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Un blog sans intérêt. Mais vous allez cliquer quand même.
de Givrali Galaxy
Bonjour, et bienvenue sur mon blog ! ;)
Salut ! Bienvenu(e)sur mon blog ! (où il y a actuellement 47 articles !)
Tu aimes les Pokémons, ça tombe super bien !
Tu aimes les Pokémons glace et ténèbres ? Encore mieux !
Tu aimes aussi les nouveautés Pokémons du moment !
Tu aimes .................................................
(Après trois heures de discussion)
Alors on est fait pour être amis !
Bonne visite ;) !
:Alors maintenant, la présentation de la présentatrice !: "la présentation de la présentatrice" T_T . Quelle conne !:La voilà, elle s'appelle Nicy ! Elle aura des articles spéciaux, et ce sera elle qui interviendra en commentaires ! C'est un personnage excentrique, chiant , et un peut réccurent mais bon, on l'aime comme ça...Bon, maintenant, place au règles de ce blog :( !Comme l'a dit Nicy, passons aux règles :
Il y a des règles dans mon blog, comme dans touts les blogs d'ailleurs.
: Oh c'est nul! Merde alors, on peut même plus s'amuser !:Mais si, regarde, elles sont pas trops chiantes :-Déjà, pour les gros mots, c'est Ok. Sauf insultes sur personnes, je m'en fous.
-Pas de commentaires inutiles (il ne faut pas abuser)
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Manga : Sakura, princesse mi-ange... mi-démon ^^
Je vais vous parler d'un Manga que j'aime bien. Il s'appelle Pricesse Sakura. Bien sûr, je resterai objective.
Résumé :
Cette aventure prend place dans l'ère Heian (794 – 1185). La princesse Sakura est une jeune fille orpheline vivant dans un palais retiré au fin fond de la montagne. Ayant perdu ses parents ainsi que son frère, elle est entretenue financièrement par le prince Ora auquel elle est fiancée depuis le berceau. Mais alors qu'elle va atteindre ses 14 ans, un messager du prince Ora vient la chercher pour la ramener à la capitale en vue du mariage promis. Chérissant sa liberté, Sakura refuse ce mariage forcé, et décide de fuir par une nuit de pleine lune. Pourtant, depuis son enfance, on lui a inculqué que jamais elle ne devait sortir les nuits de pleine lune car un mystérieux secret pèse sur sa naissance ! Un démon immortel apparaît alors devant elle dans l'intention de la tuer...
Les points forts :
Une histoire faite d'aventure, de fantastique et de romance qui ne manquera pas de séduire les amateurs de shôjo... et de vampires.
Critiques de 12 tomes :
Tome 1 :
Arina Tanemura nous revient enfin avec un shojo fantastique, pour changer. Si elle incorporait toujours une touche de magie, de surnaturel dans ses histoires c'est la première fois que l'histoire prend place dans un décor aussi différent de notre monde actuel ou même de celui des japonais. Avec ses 12 tomes en cours, on ne doute pas que la série sera quelque peu conséquente et que l'auteur compte nous emmener dans des univers insoupçonnés, et pourquoi pas agréables. L'histoire se déroule en pleine ère Heian (794-1185), au Japon. La princesse Sakura est une princesse orpheline, vivant loin de toute civilisation grâce aux bonnes grâces du prince Ora qui s'occupe d'elle à distance depuis la mort de ses parents, puis de son frère. Elle y est d'ailleurs fiancée depuis son enfance, mais l'absence de ce prince si peu présent la poussera à le détester et lorsqu'on lui apprend qu'elle doit se rendre à la capitale pour l'y épouser, Sakura décide de fuguer. C'est par cette nuit de pleine lune qu'elle apprendra finalement qui elle est, à savoir la petite-fille de la fameuse princesse Kaguya, qui grâce à son arme légendaire terrassait sans peur les démons qui menaçaient ce monde. Son destin change alors maintenant qu'elle a décidé de reprendre ce flambeau et de se battre pour sa vie et celle des autres, mais avant tout pour sa liberté !
On y associe donc la magical girl, le vampire selon Glénat, la trahison et des dessins très jolis.
Tome 2 :
La vie de Sakura est menacée à chaque instant, par ses alliés ou des gens de l'extérieur. Et même par un homme étrange, qui ne semble pas humain et parait la connaitre. Ce qu'il cache ? A suivre dans le prochain tome. En tout cas celui-là ne convainc pas, par sa platitude et son manque de rebondissements efficaces. En effet, tous les virages de la narration sont évidents et prévisibles, ne présentent aucune originalité et l'on éprouve un profond ennui à la lecture de ce second tome. Pourtant, on sait que Tanemura est capable de grandes choses, comme Full Moon, mais là il est impensable d'imaginer que le récit pourra s'améliorer et égaler l'autre série de l'auteur ... En attendant, suite au prochain tome, en espérant toujours un peu que la qualité sera au rendez vous. Et l'on peut toujours se délecter des dessins, pour les fans inconditionnels du bon gros style shojo, avec les grands yeux et la multitude de fleurs qui les accompagnent ...
Tome 3 :
Nous avions laissé Sakura aux mains avec un vilain serpent vraiment pas gentil, qui en plus s'est permis de transformer Omi en un terrible monstre, ce dont elle avait en horreur. Les deux monstre, bien qu'Omi ne soit pas si agressive que l'autre, sont sous le contrôle du dénommé Enju dont on ne connait pour l'instant rien, si ce n'est qu'il semble être un habitant de la Lune avec des pouvoirs très particuliers. Et qu'il porte une attention décuplée à Sakura, qu'il considère comme quelqu'un de précieux qui doit la rejoindre. Et qu'il protège contre ses propres sbires, quitte à les éliminer. Après une conclusion définitive de l'affaire Omi, Sakura doit se reprendre et retourner peu à peu dans le monde réel. Mais c'est bien difficile, même avec le réconfort d'Aoba. Les deux jeunes gens s'avouent pourtant leur amour l'un pour l'autre et décident de rester ensemble malgré les épreuves, malgré le prince héritier que Sakura envoie gentiment sur les roses, malgré tout. Ce qui est assez surprenant, le couple se formant ici très tôt pour un shojo. Tanemura ne nous avait pas habitué à cela, et elle nous confesse dans ses freetalk que son manga ne tournera pas autour de l'histoire d'amour mais bien de l'intrigue centrale.
Soit. Alors pourquoi faire autant d'état de fait des sentiments des protagonistes ? On se lasse presque de la narration, qui heureusement revient à quelque chose de plus léger et de plus naturel par la suite. On est loin des délires des deux premiers tomes qui nous plongeaient dans l'expectative et, comme l'auteur, on a l'impression que l'histoire démarre enfin. Il était temps ! A part ça, il ne se passe vraiment pas grand-chose dans ce tome et la mangaka décide de se baser d'avantage sur des flash-back, quelque chose qui marche toujours quand il s'agit de distraire les lecteurs. Un pour le prince héritier, un pour Sakura, un pour le frère de Sakura ... Oui oui, son frère. Bref, on n'apprend véritablement quelque chose qu'à la fin du tome. Et si, dans l'ensemble, le scénario se clarifie un peu et devient moins maladroit, il n'a encore rien de transcendant, au contraire.
