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P.A.C.E.S. : Première Année de Chroniques Exutoires en Santé
de S3phiroth

                   


PACES : Première Année Commune aux Études en Santé (médecine, pharmacie, maïeutique, odontologie).

Cette année, je fais ma première année de médecine. A 24 ans. Alors comme c'est un peu atypique, que ça risque d'en intéresser quelques uns, et que je veux éviter les trop pleins, je m'en vais vous raconter mes aventures estudiantines !

La fanfic qui m'a le plus marqué de tout Pokébip, l'indétronable Smirnoff de Domino ! Et qui m'a indirectement fait m'intéresser à la médecine.

Si vous trouvez un contenu choquant cliquez ici :


Double dose !
Je n'irai pas par quatre chemins : c'est la merde.

Il y a de cela quelques jours je me targuais dans ces lignes de profiter d'une avance non négligeable. Cette avance a soudainement volé en éclats le lundi de la semaine dernière lorsque, au détour d'un sentier, la chimie organique a frappé. Et elle cogne dure, la salope !

Des pages et des pages de réactions chimiques à apprendre par cœur et, surtout, à comprendre ! Moi qui croyait que médecine, c'était que du rabâchage sans réflexion...

Bref, je me retrouve à crouler sous les révisions de chimie lorsque, avec un timing qui frise le mauvais goût, se pointe l'histologie. L'histologie, c'est l'étude des tissus du corps ; et pour faire court, c'est aussi dense que la chimie organique. Rien que ça.

Double dose, donc.

J'ai fait un petit bulletin prévisionnel des révisions des semaines à venir, et j'augure dans les plannings de beaucoup des deux matières sus-citées.

Et comme si ça suffisait pas, je monte sur scène pour jouer une pièce de théâtre dans 15 jours ! Comme si mes études me foutaient pas déjà assez les foies ! Ce mois d'Octobre sera une lente agonie... et je crois que je ne déprécie pas complètement ça :D
Article ajouté le Vendredi 05 Octobre 2012 à 17h20 |
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Faux-Départ
Il y a 2 ans de cela, j'ai fait un rêve. Un monde sans guerre, sans maladie, sans colère... et où je ferai médecine ! Cette idée me fût insufflée par mon profond encroûtage dans une vie peu intéressante où j'enchaînais les boulots de merde sous-payés et peu gratifiant en vivant chez mes parents en pleine procédure de divorce. Je kiffais ma race, en somme.

Les études ne m'avaient jamais vraiment intéressé. Non pas que j'y trouvais le temps long, ni même que j'y rencontrais quelques difficultés (au contraire, j'avais même de sacrées facilités), mais je n'avais pas trouvais ma voix, un but.

C'est à force de documentations sérieuses et poussées (Smirnoff et Dr House, en tête) que j'eus cette épiphanie : "Il me faut être ambitieux !"

Et mon ambition fût... de l'être.

Je décidai de reprendre mes études en tentant de passer un Bac S en candidat libre. Échec total. N'ayant pas eu le temps nécessaire à une préparation suffisante, je ne m'y présentai même pas... mais l'échec se vit accompagné d'une révélation pour le moins inattendue ; la biologie m'intéressait. Beaucoup. Au point que j'en vins à faire des recherches hors programme en lésinant sur le travail des autres matières. Le corps humain devînt ma passion.

A la rentrée suivante, j'intégrai un cursus assez particulier qui proposait de nous inculquer, à une vingtaine d'étudiants ainsi qu'à moi-même, la totalité du programme scientifique d'un bachelier S en une seule année. J'obtins mon année avec brio et, plus important encore, avec la certitude de vouloir faire médecine.

Et aujourd'hui, je me retrouve là où, il y a quelques temps encore, je n'espérais que trop pouvoir me hisser. Deux années de travail acharné, de coup de poker car, je doit me bien me l'avouer aujourd'hui, ce changement soudain de cap eut pu m'en coûter si je n'avais pas eu un brin de chance. Deux années de conditionnement...

Et une semaine à glander.

Non pas que je crache sur l'importance d'un labeur soutenu et quotidien, non. Mais merde quoi, on est à la deuxième semaine de médecine et j'ai des cours de maths qui "m'apprennent" comment utiliser une fonction exponentielle et des cours de biologie qui me renvoient à l'embryologie de mes livres de première !

