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Les Vieilleries d'Urd-sama
de Urd-sama

                   


Capharnaum

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The Most Foolish Traveler in the World
Une histoire rencontrée dans Fruits Basket
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You see... Once upon a time, there was a foolish traveler who had gone on a journey.
Why was he foolish? Well, because he was fooled by everyone he met!

"Please, some money for medicine...?"

Everywhere he went, people made up all kinds of sad stories to tell him, and the traveler fell for every one of them.

"I have a sick younger sister..."

"I don't have money to buy seeds to plant in my fields."

Pretty soon, his money, his clothes, even his shoes had been cheated away from him.

But the foolish traveler was always glad to help. And he always told the people the same thing.

He said: "I wish you happiness."

But by this point, though, the traveler was completely naked, and with nothing left to cover himself, he decided to leave the main road and travel through the dense forest, where no one could see him...

But soon, he was discovered by the goblins that lived in the woods. The goblins wanted to eat the traveler's body, so they begged and pleaded, and used
kind words to try and trick him... Of course, the traveler was fooled.

First, he let the goblins eat one of his legs. Then an arm. Then more and more... Before it was over, all that the traveler had left was his head. He'd even given his eyes away to the last of the goblins... And as that last goblin was eating the traveler's eyes, he turned and said

"Thank you, traveler. In return, I leave you this present."

What the goblin left was a slip of paper, with the word "fool" written on it. The traveler couldn't see it. He didn't know what it was. Even so, tears began to flow down his face.

"Thank you," he said. "This is the first present anyone ever gave me. I'm so happy. I'm so happy. Thank you."

Even without his eyes, he cried and cried, great tears of joy. Then, the traveler died, the smile still on his face.
Article ajouté le Vendredi 20 Juin 2008 à 21h38 |
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Evaluations à faire
Skitty 7 : Les voyageurs de Rhode
Par delà les frontières : ShiroiRyu
Stalgamin sur les terres de Johto : legend_trainer
Omnicia
Pokémon BS2
Pokémon BS3
Schizophrénie haletante
Salamèche, le destin du starter
Le vent souffle
DH Project
Les Monts Sacrés
L'union qui fut condamnée
For the Sake of Celebi [fic collective]
La légende des deux Orbes
Le sens de la Victoire
Smirnoff
Aux portes du Crépuscule
Bolecarta
Complémentaires
Bruisseliandre
Article ajouté le Mardi 13 Novembre 2007 à 21h35 |
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Concours pokébip d'août 2003 (trouvaille!)
L’Ancienne Ethnie





La troupe de Medhyena et de Grahyena se dirigea discrètement dans les herbes hautes en direction d'un groupe de Doduo et Dodrio, qui piaillait et mangeait le peu d'herbe verte qui restait dans la plaine. Après un signe de tête du chef de la troupe des prédateurs, les quatre Grahyena du groupe se posèrent stratégiquement en demi-cercle autour des pokémon oiseaux insouciants. Puis les Medhyena se placèrent près des Grahyena, à nouveau quatre par point d'attaque. Chaque groupe s'avançait à plat ventre, silencieux et grappillant chaque centimètre de distance entre eux et leur proie. Ils devaient chacun en choisir une, et d'un coup d'oeil le signalait aux autres groupes. Après avoir suffisamment avancer sans se faire repérer, le chef donna le signal d'attaque à tous les autres Grahyena et Medhyena.



Chaque Grahyena fit un bon fulgurant en réponse du signal d'attaque, un simple cri rauque de leur chef. Ils courraient, poussés par leurs muscles puissants en direction du Doduo ou Dodrio qu'ils avaient pour cible. Les Medhyena suivaient au mieux le Grahyena de leur groupe, car chacun avait sa propre tâche: les Grahyena rabattait la proie, les Medhyena assuraient qu'elle ne s'enfuit pas et l'achevait, étant donné que le Grahyena était trop épuisé de sa course. Deux Grahyena rattrapèrent leur cible, un poursuivait un jeune Doduo et enfonça ses crocs dans ses flans, l'autre chargea dans un vieux Dodrio malade et boitant, qui s'étala de tout son long dans l'herbe sèche. Les Medhyena arrivèrent et chacun serra le cou d'une des trois têtes du pokémon, et le dernier maintenait ses pattes, qui étaient très puissantes et dangereuses. Les cinq pokémon maintenaient leur étreinte sanglante et mortelle dans une agonie lente et secouée de spasmes du Dodrio. Pendant ce temps l'autre groupe achevait le jeune Doduo de la même technique, et les autres groupes se rabattaient au point central, bredouilles.