Tome 4 :
Enju est le frère de Sakura ! La révélation en a ébranlé plus d'un, et notre héroïne est toute retournée. Elle ne peut pas se battre contre son très cher frère qu'elle a trop longtemps cru disparu. Elle ne peut s'opposer à lui, surtout en sachant ce qu'il a subit. Mais dans ceux qui suivent Enju, tous ne sont pas des meilleures intentions vis-à-vis de la princesse. En arrivant au palais sanglant, lieu de passage entre la terre et la lune, Sakura découvre une ennemie inattendue qui la trouble légèrement ... Pas assez selon nous. Parce que quand votre frère crée une poupée à votre effigie et couche avec, souvent, ce n'est pas très sain. Sakura est donc retenue dans le palais, mais pas tellement comme une prisonnière puisqu'Enju n'hésite pas à jouer sur ses sentiments pour la garder auprès d'elle. Il est en réalité bien plus manipulateur et froid que l'image qu'il renvoie à la jeune fille ... Cette partie au palais sanglant dure un peu trop de temps sans qu'il ne se passe rien, au final. Du moins rien d'autre qu'une jalousie pour une histoire de fesses. On dirait que les habitants de la lune n'ont rien à faire de leur journée et s'ennuient royalement ...
Ce qui laisse le temps à Aoba et aux autres proches de la princesse de mettre sur pieds un plan d'attaque. Un peu bancal, mais surtout tardif. Parce qu'il faudra que le prince se fasse séduire par une fausse Sakura pour qu'il se décide à bouger son arrière-train pour aller chercher sa belle. Comment la sauver de cette prison de verre qu'elle ne considère même pas comme telle ? En tous les cas, ils foncent tête devant sans plus se préoccuper des détails. Et évidemment, ça ne fonctionne pas réellement comme prévu puisque les sbires d'Enju sont forts, et que les amis de Sakura ne semblent pour l'instant pas faire le poids. Rajoutons à tout cela un peu de mélodramatique en évoquant le passé cruel qui justifie le comportement justicier et meurtrier d'un des subalternes d'Enju, et le tour est joué. Bien dans l'ensemble.
Tome 5 :
Sakura est prisonnière de son frère, mais ce n'est pas une raison pour qu'elle adhère à ses idées et à ses projets. Elle doit par exemple supporter la vision des sbires de son frère se battant à mort avec ses propres amis venus pour la récupérer et la sauver. Le premier combat oppose Maimai et Byakuya, et c'est l'apologie de la beauté qui commence avec le flash back sur l'enfance de Maimai, qui n'a pas toujours été comme ça. Il en va de même pour tous les combats qui commencent, chaque adversaire a le droit à un approfondissement et à un retour dans leurs souvenirs. On apprécie surtout celui de Shuri, qui implique plusieurs de nos héros et sait nous attendrir. Après tout, le sacrifice pour l'honneur et l'amour, ça marche toujours. Dommage que ce soit aussi dramatique et enjolivé, mais enfin on s'en accommode. Ces flash-back sont donc les bienvenues dans une histoire qui manquait un peu de relief et d'intérêt, se centrant trop sur l'action sans aucun détail sur la vie des combattants.
En parallèle, on oublie un peu Sakura, inutile dans ce tome, et Aoba qui ne fait pas grand-chose non plus. Mais certains protagonistes secondaires sont en train de se révéler, comme Byakuya qui nous surprend sans que l'on comprenne vraiment de quoi il retourne ... Et manifestement, ce n'est pas terminé ... Mais les surprises s'arrêtent un peu trop vite et l'auteur nous offre une histoire bonus sur un pseudo vampire, une héroïne qui ne croit pas au surnaturel ... Un petit extrait sympathique mais pas réellement passionnant ni vraiment fine, et l'on oublie rapidement la mièvrerie à peine déguisée dont cette histoire est bordée. Au final, un tome meilleur que les précédents mais qui nous déçoit sur la fin et nous laisse un peu hésitant sur la suite ...
Tome 6 :
Le combat entre Kohaku et Shuri s'achève sans trop de surprise, par une fin plus ou moins heureuse qui en tout cas préserve tout le monde. Les batailles se succèdent et se ressemblent, avec à chaque fois une morale, la découverte du passé des subalternes d'Enju. Et là encore, on n'échappe pas au schéma devenant un peu redondant, à force. C'est le tour d'Asagiri, cette fois. Elle aussi a un passé, une histoire, avant d'être une petite poupée au service de la princesse Sakura. Avec qui se bat-elle ? Un sinistre inconnu qui débarque de nulle part et qu'on avait encore jamais vu auparavant. Mais on s'en fiche, c'est pour le bien de l'histoire. Alors oui, le passé d'Asagiri est original, intéressant, émouvant, tout ce qu'on veut. Mais il est aussi convenu, attendu, stéréotypé et profondément sans saveur ni relief. Autant dire que ça n'a pas vraiment l'effet escompté sur un lecteur averti. Surtout que ça dure ... tout le tome. Absolument rien n'avance, donc. C'est comme si cet opus n'avait servi strictement à rien.
On aurait préféré que l'histoire puisse malgré tout évoluer un peu en parallèle, faisant progresser nos amis et évoluer Sakura dans sa position délicate. Mais non, rien. Au lieu de ça, les nombreuses pages supplémentaires disponibles sont utilisées ... Eh bien, à mauvais escient. Un petit délire sur une ange de neuf ans qui veut devenir humaine pendant quelques heures. Qui se transforme et découvre le monde des humains. Puis des délires sur ses autres séries, des bla bla ... Bref, du vent. De l'air. Juste pour combler un vide qui aurait pu être rempli par un développement scénaristique qu'on attend pour le prochain tome. Vivement le prochain, en espérant que la période flash back soit enfin terminée pour pouvoir avancer dans le récit qui manque cruellement de dynamisme.
Tome 7 :
On arrive ... enfin ... à la conclusion de cet épisode où tout le monde se bat pour récupérer Sakura. Après les combats des différents sbires de chaque camp, c'est la fin de l'affrontement entre Sagiri et son ancien soupirant, Ukyo. Celui-ci va d'ailleurs se révéler très utile dans le combat, en trahissant son maître pour son amour de toujours. Grâce à son intervention, Sakura est libérer et Enju en mauvaise posture. Le clan des gentils semble avoir gagné. Seulement, l'ancien grand-frère de notre princesse a plus d'un tour dans son sac... et il se venge en faisant Sakura prisonnière de son propre corps. C'est ainsi que la jeune femme apprend les réelles intentions de celui qu'elle pensait aimer et qui était supposé la chérir comme un frère le ferait avec sa sœur. Il n'a finalement que peu faire d'elle et préfère l'utiliser comme un objet bien pratique en attendant la concrétisation de son souhait, afin d'obtenir plus de pouvoir encore. Mais Sakura profitera de cette révélation pour enfin lui tourner le dos de manière définitive.