Moi qui m'attendais à un départ sur les chapeaux de roue, me voilà bien biaisé, à l'instar de mes appréhensions.

Si c'est ça medecine, l'année prochaine je me tente le MIT !


A moins que ça soit parce que jeudi, y avait pas cours pour cause d'AG des profs et que vendredi la retransmission défectueuse des cours en amphi a forcé le report des dits-cours... mouais, c'est peut-être ça.

Du coup, ça me laisse la temps de bien apprendre les bases de toutes les matières et d'envoyer du lourd dans mes QCM d'entraînement.

Oui, parce que le concours de médecine, c'est que de ça : des QCM. Les boules, ceux qui passent le bac en fin d'année ? Que je vous comprend.
Article ajouté le Samedi 15 Septembre 2012 à 23h04 |
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S'inscrire après la rentrée, ça craint...
24 ans, Bac L obtenu en 2006, fac de langues...

Ce cursus peu courant aux inscriptions à la PACES sur le net m'a valu un rendez-vous en différé pour m'inscrire à la fac de médecine ; en fait, les bacheliers de cette année s'inscrivent début juillet, juste après les résultats du bac. Moi, je devais attendre le 28 Août pour pouvoir le faire... soit. Tant que c'est avant la rentrée, ça m'va.

J'attends donc le jour J et je me rend à l'administration de ma future fac. Je m'inscris (je passerai sous silence mon oubli du papier de la JAPD, ce qui m'a valu d'attendre encore quelques jours avant d'avoir ma carte étudiante), je signe 2-3 papiers et on me file, entre autre, un tract du tutorat.

Pour ceux qui l'ignorent, le tutorat est un ensemble de cours de soutien prodigués aux 1ère année par des 2 ou 3ème année. Et celui de ma fac proposait même une pré-rentrée, de quoi être bien chaud et préparé pour la rentrée du 6 septembre !

Sauf que : "date butoir des inscriptions à la pré-rentrée du tutorat : 23 Août"...

WTF ! Mon inscription est le 28 ! C'est quoi ce merdier ! Arrivé chez moi, je fonce sur le site du tutorat et je vois marqué la même chose ! PIRE ! Je vois qu'il faut sa carte étudiante pour s'inscrire en ligne (c'est la que mon oubli du papier de la JAPD prend tout son sens... haha ).

Mais il y a une faille dans leur système : c'est que je m'en bat l'œil de leur inscription. Je regarde donc les date et heure du tutorat et j'y vais le lundi 3. Je m'assied en silence, je dis rien et là, le tuteur arrive et commence... sans vérifier les inscris ! Yatta ! Je gratte donc mon cours et je me permets même de dire que j'ai pas pu venir la semaine dernière donc qu'il me faudrait un polycopié... l'incrust' totale.

C'était drôlement intéressant d'ailleurs ce tutorat. Et surtout, sans lui, je n'aurais jamais, mais alors JAMAIS, compris le moindre truc à mon premier cours d'atomistique du jeudi de la rentrée. Déjà, parce que c'est hyper dense, mais aussi parce que les cours sont enregistrés dans un amphi le matin et qu'ils sont rediffusés pour les groupes de l'aprem (dont je fais parti, sinon y a pas de challenge) par vidéo-projecteur. Ha ha ! Que la vie est nulle. Donc impossible de demander au prof' de répéter lorsque les redoublants se mettent à tous gueuler en chœur "PAR CŒUR, PRIMANT !" au moindre graphique ou tableau. C'est marrant au début, ça met l'ambiance ; mais quand ils se sont mis à gueuler "chic ah chic ah chic ! Aïe Aïe Aïe !" le vendredi aprem pendant 1min pour empêcher les primant de prendre le cours, ça commençait à devenir un tantinet relou.

J'ai finalement passé tout mon vendredi soir et tout mon samedi à bosser, sauf pour aller faire un peu de sport vers 16h, fallait que je bouge mon boule !

Un peu condensé pour un premier billet, mais faut dire que j'ai pas eu à attendre la rentrée pour avoir mon lot d'embuches. A bientôt les futurs étudiants, et n'hésitez pas à poser des questions si vous envisagez cette voie là !
Article ajouté le Dimanche 09 Septembre 2012 à 00h01 |
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Dorian Cayle est dans la place !
Dorian Cayle ? Mais kézaki ?