Les prédateurs étaient gouvernés par un chef et allaient à la chasse ensemble, mais chaque groupe de cinq pokémon était indépendant. Les groupes ne partageaient pas la nourriture entre eux, et chacun ramenait ou non une part du butin à sa famille. Icar était le Grahyena d'un de ses groupes.



- Icar, tu fouttais quoi bon sang!? Cela fait une semaine que tu ne captures rien!

Un des Medhyena bouillonnait de rage auprès de son chef de groupe, un Grahyena maigre et d'un air peu assuré, qui ne savait comment réagir à l'énervement qu'il suscitait au sein de son groupe.

- Je sais bien Taduz, je fais ce que je peux crois-moi…

Icar baissa la tête, honteux.

- Tu n'es vraiment qu'un bon à rien Icar, et la chose la plus stupide qui me soit arrivé dans ma vie est d'avoir été collé au groupe d'un incapable tel que toi! Dégage du clan et ainsi nous pourrons changer de groupe et enfin donner à manger de la viande à nos enfants qui sont maigres et chétifs! Tout cela à cause de toi!

Le Medhyena fixa Icar dans les yeux de son regard furibond puis s'en alla en direction du clan. Les autres Medhyena le suivirent, soutenant de leur regard les dires de leur compagnon. Une femelle resta vers Icar.

- Comprends-les Icar, ils ont peur pour leur progéniture.

Il ne répondit pas et regarda tristement les autres pokémon s'en aller.

- Ils ont peut-être raison, je devrais quitter le clan… Je suis responsable du groupe et je n'arrive plus à capturer quoi que ce soit, et c'est vous qui en pâtissez…

- Je ne sais pas ce qui serait le mieux à faire Icar, si tu pars cela sera extrêmement difficile pour toi, mais si tu restes et que les proies se font toujours aussi rares, c'est le groupe que tu mettras en danger.

Elle partit rejoindre les autres, laissant un avis froid derrière elle et Icar seul avec son angoisse.



Durant toute la soirée, Icar entendait des chuchotements dans son dos, et les autres Medhyena et Grahyena qui l'observaient. A chaque fois qu'il se détournait, chacun faisait semblant de regarder dans le vide. Icar pensa qu'il était temps qu'il quitte le groupe, et se dirigea vers le chef du clan et lui expliqua simplement:

- Je m'en vais.

Le chef, qui était en fait la femelle la plus âgée du groupe ne répondit rien et ne lui fit qu'un signe approbatif de tête. Elle ne lui fit aucun au revoir chaleureux, ni même au revoir tout court et se dirigea tout de suite vers ses anciens collaborateurs de groupe afin de les réorganiser. La femelle qui avait discuté avec Icar après la chasse le regarda de loin et dans le langage du regard lui souhaita bonne chance. Il partit en pleine nuit, en direction du nord où ils savaient que les pokémon abondaient, qu'il trouverait au moins quelque chose à manger.



Il marcha durant toute la nuit, et dénicha deux Chenipotte qui suçaient la sève d'un arbre. Il croqua dans une des chenilles et du liquide épais, noir et âcre se répandit dans sa gueule et coula le long de son cou. Il se força à avaler cette créature répugnante mais nourrissante, puis avala tout rond la deuxième. A force, il s'était habitué à manger des insectes et des végétaux, même si cela le dégoûtait dans le fond. Mais mieux valait manger quelque chose de répugnant que de ne rien manger du tout.



Au petit matin, il arriva à l'orée d'un lac cristallin et frais. Il pu boire un peu d'eau qui calma le goût infâme des insectes et s'allongea le long d'un amas de rocher, à l'ombre d'un arbre où il s'assoupit enfin. Des pensées noires et ses angoisses surgissaient dans son esprit, le torturant à chaque souffle. Il savait qu'il avait opté pour la meilleure solution, mais être seul le mettait mal à l'aise, le hantait. Même s'il était détesté auparavant par ses congénères, au moins il n'était pas seul. Et c'était dans ses instincts de vivre en groupe, en communauté. Il devait lutter contre ces pensées qui surgissaient en lui, fortes, brutes et implacables. Il finit finalement par s'endormir, épuisé par cet harcèlement psychologique et sa marche de nuit.



