GreenPope a écrit : Il y a une grosse vague de bash sur le manga qui ne date pas de maintenant et qui est plus ou moins justifiée . Objectivement, on se retrouve avec une naruto-bis, manga étiré dans tous les sens, au détriment de la cohérence.
Ouuuiiiiii, mais non. Bleach est différent de Naruto. Ce qu'on critique sur Bleach, c'est l'arc actuel qui n'a rien du génie des arcs Soul Society/Arrancar. Beaucoup de gens ( dont je fais partie ) affirment que Kubo aurait dû arrêter à la fin d'Aizen, quitte à allonger un peu la fin pour résoudre les deux trois questions en suspens. Kubo a continué alors que ce n'était pas nécessaire. Naruto, en revanche, il n'y a toujours eu qu'une seule histoire ; ce n'est pas un manga divisé en arc. Son intrigue prenait de l'ampleur, mais demeurait la même. C'est pas que son histoire a été étirée, c'est juste que la fin était à chier.
GreenPope a écrit : Moi perso , c'est un des premiers mangas que j'ai lu , donc je le suis car je veux connaître la fin, et je suis plutôt content de l'arc à quelques exceptions près.
Moi aussi, ce fut un des premiers mangas, et moi aussi, je lis plus par fidélité qu'autre chose, mais non, clairement non, cet arc ne me satisfait pas. Je ne retrouve rien de l'ambiance d'autrefois ; ce n'est plus qu'une succession de combats tout aussi bourrins et absurdes les uns que les autres. Ou alors, c'est peut-être parce que Aizen n'est plus là. J'étais fan de Bleach avant tout pour son méchant, le plus charismatique de tout le shonen manga de tout les temps.
GreenPope a écrit :Et puis le Bankai c'est le power up qui en impose le plus pour moi, donc à chaque fois qu'un nouveau apparaît , c'est appréciable.
Mouais. Cet enchaînement de nouveaux Bankai me fait un peu pitié, à moi. J'ai l'impression que c'est le seul moyen qui reste à Kubo pour que son manga continu d'exister.
Non, pour moi, Bleach a certainement été une belle et grande chose, l'un du top 3 shonen avec One Piece et Naruto en son temps, mais ce temps là est révolu, et il a depuis longtemps sombré dans les méandres de la médiocrité. Et ça se confirme énormément au Japon par les enquêtes d'opinion et les chiffres de vente.