poéme noir comme le charbon
Nous somme les proie et eux les prédateurs nous courons a bout de souffle .Le lion nous poursuis jusque au bout et nous arrache la tète a pleine dents .Il nous découpe comme un charcutier qui charcute la viande en mange nos entrailles je sens ses griffes m'arracher le cœur .Le sang coulent mes dernière volontiers ont pas était exaucer
mais je suis mort comme l'aigle qui fut tuer par la chasseuse.
Tiste homme que je suis suis dieu m'accorda ca grâce je vécue au pardi et fut heureux.
FIN
Article ajouté le Mercredi 22 Février 2012 à 17h06 |
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