Il erra ainsi plusieurs jours, continuant son périple vers le nord. Il se nourrissait de Chenipottes infectes, de Ningales tous secs, de carcasses putrides qu'il trouvait en chemin. Après quatre heures de labeur, il réussit même à attraper un petit Poissirène dans la rivière qu'il longeait. C'était le meilleur repas qu'il avait eu durant sa semaine de voyage.



Il arriva en fin de nuit en haut d'une colline, et lorsqu'il observa le paysage de son perchoir, un spectacle impressionnant et unique s'offrit à lui. Des vestiges s'étendaient sur des centaines de mètres, des bâtiments de béton tombant en ruine, certains semblant s'embrasser car tombés l'un contre l'autre. Des cadavres de voiture jonchaient les routes, routes qui étaient poussiéreuses et parfois marbrées de zébrures ouvertes, d'où sortaient une multitude de plantes reprenant leurs droits sur le bitume. Et le tout était gris, la couleur de l'abandon, comme si cette ville avait perdu ses habitants du jour au lendemain. Mais Icare n'en savait rien, car il n'avait jamais vu d'humains, d'ailleurs aucun pokémon de cette période n'en avait aperçu: l'espèce humaine était éteinte depuis plusieurs centaines d'années, dans des conditions inconnues des pokémon.



A suivre!





Note de l'auteur: Bonjour et merci d'avoir lu ce début de fanfic que j'ai réalisé dans le cadre du concours. Comme je note les autres participants, je suis classée en hors-concours. Malgré cet état de fait, je prends volontiers vos remarques/suggestions/questions! Ce début d'histoire sera un chapitre de mon recueil de nouvelles "Des Pokémon et des Hommes". Voilà vous savez tout, merci! Urd-sama
Article ajouté le Vendredi 04 Avril 2008 à 21h56 |
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Pseudo poème de fond de tiroir
Regarde-moi
Je suis désarticulé
Mes sens sont désorientés
Je t'en prie, répare-moi

Recoud mon oeil
Pour les horreurs que j'ai vues
A la place des choses heureuses
Répare ma vue

Dessine ma bouche
Pour les goûts simples que je n'ai pas appris
A la place des saveurs d'adultes
Répare mon goût

Replace mon nez
Pour les odeurs tendres oubliées
Remplacées par les parfums corsés
Répare mon odorat

Redonne-moi mon oreille
Pour les mots tendres que je n'ai pas reçus
Seulement les mots froid et douloureux
Répare mon ouie

Reforme mes bras
Pour la tendresse que je n'ai pas donnée
A la place de la force dont j'ai abusé
Répare mon toucher

Raccroche mes jambes
Pour reprendre les chemins de l'enfance
Et ne plus suivre les routes sinueuses
Répare mon futur

Recouvre mon coeur
Pour qu'il soit protégé
Et que ces cicatrices se résorbent
Répare mon âme

A toi qui m'a réparé
Merci
De me redonner l'espoir
Article ajouté le Mercredi 26 Mars 2008 à 20h52 |
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Mayauru's gift
[tiré de Kimi ga Nozomu Eien, je n'ai pas trouvé de traduction potable alors je le laisse en anglais]

Mayauru, a fairy who lost her memories lives alone in the forest.
One day a girl happened to come by and they became friends.
The next day the girl came to the forest again to play with mayauru, but this time she brought a group of friends along. They played happily every day.

But mayauru wasn’t human like the rest and aged slowly.
The children gradually became older and the time they played all together became lesser, and they eventually forget about Mayauru.

And then, the girl she first met… was the only one left.
But that girl also grew up and couldn’t play with mayauru anymore.
Even so, she refused to forget about Mayauru…

One day she went back to the forest.
Mayauru was very happy.
It seems like nothing had changed and she came to visit Mayauru every day.
The grown up girl became lonely, but she couldn’t leave Mayauru behind.

Until one day she burst in tears…
Mayauru smiled at her and gave her a present as a gratitude for the nicest person:

“The words of farewell”

The time with each other was a very good time.
However, what if these things continue to be sad?
For that sad event, remember the charm of ‘words of farewell’.

The tears of the girl were increasing, and tried her best to laugh.
Mayauru laughed even brighter and teach the girl the words of farewell.
Hereafter a beginning will come.