Pas de panique, braves gens. Tout vous sera révélé dans ma prochaine fanfic policière après sa validation... mais bon, comme je suis pas un chien, je vous met en avant première internationale (sauf chinoise, ils ont déjà acheté les droits de publication), le résumé de cette prochaine fanfiction à parraitre. Have Fun !

Résumé :

"Moi, vous me connaissez. Non !? Mais si ! Dorian Cayle !... Allez, chiquez pas l’ignorance les gars, je sais quand on me fait marcher. Et mon annulaire gauche (le petit doigt se repose) me dit que vous aussi vous sentez qu’on ne la fait pas à ce bon vieux Dorian.

Aaah, enfin ! Vous me remettez ? Bel Apollon de trente piges, corps de dieu grec, musculature d’athlète, le tout empaqueté dans une peau de bébé, et décoré d’un système pileux châtain au développement modéré mais à la qualité irréprochable (on m’a proposé d’en faire des pulls). Et ce facies, mes aïeux ! Si j’avais connu mes vieux avant qu’ils meurent, paix à leur âme, je les aurais congratulés pour l’ouvrage : j’eus été enfanté par Morisot et Rodin que ça aurait été du kif. Vous voyez un croisement entre DiCaprio et Delon jeune ? Bah mieux, et avec les yeux verts.

Je savais que vous mentiez mes fils, c’est immanquable. Et puis, si j’avais pas été capable de lire en vous comme je lis Picsou magazine sur le trône, j’aurais été bon pour raccrocher le boulot de détective privé. Mais bon, vu que j’suis le meilleur dans mon domaine et même dans le vôtre, de quoi m’inquiéterai-je ? D’un soudain accès d’illettrisme, peut-être…

Car, après tout, vous vous retrouveriez bien embêté de plus pouvoir vous mettre le récit de mes enquêtes sous la dent, me trompe-je ? Voraces, va…"


Ça vous tente ? Vous titille ou vous émoustille la glande curiositale ? Eh bien restez à l'affut car d'ici peu le premier chapitre sortira sur le BiP !

Tout retour sera bon à prendre, c'est une première dans l'écriture policière pour moi. Sachez cependant que le style est inspiré des très célèbres et non moins excellentes enquêtes du commissaire San-Antonio de Frédéric Dard. Avis aux connaisseurs ;)
Article ajouté le Dimanche 25 Septembre 2011 à 15h30 |
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Ce lundi...
Ce lundi, j'ai vécu deux gros évènements bizarrement liés dans le sens, mais pas vraiment chronologiquement ; disons que dans la symbolique, ça s'imbrique grave !

Pour commencer, j'étais dans une situation de merde il y a un peu plus d'un an ; gros problèmes avec la famille, personnel, boulot de merde, pas d'études, zob ! Et puis j'ai découvert Smirnoff sur Pokébip ! Je sortais d'une douloureuse rupture avec mon bouquin préféré l'Assassin Royal car je venais de terminer les treize tomes et j'avais la dalle de bonne lecture. Et quelques mois après, paf, je trouve Smirnoff de Domino alors que mes problèmes personnels (assez graves, mais maintenant je fuck la vie !) me bouffaient complètement.

Et en lisant cette fic, j'ai réussi à me vider la tête, à prendre du recul par rapport à ma situation et ainsi j'ai pu l'affronter pour la faire changer en quelque chose de moins dégueulasse dont je n'ai maintenant pas à me plaindre, loin de là. Attention ! Je ne dis pas que Smirnoff a changé ma vie, ce serait un peu too much ; seulement que cette fic a participé à me remettre d'aplomb pour m’atteler à la changer. Une sorte de déclencheur en somme.

Après ça, j'ai passé une année qui ne fut pas de tout repos et à l'issue de laquelle j'ai pu aujourd'hui reprendre mes études. Enfin, aujourd'hui... en fait ma rentrée c'était lundi dernier, mais bon, tout le monde sait que durant la première semaine de cours, on en branle pas une, on fait des fiches de présentation, on revoit les additions, tout ça... Tout ça pour dire que par une boucle du destin totalement improbable, Smirnoff vient de se terminer aujourd'hui.