Sa haine se déverse, elle jure alors d'anéantir celui qui, de toute façon, n'est plus son frère. Les combats dans ce tome manquent cruellement d'intérêt et l'on ne progresse vraiment pas beaucoup. Sakura est libérée, Enju est le nouveau grand ennemi mais ... cette conclusion d'arc est plutôt ennuyante, téléphonées, prévisible et profondément ancrée dans la guimauve. On n'est malheureusement pas ému un seul instant devant la tristesse de la princesse, devant sa peine. Et les autres protagonistes n'ont que peu voix au chapitre, sauf Asagiri mais elle était plus intéressante au cours de son flash back. En somme, un opus un peu de trop qui conclut l'histoire rapidement mais ne nous laisse aucun réel bon souvenir. On espère que la suite repartira sur de meilleures bases plus intéressantes ...
Tome 8 :
Après l'effort, le réconfort. Aoba et Sakura se retrouvent, reprennent leurs repères dans un quotidien qui revient avec soulagement pour les rassurer. Ils se préparent enfin à s'unir, passer une nuit ensemble pour sceller leur union. Ils se le promettent, ils vivent l'impatience de pouvoir enfin passer leur moment de mariés. Mais les lois du shojo de base ne sauraient accepter un tel moment de bonheur entre nos héros. Alors Tanemura semble nous crier un magnifique « EH NON ! » dans la figure, en obligeant Aoba à choisir : laisser Sakura à Dainagon (on ne sait pas qui c'est, à part un vieux, manifestement, ou prendre une autre princesse comme concubine. Donc, abandonner sa femme à un autre, ou trahir celle qu'il aime. Choix difficile pour notre prince qui n'arrive pas à faire le point dans cette situation un peu compliquée. D'autant que, dans l'ombre, Fujimurasaki compte bien la récupérer. Mais évidemment, ça n'en est pas assez pour la mangaka. Il faut encore encore du piquant. Déjà, Aoba qui ne dit rien à Sakura, normal. Genre la situation peut s'améliorer d'elle-même ...
Ensuite, la seconde promise du prince, Yuri. Elle est magnifique, et c'est une garce. Classique. Les jolies filles sont des méchantes. Et elle déteste Sakura, qui va se faire brimer, détester par Yuri et rouler dans la farine par la princesse légèrement détestable. Bref, elle s'éloigne de l'homme qu'elle aime, se fait trahir sans même en avoir conscience ... Normal que Fujimurasaki veuille profiter de la situation pour s'approprier la princesse de la Lune. Ce huitième tome est profondément décevant, une fois encore, et plein de clichés. On s'ennuie, on devine tout. Le tout est creux, sans relief, et la mangaka nous déçoit vraiment, alors qu'à l'ordinaire elle sait faire jaillir de la profondeur de ses histoires classiques. Ici, Princesse Sakura, c'est pour l'instant un réel échec.
Tome 9 :
On se souvient de la prise de tête avec Princesse Yuri, qui menaçait l'amour de notre petit couple. Bon, tenez-vous bien voici le seul compliment dans ce tome : ça ne met pas une éternité à se résoudre. Aoba a les pieds sur terre et va vite prouver à Sakura qu'il n'a rien fait avec Yuri, alors que cette dernière se prenait la tête toute seule (contrairement aux héroïnes habituelles de Tanemura) et se laissait embrasser par Fujimurasaki en prime, provoquant la jalousie de son prince Aoba. Bref, Sakura veut sceller leur amour en passant la nuit ensemble, mais Aoba refuse tant et si bien que la demoiselle enquête pour en connaître la raison. Il se trouve que Aoba se transforme en loup presque tous les soirs, maintenant. Ayant bu un jour le sang d'un monstre loup, la malédiction qui le transforme raccourcit sa vie. Moment tragique, sortez les violons. On apprend déjà comment Aoba a déjà tué par le passé, voilà pourquoi il craint de dormir avec sa princesse. De plus, on le voit prêt à tout pour accompagner sa promise dans son immortalité, même à devenir un monstre. On est d'accord que c'est un sujet de la première importance, le point d'orgue du tome et des suivants, surtout qu'on était un peu passé en mode « comment le prince et la princesse vont-ils réussir à passer une nuit d'amour ? » EH BEN NON !
Pas question, en effet, d'en reparler dans ce tome ou même dans le suivant. C'est totalement oublié, rayé du scénario. C'est pas comme si on s'inquiétait un peu de leur descendance ou de la vie d'Aoba, mais bon. Apparemment, c'est vachement plus intéressant de faire tomber Hayate amoureux de Rurijo, la suivante d'Enju qui ressemble trait pour trait à la princesse Sakura. Pardon ? Il était pas supposé aimé Kohaku depuis des années, d'un amour éternel comme dans tous les shojos, comme Tanemura le proclame toujours ? Après tout, dans The Gentlement Alliance Cross, son héroïne choisit finalement bien son tout premier amour, malgré un malentendu en confondant les deux dans ses souvenirs. Mais c'est un amour éternel, quoi. Zut. Et là, la magaka piétine mais toute la sainte parole des shojos, et pas pour faire quelque chose de vraiment réussi. On ne s'inquiète du coup même plus d'Hayate, qui a enfin retrouvé sa forme humaine. Oui, bon. On verra bien. De toute façon, quelque part, on s'en fiche un peu.
Tome 10 :
Fin de l'idylle Rurijo x Hayate. Ah ben ça valait le coup. Elle le jette, préférant Enju au jeune ninja. Mis à part l'idée de l'amour éternel que l'auteur a piétiné en détournant Hayate de Kohaku, c'est ridicule comme dénouement. Au final, ça montre que ses personnages n'évoluent pas, restent au point mort puisque Rurijo n'a pas bougé d'un poil. Assez déstabilisant et donc inutile. Mais hop, switch. A croire que là on passe d'une situation à l'autre en deux pages et qu'on se fiche totalement de la continuité de l'histoire. En garde en tête la déception de voir l'auteur passer totalement outre la malédiction d'Aoba dans le tome précédent. D'ailleurs, dans ce tome les deux jeunes gens sont à peine en contact, leur relation n'évolue pas d'un poil. Bref, donc Sakura va rencontrer l'empereur pour ... eh ben, faire la causette et essayer d'avoir une situation un peu moins pitoyable au sein du palais. Sauf que, évidemment, celui qui a méprisé Sakura toute sa vie n'est pas subitement devenu gentil, et il la piège, manque de la tuer, et décide de l'enfermer au même endroit que son frère avant elle, pour attirer Enju et ... Ah oui, se faire tuer. C'est sûr que c'est efficace, en fait. Bravo, bien joué monsieur l'empereur, donc l'homme le plus puissant et on espère le plus fin du royaume. Bref.
