste-t-il ? Quatre murs couverts de suie, et deux âmes endeuillées à jamais. Les cordes de ta guitare vibrent au rythme de ta mélodie. Tu joues en cadence avec les chansons du vent.

Le soleil fait briller les larmes qui coulent encore et toujours sur tes joues rougies par le froid automnal. Pourquoi ses souvenirs te reviennent-ils sans cesse ?
Tu te souviens, n’est-ce pas ? De ce jour où tu étais partie seule. Tu t’étais disputé avec ton frère. Il avait refusé de t’accompagner. Peut-être que s’il était venu, ça aurait tout changé. Peut-être que tu serais moins seule. Peut-être que tu aurais dû rester avec lui.
Peut-être qu’en rentrant, on ne t’aurait pas attrapé par le bras pour t’empêcher de t’approcher. On ne t’aurait pas emmené dans cet internat voisin, où tu vis seule et recluse.
Ça fait beaucoup de « peut-être », et regretter ne sert à rien.

Ça fait mal. Tu as mal au fond de toi. Tes blessures ne se soignent pas. Peut-être ne se soigneront-elles jamais. Peut-être ne chanteras-tu plus. Garderas-tu tes secrets pour toujours, sans ne jamais les confier à personne. Seras-tu toujours prostré dans ta douleur, dans le chagrin qui t’enserre le cœur.
Non…
Tu secoues la tête en réponse à cette voix grave qui résonne dans ta tête. Elle aussi est mélodieuse, comme accordé au son de ton instrument.

Tu colles ta joue contre l’écorce rugueuse du vieux chêne. Comme vous êtes solitaire tous les deux. Ainsi blottit l’un contre l’autre. Votre douleur est la même. Vous n’avez plus rien. L’un a vu la nature prendre les siens, l’autre, ce sont les Hommes qui ont emmené sa forêt. Comme vous vous comprenez.
Maintenant. A jamais. C’est ici que tu voudrais rester pour toujours. Recroquevillée au creux des racines d’un arbre. Il est le seul à qui tu parles. Cela dépasse la parole. Ce sont ses pensée, tes émotions, tes caresses qui te donne une nouvelle voix. Une façon de s’exprimé unique, que seule la nature comprend et entend. En échange, celle-ci te répond. Et toi tu comprends tout. C’est une symbiose, une conception parfaite de ce que devrait-être la vie. L’harmonie d’un accord parfait, comme la chanson mélancolique que tu joues machinalement.

Blottie entre les nœuds des racines. Protégée par l’imposant tronc du colosse solitaire. Pourquoi est-il le seul à se dresser au milieu de ce jardin ? Toi tu as fermé les yeux pour oublier ce qu’il se passe autour de toi. Pour ne pas voir le soleil se lever une fois de plus sur les vestiges de ta vie. Pour ne pas voir les herbes folles qui ont engloutit le mobilier extérieur, investie les pièces de la maison brulée. Si tu essayes d’ignorer le présent, tu ne peux tourner le dos au passé. On n’oublie pas ce qu’on veut voudrait ne plus revoir. Tu ne peux pas t’empêcher de revoir les flammes qui léchaient presque les branches du vieil arbre. De l’incendie ne subsistait que de faible trace sur le site. Mais dans ton cœur se sont des traces qui ne s’effacent pas. Elles sont gravées dans ton esprit. Elles font partie de toi. Doucement, les vibrations des cordes s’estompent, après que tu les ais gratté une dernière fois.

La nature est comme un baume. Elle apaise tes douleurs. Comble le vide qui habite ton cœur. Si ta souffrance ne disparait pas, tu parviens à la surmonter quand tu es ici. Pour toi, même si ce lieu est celui du drame qui a brisé ta vie et ton cœur, c’est l’endroit où tu te sens le mieux. Ton chez toi. Là où les fantômes de ta vie heureuse habitent. Là où tu es proche de ta famille perdue. Là où demeure ton meilleur et unique ami. Il t’écoute, il te comprend mieux que quiconque.
Parfois, tu as l’impression de reconnaitre en lui ton frère, ton jumeau. Mais en même temps la force et la protection de ton père. La douceur et la compréhension de ta mère. Il est ta famille.
Vous vivez ensemble. Vous souffrez ensemble. Quand l’un pleure, l’autre le console. Par quelque geste, un bruissement de feuille, un regard, un craquement d’écorce, vous vous comprenez.