Oui. A peine après ma rentrée, la fic qui m'a motivé, en partie, pour reprendre mes études, a été terminée par son auteur Domino ; ce qui, pour moi, est une sorte de "boucle bouclée" métaphysique astrale, chose à laquelle je ne crois absolument pas en temps normal, mais qui, là, me rend tout chose parce que, bon, faut l'admettre, Smirnoff, c'est quand même l'histoire que je chérirai jusqu'à la fin de mes jours.

Comme quoi, écrire une fanfic, en soi, c'est pas grand chose. Mais ceux sont justement les petits actes qui entretiennent la légende ;)
Article ajouté le Lundi 19 Septembre 2011 à 18h27 |
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Il est né, le divin enfant !
Fêtons tous ça, en nous biturant !

Ceux ne sont pas les paroles d'origine, mais c'est aussi bien. C'était juste pour vous dire... bof, trois fois rien : le chapitre 10 de Peter est sorti. Et non, ce n'est pas une blague !

Alors profitez-en bien les loulous !
Article ajouté le Lundi 15 Août 2011 à 17h11 |
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Le vice
En période de trouble, lorsque j'ai épuisé toutes mes lubies et passions éphémères du moment, je m'en retourne immanquablement vers les grands classiques de ma culture personnelle. Mais, ce qu'il y a de bien avec la culture personnelle, c'est qu'elle change constamment, et que les vieux classiques d'il y a des années sont égalés, voire remplacés, par de plus récents.

Il en est ainsi des vieux jeux vidéos phares de ma collection (FFVII, Fire Emblem et Golden Sun GBA, Zelda Ocarina Of Time, et tant d'autres) dont je remplace les heures de jeu, normalement employées à refaire une énième partie nostalgique, par des heures de lecture effrénées de mes nouveaux chefs d’œuvres !

Dans le lot vient immédiatement en tête L'Assassion Royale de Robin Hobb que je considère comme le fleuron de la littérature médiéviale-fantastique et, surtout, la crème de la crème du récit autobiographique fictif. Les sentiments du héros, Fitz, sont rendus avec justesse et émotions, et les descriptions sont incroyablement parlantes ; j'apprécie beaucoup ce dernier point, car c'est ce que j'aime voir chez un auteur : sa capacité à décrire un environnement sans se concentrer sur les détails, mais plutôt sur l'atmosphère, gymnastique à laquelle Robin Hobb s'adonne avec brio. A chaque page, je m'y croierai !

Mais le problème de L'Assassin Royale, c'est que c'est long ! 13 tomes à se farcir pour en voir la fin alors que je la connais déjà, ça use les mirettes. Alors, après avoir relu le premier tome, je me suis tourné vers mon vice séculaire, ancestrale et, accessoirement, la seule bonne chose que mes parents m'aient jamais transmise : la lecture de San-Antonio, signé San-Antonio, Frédéric Dard de son vrai nom. Je me suis laissé tenté par un des 175 bouquins politico-humoristique de San-Antonio à l'âge de 16 ans et, croyez-moi ou allez vous faire épiler les cils à la cire chaude, mais c'est la meilleure lecture que j'ai faite de ma vie !

Tout y est ! C'est dingue comme un auteur (français de surcroit) arrive à divertir en un bouquin qui, au final, prend six à sept heures pour être lu (j'ai fait un marathon San-Antoniesque pour voir). Quand je parlais des descriptions de toute une atmosphère en deux lignes, et bien, c'est à San-Antonio que je faisais surtout allusion, car là ou Robin Hobb arrive à nous faire voyager, Frédéric Dard (mais si, le vrai nom !) parvient à nous faire rêver de notre pays tel qu'on le connait, et c'est ça qui est hallucinant ! Ceux sont les couleurs qu'il arrive à donner au choses, aux lieux et aux personnages ! Ah mes aïeux ! Si vous pouvier-vous imaginer l'extase que procure la lecture d'une diatribe d'Alexandre-Benoit Bérurier, le lieutenant adjoint de San-A : un flic de 160 kilos, aux phalanges colossales, à l'éducation paysanne et aux cerveau de méduse ; il est content, il rit grassement et s'envoit une schoucroute ! Mais s'il est malheureux le pauvre Béru, autant se pousser de devant, parce que soit il vous rentre dans le lard, soit il vous crache une méchante tirade pas tirées des hannetons avec argo, fautes de français surréalistes et insultes innédites, et en plus, il vous rentre quand même dans le lard !