Donc Sakura est sauvée, Fujimurasaki est promu empereur ce qui arrange tout le monde. Mais Enju, en sauvant sa sœur, vole les mikotoji de Sakura et d'Aoba, tenant leurs vies entre ses mains. Au lieu, donc, de voir les deux amoureux traverser cette épreuve ensemble, encore une fois on n'en a strictement rien à faire et l'on passe à Maimai qui discute brushing et fond de teint avec la princesse yuri. Et Sakura n'a rien de mieux que de passer ses journées à observer et commenter leurs débats. Evidemment, le dénouement pseudo important de fin de tome n'étonnera personne, tout dans cette série se passe ainsi, en rendant tout le monde gentil pour qu'à la fin seul Enju soit l'homme à abattre, le rendant certainement humain à la toute fin ... Dans la liste des échecs de cette série pour l'instant, on peut également aimablement rappeler aux souvenirs des fans que Sakura est supposée être une descendante de la Lune, qui dans le premier tome chassait les monstres (qu'on a pas revu depuis) avec une épée pseudo divine (idem), et que la princesse Kaguya avait une certaine importance (on a du citer son nom trois fois depuis). Mais mais mais ... Pourquoi ? Rendez-nous un vrai scénario de Tanemura ! Là il reste encore deux tomes et pour ma part, j'attends encore que la série démarre. On en aura donc certainement rien à sauver.
Tome 11 :
aimai et Yuri ont quittés la capitale pour pouvoir vivre heureux loin des pressions et des risques. Ils sont partis chercher leur bonheur là où l'herbe est plus verte et ils ont bien raison parce que c'est les seuls qui vont réussir à être tranquilles. Mais bon, sinon il n'y aurait plus d'histoire. Hayate et Rurijo continuent de se voir en secret, de s'apprécier tout particulièrement. Sauf que Shuri va faire en sorte qu'Enju le découvre et se sente trahi par celle qui lui était la plus proche. Rurijo l'aimait aveuglément, et voir qu'elle se détourne de lui au profit d'un membre du clan de Sakura et qu'elle lui cache l'aide qu'elle lui apporte. C'est une raison suffisante pour lui ordonner de partir. Enju la congédie sans autre procès, et Rurijo est plongée dans une détresse profonde et insondable. Elle n'a donc plus de raison de vivre, elle se sent totalement vide et sans plus d'espoir. Elle se précipite alors à la rencontre de Sakura pour mettre fin à sa vie, quoi que ça lui coûte. Enragée, Rurijo ne compte pas laisser Sakura lui gâcher la vie plus longtemps. Même si pour le coup elle n'y est pour rien ...
Finalement, Rurijo trouve une solution de secours et refait sa vie auprès de quelqu'un d'autre. Comme c'est facile ce revirement stupide de situation ... Pendant ce temps, Asagiri est en danger et Sakura va devoir voler au secours de son amie la plus chère. Ce tome fait enfin bouger les choses, on peut au moins lui accorder cela. Mais pour un tel résultat, au final ... On se complet en pathos inutile et on sent que le prochain et dernier tome sera encore pire. L'auteur ne nous fait passer aucune émotion, et Rurijo n'est absolument pas génératrice d'empathie. Bref, la fin d'un personnage qui manque de relief et qui nous laisse de marbre.
Tome 12 :
Voilà enfin le dernier tome de Princesse Sakura, une série que finalement l'auteur n'aura pas réussi à redresser. Bien loin de Full Moon, ce manga est profondément moins réussi. Tanemura ne parviendra pas à sauver cette dernière saga, et c'est avec beaucoup d'ennui que l'on viendra lire ce dernier opus. Sakura a perdu Asagiri dans sa lutte contre son propre frère. Enju lui vole un profond soutien, alors même qu'elle lui a volé Rurijo en la prenant sous son aile. D'ailleurs, devant la détresse et la tristesse de sa nouvelle maîtresse, Rurijo décide d'aller tuer Enju. Premier fail, elle l'aime normalement. Deuxièmement, en prenant le sabre de Skaura sous prétexte qu'elles se ressemblent. Mais Chizakura n'obéit qu'à sa véritable maîtresse, donc c'est stupide. Autant dire qu'elle ne parvient pas à atteindre son but. Et donc, c'est le drame.
Comme tout le reste du tome d'ailleurs. C'est le déclenchement pitoyable d'une succession de sacrifices humains et de drames. Enju va les enchaîner, mais comme prévu va redevenir son gentil grand frère. Aoba et Sakura vont finir heureux et avoir beaucoup d'enfants ... Et ça, on le devine avant même la première page du manga. Sakura va craquer et devenir totalement hors d'elle, va affronter la princesse Kaguya, va régler tous les problèmes ... Ce dernier opus est dénué de la moindre émotion. C'est de la surenchère de drames, beaucoup trop pour qu'on compatisse avec les personnages. On lit l'avalanche de ridicule sans aucune émotion, sans rien ressentir pour Sakura et ses comparses. Non, décidément, le dernier tome conclut de la pire manière qui soit cette série qu'on aura vite fait d'oublier.
Moi, j'ai aimé ce manga, vraiment, mais je voulais rester objective, bon. Sinon, ce manga à un bon animé, qui dure plus longtemps que la série. Vous voulez que je continue mes impressions sur les mangas ? Vous aimez bien ce manga ? Tout ça c'est par com'. ;-)
Résumé :
Cette aventure prend place dans l'ère Heian (794 – 1185). La princesse Sakura est une jeune fille orpheline vivant dans un palais retiré au fin fond de la montagne. Ayant perdu ses parents ainsi que son frère, elle est entretenue financièrement par le prince Ora auquel elle est fiancée depuis le berceau. Mais alors qu'elle va atteindre ses 14 ans, un messager du prince Ora vient la chercher pour la ramener à la capitale en vue du mariage promis. Chérissant sa liberté, Sakura refuse ce mariage forcé, et décide de fuir par une nuit de pleine lune. Pourtant, depuis son enfance, on lui a inculqué que jamais elle ne devait sortir les nuits de pleine lune car un mystérieux secret pèse sur sa naissance ! Un démon immortel apparaît alors devant elle dans l'intention de la tuer...
Les points forts :
Une histoire faite d'aventure, de fantastique et de romance qui ne manquera pas de séduire les amateurs de shôjo... et de vampires.