Until then no one knew the words of farewell.
With knowing the pleasant of these words,
the girl became the happiest person of all.

Let's say farewell with a smile.
Article ajouté le Lundi 10 Mars 2008 à 21h19 |
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Texte pour qui s'y reconnaîtra - écrit en 2006
Merci à toi qui a ouvert ton coeur
Merci à vous qui m'avez recueillie
Merci aux gens qui m'ont écoutée
Merci au monde qui m'a bercée

Un simple geste suffit
Une seule pensée, un regard
Que ce soit positif ou négatif
Ils me feront avancer

Tant que vous serez francs
Tant que vous ne m'abandonnerai pas
Je serai toujours prête
A partager votre route

Si tel est votre voeu
Si tel est mon voeu
Je reprendrai mon chemin
En attendant un croisement

Ma mémoire vous accompagnera
Et la votre me complètera
Même si nos chemins se séparent
Nous aurons des souvenirs communs

Ces souvenirs forment nos âmes
Forment notre coeur
Forment notre caractère
Font de nous ce que nous sommes

Même si la séparation est difficile
Je saurai vous remercier
Même si la tristesse m'accapare
Je saurai vous dire au revoir

Je pourrai remplacer ma haine
Par le sentiment d'avoir appris
Je pourrai remlacer ma colère
Par le fait d'avancer malgré tout

Alors, toi, vous, vous tous
Qui avez partager un morceau de votre route
Laissez-moi vous dire
Au revoir et merci

Quant à toi, vous, vous tous
Qui partagez ma route
Je vous remercie
De me donner un morceau de votre vie
Article ajouté le Samedi 26 Janvier 2008 à 01h24 |
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Explications sur ma disparition du web de 2004-2007
Comme je m'ennuie comme un vieux rat, je me suis dit que je pouvais faire un article officiel pour expliquer ma disparition du web durant tout de même presque trois ans. Ainsi ceux qui le veulent trouveront l'explication et le pourquoi du comment.

Remontons en arrière. J'étais une accro du web que je fréquentais en grosses quantités. Site perso, forums, emails, tout une ribambelle de moyens de communication que j'utilisais en permanence. En effet, à l'époque je pouvais me permettre de surfer presque toute la journée sur le web car je n'avais pas de boulot. Donc je m'occupais, j'estime, intelligemment au lieu de ne rien faire et de ce fait j'ai pu participer à beaucoup de projets différents.

S'en suit à ceci un changement de situation professionnelle, qui ne permettra plus de squatter le web durant la journée. Mais qu'à cela ne tienne, il me reste le soir. Jusqu'à ce que ma situation personnelle ne se détériore.

En effet, fin 2000-2001 (après un changement de vie total), je suis passée par une grosse période dépressive, que j'ai caché comme je pouvais. Je ne me suis bien sûr pas soignée à l'époque et les choses se sont tassées. Mais c'est sans compter sur ce nouveau travail détestable qui va me faire retomber en dépression, moins grave cette fois, mais tout de même présente. Malgré un état général stable, je passe par des crises terribles qui vont intenter à ma vie (je ne voulais pas me tuer, juste me faire du mal, mais l'effet est finalement semblable). Au lieu de garder des contacts, je vais à la suite de ça couper tous les ponts: amis, famille, internet et, heureusement, boulot.

S'en suit une période d'environ deux ans où je vais enchaîner médecins, médicaments et même un séjour à l'hôpital psychiatrique (qui mérite un sujet à lui tout seul, vu que j'y suis allée uniquement pour qu'on ne m'y envoit pas contre ma volonté, c'est à dire que j'ai pu partir après 2 jours). Les médicaments vont stabiliser mon état, mais dans les deux sens: j'ai moins de crises, mais je ne ris plus.

Après donc plus de deux ans dans cet état semi-comateux, j'ai stoppé les médicaments et le psy début 2007. Après une période de sevrage très pénible, couplée à des événements personnels très difficiles, nous voici arrivés à mi 2007. Période où je tente de reprendre contact avec le web oublié.

Je pense que mon état est à présent stable, mais je reste vigilante car je peux retomber à chaque instant. J'ai toujours des crises que j'arrive à contrôler mais elles sont de moins en moins fréquentes. J'espère que cet état continuera dans le bon sens et que je pourrai retrouver toutes mes facultés (je suis en permanence fatiguée par exemple, et motivation quasi nulle).