Les enquêtes policières ne sont pas en reste, car rondement menées et dignes pour certaines des aventures de nos amis anglais Hercule Poireau et Sherlock Holmes. Et San-Antonio me direz-vous ? Et bien c'est le héros, celui qui raconte tout à la première personne avec un parler tellement typique et imager à la fois que, parfois, on se demande si ce qu'il raconte n'est pas purement fictif.

Parce que c'est qui est beau dans San-A : on ne doute jamais de lauthenticité des récits tellement ils sont foisonnant de détails et naturels à lire, tellement les personnages sont familiers et haut en couleur.

Enfin bon, lisez-en un. C'est une expèrience littéraire unique. On aime ou on aime pas, mais c'est vraiment à tenter, parce que moi, depuis mes 16 ans, je suis obligé de m'en faire au moins un lors d'un moment de doute comme aujourd'hui où j'attends confirmation pour mon inscription à la fac su dossier. C'est flippant. Alors je bouquine...

Ou je surf sur Pokébip en feuilletant de-ci de-là les chapitres de Smirnoff, alias LA fan-fiction qui m'a fait démarrer Peter !, mais aussi le seul et unique écrit qui m'ait jamais fait pleurer. C'est fort ! Moi qui ne larmoie jamais. En tout cas, je tiens à nominer Smirnoff de Domino dans mes nouveaux grands classiques de ma culture personnelle, car il y a largement sa place. Je me suis tellement approprié cette œuvre que ma vie a changé en un sens... si tu me lis, merci Dom' !


...Quant à l'écriture... eh bien, comment dire... j'utilise plein de points de suspensions pour donner l'illusion que je me tâte à continuer de rédiger les aventures de Peter, mais il n'en est rien mes loulous ! Je continue bravement et fièrement de gratter le papier pour pondre de chouettes chapitres qui, je l'espère, vous plairont. Le bac étant fini, je me remet à écrire avec un rythme certes glandouillard (2h par jour à tout péter) mais déterminé car assurément quotidien. Les idées fourmillent, foisonnent, fourmonnent, et je ne me lasse pas, loin de là, de faire sortir des conneries au rouquin qui, durant si longtemps, a été un symbole de force et de pouvoir lorsque j'étais gamin.

Le prochain chapitre devrait donc sortir bientôt, genre après mon retour de Mont-de-Marsan (fêtes de la Madelaine oblige), soit, pour les ignards qui ne connaissent ces ferias orgiaques, vers le 20 Juillet.

Ouais, carrément, j'arrête la date au 20 Juillet. Ça me botte bien d'avoir des dates limites comme ça ; j'ai comme l'impression que si je dépasse ce délai, des choses terribles s'abattront sur le monde et je suis le héros qui se dresse comme un rempart contre tout ce qui est moche et méchant ! Je dis n'importe quoi, mais j'suis content, le stress des exams est retombé alors j'ai le droit, na !

Rendez-vous le 20 Juillet pour le nouveau chapitre de Peter !... où il n'y aura pas de combats Pokémon... !? Mais un vieux hippies, des commérages, des conneries (comme d'hab), des dissensions (encore !?), des réconciliations (encore !?... ah non, euh... enfin !) et des anecdotes croustillantes et amusantes sur nos héros !

Enjoy !
Article ajouté le Samedi 09 Juillet 2011 à 03h38 |
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Je ne suis pas mort !
Que néni ! La mort ne m’atteins pas ! C'est à moi de l'appeler pour qu'elle vienne, la bougresse ! Et encore, y a des fois où je l’appelle juste pour la faire chier.

Le chapitre 9 de Peter ! sortira demain en fin d'après-midi, c'est sûr, certain et établi, aucun retard n'aura lieu dans ce plan de l'univers (dans les autres dimensions, je dis pas). Le chapitre est écrit à 90%, mais je n'aurais pas le temps de le fignoler ce soir, donc ce sera pour demain après-midi ;)

En attendant l'issu de la revanche contre Lola, je vous propose de vous mettre dans le bain avec un autre remix d'une musique de Pokémon Black and White dont l'originale avait tout d'abord mitigé mon opinion puis avait fini par s'attirer mes louanges : le thème de combat du Conseil des 4 !

Elite Four Battle Remix !