Critiques de 12 tomes :
Tome 1 :
Arina Tanemura nous revient enfin avec un shojo fantastique, pour changer. Si elle incorporait toujours une touche de magie, de surnaturel dans ses histoires c'est la première fois que l'histoire prend place dans un décor aussi différent de notre monde actuel ou même de celui des japonais. Avec ses 12 tomes en cours, on ne doute pas que la série sera quelque peu conséquente et que l'auteur compte nous emmener dans des univers insoupçonnés, et pourquoi pas agréables. L'histoire se déroule en pleine ère Heian (794-1185), au Japon. La princesse Sakura est une princesse orpheline, vivant loin de toute civilisation grâce aux bonnes grâces du prince Ora qui s'occupe d'elle à distance depuis la mort de ses parents, puis de son frère. Elle y est d'ailleurs fiancée depuis son enfance, mais l'absence de ce prince si peu présent la poussera à le détester et lorsqu'on lui apprend qu'elle doit se rendre à la capitale pour l'y épouser, Sakura décide de fuguer. C'est par cette nuit de pleine lune qu'elle apprendra finalement qui elle est, à savoir la petite-fille de la fameuse princesse Kaguya, qui grâce à son arme légendaire terrassait sans peur les démons qui menaçaient ce monde. Son destin change alors maintenant qu'elle a décidé de reprendre ce flambeau et de se battre pour sa vie et celle des autres, mais avant tout pour sa liberté !
On y associe donc la magical girl, le vampire selon Glénat, la trahison et des dessins très jolis.
Tome 2 :
La vie de Sakura est menacée à chaque instant, par ses alliés ou des gens de l'extérieur. Et même par un homme étrange, qui ne semble pas humain et parait la connaitre. Ce qu'il cache ? A suivre dans le prochain tome. En tout cas celui-là ne convainc pas, par sa platitude et son manque de rebondissements efficaces. En effet, tous les virages de la narration sont évidents et prévisibles, ne présentent aucune originalité et l'on éprouve un profond ennui à la lecture de ce second tome. Pourtant, on sait que Tanemura est capable de grandes choses, comme Full Moon, mais là il est impensable d'imaginer que le récit pourra s'améliorer et égaler l'autre série de l'auteur ... En attendant, suite au prochain tome, en espérant toujours un peu que la qualité sera au rendez vous. Et l'on peut toujours se délecter des dessins, pour les fans inconditionnels du bon gros style shojo, avec les grands yeux et la multitude de fleurs qui les accompagnent ...
Tome 3 :
Nous avions laissé Sakura aux mains avec un vilain serpent vraiment pas gentil, qui en plus s'est permis de transformer Omi en un terrible monstre, ce dont elle avait en horreur. Les deux monstre, bien qu'Omi ne soit pas si agressive que l'autre, sont sous le contrôle du dénommé Enju dont on ne connait pour l'instant rien, si ce n'est qu'il semble être un habitant de la Lune avec des pouvoirs très particuliers. Et qu'il porte une attention décuplée à Sakura, qu'il considère comme quelqu'un de précieux qui doit la rejoindre. Et qu'il protège contre ses propres sbires, quitte à les éliminer. Après une conclusion définitive de l'affaire Omi, Sakura doit se reprendre et retourner peu à peu dans le monde réel. Mais c'est bien difficile, même avec le réconfort d'Aoba. Les deux jeunes gens s'avouent pourtant leur amour l'un pour l'autre et décident de rester ensemble malgré les épreuves, malgré le prince héritier que Sakura envoie gentiment sur les roses, malgré tout. Ce qui est assez surprenant, le couple se formant ici très tôt pour un shojo. Tanemura ne nous avait pas habitué à cela, et elle nous confesse dans ses freetalk que son manga ne tournera pas autour de l'histoire d'amour mais bien de l'intrigue centrale.
Soit. Alors pourquoi faire autant d'état de fait des sentiments des protagonistes ? On se lasse presque de la narration, qui heureusement revient à quelque chose de plus léger et de plus naturel par la suite. On est loin des délires des deux premiers tomes qui nous plongeaient dans l'expectative et, comme l'auteur, on a l'impression que l'histoire démarre enfin. Il était temps ! A part ça, il ne se passe vraiment pas grand-chose dans ce tome et la mangaka décide de se baser d'avantage sur des flash-back, quelque chose qui marche toujours quand il s'agit de distraire les lecteurs. Un pour le prince héritier, un pour Sakura, un pour le frère de Sakura ... Oui oui, son frère. Bref, on n'apprend véritablement quelque chose qu'à la fin du tome. Et si, dans l'ensemble, le scénario se clarifie un peu et devient moins maladroit, il n'a encore rien de transcendant, au contraire.
Tome 4 :
Enju est le frère de Sakura ! La révélation en a ébranlé plus d'un, et notre héroïne est toute retournée. Elle ne peut pas se battre contre son très cher frère qu'elle a trop longtemps cru disparu. Elle ne peut s'opposer à lui, surtout en sachant ce qu'il a subit. Mais dans ceux qui suivent Enju, tous ne sont pas des meilleures intentions vis-à-vis de la princesse. En arrivant au palais sanglant, lieu de passage entre la terre et la lune, Sakura découvre une ennemie inattendue qui la trouble légèrement ... Pas assez selon nous. Parce que quand votre frère crée une poupée à votre effigie et couche avec, souvent, ce n'est pas très sain. Sakura est donc retenue dans le palais, mais pas tellement comme une prisonnière puisqu'Enju n'hésite pas à jouer sur ses sentiments pour la garder auprès d'elle. Il est en réalité bien plus manipulateur et froid que l'image qu'il renvoie à la jeune fille ... Cette partie au palais sanglant dure un peu trop de temps sans qu'il ne se passe rien, au final. Du moins rien d'autre qu'une jalousie pour une histoire de fesses. On dirait que les habitants de la lune n'ont rien à faire de leur journée et s'ennuient royalement ...
Ce qui laisse le temps à Aoba et aux autres proches de la princesse de mettre sur pieds un plan d'attaque. Un peu bancal, mais surtout tardif. Parce qu'il faudra que le prince se fasse séduire par une fausse Sakura pour qu'il se décide à bouger son arrière-train pour aller chercher sa belle. Comment la sauver de cette prison de verre qu'elle ne considère même pas comme telle ? En tous les cas, ils foncent tête devant sans plus se préoccuper des détails. Et évidemment, ça ne fonctionne pas réellement comme prévu puisque les sbires d'Enju sont forts, et que les amis de Sakura ne semblent pour l'instant pas faire le poids. Rajoutons à tout cela un peu de mélodramatique en évoquant le passé cruel qui justifie le comportement justicier et meurtrier d'un des subalternes d'Enju, et le tour est joué. Bien dans l'ensemble.
Tome 5 :
Sakura est prisonnière de son frère, mais ce n'est pas une raison pour qu'elle adhère à ses idées et à ses projets. Elle doit par exemple supporter la vision des sbires de son frère se battant à mort avec ses propres amis venus pour la récupérer et la sauver. Le premier combat oppose Maimai et Byakuya, et c'est l'apologie de la beauté qui commence avec le flash back sur l'enfance de Maimai, qui n'a pas toujours été comme ça. Il en va de même pour tous les combats qui commencent, chaque adversaire a le droit à un approfondissement et à un retour dans leurs souvenirs. On apprécie surtout celui de Shuri, qui implique plusieurs de nos héros et sait nous attendrir. Après tout, le sacrifice pour l'honneur et l'amour, ça marche toujours. Dommage que ce soit aussi dramatique et enjolivé, mais enfin on s'en accommode. Ces flash-back sont donc les bienvenues dans une histoire qui manquait un peu de relief et d'intérêt, se centrant trop sur l'action sans aucun détail sur la vie des combattants.