La chaleur qui t’envahit quand tu es près de lui n’est pas un hasard. C’est ici, ton havre de paix. Et même si parfois ta gorge se serre. Tu as envie de pleurer. Le chêne parvient toujours à faire naitre un sourire au milieu des larmes.
Qui sait, peut-être qu’un jour se sourire s’accompagnera d’un éclat de rire ? Peut-être que tu ne te contenteras plus de jouer de ta guitare. Chanteras-tu à nouveau au retour du printemps ? Accompagneras-tu la brise de ta voix retrouvée ?
Les blessures ne sont pas éternelles, tout comme la tristesse.
Rester ici est tentant. Mais au fond… tu as besoin de retourné dans cette école. Tu y observes la bêtise propre à tes semblables. Et puis c’est parfois une présence réconfortante. Elle ne l’est pas autant que celle de ton arbre. C’est une présence bruyante et immature. Mais enfin, tout ceci n’est qu’un théâtre réel qui se vit au quotidien. Une symphonie monotone et agaçante. Comme une mouche qu’on chasse d’un revers de la main et qui revient sans cesse. Tu le déteste cet internat, mais au fond tu t’y sens bien. Les personnes te parlent, mais tu les ignores. Tu fais abstraction du monde qui t’entour et fait de ces personne tes ennemis. Tu te méfies.
Mais enfin, tu as choisis ton refuge. Il est ici et pas ailleurs. Et tu t’y endors. A ton réveil, l’arbre se sera figée, le vent se serra tut. Alors tu te lèveras et tu quitteras ton passé. Tu rentreras à l’école sans regarder en arrière, passer une nouvelle semaine seule et silencieuse. Puis te reviendras la semaine prochaine, le cœur chargé de tristesse et de souvenirs. De chose à dire à ton arbre. De nouvelle chanson à apprendre au vent. Une douleur à oublier, une vie à refaire. Tu observeras les fantômes mener leur ronde silencieuse. Mais pour le moment, ferme les paupières, et endors-toi. Le soleil, maintenant est levé, et la nature chante sa berceuse, tandis que tu es emportée sur l’aile du sommeil.

Des avis ?

[MollyGrue]

Le texte est tout simplement splendide, très poétique, très mélancolique et contemplatif. Par contre, attention au français, des fois ça fait mal aux yeux.

[Bambi's Logic]

Oui xD Je sais !

Sinon, merci

[Yumiran]

Voici un texte que j'ai écrit, hier, en periode de gros doutes. J'ai sûrement fait des fautes, je le sais je ne suis pas infaillible ' J'aimerais des avis et savoir si je peux poster des poèmes ici sur ce topic. Merci d'avance !

Coeur en automne :

Spoiler :

Je commençais à perdre espoir, ce vide dans mon coeur qui était brûlé par le souvenir se reforme peu à peu. Tu me parle avec pudeur, tes lèvres purent s'ouvrent pour me dire des mots sortis du coeur, pour réchauffer le mien, froid comme la glace. Refroidi par la neige éternelle qui ne fondra jamais, réchauffé par des bourgeons de flamme qui ne demandent qu'à être attisés. Tes yeux océaniques me passionent, m'ensorcèle, me perverti honteusement, je me dis soudainement de fermer les yeux, pour ne pas tomber dans le ravin de l'ivresse.

Un vent souffle dans tes cheveux de jais étincelant, celui du regret, ce vent causé par tes soupirs est devenu amer par tes larmes de sang, qui couleront toujours. Je ne sens plus cette douce brise, mais quelques gouttes de rosée perlent dans mon coeur, cette eau qui ne cherche qu'à séchée, qui reste sur le chemin, malgré les sécheresses et les vents torides qui y sont passés.

Mais toi...Comment resister ? Comment rester de glace face à ton charme fou ? Serais-je éprise du mal de l'Amour passionel, de cette chaîne qui refuse de me libérée ? Dieu me réserve t-il cela ? Attend-t-il de moi un quelquonque choix à faire, ou dois-je l'écouter les yeux bandés et le coeur étouffé l'empéchant de s'exprimer ?

Trouble, trouble rêve et troubles pensées. Allez vous me laissez en paix, spectres du passé ? Allez vous me laissez, vivre mon présent et apréhender le futur ? Que puis je faire sinon faire confiance au présent...

Les feuilles de la Vie ne sont pas toutes tombées, je m'accrocherais à l'une d'elle et j'attendrais. Quand elle mourra, mon coeur sera à toi et mon âme entre tes bras de velours...

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