[moment larme à l'oeil]
Ne désespérez pas si vous avez des coups de blues, tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir. Et non, la vie n'est pas complètement merdique, il faut essayer de garder ça à l'esprit dans les moments les plus difficiles. Pour terminer, gardez toujours une petite place pour l'once de courage qui vous permettra de ne pas sombrer.

Comme je n'aime pas les choses trop sérieuses, voici une images pour débrider un peu ce post :o

Article ajouté le Lundi 05 Novembre 2007 à 21h20 |
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I'm alive... A-LIVE!
Hé c'est quoi ces vieux articles, mais lol!
Bon c'était histoire de, dans 10 ans mes anciens écrits vaudront de l'or et vous pourrez arborer un t-shirt "I was there".
Salutations à tout le monde, d'ailleurs si vous me connaissez c'est que vous devenez vieux!
Tschüss 'zame-
Article ajouté le Lundi 06 Août 2007 à 20h55 |
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Hypertension pas bien!
La semaine passée j'ai du porter un appareil pour mesurer la tension durant toute la journée. Ou du moins, j'aurais du. Après avoir passé 25 minutes à l'installer avec l'infirmière qui savaient encore moins que moi son affaire, l'appareil ne s'enclenche pas automatiquement. Téléphone et passage chez le médecin. Il me demande finalement de l'enclencher manuellement. "Tant mieux!" m'exclame-je, "je me vois mal à la caisse du supermarché et plein de clients derrière demander à attendre que mon appareil prenne la tension...".

Tout se passe bien, je prends ma tension discrètement toutes les demi-heure environ, m'écrabouillant le bras à chaque fois (j'ai jamais eu aussi fort). Et voilà que vers 13h l'appareil tombe en rade, quelle poisse. Re-appel au médecin qui dit pouvoir se contenter des résultats obtenus... Mais je me dirige tout de même trois fois durant l'après-midi dans une pharmacie pour avoir quelques mesures supplémentaires.

A chaque fois le même étonnement, la même peur, la même question "vous êtes suivi par un médecin???" et moi d'expliquer encore une fois que oui, je suis suivie, que oui, j'ai eu un appreil qui a foiré, que oui je vois mon médecin la semaine prochaine pas de soucis. Faut dire quand meme que je suis montée jusqu'à 201/135, fallait voir la tête de la pharmacienne (valeur "normale": 150/80 et en générale je suis a 150/90).

Finalement je rends l'appareil le lendemain, assez inquiète. Et le médecin de me dire que "de toute façon les pharmaciens s'inquiètent pour rien, y'a pas de risques pour l'instant" [extrapolation].

Ahlala, tout ça pour ça! Et demain rendez-vous pour savoir si je vais devoir prendre des médicaments. Etant donné que toute ma famille y passe je vais aussi y passer bientôt je me fais pas d'illusions ;)
Article ajouté le Lundi 18 Avril 2005 à 14h44 |
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Parlons un peu de Blackjack
Allez reparlons un peu manga et animation japonaise avec mon héro préféré toute catégorie confondue: le célèbre et talentueux Blackjack.

Manga créé par Osamu Tezuka, en résumé le papa du manga moderne, cette série parle d'un chirurgien sans diplôme qui va effectuer des opérations défiant les loi de la médecine et de qualité remarquable en contrepartie de sommes d'argent énormes.

Il existe une vingtaine de manga au Japon (à confirmer). Il y a plusieurs années, Glénat avait commencé de publier les dits livres en français, en stoppant la publication au volume 12, car peu rentable (à mort Glénat!). Heureusement, les éditions Asuka reprenne le flambeau et réédite ce manga avec des traductions et un format plus fidèle, tant mieux!

Côté animation, il s'en est aussi passé des choses. Tout d'abord 5 OAV ont été crées et même éditées en sous-titré français. Puis c'est un film qui a été fait au Japon. Il y a 2-3 ans, des petits épisodes en flash (sur site payant) ont été réalisés. Et enfin, 4 épisodes spéciaux ont été diffusés à la TV, suivis d'une série TV de déjà 11 épisodes vus chez nos amis nippons.

Alors avec tout ceci, longue vie à Blackjack, qui est mon chouchou dans le monde des manga ^_^
Article ajouté le Mercredi 06 Avril 2005 à 15h09 |
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