En parallèle, on oublie un peu Sakura, inutile dans ce tome, et Aoba qui ne fait pas grand-chose non plus. Mais certains protagonistes secondaires sont en train de se révéler, comme Byakuya qui nous surprend sans que l'on comprenne vraiment de quoi il retourne ... Et manifestement, ce n'est pas terminé ... Mais les surprises s'arrêtent un peu trop vite et l'auteur nous offre une histoire bonus sur un pseudo vampire, une héroïne qui ne croit pas au surnaturel ... Un petit extrait sympathique mais pas réellement passionnant ni vraiment fine, et l'on oublie rapidement la mièvrerie à peine déguisée dont cette histoire est bordée. Au final, un tome meilleur que les précédents mais qui nous déçoit sur la fin et nous laisse un peu hésitant sur la suite ...
Tome 6 :
Le combat entre Kohaku et Shuri s'achève sans trop de surprise, par une fin plus ou moins heureuse qui en tout cas préserve tout le monde. Les batailles se succèdent et se ressemblent, avec à chaque fois une morale, la découverte du passé des subalternes d'Enju. Et là encore, on n'échappe pas au schéma devenant un peu redondant, à force. C'est le tour d'Asagiri, cette fois. Elle aussi a un passé, une histoire, avant d'être une petite poupée au service de la princesse Sakura. Avec qui se bat-elle ? Un sinistre inconnu qui débarque de nulle part et qu'on avait encore jamais vu auparavant. Mais on s'en fiche, c'est pour le bien de l'histoire. Alors oui, le passé d'Asagiri est original, intéressant, émouvant, tout ce qu'on veut. Mais il est aussi convenu, attendu, stéréotypé et profondément sans saveur ni relief. Autant dire que ça n'a pas vraiment l'effet escompté sur un lecteur averti. Surtout que ça dure ... tout le tome. Absolument rien n'avance, donc. C'est comme si cet opus n'avait servi strictement à rien.
On aurait préféré que l'histoire puisse malgré tout évoluer un peu en parallèle, faisant progresser nos amis et évoluer Sakura dans sa position délicate. Mais non, rien. Au lieu de ça, les nombreuses pages supplémentaires disponibles sont utilisées ... Eh bien, à mauvais escient. Un petit délire sur une ange de neuf ans qui veut devenir humaine pendant quelques heures. Qui se transforme et découvre le monde des humains. Puis des délires sur ses autres séries, des bla bla ... Bref, du vent. De l'air. Juste pour combler un vide qui aurait pu être rempli par un développement scénaristique qu'on attend pour le prochain tome. Vivement le prochain, en espérant que la période flash back soit enfin terminée pour pouvoir avancer dans le récit qui manque cruellement de dynamisme.
Tome 7 :
On arrive ... enfin ... à la conclusion de cet épisode où tout le monde se bat pour récupérer Sakura. Après les combats des différents sbires de chaque camp, c'est la fin de l'affrontement entre Sagiri et son ancien soupirant, Ukyo. Celui-ci va d'ailleurs se révéler très utile dans le combat, en trahissant son maître pour son amour de toujours. Grâce à son intervention, Sakura est libérer et Enju en mauvaise posture. Le clan des gentils semble avoir gagné. Seulement, l'ancien grand-frère de notre princesse a plus d'un tour dans son sac... et il se venge en faisant Sakura prisonnière de son propre corps. C'est ainsi que la jeune femme apprend les réelles intentions de celui qu'elle pensait aimer et qui était supposé la chérir comme un frère le ferait avec sa sœur. Il n'a finalement que peu faire d'elle et préfère l'utiliser comme un objet bien pratique en attendant la concrétisation de son souhait, afin d'obtenir plus de pouvoir encore. Mais Sakura profitera de cette révélation pour enfin lui tourner le dos de manière définitive.
Sa haine se déverse, elle jure alors d'anéantir celui qui, de toute façon, n'est plus son frère. Les combats dans ce tome manquent cruellement d'intérêt et l'on ne progresse vraiment pas beaucoup. Sakura est libérée, Enju est le nouveau grand ennemi mais ... cette conclusion d'arc est plutôt ennuyante, téléphonées, prévisible et profondément ancrée dans la guimauve. On n'est malheureusement pas ému un seul instant devant la tristesse de la princesse, devant sa peine. Et les autres protagonistes n'ont que peu voix au chapitre, sauf Asagiri mais elle était plus intéressante au cours de son flash back. En somme, un opus un peu de trop qui conclut l'histoire rapidement mais ne nous laisse aucun réel bon souvenir. On espère que la suite repartira sur de meilleures bases plus intéressantes ...
Tome 8 :
Après l'effort, le réconfort. Aoba et Sakura se retrouvent, reprennent leurs repères dans un quotidien qui revient avec soulagement pour les rassurer. Ils se préparent enfin à s'unir, passer une nuit ensemble pour sceller leur union. Ils se le promettent, ils vivent l'impatience de pouvoir enfin passer leur moment de mariés. Mais les lois du shojo de base ne sauraient accepter un tel moment de bonheur entre nos héros. Alors Tanemura semble nous crier un magnifique « EH NON ! » dans la figure, en obligeant Aoba à choisir : laisser Sakura à Dainagon (on ne sait pas qui c'est, à part un vieux, manifestement, ou prendre une autre princesse comme concubine. Donc, abandonner sa femme à un autre, ou trahir celle qu'il aime. Choix difficile pour notre prince qui n'arrive pas à faire le point dans cette situation un peu compliquée. D'autant que, dans l'ombre, Fujimurasaki compte bien la récupérer. Mais évidemment, ça n'en est pas assez pour la mangaka. Il faut encore encore du piquant. Déjà, Aoba qui ne dit rien à Sakura, normal. Genre la situation peut s'améliorer d'elle-même ...
Ensuite, la seconde promise du prince, Yuri. Elle est magnifique, et c'est une garce. Classique. Les jolies filles sont des méchantes. Et elle déteste Sakura, qui va se faire brimer, détester par Yuri et rouler dans la farine par la princesse légèrement détestable. Bref, elle s'éloigne de l'homme qu'elle aime, se fait trahir sans même en avoir conscience ... Normal que Fujimurasaki veuille profiter de la situation pour s'approprier la princesse de la Lune. Ce huitième tome est profondément décevant, une fois encore, et plein de clichés. On s'ennuie, on devine tout. Le tout est creux, sans relief, et la mangaka nous déçoit vraiment, alors qu'à l'ordinaire elle sait faire jaillir de la profondeur de ses histoires classiques. Ici, Princesse Sakura, c'est pour l'instant un réel échec.