A demain pour le chapitre les loulous !
Article ajouté le Lundi 30 Mai 2011 à 21h13 |
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Que d'Emotions !
Il y a quelques jours, j'ai déniché sur TonTube un remix du thème de Bianca et de son père de Pokémon Black/White vraiment excellent. Vous savez ? Ce petit morceau au piano que tous les joueurs de Black and White trouvent génial parce que du piano dans Pokémon ça fait pleurer (et aussi parce que ce moreau est bon, accessoirement).

The link : Emotions Remix

Ce remix me rappelle énormément (dans l'essence) les openings des productions animées de Studio Key, les fabuleux créateurs de Air, Kanon, Clannad et le ô combien larmoyant Clannad After Story.
Article ajouté le Mardi 26 Avril 2011 à 17h18 |
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Un vrai casse-tête vietnamien
Le nouveau chapitre de Peter est en cour d'écriture, c'est sur le feu, c'est en route, il arrive, d'un instant ta l'autre, impact imminent, c'est pour bientôt.

Désolé, nervous breakdown. Le chapitre met plus de temps que prévu à se faire, et ce pour une raison toute nouvelle à laquelle je n'avais pas pensé pour la simple et bonne raison que je ne l'avais jamais expérimentée. Il s'agit de la scénarisation sur le long terme.

Derrière ce terme barbare que tout le monde connait (sauf firefox qui me dit que c'est faux, mais qu'est-ce-qu'il en sait, c'est qu'un renard) se cache en fait plus de difficultés qu'il n'y parait. Au début, dans Peter ! (très important le point d'exclamation), je scénarisais chaque chapitre indépendamment, sans trop penser à quoi réutiliser après (un peu quand même, mais rien de trop important). Argent (ou or, comme vous voulez), donc or, dans le prochain chapitre à paraitre, je vais introduire pas mal d'éléments que je réutiliserai par la suite et que je ne pourrais plus modifier.

"Normal" me diront les vieux de la vieille des fanfics, ce à quoi je leur répondrait "insensible au Combat, inefficace face au Spectre" ; mais aussi que bien que logique comme idée, elle est beaucoup plus dure à mettre en pratique que le principe ne l'est à comprendre. Car figer en quelques lignes tels ou tels détails cruciaux pour la suite d'une histoire, c'est un peu comme se retrouver face à Morpheus et se tâter entre la pilule bleue et la pilule rouge : on sait que faut absolument pas se foirer parce que sinon, après, c'est la merde !

Donc je tourne et retourne et re-retourne toutes les possibilités dans tous les sens pour savoir si j'ai fait les bons choix, si ceci sera plus exploitable que cela par la suite, ketchup ou mayo, si je fais bien de faire mourir Peter dès le 8ème chapitre et si la Poképhilie soudaine de Sandra et d'Edgar lors d'un threesome ne serait pas préjudiciable pour l'intégrité de la fic...

Tant de questions aux tenants somme toute assez simples mais aux aboutissants incertains tant qu'ils ne sont pas écrits, ça me fait bizarre. Je me sens soudainement plus responsable de ma fic, et c'est bien ! Ça commence à devenir mon bébé plutôt qu'un simple délire sur le moment, même si ça va continuer à être délirant vu que j'ai encore plein de délires fictifs inassouvis à réaliser.

Tout ça pour dire qu'écrire un scénario, ça a l'air facile quand c'est les autres qui le font, mais que quand c'est notre tour, on n'est pas sorti du sable. Mais je présume que c'est comme tout, une gymnastique à laquelle il faut fréquemment s'adonner pour au final y trouver des facilités.

Voila, c'était mon aveux du moment. Pas de spoil pour le moment, l'histoire commence à peine, malheureux !

En attendant que le chapitre sorte, je vous propose de vous divertir en matant un superbe film d'animation comme il en faudrait plus souvent, j'ai nommé : Raiponce ! C'est le petit dernier de Disney (sans Pixar, leur partenariat est terminé) et c'est incontestablement un de mes Disney préférés. C'est mignon, mais pas mièvre ; c'est beau, mais pas aseptisé ; et le must, c'est que c'est drôle ! Après Alladin, dans lequel le génie était tordant, je n'ai pas revu un seul Disney qui m'ait vraiment fait marrer. Jusqu'à Raiponce. Y de bonnes blagues, c'est pas lourd, ça passe tout seul et c'est mignon.

Matez Raiponce, c'est d'la bonne !
Article ajouté le Vendredi 22 Avril 2011 à 17h10 |
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