Tome 9 :
On se souvient de la prise de tête avec Princesse Yuri, qui menaçait l'amour de notre petit couple. Bon, tenez-vous bien voici le seul compliment dans ce tome : ça ne met pas une éternité à se résoudre. Aoba a les pieds sur terre et va vite prouver à Sakura qu'il n'a rien fait avec Yuri, alors que cette dernière se prenait la tête toute seule (contrairement aux héroïnes habituelles de Tanemura) et se laissait embrasser par Fujimurasaki en prime, provoquant la jalousie de son prince Aoba. Bref, Sakura veut sceller leur amour en passant la nuit ensemble, mais Aoba refuse tant et si bien que la demoiselle enquête pour en connaître la raison. Il se trouve que Aoba se transforme en loup presque tous les soirs, maintenant. Ayant bu un jour le sang d'un monstre loup, la malédiction qui le transforme raccourcit sa vie. Moment tragique, sortez les violons. On apprend déjà comment Aoba a déjà tué par le passé, voilà pourquoi il craint de dormir avec sa princesse. De plus, on le voit prêt à tout pour accompagner sa promise dans son immortalité, même à devenir un monstre. On est d'accord que c'est un sujet de la première importance, le point d'orgue du tome et des suivants, surtout qu'on était un peu passé en mode « comment le prince et la princesse vont-ils réussir à passer une nuit d'amour ? » EH BEN NON !
Pas question, en effet, d'en reparler dans ce tome ou même dans le suivant. C'est totalement oublié, rayé du scénario. C'est pas comme si on s'inquiétait un peu de leur descendance ou de la vie d'Aoba, mais bon. Apparemment, c'est vachement plus intéressant de faire tomber Hayate amoureux de Rurijo, la suivante d'Enju qui ressemble trait pour trait à la princesse Sakura. Pardon ? Il était pas supposé aimé Kohaku depuis des années, d'un amour éternel comme dans tous les shojos, comme Tanemura le proclame toujours ? Après tout, dans The Gentlement Alliance Cross, son héroïne choisit finalement bien son tout premier amour, malgré un malentendu en confondant les deux dans ses souvenirs. Mais c'est un amour éternel, quoi. Zut. Et là, la magaka piétine mais toute la sainte parole des shojos, et pas pour faire quelque chose de vraiment réussi. On ne s'inquiète du coup même plus d'Hayate, qui a enfin retrouvé sa forme humaine. Oui, bon. On verra bien. De toute façon, quelque part, on s'en fiche un peu.
Tome 10 :
Fin de l'idylle Rurijo x Hayate. Ah ben ça valait le coup. Elle le jette, préférant Enju au jeune ninja. Mis à part l'idée de l'amour éternel que l'auteur a piétiné en détournant Hayate de Kohaku, c'est ridicule comme dénouement. Au final, ça montre que ses personnages n'évoluent pas, restent au point mort puisque Rurijo n'a pas bougé d'un poil. Assez déstabilisant et donc inutile. Mais hop, switch. A croire que là on passe d'une situation à l'autre en deux pages et qu'on se fiche totalement de la continuité de l'histoire. En garde en tête la déception de voir l'auteur passer totalement outre la malédiction d'Aoba dans le tome précédent. D'ailleurs, dans ce tome les deux jeunes gens sont à peine en contact, leur relation n'évolue pas d'un poil. Bref, donc Sakura va rencontrer l'empereur pour ... eh ben, faire la causette et essayer d'avoir une situation un peu moins pitoyable au sein du palais. Sauf que, évidemment, celui qui a méprisé Sakura toute sa vie n'est pas subitement devenu gentil, et il la piège, manque de la tuer, et décide de l'enfermer au même endroit que son frère avant elle, pour attirer Enju et ... Ah oui, se faire tuer. C'est sûr que c'est efficace, en fait. Bravo, bien joué monsieur l'empereur, donc l'homme le plus puissant et on espère le plus fin du royaume. Bref.
Donc Sakura est sauvée, Fujimurasaki est promu empereur ce qui arrange tout le monde. Mais Enju, en sauvant sa sœur, vole les mikotoji de Sakura et d'Aoba, tenant leurs vies entre ses mains. Au lieu, donc, de voir les deux amoureux traverser cette épreuve ensemble, encore une fois on n'en a strictement rien à faire et l'on passe à Maimai qui discute brushing et fond de teint avec la princesse yuri. Et Sakura n'a rien de mieux que de passer ses journées à observer et commenter leurs débats. Evidemment, le dénouement pseudo important de fin de tome n'étonnera personne, tout dans cette série se passe ainsi, en rendant tout le monde gentil pour qu'à la fin seul Enju soit l'homme à abattre, le rendant certainement humain à la toute fin ... Dans la liste des échecs de cette série pour l'instant, on peut également aimablement rappeler aux souvenirs des fans que Sakura est supposée être une descendante de la Lune, qui dans le premier tome chassait les monstres (qu'on a pas revu depuis) avec une épée pseudo divine (idem), et que la princesse Kaguya avait une certaine importance (on a du citer son nom trois fois depuis). Mais mais mais ... Pourquoi ? Rendez-nous un vrai scénario de Tanemura ! Là il reste encore deux tomes et pour ma part, j'attends encore que la série démarre. On en aura donc certainement rien à sauver.
Tome 11 :
aimai et Yuri ont quittés la capitale pour pouvoir vivre heureux loin des pressions et des risques. Ils sont partis chercher leur bonheur là où l'herbe est plus verte et ils ont bien raison parce que c'est les seuls qui vont réussir à être tranquilles. Mais bon, sinon il n'y aurait plus d'histoire. Hayate et Rurijo continuent de se voir en secret, de s'apprécier tout particulièrement. Sauf que Shuri va faire en sorte qu'Enju le découvre et se sente trahi par celle qui lui était la plus proche. Rurijo l'aimait aveuglément, et voir qu'elle se détourne de lui au profit d'un membre du clan de Sakura et qu'elle lui cache l'aide qu'elle lui apporte. C'est une raison suffisante pour lui ordonner de partir. Enju la congédie sans autre procès, et Rurijo est plongée dans une détresse profonde et insondable. Elle n'a donc plus de raison de vivre, elle se sent totalement vide et sans plus d'espoir. Elle se précipite alors à la rencontre de Sakura pour mettre fin à sa vie, quoi que ça lui coûte. Enragée, Rurijo ne compte pas laisser Sakura lui gâcher la vie plus longtemps. Même si pour le coup elle n'y est pour rien ...
Finalement, Rurijo trouve une solution de secours et refait sa vie auprès de quelqu'un d'autre. Comme c'est facile ce revirement stupide de situation ... Pendant ce temps, Asagiri est en danger et Sakura va devoir voler au secours de son amie la plus chère. Ce tome fait enfin bouger les choses, on peut au moins lui accorder cela. Mais pour un tel résultat, au final ... On se complet en pathos inutile et on sent que le prochain et dernier tome sera encore pire. L'auteur ne nous fait passer aucune émotion, et Rurijo n'est absolument pas génératrice d'empathie. Bref, la fin d'un personnage qui manque de relief et qui nous laisse de marbre.
Tome 12 :
Voilà enfin le dernier tome de Princesse Sakura, une série que finalement l'auteur n'aura pas réussi à redresser. Bien loin de Full Moon, ce manga est profondément moins réussi. Tanemura ne parviendra pas à sauver cette dernière saga, et c'est avec beaucoup d'ennui que l'on viendra lire ce dernier opus. Sakura a perdu Asagiri dans sa lutte contre son propre frère. Enju lui vole un profond soutien, alors même qu'elle lui a volé Rurijo en la prenant sous son aile. D'ailleurs, devant la détresse et la tristesse de sa nouvelle maîtresse, Rurijo décide d'aller tuer Enju. Premier fail, elle l'aime normalement. Deuxièmement, en prenant le sabre de Skaura sous prétexte qu'elles se ressemblent. Mais Chizakura n'obéit qu'à sa véritable maîtresse, donc c'est stupide. Autant dire qu'elle ne parvient pas à atteindre son but. Et donc, c'est le drame.
Comme tout le reste du tome d'ailleurs. C'est le déclenchement pitoyable d'une succession de sacrifices humains et de drames. Enju va les enchaîner, mais comme prévu va redevenir son gentil grand frère. Aoba et Sakura vont finir heureux et avoir beaucoup d'enfants ... Et ça, on le devine avant même la première page du manga. Sakura va craquer et devenir totalement hors d'elle, va affronter la princesse Kaguya, va régler tous les problèmes ... Ce dernier opus est dénué de la moindre émotion. C'est de la surenchère de drames, beaucoup trop pour qu'on compatisse avec les personnages. On lit l'avalanche de ridicule sans aucune émotion, sans rien ressentir pour Sakura et ses comparses. Non, décidément, le dernier tome conclut de la pire manière qui soit cette série qu'on aura vite fait d'oublier.
Moi, j'ai aimé ce manga, vraiment, mais je voulais rester objective, bon. Sinon, ce manga à un bon animé, qui dure plus longtemps que la série. Vous voulez que je continue mes impressions sur les mangas ? Vous aimez bien ce manga ? Tout ça c'est par com'. ;-)
Coucou.
Coucou je m'ennuie à mort T.T
La question du jour numéro 1 : Qui a inventé les Pokémon ?
Qui a inventé les Pokémon?
L'inventeur des Pokémon est Satoshi Tajiri. Ce Japonais de 44 ans est un créateur de jeux vidéo. Pour créer les "monstres de poche" (pocket monsters en anglais), Satoshi Tajiri s'est d'abord inspiré des insectes. Quand il était petit, il aimait les collectionner. Il s'amusait à chasser des criquets (des insectes de la famille de la sauterelle) près des mares, dans les champs ou dans les forêts. Plus grand, il a l'idée de créer un jeu vidéo où le joueur doit chasser et collectionner d'étranges animaux.
Le premier jeu vidéo Pokémon sort au Japon en 1996, sur la console Game Boy de Nintendo. C'est un énorme succès : en une seule année, plus de 10 millions d'exemplaires sont vendus au Japon! Les jeux débarquent aux Etats-Unis en 1998, puis en France en 1999. Des BD, des dessins animés, des cartes à jouer puis des films Pokémon sortent par la suite. 14 ans après leur naissance, les Pokémon sont toujours des stars des jeux vidéos !
Présentation de 2 personnes dont vous allez ententre parler souvent. (version Pokémon)
Moi :
Prénom : Norémie
Nom (inventé) : Nayru
Âge : 11 ans
Classe : 5ème 3
Pokémon (si a des Pokémon) : Givrali surnommée Nicy
et Noctali 
surnommée Nighty. Caractère : Energique, s'énerve vite.
Aime : Le karaté, les Pokémon ténèbres et glace, les Pokémon.
N'aime pas : Les gens calmes et gentils, les choses "mignonnes", Lizzy.
Spécial? A horreur des renards et des chats. Sœur de Mousty (ah oui ?)
Mon frère :
Prénom : Mousty
Nom (inventé) : Nayru
Âge : 8 ans
Classe : CE2
Pokémon (si a des Pokémon) : Luxio surnommé Tempête.
Caractère : Surexcité, un peu flemmard x)
Aime : L'électricité, la DS, son Luxio. Et rien foutre x)
N'aime pas : L'école, lire, qu'on le batte.
Spécial ? Frère de Norémie. (Sans blague ?)
Prénom : Norémie
Nom (inventé) : Nayru
Âge : 11 ans
Classe : 5ème 3
Pokémon (si a des Pokémon) : Givrali surnommée Nicy
et Noctali surnommée Nighty. Caractère : Energique, s'énerve vite. Aime : Le karaté, les Pokémon ténèbres et glace, les Pokémon.
N'aime pas : Les gens calmes et gentils, les choses "mignonnes", Lizzy.
Spécial? A horreur des renards et des chats. Sœur de Mousty (ah oui ?)
Mon frère :
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Pokémon Life : Forum.
Coucou les amis !
Je fais de la Pub pour mon Forum today !
Si vous voulez y faire un tour, le lien ici : http://pokemon-life.forumactif.org/
Il y a actuellement 6 membres :
- Moi, Givrali galaxie, Admin.
- Typhogeo2, Admin.
- Fille des Enfers, membre.
- Ho-ho du vent (Dark' Ho_oh), membre.
- Lusanto14, membre.
- Majaspic 73, membre.
Je vous invite à le visitez, ce forum ^^ (et, à vous inscrire, aussi, c'est le but d'une pub ^^')
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Oui, oui, oui !!!!
Un modérateur (Kydra) vient de valider votre fanfic Le mytérieux monde inversé (One-Shot).
Vous pouvez retrouver cette fanfic en cliquant sur le lien suivant : Le mytérieux monde inversé (One-Shot)
A bientôt sur Pokébip !
Voici le MP. Je suis super contente ^^
A +
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A +
Pas d'idées..
Faites pas /!\ au titre.
Je m'ennuie voilà tout. Un petit Pokémon animé pour se remonter le moral ;)
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Vous croyez que, moi, Givrali galaxy, je vais faire un Hasardex ? .....Ben c'est gagné !
Alors, ont va faire un petit jeu...
Si vous voyez un Pokémon de la 6G aujourd'hui, vous avez gagné !
La génération change tout les jours ! Je vous fait confiance pour mettre le premier Pokémon du jour et SEULEMENT celui-ci.
A +
Je cherche un béta lecteur.
Je cherche quelqu'un, avec une orthographe perfect, pour lire ma fanfic et la corriger. Je crois que ça s'appelle un béta-lecteur. Pourquoi ? Regardez :
Un modérateur (Cyrlight) vient de supprimer votre fanfic Le mystérieux monde inversé (One-Shot).
Voici la raison invoquée : Il y a beaucoup de fautes d'orthographe, qui plus est ton histoire est trop rapide, non pas qu'elle manque d'intérêt, mais essaye de la développer davantage afin de la rendre plus accrocheuse.
A bientôt sur Pokébip !
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